Fatma, Femme De Ménage Amante Et Entremetteuse. Première Partie Fatma

Fatma, femme de ménage , amante et entremetteuse
Première partie : Fatma

Il y a environs deux ans j’avais emménagé dans une nouvelle résidence à l’ouest d’Alger. C’était une résidence cossue, parfaitement sécurisée, réalisée et gérée par une société de gestion immobilière privée. J’avais acheté un gentil appartement de trois pièces que j’occupais seul. J’étais célibataire et n’avait pas besoin de plus pour vivre confortablement. Je n’avais qu’un seul vrai problème, celui de l’entretien de mon logement, plus exactement celui du ménage. J’avais horreur de faire le ménage et il me fallait trouver une femme de ménage pour le faire à ma place.
Une fois installé dans mon nouveau logement, j’allais frapper chez le syndic pour lui demander d’engager une femme de ménage pour s’occuper deux fois par semaine de mon appartement. Je lui avais laissé le double des clés du logement et l’avais informé que je laisserai chaque fois le montant de la prestation sur la table se trouvant dans le hall à l’entrée. Pendant longtemps tout se passa parfaitement bien. Le ménage était fait deux fois par semaine et la femme de ménage était payée régulièrement par l’argent que je laissais sur la table disposée dans le hall, à l’entrée de l’appartement.
Environ six mois après l’arrangement - c’était un début de semaine - je n’avais pas beaucoup dormi et je n’arrivais pas à me réveiller ce matin là, après une longue nuit de fête et d’insomnie. Quand je me levai, il devait être environ neuf heures. En sortant de ma chambre pour aller dans la salle de bain prendre ma douche, je remarquai la présence dans la cuisine d’une femme d’un certain âge, environ la cinquantaine, qui était entrain de préparer un petit déjeuner.
- Bonjour ! dis-je à la dame que je n’avais encore jamais vue auparavant, mais que je devinais être la femme chargée du ménage.
- Bonjour ! répondit-elle. Je n’ai pas voulu vous déranger en faisant trop de bruit. Je suis entrain de préparer votre petit déjeuner.

Asseyez-vous, il sera prêt dans une minute.
- Il ne fallait pas vous déranger ! Je prends rarement le petit déjeuner à la maison. Je le fais tous les matins dans un café tout près de mon lieu de travail.
Je me mis tout de même à table, observant les faits et gestes de la dame qui, maintenant, me tournait le dos. J’avais une vue totale d’elle, de dos. Elle était assez grande et bien en chair. Des épaules rondes, des hanches larges et un fessier proéminent. Elle avait les cheveux raides, châtain-foncé coupés courts, qui arrivaient juste en dessous de sa nuque. Elle portait une longue robe d’intérieur en coton orange, qui lui arrivait aux chevilles et un petit tablier de cuisine rouge. Chaque pas qu’elle faisait plaquait le tissu de sa robe sur ses hanches et ses cuisses et en dessinait les contours. Je flashais très rapidement sur son joli corps, plein de rondeurs coquines. Elle avait une certaine surcharge pondérale, sur la taille et les hanches, mais le spectacle que j’avais sous les yeux était non seulement agréable à regarder, mais aussi super bandant, surtout pour un homme qui venait de se réveiller, après une nuit blanche, passablement alcoolisée.
En se tournant pour poser la cafetière et la casserole de lait sur la table, je pus voir l’envers du décor : une poitrine imposante avec deux gros seins qui pointaient vers moi, tels des obus prêts à exploser; j’étais prêt à parier qu’ils avaient gardé toute la fermeté de leur jeunesse. Elle avait aussi un petit ventre rond, coquin et super sensuel ; ainsi que des cuisses longues et fortes qui se dessinaient sous le léger tissu de la robe. Elle était vraiment bandante !
Il n’y avait pas que son corps qui transpirait de sensualité; son visage aussi. Tout dans ce visage faisait penser au sexe. D’abord sa forme ronde, accentuée par sa coupe de cheveux, courte avec une frange coupée droit sur son front ; ensuite ses petits yeux noirs, légèrement enfoncés dans leurs orbites très mobiles et brillants; un petit nez bien droit ; et enfin une petite bouche d’enfer entourées de lèvres lippues et fermes, s’ouvrant sur deux rangées de quenottes, régulières, petites et brillantes de blancheur.
Le tout donnait l’impression d’une femme en bonne santé, aimant la vie et la croquant à pleines dents.
