Fatma, Femme De Ménage, Amante Et Entremetteuse. Deuxième Partie: Kheira
Fatma, femme de ménage , amante et entremetteuse
Deuxième partie : Kheira
Parmi les femmes qui habitaient dans le même bâtiment que moi, javais remarqué une magnifique rouquine, denviron trente-cinq ans, mince, grande et avec des rondeurs à vous couper le souffle. Elle sortait tous les matins, à la même heure que moi, pour accompagner ses deux garçons - des jumeaux - à lécole ; probablement une des innombrables écoles privées qui avaient ouvert à Alger depuis quelques années et que les s de la nomenklatura fréquentaient, de préférence à lécole publique, réservée à la plèbe. Elle les conduisait dans une petite voiture de ville, que très souvent, elle avait du mal à sortir de son stationnement, tant le parking était encombré et probablement aussi, parce quelle ne savait pas encore très bien conduire.
Plusieurs fois, javais dû prendre sa place au volant pour laider à sortir la voiture et à la mettre en bonne position pour sortir du parking, sans faire trop de dégâts. Elle me remerciait dun grand sourire lumineux, mais ne me parlait jamais. Cétait comme si elle avait peur que le voisinage la surprenne entrain de parler avec un homme. Elle semblait pourtant faire partie de ces femmes qui navaient pas encore été touché par lislamisation forcenée du pays. Elle shabillait à loccidental, avec un pantalon bien serré, mettant en valeur des hanches superbes, un fessier proéminent et bien rond et des jambes longues et pleines. Elle portait toujours des hauts qui accentuaient la largeur de ses épaules et une poitrine de taille moyenne, mais avec une paire de seins qui pointaient fièrement sous son chemisier ou sous son pull. Elle ne portait pas de khymar (foulard) et sortait tête nue, avec ses cheveux couleur rouille, coupés très courts. Cétait vraiment une magnifique plante, super bandante. Je jalousais le père de ses s de dormir auprès dune femme aussi splendide.
Chaque fois que je la rencontrais, je sentais une petite chaleur simmiscer dans mon bas ventre et rayonner alentour.
Elle quitta son travail sur injonction de son mari et devint, sans lavoir vraiment voulu, une femme dintérieur. Elle raconta à Fatma, qui savait sy prendre pour confesser les femmes, quelle nétait pas très heureuse de sa situation. Bien que matériellement rien ne lui manquait (son mari était même entrain de leur construire une superbe villa dans un quartier chic dAlger) elle était frustrée dans sa vie de femme. Elle avait aimé son mari et avait même été heureuse quelques temps après son mariage. Larrivée des s, mais surtout les responsabilités professionnelles de son mari, avaient complètement bouleversé sa vie. Elle sétait retrouvée soudainement avec des responsabilités familiales importantes et un mari démissionnaire, qui ne sintéressait plus quà ses ambitions politiques. Sa famille nexistait que pour ce quelle lui apportait comme image dun bon père de famille.
En matière damour, il ne lui apportait plus rien, si ce nest les quelques pauvres étreintes nocturnes, plus hygiéniques que passionnées, quil lui offrait de temps en temps, quand il rentrait tôt et quand il nétait pas trop fatigué. Autant dire, presque jamais. Kheira, à ce quelle avouait, un peu honteuse, à Fatma, avait des besoins sexuels « normaux » (sa manière à elle de dire quelle aimait faire lamour et quelle en avait vraiment besoin).
- Tu ne voudrais pas faire sa connaissance ?
- Mais je la connais déjà !
- Arrête de faire limbécile ! Tu sais bien de quel type de connaissance je te parle : dune connaissance intime !
- Et tu crois quelle voudra faire connaissance avec moi, comme cela ?
- Oui ! Elle ma déjà donné son accord !
-
- Nous en avons parlé longuement. La seule chose dont elle a peur cest que son mari apprenne quelle le trompe. Si tout se passe dans la discrétion, elle est daccord de vivre avec toi lamour passion quelle attend depuis très longtemps. Je lui ai parlé de toi et de ta manière de faire lamour ; de tes capacités à vivre tes fantasmes et à faire vivre les leurs à tes partenaires. Elle est réellement intéressée.
- Et toi quest-ce que tu y gagnes ?
- Absolument rien ; sinon ta reconnaissance et la sienne. Et bien entendu quelle ne tenlève pas totalement à moi !
Cest ainsi que mon histoire avec Kheira débuta : complètement arrangée par Fatma.
- Elle tattend demain matin chez elle - lappartement N° 5, au premier étage dans la même aile que le tien - à son retour après quelle aura déposé ses s à lécole. Tu nauras même pas à sonner, elle touvrira immédiatement.
