Fatma, Femme De Ménage Amante Et Entremetteuse. Première Partie Fatma
Fatma, femme de ménage , amante et entremetteuse
Première partie : Fatma
Il y a environs deux ans javais emménagé dans une nouvelle résidence à louest dAlger. Cétait une résidence cossue, parfaitement sécurisée, réalisée et gérée par une société de gestion immobilière privée. Javais acheté un gentil appartement de trois pièces que joccupais seul. Jétais célibataire et navait pas besoin de plus pour vivre confortablement. Je navais quun seul vrai problème, celui de lentretien de mon logement, plus exactement celui du ménage. Javais horreur de faire le ménage et il me fallait trouver une femme de ménage pour le faire à ma place.
Une fois installé dans mon nouveau logement, jallais frapper chez le syndic pour lui demander dengager une femme de ménage pour soccuper deux fois par semaine de mon appartement. Je lui avais laissé le double des clés du logement et lavais informé que je laisserai chaque fois le montant de la prestation sur la table se trouvant dans le hall à lentrée. Pendant longtemps tout se passa parfaitement bien. Le ménage était fait deux fois par semaine et la femme de ménage était payée régulièrement par largent que je laissais sur la table disposée dans le hall, à lentrée de lappartement.
Environ six mois après larrangement - cétait un début de semaine - je navais pas beaucoup dormi et je narrivais pas à me réveiller ce matin là, après une longue nuit de fête et dinsomnie. Quand je me levai, il devait être environ neuf heures. En sortant de ma chambre pour aller dans la salle de bain prendre ma douche, je remarquai la présence dans la cuisine dune femme dun certain âge, environ la cinquantaine, qui était entrain de préparer un petit déjeuner.
- Bonjour ! dis-je à la dame que je navais encore jamais vue auparavant, mais que je devinais être la femme chargée du ménage.
- Bonjour ! répondit-elle. Je nai pas voulu vous déranger en faisant trop de bruit. Je suis entrain de préparer votre petit déjeuner.
- Il ne fallait pas vous déranger ! Je prends rarement le petit déjeuner à la maison. Je le fais tous les matins dans un café tout près de mon lieu de travail.
Je me mis tout de même à table, observant les faits et gestes de la dame qui, maintenant, me tournait le dos. Javais une vue totale delle, de dos. Elle était assez grande et bien en chair. Des épaules rondes, des hanches larges et un fessier proéminent. Elle avait les cheveux raides, châtain-foncé coupés courts, qui arrivaient juste en dessous de sa nuque. Elle portait une longue robe dintérieur en coton orange, qui lui arrivait aux chevilles et un petit tablier de cuisine rouge. Chaque pas quelle faisait plaquait le tissu de sa robe sur ses hanches et ses cuisses et en dessinait les contours. Je flashais très rapidement sur son joli corps, plein de rondeurs coquines. Elle avait une certaine surcharge pondérale, sur la taille et les hanches, mais le spectacle que javais sous les yeux était non seulement agréable à regarder, mais aussi super bandant, surtout pour un homme qui venait de se réveiller, après une nuit blanche, passablement alcoolisée.
En se tournant pour poser la cafetière et la casserole de lait sur la table, je pus voir lenvers du décor : une poitrine imposante avec deux gros seins qui pointaient vers moi, tels des obus prêts à exploser; jétais prêt à parier quils avaient gardé toute la fermeté de leur jeunesse. Elle avait aussi un petit ventre rond, coquin et super sensuel ; ainsi que des cuisses longues et fortes qui se dessinaient sous le léger tissu de la robe. Elle était vraiment bandante !
Il ny avait pas que son corps qui transpirait de sensualité; son visage aussi. Tout dans ce visage faisait penser au sexe. Dabord sa forme ronde, accentuée par sa coupe de cheveux, courte avec une frange coupée droit sur son front ; ensuite ses petits yeux noirs, légèrement enfoncés dans leurs orbites très mobiles et brillants; un petit nez bien droit ; et enfin une petite bouche denfer entourées de lèvres lippues et fermes, souvrant sur deux rangées de quenottes, régulières, petites et brillantes de blancheur.
