Mon Dressage Par Simon
Lyvii navait pas été contente. Ma petite chatte navait pas été bien épilée, alors elle avait voulu mapprendre à obéir et elle mavait confié à un de ses amis, Simon. Plus âgé que moi de deux ans, il avait lexpérience dun maquero bien quil ne le soit pas. Javais passé une journée et une nuit entière à me faire dominer par les hommes quil mavait présentés. Au début toute la journée, je métais faite dressée exclusivement par Simon, mais ensuite, la nuit il avait invité des pots à lui. Je navais pas aimé donner mon corps à dautres que ma cousine. Cette punition méritée mavait faite comprendre limportance dobéir à Lyvii. Quand ces hommes mavaient baisé comme une sale pute, javais été très obéissante. Lidée de me faire prendre par des hommes que je ne connaissais pas et que je navais pas choisis, était un supplice, alors javais tout fait pour ne pas être maltraitée plus que de nécessaire.
Lorsque Simon et moi étions arrivés chez lui, il mavait giflé deux fois de suite, en mordonnant de me mettre à quatre pattes.
- A quatre pattes, chienne ! Alors il paraît quon nobéit pas bien à sa maîtresse ? railla Simon.
- Je ne
- Ta gueule putin ! Je vais te dresser moi, dit-il en menfilant un collier large qui maintenait mon coup droit. Viens par ici, suis-moi, sale chienne, allez
, rajouta-t-il en marchant devant moi et en tirant sur le collier.
Je me dirigeais donc vers lui, honteuse dêtre dans cette position, honteuse de ne pas avoir obéi à celle à qui je dois le respect, ma maîtresse. Javais peur de Simon, il avait le regard lubrique, et je me doutais quil avait du bon matériel de domination. Javais honte aussi parce que bien que jai peur, cette situation me faisait très mouiller et je ne savais pas comment allait réagir Simon. Il me conduisit dans sa chambre, elle était assez grande, les rideaux noirs permettaient à peine au jour de passer. Cétait idéal pour dresser les femmes.
- Ferme la porte chienne !... Bien, maintenant approche dans le creux de mes jambes
Voilà
Non ! Ne lève pas la tête ! disait-il en caressant mes cheveux. Maintenant, fais-moi un strip-tease.
- Oui, maître.
Je commençais à me déshabiller lentement, mais nenlevais pas ma culotte. Simon se fâcha, et me balança sur le lit, il écarta mes cuisses, et après mavoir retiré ma culotte, me fouetta la chatte avec une cravache. Mais il frappait tout en me caressant et mes lèvres vaginales se gonflaient aussi. Tant et si bien quà la fin, jondulais des hanches ne demandant quà être ouverte. Simon me fit mettre à quatre pattes, mes gros seins pendaient dans le vide. Il y attacha des poids qui me firent pleurer. Javais vraiment mal, même si javais aussi envie de gémir. Maître Simon se dévêtit et sallongea sur le lit, il tenait toujours la chaine dans ses mains. Il me mordonna de venir le sucer.
- Suces-moi la bite cochonne, parait que taimes ça !
- Oui maître jaime ça sucer des bites.
- Petite salope, tinquiètes pas va, ten aura des coups de queues. Lyvii sera contente. Huum, ouii, huum
.oh, tu fais très bien lesclave ! Continues, fais des gorges profondes jaime ça
OOOOOhhh, quel délice de sentir ta langue de salope, huuum, taimes ça, hein, les grosses bites dans ta bouche.
- Huum, oui, regardez maître comme je vous fais plaisir, ma bouche vous est réservée
- Oui, continues, tu fais très bien, tu es faite pour être baisée comme une vraie pétasse
AAhhh, attention, je viens pétasse, prépares-toi à avaler ma liqueur.
Simon cracha son sperme dans ma gorge, jétais au bord de la nausée tellement sa bite longue et bien gonflée était profond dans ma gorge. Il caressa ensuite mes seins, mattacha aux barreaux du lit et maltraita tout mon corps.
- Oh ouiiii maître, faites-moi du bien
Votre bite bénie, je la veux partout, je veux
Je
Haaan, ouiiii, jaiiime ça maître
Haaan, ouiiii, huuum, haaan, huuuuuum, encore, encore
- Salope, cochonne
Huuum, ta chatte est serrée mais très confortable.
- OOhh, ouiiii, elle est pour vous ma chatte. Cest une chatte à bites, huuum, haaan, haaan, ooohhh ouiiii
- Sale cochonne
- Ouiiii, je suis une cochonne. Haaan, jaiiime
Jaiiime votre queue elle me déchire bien
Jétais comme envoutée, jondulais du bassin, réclamant encore plus de coups de queues. Sa bite sacharnait en moi, me faisant mal à certains moments mais ma mouille était là pour me soulager. Huum, haaan
Jétais une vraie salope. Ma bouche bavait mon plaisir, ma chatte coulait de plus en plus, le sperme de mon maître recouvrait mes tétons avec lesquels il jouait, mon anus aussi goûtait au plaisir de sécarter. Enfin pour me faire comprendre que cétait lui le maître, à qui je devais obéissance sexuelle, pour me montrer que je nétais quune esclave de plaisir, il me burina la bouche fort avec sa bite. Il me laissa ainsi, avant de me détacher pour me préparer à recevoir ses amis.
Dans un autre épisode
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