Elle avait certainement remarqué l’intérêt concupiscent que je lui portais, mais elle ne le montra pas et fit comme si de rien n’était.
- Je m’appelle Fatma, fit-elle. C’est moi qui m’occupe du ménage de l’appartement. J’espère que vous êtes satisfait de mon travail.
- Absolument ! répondis-je. Mais je ne m’imaginais pas que vous pouviez être aussi jolie et attirante. C’est une divine surprise !
- Merci du compliment ! fit-elle avec un sourire moqueur sur les lèvres et en baissant hypocritement les yeux, comme s’il elle était gênée par ce que je lui disais.
Sans plus faire attention à moi, elle se retourna et se mit à nettoyer la cuisinière, le plan de travail et l’évier. J’avalai mon petit déjeuner en vitesse, tout en la regardant travailler. Des pensées coquines traversaient mon esprit en observant les rondeurs qui s’offraient à ma vue ; celles de ses hanches et de ses fesses en premier lieu. J’avais une irrépressible envie de les caresser pour en tester la fermeté. Une étrange sensation de chaleur venait se loger dans mon bas ventre et titiller mon sexe qui commençait palpiter et à grossir, sous le flot de sang qui venait l’irriguer avec force. Je me servis un café noir, pour gagner un peu de temps et réfléchir à ce que j’allais faire. L’envie de me lever et de la prendre dans mes bras pour lui faire sentir le désir que j’avais d’elle était très forte. Comme était forte la crainte qu’elle ne prenne mal mon geste et qu’elle n’ait une réaction violente.
Je ne savais pas ce qu’elle pensait et si elle était du genre à accepter de se faire entreprendre par un homme qu’elle ne connaissait pas et si même je pouvais lui plaire. Mais le désir était trop fort. Nous étions seuls dans l’appartement et elle me plaisait vraiment. Elle me tournait toujours le dos. Je me levai de table sans faire de bruit et vins me positionner derrière elle.
Je la pris par la taille et la collai contre moi. Elle eut une légère réaction de surprise qui la fit se figer et arrêter ce qu’elle était entrain de faire. Elle tourna la tête pour me regarder et avec son sourire moqueur aux lèvres, elle protesta très mollement
- Monsieur ! Restez tranquille !
Au son de sa voix, dans laquelle il n’y avait aucune espèce de vrai reproche, ni de colère, je compris qu’elle voulait que je continue. Je lançai ma main droite pour aller caresser sa poitrine et ses seins.
- Non ! Restez tranquille !
Mais elle ne fit absolument rien pour éloigner ma main et s’échapper de mes bras. Je m’emparai d’un de ses seins et me mis à le malaxer, sous le tissu de la robe et le soutien gorge. Il était d’un magnifique moelleux ! Fatma se figea légèrement et envoya sa tête en arrière pour la poser contre mon épaule. Une manière silencieuse de me dire de continuer de caresser son sein et qu’elle trouvait l’opération très agréable. Mis en confiance, je continuai à la caresser en envoyant ma deuxième main s’occuper de l’autre sein et en lui embrassant la partie de sa joue droite que ma bouche pouvait atteindre. Elle se laissait faire, tout en continuant de protester mollement, en me disant de rester tranquille.
Je la collai contre moi pour lui faire sentir l’intensité de mon désir. Et effectivement, elle sentit l’énorme mât de tente que faisait mon sexe sur le devant de mon pantalon de pyjama et qui essayait de se loger à l’intérieur de la raie de ses fesses. Elle semblait apprécier. Insensiblement, elle se mit à bouger ses hanches de manière à frotter plus intimement ses fesses contre le devant de mon pantalon. Je sentais mon sexe frémir et grossir jusqu’à vouloir sortir du pantalon de pyjama que je portais. Je la forçais à se retourner pour me faire face. Elle avait hypocritement fermé les yeux pour ne pas avoir à me regarder, mais ne protesta pas quand je lui pris la main pour la porter sur le devant du pantalon. Je la forçais à prendre l’engin et à le palper.
Elle ne disait toujours rien, mais je voyais son sourire s’accen de contentement. D’évidence, elle trouvait le monstre à son goût. J’appuyai sur sa main pour l’obliger à pénétrer à l’intérieur du pantalon et à sortir le sexe pour le regarder et le caresser. Elle le fit, s’éloigna légèrement et le regarda avec des yeux brillant de luxure.
- Ouah ! Il est monstrueux !