Elle avait certainement remarqué lintérêt concupiscent que je lui portais, mais elle ne le montra pas et fit comme si de rien nétait.
- Je mappelle Fatma, fit-elle. Cest moi qui moccupe du ménage de lappartement. Jespère que vous êtes satisfait de mon travail.
- Absolument ! répondis-je. Mais je ne mimaginais pas que vous pouviez être aussi jolie et attirante. Cest une divine surprise !
- Merci du compliment ! fit-elle avec un sourire moqueur sur les lèvres et en baissant hypocritement les yeux, comme sil elle était gênée par ce que je lui disais.
Sans plus faire attention à moi, elle se retourna et se mit à nettoyer la cuisinière, le plan de travail et lévier. Javalai mon petit déjeuner en vitesse, tout en la regardant travailler. Des pensées coquines traversaient mon esprit en observant les rondeurs qui soffraient à ma vue ; celles de ses hanches et de ses fesses en premier lieu. Javais une irrépressible envie de les caresser pour en tester la fermeté. Une étrange sensation de chaleur venait se loger dans mon bas ventre et titiller mon sexe qui commençait palpiter et à grossir, sous le flot de sang qui venait lirriguer avec force. Je me servis un café noir, pour gagner un peu de temps et réfléchir à ce que jallais faire. Lenvie de me lever et de la prendre dans mes bras pour lui faire sentir le désir que javais delle était très forte. Comme était forte la crainte quelle ne prenne mal mon geste et quelle nait une réaction violente.
Je ne savais pas ce quelle pensait et si elle était du genre à accepter de se faire entreprendre par un homme quelle ne connaissait pas et si même je pouvais lui plaire. Mais le désir était trop fort. Nous étions seuls dans lappartement et elle me plaisait vraiment. Elle me tournait toujours le dos. Je me levai de table sans faire de bruit et vins me positionner derrière elle.
- Monsieur ! Restez tranquille !
Au son de sa voix, dans laquelle il ny avait aucune espèce de vrai reproche, ni de colère, je compris quelle voulait que je continue. Je lançai ma main droite pour aller caresser sa poitrine et ses seins.
- Non ! Restez tranquille !
Mais elle ne fit absolument rien pour éloigner ma main et séchapper de mes bras. Je memparai dun de ses seins et me mis à le malaxer, sous le tissu de la robe et le soutien gorge. Il était dun magnifique moelleux ! Fatma se figea légèrement et envoya sa tête en arrière pour la poser contre mon épaule. Une manière silencieuse de me dire de continuer de caresser son sein et quelle trouvait lopération très agréable. Mis en confiance, je continuai à la caresser en envoyant ma deuxième main soccuper de lautre sein et en lui embrassant la partie de sa joue droite que ma bouche pouvait atteindre. Elle se laissait faire, tout en continuant de protester mollement, en me disant de rester tranquille.
Je la collai contre moi pour lui faire sentir lintensité de mon désir. Et effectivement, elle sentit lénorme mât de tente que faisait mon sexe sur le devant de mon pantalon de pyjama et qui essayait de se loger à lintérieur de la raie de ses fesses. Elle semblait apprécier. Insensiblement, elle se mit à bouger ses hanches de manière à frotter plus intimement ses fesses contre le devant de mon pantalon. Je sentais mon sexe frémir et grossir jusquà vouloir sortir du pantalon de pyjama que je portais. Je la forçais à se retourner pour me faire face. Elle avait hypocritement fermé les yeux pour ne pas avoir à me regarder, mais ne protesta pas quand je lui pris la main pour la porter sur le devant du pantalon. Je la forçais à prendre lengin et à le palper.
- Ouah ! Il est monstrueux !
- Tu vois comme il est impatient de soccuper de toi ! Embrasse-le !
Elle hésita une seconde, puis baissa la tête pour embrasser le bout tuméfié du gland. Jappuyai sur son épaule pour lobliger à se mettre à genoux pour avoir sa bouche à hauteur du monstre, dressé comme un mât de dau. Elle le prit dans une main et se mit à le branler en partant du gland jusquaux couilles et retour. Elle y allait dabord en douceur, avant dy mettre plus de vigueur. Elle était vraiment experte dans le jeu de la branlette. Sa main était douce et ferme. Elle savait à quel moment il fallait serrer et celui où elle devait relâcher la pression. Elle savait enrouler le gland, en faire le tour et le presser pour accen mon excitation. Je sentis très vite quà cette allure, elle nallait pas tarder à me faire éjaculer. Or je ne voulais pas jouir dans sa main. Je voulais le faire dans sa petite bouche bien ronde, entourée de superbes lèvres bien pulpeuses.