Et effectivement le lendemain matin, après avoir surveillé son retour au parking et attendu environ dix minutes, je descendis les escaliers, un peu inquiet tout de même, et me présentai devant la porte de lappartement N° 5, au premier étage. La porte souvrit immédiatement et une main me tira vivement vers lintérieur. Ma belle rouquine était réellement là, habillée dune simple nuisette noire, lui arrivant à mi-cuisses, laissant entrevoir une coquine petite culotte et un soutien gorge, tous les deux de couleur blanche. Elle referma vivement la porte et se plaça devant moi pour se faire admirer. Elle paraissait vraiment à laise. Elle ne semblait aucunement gênée.
- Tu me trouves à ton goût ? Je te plais ? Fatma ma dit que tu lui as souvent parlé de moi.
Je ne savais absolument pas quoi répondre à ce flot de paroles. Elle posait ses questions de manière qui semblait naturelle. Elle navait pas lair de se moquer de moi. Cétait comme si elle cherchait simplement une confirmation de mon intérêt pour elle. De mon désir pour elle. Parce quen fait, il ne sagissait que de cela : elle voulait confirmer quelle était désirable et que jallais le lui prouver sur le champ. Elle ne voulait pas perdre de temps.
- Oui tu me plais et si tu regardes le devant de mon pantalon, tu verras combien tu es bandante !
- Prouve-le !
Sans plus attendre elle tendit les bras pour que je mapproche delle et lenlace. Elle était adossée au mur du couloir, juste à côté de la porte dentrée. Je mapprochai delle et la pris par la taille. Je sentis quelle avait eu un petit frémissement au moment où mes mains se posèrent sur sa taille. Elle colla son corps chaud et frémissant contre le mien et tendit ses lèvres pour un baiser. Je ne me fis pas prier pour lui coller un patin tout ce quil y a de mouillé et de torride. Elle y répondit avec passion et violence. Comme si elle attendait cet instant depuis très longtemps ; trop longtemps ! Elle avait une langue fine et agile qui pénétrait dans ma bouche pour venir titiller la mienne. Ses lèvres, quelle avait fines et légèrement ourlées, étaient collées aux miennes comme des ventouses ; ses dents sentrechoquaient contre les miennes. Elle buvait avec délectation toute la salive que sa langue récupérait de ma bouche et menvoyait de temps en temps un peu de la sienne pour que, moi aussi, je mabreuve.
Je me dis quil était peut-être temps que je prenne les choses en mains et lui rende la pareille. Ma langue se mit donc de la partie et alla faire son nid dans sa bouche, où elle montra à la sienne quelle savait elle aussi se battre. Elles se défièrent et entreprirent un véritable duel pour savoir une fois pour toutes qui était le maître.
Je méloignai un peu delle pour la regarder et admirer son corps. Elle se laissait contempler en souriant. Elle savait quelle était belle et désirable.
- Tu es magnifique ! lui dis-je. Jai vraiment beaucoup de chance !
- Alors quattends-tu pour me baiser ? Tu ne vois pas combien jai envie dêtre tirée ? Met ta main pour vérifier !
Je plongeai ma main entre ses longues cuisses blanches et fermes pour aller fourrager à la surface de sa petite culotte blanche. Elle était mouillée. Très mouillée ! Ma belle était en chaleur ! Je passai mes doigts à lintérieur de lélastique de la culotte et la fis descendre jusque sur ses chevilles. Elle sen débarrassa en relevant un pied, puis le deuxième et lenvoya à lautre bout du couloir. Je relevai le bas de sa nuisette pour pouvoir regarder et admirer sa chatte. Elle avait une chatte superbe ; avec un magnifique pubis bombé, soigneusement épilé (rien que pour moi ! me dis-je très fier) et luisant ; des grandes lèvres longues et fines, sans aucune trace de poils. Le tout était de couleur légèrement plus sombre que ses cuisses et donnait à sa chatte un aspect mystérieux et attirant.
- Baise-moi comme cela debout ! Jen ai toujours rêvé ! Laisse-moi dabord voir ton gourdin. Il me semble immense, comme cela à travers le pantalon.
Elle soccupa fébrilement de défaire la ceinture, de déboutonner le pantalon, douvrir la braguette et de plonger sa main à lintérieur pour palper lengin.
- Ouah !!! Fatma ne ma pas menti ; tu es membré comme un âne ! Comme dans mes fantasmes ! Prend-moi vite ! Fais-moi sentir sa force !
Je plaquai Kheira contre le mur, lui soulevai la jambe gauche en passant mon avant bras droit sous son genou pour la maintenir dans la position ouverte et pris lengin dans ma main gauche pour chercher louverture. La belle était accrochée à mon cou et attendait en haletant linstant où jallai la pénétrer. Le gland de mon sexe avait trouvé les grandes lèvres et poussait doucement pour sintroduire entre elles et trouver lentrée de la grotte. Javais plié un peu les jambes pour positionner mon membre en dessous de la chatte et pouvoir ainsi la pénétrer plus facilement, sans la déchirer.