- Tu vois comme il est impatient de s’occuper de toi ! Embrasse-le !
Elle hésita une seconde, puis baissa la tête pour embrasser le bout tuméfié du gland. J’appuyai sur son épaule pour l’obliger à se mettre à genoux pour avoir sa bouche à hauteur du monstre, dressé comme un mât de dau. Elle le prit dans une main et se mit à le branler en partant du gland jusqu’aux couilles et retour. Elle y allait d’abord en douceur, avant d’y mettre plus de vigueur. Elle était vraiment experte dans le jeu de la branlette. Sa main était douce et ferme. Elle savait à quel moment il fallait serrer et celui où elle devait relâcher la pression. Elle savait enrouler le gland, en faire le tour et le presser pour accen mon excitation. Je sentis très vite qu’à cette allure, elle n’allait pas tarder à me faire éjaculer. Or je ne voulais pas jouir dans sa main. Je voulais le faire dans sa petite bouche bien ronde, entourée de superbes lèvres bien pulpeuses.
- Suce-moi ! ordonnai-je.
Elle ne semblait pas m’écouter. Elle y allait à son rythme. De temps en temps elle relevait la tête pour voir sur mon visage l’effet qu’elle me faisait. C’était elle qui menait la danse et d’évidence elle voulait garder la main. Elle sortit le bout de sa langue et se mit à titiller le gland avec de petits coups rapides et légers. Puis elle sortit toute la langue pour lécher le monstre du gland jusqu’aux couilles et retour, en ne laissant aucun espace sans sa part de caresses linguales. Je ne savais pas si j’aimais réellement ce qu’elle me faisait ; c’était assez agréable, mais j’étais tellement excité que je voulais faire pénétrer immédiatement mon sexe dans sa bouche. Elle semblait s’en ficher totalement : elle continuait à faire ce qu’elle avait décidé de faire.
L’opération de lèche dura quelques longues minutes, avant qu’elle ne se décide à ouvrir bien grand sa bouche et à essayer d’y introduire le manche. Elle eut quelques difficultés pour réussir du premier coup, vu la taille de l’engin. Mais elle y arriva au bout du troisième essai et se mit à le faire entrer et sortir de sa bouche avec maestria. Comme pour la branlette, Fatma était une véritable experte au jeu de la fellation torride. Je n’avais pas besoin de lui signifier ce que je voulais qu’elle fasse ; elle le faisait naturellement : elle faisait avancer et reculer sa tête pour faire faire à mon sexe un long mouvement de va-et-vient dans sa bouche. Elle le faisait pénétrer jusqu’au niveau de sa gorge pour le faire ressortir totalement ; avant de l’aspirer complètement.
Elle avait la science de la fellation. A aucun moment ses dents ne vinrent racler l’engin et lui faire mal. A aucun moment aussi, elle n’eut envie de vomir. Tout se passait en douceur. Elle avait toujours mon sexe dans sa main et accompagnait son entrée et sa sortie de sa bouche par un mouvement analogue de masturbation. J’étais aux anges ! La bouche était chaude, humide et douce !
Soudain, elle décida de changer de rythme : elle lâcha le sexe et m’attrapa par les hanches. Elle fit pénétrer le manche jusqu’au-delà de la glotte et ressortit aussitôt à l’extérieur de la bouche. Elle le fit repartir une nouvelle fois jusqu’au fond. Elle refit l’opération plusieurs fois, portant mon plaisir à son paroxysme. Elle voulait que je la baise par la bouche ! Mon fantasme sexuel absolu !
Je l’attrapai par les cheveux et pris la direction des opérations. Je faisais sortir totalement le sexe de sa bouche, la laissais respirer une fraction de seconde et le faisais repartir avec force et violence jusqu’au fond de sa gorge. Je ne le laissais pas trop longtemps au fond, pour ne pas la faire vomir. Je repartais aussitôt à l’extérieur et reprenais la pénétration de plus en plus fort et de plus en plus loin.