- Suce-moi ! ordonnai-je.
Elle ne semblait pas mécouter. Elle y allait à son rythme. De temps en temps elle relevait la tête pour voir sur mon visage leffet quelle me faisait. Cétait elle qui menait la danse et dévidence elle voulait garder la main. Elle sortit le bout de sa langue et se mit à titiller le gland avec de petits coups rapides et légers. Puis elle sortit toute la langue pour lécher le monstre du gland jusquaux couilles et retour, en ne laissant aucun espace sans sa part de caresses linguales. Je ne savais pas si jaimais réellement ce quelle me faisait ; cétait assez agréable, mais jétais tellement excité que je voulais faire pénétrer immédiatement mon sexe dans sa bouche. Elle semblait sen ficher totalement : elle continuait à faire ce quelle avait décidé de faire.
Lopération de lèche dura quelques longues minutes, avant quelle ne se décide à ouvrir bien grand sa bouche et à essayer dy introduire le manche. Elle eut quelques difficultés pour réussir du premier coup, vu la taille de lengin. Mais elle y arriva au bout du troisième essai et se mit à le faire entrer et sortir de sa bouche avec maestria. Comme pour la branlette, Fatma était une véritable experte au jeu de la fellation torride. Je navais pas besoin de lui signifier ce que je voulais quelle fasse ; elle le faisait naturellement : elle faisait avancer et reculer sa tête pour faire faire à mon sexe un long mouvement de va-et-vient dans sa bouche. Elle le faisait pénétrer jusquau niveau de sa gorge pour le faire ressortir totalement ; avant de laspirer complètement.
Elle avait la science de la fellation. A aucun moment ses dents ne vinrent racler lengin et lui faire mal. A aucun moment aussi, elle neut envie de vomir. Tout se passait en douceur. Elle avait toujours mon sexe dans sa main et accompagnait son entrée et sa sortie de sa bouche par un mouvement analogue de masturbation. Jétais aux anges ! La bouche était chaude, humide et douce !
Soudain, elle décida de changer de rythme : elle lâcha le sexe et mattrapa par les hanches. Elle fit pénétrer le manche jusquau-delà de la glotte et ressortit aussitôt à lextérieur de la bouche. Elle le fit repartir une nouvelle fois jusquau fond. Elle refit lopération plusieurs fois, portant mon plaisir à son paroxysme. Elle voulait que je la baise par la bouche ! Mon fantasme sexuel absolu !
Je lattrapai par les cheveux et pris la direction des opérations. Je faisais sortir totalement le sexe de sa bouche, la laissais respirer une fraction de seconde et le faisais repartir avec force et violence jusquau fond de sa gorge. Je ne le laissais pas trop longtemps au fond, pour ne pas la faire vomir. Je repartais aussitôt à lextérieur et reprenais la pénétration de plus en plus fort et de plus en plus loin.
En sortant je lui relevai la tête pour voir leffet que lopération avait sur elle : elle avait les yeux qui dégoulinaient de larmes, le nez qui coulait comme un robinet et de la salive qui sortait de la commissure de ses lèvres. Mais elle ne protestait pas. Elle continuait courageusement à se faire piner, bien que dévidence elle avait mal et se sentait mal à laise. Elle voulait me monter quelle savait donner du plaisir à son amant. Je ne tins pas très longtemps avant de sentir arriver la jouissance. Je tirai encore plus fort sur les cheveux de Fatma et entrepris daccélérer le mouvement de va-et-vient. Au bout de quelques secondes mon sexe éclata et envoya une première bordée dun sperme visqueux, épais et brûlant au fond de la gorge. Elle ne put faire autrement que de lavaler. Les autres giclées, elle les reçut dans la bouche : une grande partie ressortit à lextérieur expulsé par les va-et-vient du sexe, pour aller se répandre par terre.