Je navais pas besoin de lubrifier lentrée du vagin ; il létait déjà assez. Je donnai une brusque poussée à mes hanches et me retrouvait immédiatement à lintérieur dun vagin étroit, brulant et complètement mouillé. Le paradis ! Cétait tellement bon, que je voulais rester ainsi, le membre enfoncé dans cette chatte si accueillante. Mais ma mie ne lentendait pas de cette oreille : elle voulait que je la pine en force ; que je fasse aller et venir lengin dans son vagin ; que je lui fasse mal ; quelle sente la force de son maître.
- Tire-moi fort ! Déchire-moi le vagin ! Fais-moi mal ! Jadore ton zob ! Cest mon maître ! Je suis totalement à lui !
Cétait effectivement une position où elle ne pouvait que sentir la force de mon membre. Elle était collée contre le mur, la jambe droite relevée très haut et maintenue par mon avant bras, qui en même temps la soulevait toute entière du sol, ses mains accrochées à mon cou. Mes coups de boutoir la pénétraient profondément et lui faisaient mal. Elle criait à chacun de mes coups de reins. Des cris de douleur et de plaisir. Elle aimait avoir mal en se faisant tirer. Cela ajoutait à son plaisir. Elle narrêtait pas de mencourager à y aller encore plus fort.
- Plus fort ! Plus vite ! Fais-moi mal ! Plus mal ! Fais-moi hurler de plaisir ! Jaime ! Jaime ! Jaime ! Jaiiimmme !
Elle poussa subitement un long cri de jouissance en déchargeant des litres et des litres de jus sur mon manche et en dehors. Elle respirait difficilement et haletait, en continuant de mordonner de continuer à la piner comme cela en force. Elle planta ses ongles dans ma nuque et mordit avec violence mon épaule gauche. Quand elle se calma, quelques minutes plus tard, elle éloigna sa tête de la mienne, me regarda et me demanda de lembrasser. Je lui donnai un baiser quelle trouva trop mou et me força à lembrasser avec passion ; à lui donner un baiser damant excité ; pas un baiser damoureux. Tout en restant en elle dans la même position, avec mon sexe toujours vaillant (je navais pas joui, parce que je ne mattendais pas à ce quelle jouisse aussi vite), je lui appliquai un patin super mouillé et super torride, quelle me rendit dans les mêmes formes.
Je ne sortis de sa chatte que quand elle le décida elle-même. Elle me demanda de sortir lengin et de lâcher sa jambe. Elle se remit debout une seconde avant de se laisser tomber par terre et se mettre à ramper devant moi. Elle se comportait comme une chatte en période de chaleur. Elle rampait et venait se frotter à mes jambes, montrant au passage ses superbes fesses. Elle me regardait avec des yeux brillant de désir qui cherchaient à mindiquer ce quelle voulait que je lui fasse. Jétais un peu perdu ; je navais encore jamais rencontré de femme comme elle. Elle avait tout du félin femelle en chaleur. Et comme toute femelle en chaleur, elle cherchait à éteindre le feu qui la consumait. Elle retira sa nuisette et son soutien gorge et resta toute nue, à quatre pattes par terre, rampant tout autour de moi.
Elle était superbe et tellement excitante. Ses fesses nues, fermes et brillantes, appelaient le mâle pour éteindre le feu qui les consumait. Javais envie de me mettre à genoux derrière elle pour la tirer en levrette, ou même pour lenculer. Mais dévidence, ce nétait ce quelle cherchait pour le moment. Ce quelle voulait, cétait ramper comme cela devant son mâle et lui montrer combien elle voulait se faire tirer. Lui monter sa disponibilité. Elle voulait être une femelle, pas une femme. Javais même cru un moment quelle allait se mettre à miauler comme une chatte en manque. Elle continuait son petit jeu, tout en me regardant dans les yeux avec sur les lèvres un sourire énigmatique.
Jétais moi-même à moitié nu, le sexe en lair, bandant comme un âne. Je la regardais tourner autour de moi, toujours en rampant. Elle ne disait toujours rien, mais me suppliait avec ses yeux de faire quelque chose que je ne comprenais pas encore. Et puis soudain, ce fut lillumination : elle voulait que je fasse comme elle ; que je devienne un félin mâle en rut, qui cherche à conquérir sa belle. Je me mis donc moi-même à quatre pattes et commençai à ramper autour delle, en cherchant à atteindre son intimité. Elle eut un petit rire de satisfaction et séloigna de moi, me poussant à la poursuivre. Mon but était que jatteigne sa croupe, que je la monte et la tire en levrette. Son but à elle était de se sauver à chaque fois et de ne me laisser faire que quand elle le décidera elle-même.