En sortant je lui relevai la tête pour voir l’effet que l’opération avait sur elle : elle avait les yeux qui dégoulinaient de larmes, le nez qui coulait comme un robinet et de la salive qui sortait de la commissure de ses lèvres. Mais elle ne protestait pas. Elle continuait courageusement à se faire piner, bien que d’évidence elle avait mal et se sentait mal à l’aise. Elle voulait me monter qu’elle savait donner du plaisir à son amant. Je ne tins pas très longtemps avant de sentir arriver la jouissance. Je tirai encore plus fort sur les cheveux de Fatma et entrepris d’accélérer le mouvement de va-et-vient. Au bout de quelques secondes mon sexe éclata et envoya une première bordée d’un sperme visqueux, épais et brûlant au fond de la gorge. Elle ne put faire autrement que de l’avaler. Les autres giclées, elle les reçut dans la bouche : une grande partie ressortit à l’extérieur expulsé par les va-et-vient du sexe, pour aller se répandre par terre.
Quand je m’arrêtai de piner la bouche de Fatma et fis sortir le manche, elle leva la tête avec des yeux interrogateurs, comme pour s’enquérir du résultat de l’opération.
- Tu es magnifique ! J’ai rarement été sucé comme cela ! Avec autant de savoir-faire !
- J’ai été bien ? Tu as pris beaucoup de plaisir, n’est-ce pas ?
Je la relevai du sol pour la mettre en position debout, le bas du dos plaqué contre le rebord de la grande table de cuisine. Je me remis à lui palper les seins tout en l’embrassant sur le cou. Elle était excitée et le montrait en frottant son bas ventre contre mon sexe qui reprenait du volume, malgré la grosse éjaculation qu’il venait d’avoir. Je me mis à lui remonter sa robe de manière à dénuder ses cuisses. Elle s’écarta légèrement de moi, pour me permettre de la remonter totalement et l’enrouler jusqu’à la déposer en boule, sur le haut de sa poitrine, au dessus de son soutien gorge. Elle resta ainsi en culotte et soutien gorge, tous les deux de couleur noire. Je la regardai un instant, la trouvant super bandante. Je plongeai directement ma main entre ses cuisses pour caresser son pubis à travers le tissu de la petite culotte. Il était rond, ferme et poilu. En descendant vers la jonction des cuisses, je me rendis compte que le bas de la culotte était complètement mouillé. La coquine était super excitée !
Je fis pénétrer ma main à l’intérieur de la culotte pour tâter la douceur de la toison du pubis et surtout aller à la recherche de la chatte. La toison était un peu rêche, comme si elle avait souvent été rasée et que le poil était devenu dru. La sensation n’était pas désagréable ; au contraire, cela ajoutait à mon excitation. En descendant plus bas, mes doigts rencontrèrent d’autres poils de part et d’autre de ses grandes lèvres, et même sur ces dernières. Ils étaient complètement mouillés, comme si ma belle avait joui et déchargé pendant qu’elle me suçait. La sensation d’humidité visqueuse sous mes doigts me fit bander encore plus fort.
Je me mis à caresser les grandes lèvres avec deux doigts, puis à les faire pénétrer à l’intérieur. C’était chaud et gluant ! Il me fallait la pénétrer sans plus tarder. Je voulais absolument introduire mon sexe à l’intérieur pour qu’il prenne ses aises dans cette chatte si accueillante. Je soulevai Fatma pour lui faire poser les fesses sur le bord de la table et la fit allonger sur le dos, les jambes ballantes. Je lui arrachai, un peu violemment, sa petite culotte et me retrouvait en face de sa grande chatte poilue et dégoulinante de mouille. Elle avait un aspect plus sombre que le reste du corps, qui lui déjà, était de couleur mâte. C’était certainement sa toison de poils noirs qui donnait cet aspect sombre à sa chatte. C’était super bandant.
Je lui fis écarter, lever et plier les jambes de part et d’autre de sa poitrine pour avoir le meilleur accès possible à son jardin d’éden. Pour garder la position et me permettre d’investir son garage, elle attrapa l’intérieur de ses genoux pour empêcher ses jambes de retomber. J’avais le sexe en l’air et je bandais comme un âne. Fatma regardait le monstre avec un merveilleux air de gourmandise. Elle bavait rien qu’à l’idée de se faire empaler par un manche aussi volumineux.
- Nique-moi avec ton gros zob ! Fais-le entrer dans mon garage ! Montre-moi sa force !
Je ne me fis pas prier pour faire exactement ce qu’elle me demandait. Je posai le gland à l’entrée du tunnel, après avoir les grandes lèvres à s’écarter, et je la pénétrai d’un violent coup de rein. Malgré sa taille, il entra facilement dans le vagin large et abondamment lubrifié. La belle avait un tunnel qui semblait avoir beaucoup servi et avoir accueilli un grand nombre de sexes de bonnes dimensions. Mon engin allait et venait en force dans l’immense garage inondé de mouille, créant, à chaque aller-retour, de forts clapotis à la sonorité indécente.