Quand je marrêtai de piner la bouche de Fatma et fis sortir le manche, elle leva la tête avec des yeux interrogateurs, comme pour senquérir du résultat de lopération.
- Tu es magnifique ! Jai rarement été sucé comme cela ! Avec autant de savoir-faire !
- Jai été bien ? Tu as pris beaucoup de plaisir, nest-ce pas ?
Je la relevai du sol pour la mettre en position debout, le bas du dos plaqué contre le rebord de la grande table de cuisine. Je me remis à lui palper les seins tout en lembrassant sur le cou. Elle était excitée et le montrait en frottant son bas ventre contre mon sexe qui reprenait du volume, malgré la grosse éjaculation quil venait davoir. Je me mis à lui remonter sa robe de manière à dénuder ses cuisses. Elle sécarta légèrement de moi, pour me permettre de la remonter totalement et lenrouler jusquà la déposer en boule, sur le haut de sa poitrine, au dessus de son soutien gorge. Elle resta ainsi en culotte et soutien gorge, tous les deux de couleur noire. Je la regardai un instant, la trouvant super bandante. Je plongeai directement ma main entre ses cuisses pour caresser son pubis à travers le tissu de la petite culotte. Il était rond, ferme et poilu. En descendant vers la jonction des cuisses, je me rendis compte que le bas de la culotte était complètement mouillé. La coquine était super excitée !
Je fis pénétrer ma main à lintérieur de la culotte pour tâter la douceur de la toison du pubis et surtout aller à la recherche de la chatte. La toison était un peu rêche, comme si elle avait souvent été rasée et que le poil était devenu dru. La sensation nétait pas désagréable ; au contraire, cela ajoutait à mon excitation. En descendant plus bas, mes doigts rencontrèrent dautres poils de part et dautre de ses grandes lèvres, et même sur ces dernières. Ils étaient complètement mouillés, comme si ma belle avait joui et déchargé pendant quelle me suçait. La sensation dhumidité visqueuse sous mes doigts me fit bander encore plus fort.
Je me mis à caresser les grandes lèvres avec deux doigts, puis à les faire pénétrer à lintérieur. Cétait chaud et gluant ! Il me fallait la pénétrer sans plus tarder. Je voulais absolument introduire mon sexe à lintérieur pour quil prenne ses aises dans cette chatte si accueillante. Je soulevai Fatma pour lui faire poser les fesses sur le bord de la table et la fit allonger sur le dos, les jambes ballantes. Je lui arrachai, un peu violemment, sa petite culotte et me retrouvait en face de sa grande chatte poilue et dégoulinante de mouille. Elle avait un aspect plus sombre que le reste du corps, qui lui déjà, était de couleur mâte. Cétait certainement sa toison de poils noirs qui donnait cet aspect sombre à sa chatte. Cétait super bandant.
Je lui fis écarter, lever et plier les jambes de part et dautre de sa poitrine pour avoir le meilleur accès possible à son jardin déden. Pour garder la position et me permettre dinvestir son garage, elle attrapa lintérieur de ses genoux pour empêcher ses jambes de retomber. Javais le sexe en lair et je bandais comme un âne. Fatma regardait le monstre avec un merveilleux air de gourmandise. Elle bavait rien quà lidée de se faire empaler par un manche aussi volumineux.
- Nique-moi avec ton gros zob ! Fais-le entrer dans mon garage ! Montre-moi sa force !
Je ne me fis pas prier pour faire exactement ce quelle me demandait. Je posai le gland à lentrée du tunnel, après avoir les grandes lèvres à sécarter, et je la pénétrai dun violent coup de rein. Malgré sa taille, il entra facilement dans le vagin large et abondamment lubrifié. La belle avait un tunnel qui semblait avoir beaucoup servi et avoir accueilli un grand nombre de sexes de bonnes dimensions. Mon engin allait et venait en force dans limmense garage inondé de mouille, créant, à chaque aller-retour, de forts clapotis à la sonorité indécente.
