Une Histoire Incroyable-4/11
Ce soir je suis rentré chez moi fatigué et vidé. Non pas davoir travaillé fort, mais davoir pensé toute la journée à ce qui marrivait. Je me suis mis nu, cétait une routine maintenant pour moi. Jai été porter mon linge dans ma chambre. Jai tout laissé tomber dans louverture de la porte lorsque jai aperçu tous mes jouets sur mon lit. Il était venu ici. Il avait fouillé dans mes affaires. Javais la trouille. Jai commencé à faire le tour de mon appartement pour voir si tout était là, quand soudain le téléphone sest mit à sonner.
-Oui hello!
-Salut salope!
Jai figé immédiatement. Cétait une voix androgyne un peu robotisée. Je ne pouvais pas dire sil sagissait dun homme ou dune femme.
-Alors on ne répond pas petite pute.
-Heuuu. Oui.
-Va voir au salon jai un petit cadeau pour toi sur la table centrale.
Je me dirige donc au salon et je vois sur la table une cagoule noire, un petit cadenas et une paire de menotte. Mon cur sest mit à prendre du rythme. Je recommençais à trembler comme la veille au soir.
-Tu vois la cagoule, tu vas la mettre et refermer le tout avec le cadenas. Ensuite tu vas lier tes poignets avec la paire de menotte dans ton dos et tu vas tagenouiller au centre du salon. Tas compris.
-Heuuuu! Oui.
-Bien, alors tu vas raccrocher le téléphone et tu vas faire cela immédiatement et tu vas attendre. Cest moi qui ai les clés des menottes et du cadenas.
-Daaaacord.
Je raccroche le téléphone, jenlève mes lunettes et je commence à installer la cagoule sur ma tête. Elle couvre bien les yeux et laisse le nez et la bouche dégagés. Il y a une fermeture éclair derrière qui descend jusqu'à la base de celle-ci. Cest à cet endroit que lon peut y glisser le cadenas. Une fois celui-ci installé il est impossible de retirer la cagoule. Je fixe finalement mes deux poignets dans mon dos avec les menottes.
Lattente est interminable. Si cest lui qui a les clés, alors il va venir ici. Mes tremblements sont incontrôlables. Jai très froid, le stress envahit mon corps, mon esprit ne peu plus réfléchir, cest le néant.
Soudain jentends la porte de mon appartement souvrir. Cette personne inconnue entre chez moi. Moi qui suit au milieu du salon, nu comme un ver et dans une position peu enviable. Jentends les pas qui se rapprochent de moi. La personne semble sêtre assise dans la causeuse. Je me sens observé, jai honte et je suis angoissé.
Après plusieurs minutes de ce traitement psychologique infernal la personne se relève finalement et sapproche de moi à nouveau. Un de mes seins se fait pincer violemment et se fait tirer vers le haut. Je nai pas le choix et je dois me lever. Ensuite la personne pince le bout de mon pénis et le tire vers lavant elle me promène dans toutes les pièces de lappartement. Je nai dautre choix que de suivre.
Mon pénis a pris de lexpansion et jen ai honte. Si je navais pas de cagoule mon bourreau pourrait surement voir que mon visage est rouge comme une tomate. Revenu au salon il moblige à me coucher à plat ventre sur la causeuse. Il me pousse les bras vers le haut du corps pour dégager mes fesses et là débute une fessée magistrale. Les claques fusent à une vitesse infernale. Je pleure, mais je nose crier car je ne voudrais surtout pas alerter mes voisins. La fessée est donnée avec tant de vigueur que je pense que mon bourreau est surement un homme. Ma cagoule est remplie de larmes qui ne peuvent séchapper.
Finalement il moblige à reprendre ma position initiale, soit à genoux au centre du salon et me place les deux mains avec les paumes vers le haut. Soudain je sens quil y dépose dans chacune delle quelque chose. Puis jentends des pas qui séloigne de moi et ma porte dentrée qui souvre et se referme.
Je prends quelques instants pour reprendre mes esprits et je commence à tâter les objets dans mes paumes.
Dans la salle de bain, face au miroir, je constate que mes fesses sont de couleur rouge vif. Elles sont devenues sensibles. Je peux même y distinguer lempreinte des mains de mon bourreau. Cest incroyable ce qui vient de marriver. Un parfait inconnu, qui demeure de lautre coté de ma rue est entré ici et m'a donné une super fessée. Dire que je pourrais le croiser sur la rue sans le reconnaître.
Je me fais un café et je vais massoir dans le salon. Non, je me ravise, mes fesses sont trop sensibles à présent. Je dois rester debout. Jessaie de me relaxer, mais sans grand succès. Puis, le téléphone
-Oui hello!
-Tu vois salope, cétait seulement un petit aperçu pour te montrer que cest moi qui contrôle ta vie à présent. Tu me dois obéissance. Tu as bien fait cela aujourdhui. Et ne soit pas triste on va se revoir bientôt. En attendant noublie jamais les consignes.
À suivre
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