La belle regardait, avec des yeux brillant de luxure, l’engin qui entrait et sortait de sa chatte. A chaque pénétration, elle poussait un petit cri de plaisir et attendait impatiemment la sortie de l’animal pour le voir la pénétrer de nouveau et la posséder avec autant de force. Elle en bavait littéralement, laissant couler des litres de salive entre ses lèvres entrouvertes. Elle marmonnait des mots que je ne saisissais pas totalement, mais dont je savais qu’il s’agissait de mots crus, qui sortaient involontairement de sa bouche, pour accompagner l’immense plaisir qu’elle prenait en se faisant piner de la sorte.
- Zob ! Gros zob ! Fort ! Plus fort ! Niquer ! Jouir ! Adore zob ! Sperme !
Je la sentais au bord de l’apoplexie. Je savais qu’elle n’allait pas tarder décharger. Je voulais encore accroître son plaisir en tournant mon bassin de manière à accompagner le va-et-vient de mon engin par un mouvement circulaire à l’intérieur du tunnel. Malgré la largeur du tunnel, mon sexe pouvait ainsi frotter sur toute la superficie de la paroi, augmentant d’autant le plaisir que nous ressentions tous les deux. Elle criait maintenant de plus en plus fort et balançait sa tête de tous les côtés, de manière désordonnée. Elle avait l’air d’être entrée dans un monde de plaisir intense, qu’elle extériorisait en criant et en dodelinant de la tête. Elle avait maintenant fermé les yeux et ouvert sa bouche pour mieux respirer et laisser passer toute la salive qu’elle produisait et rejetait sur ses joues et sur la table.
C’était une superbe lionne, complètement prisonnière de son plaisir et totalement soumise au mâle qui la possédait avec force et violence. Le spectacle était super excitant. Il me poussait à accélérer mes coups de boutoir et à en accroître encore plus l’intensité. Soudain, elle arrêta tous les mouvements de son corps, tira très fort sur ses bras pour relever encore plus haut ses hanches, relâcha tous les muscles de son visage et de sa bouche et partit dans un long râle de jouissance, qui provenait du fond de ses entrailles et qui montrait toute l’immensité du plaisir qu’elle prenait. Elle déchargea une tonne de cyprine, qui vint inonder encore plus son tunnel et accroître l’intensité des clapotis créés par les allers-retours de mon engin à l’intérieur du vagin.
Il me sembla que son orgasme dura une éternité. Je continuai à la piner en force, jusqu’au moment où elle s’affaissa totalement, vaincue par la fatigue. J’arrêtai de la tirer, tout en gardant mon gourdin, toujours en érection, à l’intérieur du tunnel. Je ne cherchai pas à jouir et éjaculer dans le vagin de ma belle. Je venais de prendre la décision de l’enculer juste après et réservais donc mon éjaculation à son rectum. Je la laissai reprendre son souffle et se reposer un peu, tout en bougeant lentement mes hanches de manière à maintenir mon sexe en érection à l’intérieur de sa chatte. Fatma reprenait lentement ses esprits. Elle ouvrit les yeux qu’elle avait tenu fermés pendant tout le temps qu’avait duré l’orgasme et me lança un grand sourire de contentement.
- Tu es un super coup ! fit-elle. Tu m’as faite jouir comme personne avant toi n’avait su le faire ! Tu trouves que je me comporte comme une salope ou une pute ? Que je j’aime être baisée comme une chienne ? Eh bien, oui ! J’aime que l’homme qui me prend le fasse comme un maître ! Comme mon maître ! J’ai la mentalité d’une vraie chienne quand je baise ! Je crois que toi aussi tu aimes les chiennes ! N’est-ce pas ?
- Oui ! j’aime. D’ailleurs, je vais maintenant t’enculer ! Ne dis surtout pas non ! Que tu n’aimes pas ! J’ai remarqué que l’anneau de ton cul était desserré ! Je suis sûr qu’il a souvent servi !
- Servi oui ! Souvent non ! J’ai eu un amant qui adorait m’enculer. Il ne pouvait jouir que comme cela. Il avait un petit sexe et ma chatte était trop large pour lui ! Mais toi avec ton immense engin, tu vas me déchirer le cul !
- Tu vas adorer salope ! A quatre pattes par terre ! Je vais me régaler !