La belle regardait, avec des yeux brillant de luxure, lengin qui entrait et sortait de sa chatte. A chaque pénétration, elle poussait un petit cri de plaisir et attendait impatiemment la sortie de lanimal pour le voir la pénétrer de nouveau et la posséder avec autant de force. Elle en bavait littéralement, laissant couler des litres de salive entre ses lèvres entrouvertes. Elle marmonnait des mots que je ne saisissais pas totalement, mais dont je savais quil sagissait de mots crus, qui sortaient involontairement de sa bouche, pour accompagner limmense plaisir quelle prenait en se faisant piner de la sorte.
- Zob ! Gros zob ! Fort ! Plus fort ! Niquer ! Jouir ! Adore zob ! Sperme !
Je la sentais au bord de lapoplexie. Je savais quelle nallait pas tarder décharger. Je voulais encore accroître son plaisir en tournant mon bassin de manière à accompagner le va-et-vient de mon engin par un mouvement circulaire à lintérieur du tunnel. Malgré la largeur du tunnel, mon sexe pouvait ainsi frotter sur toute la superficie de la paroi, augmentant dautant le plaisir que nous ressentions tous les deux. Elle criait maintenant de plus en plus fort et balançait sa tête de tous les côtés, de manière désordonnée. Elle avait lair dêtre entrée dans un monde de plaisir intense, quelle extériorisait en criant et en dodelinant de la tête. Elle avait maintenant fermé les yeux et ouvert sa bouche pour mieux respirer et laisser passer toute la salive quelle produisait et rejetait sur ses joues et sur la table.
Cétait une superbe lionne, complètement prisonnière de son plaisir et totalement soumise au mâle qui la possédait avec force et violence. Le spectacle était super excitant. Il me poussait à accélérer mes coups de boutoir et à en accroître encore plus lintensité. Soudain, elle arrêta tous les mouvements de son corps, tira très fort sur ses bras pour relever encore plus haut ses hanches, relâcha tous les muscles de son visage et de sa bouche et partit dans un long râle de jouissance, qui provenait du fond de ses entrailles et qui montrait toute limmensité du plaisir quelle prenait. Elle déchargea une tonne de cyprine, qui vint inonder encore plus son tunnel et accroître lintensité des clapotis créés par les allers-retours de mon engin à lintérieur du vagin.
Il me sembla que son orgasme dura une éternité. Je continuai à la piner en force, jusquau moment où elle saffaissa totalement, vaincue par la fatigue. Jarrêtai de la tirer, tout en gardant mon gourdin, toujours en érection, à lintérieur du tunnel. Je ne cherchai pas à jouir et éjaculer dans le vagin de ma belle. Je venais de prendre la décision de lenculer juste après et réservais donc mon éjaculation à son rectum. Je la laissai reprendre son souffle et se reposer un peu, tout en bougeant lentement mes hanches de manière à maintenir mon sexe en érection à lintérieur de sa chatte. Fatma reprenait lentement ses esprits. Elle ouvrit les yeux quelle avait tenu fermés pendant tout le temps quavait duré lorgasme et me lança un grand sourire de contentement.
- Tu es un super coup ! fit-elle. Tu mas faite jouir comme personne avant toi navait su le faire ! Tu trouves que je me comporte comme une salope ou une pute ? Que je jaime être baisée comme une chienne ? Eh bien, oui ! Jaime que lhomme qui me prend le fasse comme un maître ! Comme mon maître ! Jai la mentalité dune vraie chienne quand je baise ! Je crois que toi aussi tu aimes les chiennes ! Nest-ce pas ?
- Oui ! jaime. Dailleurs, je vais maintenant tenculer ! Ne dis surtout pas non ! Que tu naimes pas ! Jai remarqué que lanneau de ton cul était desserré ! Je suis sûr quil a souvent servi !
- Servi oui ! Souvent non ! Jai eu un amant qui adorait menculer. Il ne pouvait jouir que comme cela. Il avait un petit sexe et ma chatte était trop large pour lui ! Mais toi avec ton immense engin, tu vas me déchirer le cul !
- Tu vas adorer salope ! A quatre pattes par terre ! Je vais me régaler !