Je me mis donc à poursuivre, rattr et tenter de grimper sur ma partenaire, pendant quelle essayait de méchapper. Ce fut une scène dun érotisme torride. Je métais laissé prendre au jeu et me prenais réellement pour un félin mâle, essayant dattr sa femelle en chaleur, mais qui ne voulait pas le laisser faire. A chaque fois que je lattrapais et que jessayais de la monter, elle séchappait et allait mattendre quelques mètres plus loin. La scène recommença au moins une vingtaine de fois ; jusquau moment où layant attrapée encore une fois, je limmobilisai pour essayer de grimper sur elle. Et oh miracle ! elle me laissa faire. Elle se mit à ronronner de plaisir et à pousser se fesses vers larrière pour que je la pénètre profondément.
De ma vie je nai eu autant de plaisir à tirer une femme. Je crois que lattente et la difficulté avaient démultiplié mon désir delle. Quand je la pénétrai, jai ressenti un immense bien être se répandre en moi. Je la tenais fermement par la taille, de peur quelle ne méchappe encore une fois. Je la tirai avec de furieux coup de reins. Je ne réfléchissais pas ! Je baisais ma femelle et cela me suffisait ! Elle était dans le même état que moi, complètement dans son rôle de femelle. Elle ronronnait sous mes coups de boutoir, tandis que moi je gémissais de plaisir. Je ne faisais plus attention à rien : même pas à réduire la force de pénétration. Je savais que je lui faisais mal en la pénétrant ainsi comme une brute ; mais je nétais plus un homme ; et elle, elle nétait plus une femme. Nous nétions que deux animaux en rut et en chaleur.
Je crois que la jouissance que nous eûmes en même temps était la plus forte que nous avions eu jusque là. Jéjaculais très longuement et presque de manière continue, tout le sperme que javais emmagasiné. Sa jouissance à elle avait été plus silencieuse que la précédente ; mais beaucoup plus intense. Il mavait même semblé un moment quelle allait sévanouir ou tomber en syncope, tant lorgasme était fort. Quand tout sarrêta, nous nous retrouvâmes allongés par terre dans le couloir, lun à côté de lautre nous regardant avec des étoiles dans les yeux. Notre bonheur se lisait dans nos yeux.
- Je taime ! fit-elle. Tu es vraiment lhomme que jattendais depuis toujours ! Tu as su immédiatement ce que je voulais et tu nas pas hésité une seconde à me loffrir. Je suis une femme qui a plein de fantasmes, mais qui nen a jamais vécu un seul. Depuis que tu es entré, tu men as déjà fait vivre deux ! Dis-moi que nous allons continuer !
- Bien entendu que nous allons continuer ! Je ne vais pas abandonner une femme comme toi ! Tu es exactement mon type de femme ! Physiquement dabord, parce que tu es belle. Sexuellement ensuite parce que tu nas aucun tabou. Je plains ton mari qui ne profite pas de tes qualités damante.
- Allons dans la chambre nous reposer un peu. Nous avons encore le temps de nous aimer avant que je naille chercher mes s de lécole.
Nous refîmes lamour encore deux fois, toujours de manière extrême et nous ne nous séparâmes que vers quinze heures, au moment où elle devait prendre sa douche et se préparer à aller récupérer les jumeaux de lécole. Notre histoire dura environ deux années ; jusquau jour où toute la famille déménagea pour aller occuper la villa que le mari avait terminé de construire.
Pendant tout le temps que dura ma relation amoureuse avec Kheira, je continuais de rencontrer Fatma, qui me rendait toujours visite deux fois par semaine, et de faire lamour avec elle. Elle nignorait rien de ce que nous faisions Kheira et moi. Parfois cétait moi qui lui racontais, mais le plus souvent cétait elle. Elle nétait pas jalouse. Elle voulait sa part damour et elle lavait. Ce que je faisais avec dautres femmes lui importait peu. Au contraire cela semblait lui titiller limagination et la rendait encore plus coquine pendant nos séances au lit.
Après le déménagement de Kheira et le vide quelle avait laissé en moi, Fatma entreprit de me consoler en me parlant dune belle jeune femme, pratiquement cloîtrée chez elle, mariée à un entrepreneur en bâtiment, une espèce de brute jalouse, qui la faisait surveiller par sa sur, une « vieille fille » de quarante ans, qui vivait avec eux.
- Il faut absolument que tu fasses sa connaissance ! Ou plutôt que tu fasses leur connaissance, car Aïcha ne sort jamais sans sa belle-sur Louisa.
Et de fait, Fatma me fit faire la connaissance de deux véritables coquines, qui avaient décidé de donner du piment à leur vie un peu terne.
Mais ceci est une autre histoire que je vous raconterai une prochaine fois.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!