Sans se faire prier, elle se mit en position par terre, les fesses relevées très haut. Je me positionnai derrière elle, plaçai le gland de mon engin à l’entrée du cul, vérifiait que l’emplacement était complètement mouillé par tout le jus qu’elle avait déversé auparavant et sans autre forme de procès, donnai un fort coup de reins pour pénétrer jusqu’au fond du boyau. Elle poussa un tout petit cri de douleur, qu’elle réprima très vite. Le tunnel de ma belle, contrairement à son vagin, était étroit et serrait très fort mon manche. Si elle avait été enculée auparavant, c’était effectivement par des petits calibres. Le mien se sentait à l’étroit et était aux anges dans ce boyau chaud, humide et moulant. Il était super excité et voulait défoncer tout sur son passage. Il voulait y aller en force et faire mal.
- Je vais te défoncer le cul ! Te faire mal ! Tu peux crier si tu veux ! Je continuerais quand même à y aller franchement ! Je veux que tu sentes que je suis ton maître !
- Oui, maître ! Défonce-moi le cul ! Fais-moi mal !
J’y allais donc sans plus me préoccuper de la douleur qui accompagnait mes coups de boutoir et qui la faisaient crier. Je ne cherchais même pas à lui procurer un peu de plaisir. C’était le mien que je poursuivais ! Rien que le mien ! Ce n’était pas dans mes habitudes d’être aussi égoïste dans mes relations amoureuses. Au contraire, je cherchais toujours à faire jouir mes partenaires avant que moi-même ne prenne mon plaisir. Mais avec cette sodomisation de Fatma, je voulais et lui faire mal et avoir une jouissance paroxystique. Le fait que ma partenaire soit si obéissante ajoutait à cette envie un peu perverse. Je la pinai donc en force, faisant pénétrer mon membre le plus loin possible dans son boyau et revenant rapidement à l’extérieur pour repartir aussi fort et aussi vite à l’intérieur.
A chaque coup, Fatma criait que je lui faisais mal. Je n’en avais cure ! Je continuais au même rythme et avec la même force. L’étroit boyau était si accueillant et si doux ! J’étais au paradis ! Et puis, au fur et à mesure des va-et-vient, le tunnel s’élargissait et se lubrifiait et la douleur s’estompait. Les cris de douleur de ma partenaire se firent de plus en plus faibles et finirent par disparaître totalement. Elle tourna la tête pour me regarder et m’envoyer un petit sourire que je pris pour un encouragement à continuer. Je me décidai donc à passer à une autre étape. Je lançai ma main à la recherche de sa chatte et me mis à faire pénétrer trois doigts le plus loin possible dans son vagin.
Elle poussa un petit cri de plaisir en sentant mes doigts à l’intérieur de sa chatte et surtout au moment où ils croisaient mon sexe à travers les fines parois et se frottaient contre lui. Elle tourna la tête, me regarda avec un sourire devenu lumineux et se mit à soliloquer.
- Oui !!!!! C’est bon ! Continue ! Encore ! Plus fort ! C’est merveilleux ! Zob !!!!!!! Bon ! Double pénétration ! Ahhhhhhh !
A ma grande surprise, elle se mit à jouir et décharger des quantités de jus sur mes doigts. Je continuai à pilonner son cul avec force et accélérai les va-et-vient de mon sexe à l’intérieur du boyau. Bientôt, je sentis arriver l’orgasme avec la force d’un torrent en furie. Je poussai un long râle de mourrant et me mis à envoyer de fortes bordées d’un sperme épais, chaud et abondant dans le tunnel. Le foutre sortit presque en totalité du cul de ma belle, expulsé par les furieux va-et-vient de mon engin. A la quatrième ou cinquième bordée, j’arrêtai le pilonnage, mais restai encore un temps à l’intérieur du rectum dont je sentais encore les palpitations. Quand je me retirai, mon engin avait beaucoup perdu de sa rigidité ; il commençait à mollir.
- Je sens comme un vide à l’intérieur de mon cul ! dit-elle en me regardant sortir de ses entrailles et en se mettant à genoux. Je crois qu’il s’est habitué à lui ! Viens maintenant que je nettoie mon seigneur et maître !
