L'Étreinte Très Chaude
Lautre matin, je me sentais en forme, plein dénergie à brûler - même après la nuit que Paulo mavait fait passer -. Javais envie de bouger, de courir. Je demandais à Paulo sil voulait bien maccompagner. Pour une fois, il me dit quil préférait trainasser dans lappart.
Jenfilais donc mon short de running vert flashy, un tee shirt et un sweat et me voilà parti. Arrivé au bois, je commence à courir. A cette heure là - 9h -, en plein hiver et en pleine semaine, il ny a pas grand monde qui court. Pour ainsi dire personne.
Cela fait bien une demi-heure que je cours ainsi, respirant lair frais du matin à pleins poumons. Au bout du layon bien droit, japerçois une silhouette qui court aussi. Vient-elle vers moi ou séloigne-t-elle ? Elle séloigne. Je force un peu lallure pour arriver à sa hauteur. Maintenant, je la distingue mieux. Short de running rose flashy, sweat noir, bonnet gris. Plus je me rapproche et plus jai la sensation que je connais cette silhouette
A vingt mètres, il ny a plus aucun doute
. Cest REMI. Je reconnaîtrais entre mille ce petit cul bien moulé dans son short, ces jambes fines qui mont tant de fois enserré la taille ou le cou. Mon cur sest mis à battre beaucoup plus vite et, surtout, je me suis mis à bander instantanément comme un cerf. Une énorme bosse déforme le devant de mon short. Il ne ma pas entendu. Jarrive à sa hauteur et le double en lui claquant une tape amicale dans le dos.
Il me regarde et, dun seul coup dun seul, son visage sillumine.
« -Jo ! Ca alors ! »
On sarrête de courir et on se fait la bise. Bien sûr, il a du remarquer la bosse devant mon short mais il nen laisse rien paraître. On commence à marcher et à discuter. Je trouve quil a un peu changé. Son visage a lair de sêtre un peu creusé mais il me dit quil va
bien. Il me demande des nouvelles de Paulo et me dit quil pense souvent à nous. Ca ne fait jamais que trois mois quil nous a quittés.
On arrive au niveau dune grande pinède bien sombre. Tout à coup, il me prend la main et mentraîne dans le sous bois, sûr que je suis OK. Je le suis. Pendant le parcours en file indienne, il meffleure plusieurs fois ma bosse
On senfonce dune bonne trentaine de mètres jusquà un gros sapin. Là, il me colle contre le tronc et se colle à moi de tout son corps, cherchant ma bouche. Je sens sa bosse très dure contre la mienne. On sembrasse avec fougue. Il se frotte contre moi. Déjà ses mains se sont glissées sous mon sweat, sous mon tee shirt. Il me caresse le dos et glisse ses mains dans mon short, sur mes fesses. Que cest bon de retrouver sa bouche, son corps, son odeur
A voir la fougue quil met à me caresser, à membrasser, je sais maintenant quil ne ma pas oublié une seule seconde. Déjà, il sagenouille lentement pour porter sa bouche à hauteur de mon short. Il frotte son visage contre ma bite à travers le tissu. Il a glissé ses mains sous le slip intégré au short et commence à me le faire glisser doucement, libérant ma bite qui jaillit comme un ressort. Il me débarrasse complètement de mon short et engloutit carrément mon gland et une partie de ma tige. Je sens sa bouche chaude autour de mon membre et sa langue qui virevolte sur mon gland. Trop trop bon ! Il se met à me sucer avec ardeur. Encore Rémi ! Encore ! A un moment, il se retire et, je sens presquaussitôt un gel froid qui me recouvre le gland
Le coquin ! Il se balade tout le temps avec un tube de gel ?!
Il se redresse alors et inverse les positions. Il se colle le dos au sapin, me prend les mains pour faire glisser son short. Il sen débarrasse.
« -Prends moi ! Force moi ! Défonce moi ! » me supplie-t-il à loreille.
Ce faisant, sappuyant sur le tronc et saccrochant à mes épaules , il vient menserrer la taille de ses jambes croisées. Il a même glissé sa bite sous mon sweat et la collée à mon ventre.
Je présente mon gland et pousse doucement
Sa rondelle est assez serrée. Cela doit faire un moment quil na pas baisé.
« -Vas-y ! Vas-y à fond ! Nai pas peur de me faire mal »
Du coup, jy vais carrément. Après plusieurs tentatives, jarrive à passer mon gland. Sur son visage, je lis un mélange de joie et de douleur. Il cherche ma bouche et me la dévore. En même temps, il commence à vouloir senfoncer sur ma pine, alternant les mouvements de montée et de descente. Assez vite, je suis en lui complètement. Je ne bouge plus, je recule mon visage et le regarde. Il est radieux et me dévore des yeux
Je suis dévoré par le désir et lenvie de lui donner du plaisir mais aussi par la peur de raviver la douleur de la séparation.
« -Fais moi lamour, Jo. Ne pense à rien. » on dirait quil a deviné mes pensées.
Nous voilà donc partis pour une séance absolument délirante. Ca va aller de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ca va crier, ça va hurler de plaisir. Comme la dernière fois que jai fait lamour avec Paulo cétait cette nuit vers les 3 ou 4 heures du mat, du coup ça me permet de tenir plus longtemps avant de jouir. Je peux ainsi donner plus de plaisir à Rémi. A la façon dont il réagit, je le sens monter de plus en plus. Il se secoue, il part de plus en plus. Jaimerais bien arriver à le faire jouir du cul, à force de frotter sa prostate. Ca serait un beau cadeau à lui faire.
Eh ben, cest arrivé plus vite que prévu. Probablement son envie folle de refaire lamour avec moi. Cette fois, il part vraiment en live. Il ne contrôle plus rien du tout. Il se met à hurler, à dire des mots incohérents dans lesquels je nen reconnais quun seul « encore ! ». Il monte et baisse sur ma pine à toute allure et ce qui devait arriver arriva. Il se mit à jouir un flot ininterrompu de sperme chaud sur mon ventre, sous mon sweat.
« -Inonde moi ! Vide toi ! Lâche tout !! »
Rémi nen continue pas moins à accompagner mes mouvements de va et vient. Tout cela ma prodigieusement excité et je me mets à jouir, moi aussi. Je lâche tout dans son ventre. On grogne de plaisir tous les deux. Avec une infinie douceur et une infinie tendresse, Rémi membrasse longuement, voluptueusement. Mes doigts se perdent dans sa chevelure abondante que jai toujours beaucoup aimée. Complètement sciés, on retombe tous les deux au pied de larbre.
« -Merci Merci !! »
Il nous faut un bon petit temps pour retrouver nos esprits. On en profite pour se nettoyer mutuellement avec des mouchoirs en papier. Puis, les jambes coupées, on se remet en route. Plus question de courir, on marche. En revenant, il mavoue quil venait souvent, espérant me rencontrer - doù le gel
-.
On sest quitté sans rien se promettre. Il ne me reste plus quà en parler à Paulo
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