Sans se faire prier, elle se mit en position par terre, les fesses relevées très haut. Je me positionnai derrière elle, plaçai le gland de mon engin à lentrée du cul, vérifiait que lemplacement était complètement mouillé par tout le jus quelle avait déversé auparavant et sans autre forme de procès, donnai un fort coup de reins pour pénétrer jusquau fond du boyau. Elle poussa un tout petit cri de douleur, quelle réprima très vite. Le tunnel de ma belle, contrairement à son vagin, était étroit et serrait très fort mon manche. Si elle avait été enculée auparavant, cétait effectivement par des petits calibres. Le mien se sentait à létroit et était aux anges dans ce boyau chaud, humide et moulant. Il était super excité et voulait défoncer tout sur son passage. Il voulait y aller en force et faire mal.
- Je vais te défoncer le cul ! Te faire mal ! Tu peux crier si tu veux ! Je continuerais quand même à y aller franchement ! Je veux que tu sentes que je suis ton maître !
- Oui, maître ! Défonce-moi le cul ! Fais-moi mal !
Jy allais donc sans plus me préoccuper de la douleur qui accompagnait mes coups de boutoir et qui la faisaient crier. Je ne cherchais même pas à lui procurer un peu de plaisir. Cétait le mien que je poursuivais ! Rien que le mien ! Ce nétait pas dans mes habitudes dêtre aussi égoïste dans mes relations amoureuses. Au contraire, je cherchais toujours à faire jouir mes partenaires avant que moi-même ne prenne mon plaisir. Mais avec cette sodomisation de Fatma, je voulais et lui faire mal et avoir une jouissance paroxystique. Le fait que ma partenaire soit si obéissante ajoutait à cette envie un peu perverse. Je la pinai donc en force, faisant pénétrer mon membre le plus loin possible dans son boyau et revenant rapidement à lextérieur pour repartir aussi fort et aussi vite à lintérieur.
A chaque coup, Fatma criait que je lui faisais mal. Je nen avais cure ! Je continuais au même rythme et avec la même force. Létroit boyau était si accueillant et si doux ! Jétais au paradis ! Et puis, au fur et à mesure des va-et-vient, le tunnel sélargissait et se lubrifiait et la douleur sestompait. Les cris de douleur de ma partenaire se firent de plus en plus faibles et finirent par disparaître totalement. Elle tourna la tête pour me regarder et menvoyer un petit sourire que je pris pour un encouragement à continuer. Je me décidai donc à passer à une autre étape. Je lançai ma main à la recherche de sa chatte et me mis à faire pénétrer trois doigts le plus loin possible dans son vagin.
Elle poussa un petit cri de plaisir en sentant mes doigts à lintérieur de sa chatte et surtout au moment où ils croisaient mon sexe à travers les fines parois et se frottaient contre lui. Elle tourna la tête, me regarda avec un sourire devenu lumineux et se mit à soliloquer.
- Oui !!!!! Cest bon ! Continue ! Encore ! Plus fort ! Cest merveilleux ! Zob !!!!!!! Bon ! Double pénétration ! Ahhhhhhh !
A ma grande surprise, elle se mit à jouir et décharger des quantités de jus sur mes doigts. Je continuai à pilonner son cul avec force et accélérai les va-et-vient de mon sexe à lintérieur du boyau. Bientôt, je sentis arriver lorgasme avec la force dun torrent en furie. Je poussai un long râle de mourrant et me mis à envoyer de fortes bordées dun sperme épais, chaud et abondant dans le tunnel. Le foutre sortit presque en totalité du cul de ma belle, expulsé par les furieux va-et-vient de mon engin. A la quatrième ou cinquième bordée, jarrêtai le pilonnage, mais restai encore un temps à lintérieur du rectum dont je sentais encore les palpitations. Quand je me retirai, mon engin avait beaucoup perdu de sa rigidité ; il commençait à mollir.
- Je sens comme un vide à lintérieur de mon cul ! dit-elle en me regardant sortir de ses entrailles et en se mettant à genoux. Je crois quil sest habitué à lui ! Viens maintenant que je nettoie mon seigneur et maître !