Elle me demanda de me lever et de lui présenter l’engin fortement ramolli, encore recouvert d’une mixture marron, mélange de sperme et des produits du ramonage du rectum. Elle attrapa mes couilles, ouvrit la bouche, sortit la langue et commença à lécher le membre depuis le gland jusqu’à sa base. Elle avalait, en me regardant de temps en temps, avec des yeux provocants et un sourire ironique, tout ce qu’elle ramassait. J’étais étonné de la voir faire cela, mais je trouvais le spectacle tellement érotique, que je me remis à bander. Elle en profita pour faire pénétrer tout le sexe dans sa bouche et se remettre à me faire une splendide fellation. Elle y allait maintenant franchement. Comme si elle voulait me faire éjaculer encore une fois et surtout, pour recevoir une nouvelle giclée de sperme et l’avaler.
Je n’avais plus autant d’énergie, ni probablement plus assez de sperme, mais cela me plut tellement, que je me remis à la baiser par la bouche. C’était super ! Je ne tardais pas à avoir un autre orgasme. Beaucoup moins fort que le précédent et, bien entendu, moins abondant. Elle avala tout le foutre qu’elle reçut en me lançant un regard coquin, voulant signifier toute sa fierté de m’avoir fait jouir autant.
- Dis-moi que tu as aimé ! Que tu aimes ta chienne ! Que nous allons recommencer longtemps !
- Bien entendu que nous allons recommencer ! Tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement !
Et de fait, nous recommençâmes souvent. Au moins deux fois par semaine, quand elle venait faire le ménage chez moi. Elle me rejoignait directement au lit, avant même que je ne me réveille et s’occupait de me donner - et de prendre - des tonnes de plaisir.
Fatma aimait par-dessus tout être dominée et tirée en force. C’était dans ces situations qu’elle prenait le maximum de plaisir. C’était quand, elle rampait à quatre pattes, se faisait prendre avec violence et souffrait physiquement, qu’elle jouissait le plus. Pour m’en assurer, je lui avais un jour proposé de venir sur moi et de prendre les rênes de l’opération -position qu’une majorité de femmes adore. Elle accepta, mais sans monter beaucoup d’enthousiasme. Elle le fit surtout pour m’obéir ; pas par envie. Je me rendis rapidement compte que ce qu’elle aimait, c’était être dominée, pas le contraire. Cela titillait beaucoup la part de perversité qu’il y avait en moi et durant tout le temps qu’avait duré notre relation, j’en avais tiré un maximum de plaisir.
Au cours de notre relation, Fatma et moi avions beaucoup parlé. Nos discussions étaient le plus souvent aiguillonnées par ma partenaire sur des filles et des femmes qu’elle connaissait et dont elle avait gagné la confiance. Elle semblait connaître beaucoup de secrets d’alcôves des familles et surtout des femmes des alentours.
- Comme femme de ménage, je discute beaucoup avec les femmes qui habitent ce bâtiment et les bâtiments mitoyens. Je vois comment elles vivent. Elles me parlent souvent de leur vie plutôt morne, de leurs attentes et de leurs frustrations. Beaucoup d’entre-elles se confient à moi. Tu ne peux pas savoir tout ce qui se passe dans la tête de beaucoup d’entre-elles ; souvent quand elles me parlent, il m’arrive d’avoir les larmes aux yeux. Je ne suis qu’une pauvre femme de ménage, obligée de travailler pour subvenir aux besoins des mes s. Je n’ai pas fait d’études et je n’ai pas de métier. Mais par rapport à beaucoup des femmes qui habitent ici, qui sont mariées à des pontes, qui ont fait des études supérieures, et pour certaines, ont des métiers passionnants, je vis une vie beaucoup plus passionnante, surtout depuis que je te connais.
- Que leur manque-t-il pour être heureuse ?
- Le sexe !
- ….
- Oui le sexe libre ! Celui qui donne du bonheur ! Celui qui donne du plaisir et qui équilibre moralement une femme ! Le sexe qui fait grimper aux rideaux ! Le sexe qui fait que les fantasmes deviennent réalité ! Le sexe comme toi et moi le pratiquons ! J’ai un peu pitié de ces femmes. Je me dis souvent qu’il faudrait qu’elles fassent ta connaissance et que tu leur fasses connaître le véritable amour !
Fatma avait dans l’idée de m’offrir à ses copines de la cité pour leur faire connaître l’extase amoureuse. Et moi, je ne lui avais jamais dit non. Cela m’a apporté quelques aventures réellement extraordinaires pour une société comme la notre. Mais cela est une autre affaire que je vous raconterai prochainement.

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