Elle me demanda de me lever et de lui présenter lengin fortement ramolli, encore recouvert dune mixture marron, mélange de sperme et des produits du ramonage du rectum. Elle attrapa mes couilles, ouvrit la bouche, sortit la langue et commença à lécher le membre depuis le gland jusquà sa base. Elle avalait, en me regardant de temps en temps, avec des yeux provocants et un sourire ironique, tout ce quelle ramassait. Jétais étonné de la voir faire cela, mais je trouvais le spectacle tellement érotique, que je me remis à bander. Elle en profita pour faire pénétrer tout le sexe dans sa bouche et se remettre à me faire une splendide fellation. Elle y allait maintenant franchement. Comme si elle voulait me faire éjaculer encore une fois et surtout, pour recevoir une nouvelle giclée de sperme et lavaler.
Je navais plus autant dénergie, ni probablement plus assez de sperme, mais cela me plut tellement, que je me remis à la baiser par la bouche. Cétait super ! Je ne tardais pas à avoir un autre orgasme. Beaucoup moins fort que le précédent et, bien entendu, moins abondant. Elle avala tout le foutre quelle reçut en me lançant un regard coquin, voulant signifier toute sa fierté de mavoir fait jouir autant.
- Dis-moi que tu as aimé ! Que tu aimes ta chienne ! Que nous allons recommencer longtemps !
- Bien entendu que nous allons recommencer ! Tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement !
Et de fait, nous recommençâmes souvent. Au moins deux fois par semaine, quand elle venait faire le ménage chez moi. Elle me rejoignait directement au lit, avant même que je ne me réveille et soccupait de me donner - et de prendre - des tonnes de plaisir.
Fatma aimait par-dessus tout être dominée et tirée en force. Cétait dans ces situations quelle prenait le maximum de plaisir. Cétait quand, elle rampait à quatre pattes, se faisait prendre avec violence et souffrait physiquement, quelle jouissait le plus. Pour men assurer, je lui avais un jour proposé de venir sur moi et de prendre les rênes de lopération -position quune majorité de femmes adore. Elle accepta, mais sans monter beaucoup denthousiasme. Elle le fit surtout pour mobéir ; pas par envie. Je me rendis rapidement compte que ce quelle aimait, cétait être dominée, pas le contraire. Cela titillait beaucoup la part de perversité quil y avait en moi et durant tout le temps quavait duré notre relation, jen avais tiré un maximum de plaisir.
Au cours de notre relation, Fatma et moi avions beaucoup parlé. Nos discussions étaient le plus souvent aiguillonnées par ma partenaire sur des filles et des femmes quelle connaissait et dont elle avait gagné la confiance. Elle semblait connaître beaucoup de secrets dalcôves des familles et surtout des femmes des alentours.
- Comme femme de ménage, je discute beaucoup avec les femmes qui habitent ce bâtiment et les bâtiments mitoyens. Je vois comment elles vivent. Elles me parlent souvent de leur vie plutôt morne, de leurs attentes et de leurs frustrations. Beaucoup dentre-elles se confient à moi. Tu ne peux pas savoir tout ce qui se passe dans la tête de beaucoup dentre-elles ; souvent quand elles me parlent, il marrive davoir les larmes aux yeux. Je ne suis quune pauvre femme de ménage, obligée de travailler pour subvenir aux besoins des mes s. Je nai pas fait détudes et je nai pas de métier. Mais par rapport à beaucoup des femmes qui habitent ici, qui sont mariées à des pontes, qui ont fait des études supérieures, et pour certaines, ont des métiers passionnants, je vis une vie beaucoup plus passionnante, surtout depuis que je te connais.
- Que leur manque-t-il pour être heureuse ?
- Le sexe !
-
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- Oui le sexe libre ! Celui qui donne du bonheur ! Celui qui donne du plaisir et qui équilibre moralement une femme ! Le sexe qui fait grimper aux rideaux ! Le sexe qui fait que les fantasmes deviennent réalité ! Le sexe comme toi et moi le pratiquons ! Jai un peu pitié de ces femmes. Je me dis souvent quil faudrait quelles fassent ta connaissance et que tu leur fasses connaître le véritable amour !
Fatma avait dans lidée de moffrir à ses copines de la cité pour leur faire connaître lextase amoureuse. Et moi, je ne lui avais jamais dit non. Cela ma apporté quelques aventures réellement extraordinaires pour une société comme la notre. Mais cela est une autre affaire que je vous raconterai prochainement.
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