Fatma, Femme De Ménage, Amante Et Entremetteuse. Troisième Partie: Aïcha Et Louisa
Fatma, femme de ménage , amante et entremetteuse
Troisième partie : Aïcha et Louisa
Je ne sais pas si Fatma, comme elle sen vantait, savait exactement tout ce qui se passait chez les voisines quelle fréquentait. Concernant Aicha et Louisa, les deux femmes quelle me présenta - ou plus exactement, quelle menvoya de toute évidence, elle était loin de connaître toute la réalité. Je venais de tomber sur un couple bizarre, pour ne pas dire diabolique : deux femmes des belles-surs, de surcroît qui étaient dans une relation amoureuse de domination. Louisa, la plus âgée (la quarantaine bien sonnée) était lesclave sexuelle de Aïcha, la femme de son frère.
Quand elles sonnèrent à ma porte, de très bon matin (il était à peine sept heures trente minutes et jétais encore au lit, ne devant aller travailler que vers neuf heures) jouvris la porte à un couple de femmes en tenue plus ou moins islamique (un foulard sur la tête - aux couleurs chatoyantes pour lune, tout blanc pour lautre - une longue tunique - bleue ciel pour lune, et toute blanche pour lautre - qui cachait leurs hanches et leurs fessiers et sarrêtait à mi-cuisse et un pantalon en toile de jean grise pour toutes les deux. Elles étaient aussi grande lune que lautre - plus de un mètre soixante quinze - mais différentes quant aux formes quelles présentaient : lune - Aïcha - paraissait plus ronde et plantureuse que lautre - Louisa - donnait limpression dêtre une fausse maigre.
Cétait la plus belle - Aïcha - qui parla la première.
- Nous sommes envoyées par Fatma !
- Entrez !
Je les fis entrer, et les accompagnai au salon sans rien dire. Je les examinais en silence, mais mes yeux devaient montrer tout létonnement quil y avait en moi. Je me trouvais en face dun couple de femmes, dont lune - Aïcha - semblait très à laise et lautre gardait les yeux baissés, comme si elle faisait quelque chose quelle ne voulait pas faire et quelle dans une situation de grande gêne.
- Moi, cest Aïcha, jai trente ans et je suis mariée à ton voisin, lentrepreneur habitant au bâtiment 15. Elle cest Louisa, la sur de mon mari, quarante-deux ans, célibataire et toujours vierge !
-
.
Je ne mattendais absolument pas à une telle entrée en matière. Mais je nétais pas encore arrivé au bout de mes surprises.
- Fatma nous a assuré que tu étais un homme très ouvert, que rien dans la pratique amoureuse ne dérange. Cest vrai, nest-ce pas ? Sinon nous faisons tout de suite demi-tour, car nous naurions rien à faire ici !
-
. (Je neus même pas le temps de répondre, puisquelle continua)
- Moi je suis bisexuelle : jaime autant les hommes que les femmes. Louisa est une homo intégrale, du moins le croit-elle, puisquelle na encore jamais essayé avec un homme. Elle sest gardée pour un futur mari. Mari qui ne sest pas encore présenté, et que maintenant, elle désespère de ne jamais rencontrer. En fait, elle sest faite à lidée quelle ne se mariera pas et que cest tant mieux, puisquelle a découvert avec moi les plaisir de lhomosexualité. Si nous sommes là, cest dune part parce que moi, jai envie dun homme - un vrai - qui me fera grimper aux rideaux et dautre part, parce que je veux que Louisa ait, au moins une fois dans sa vie, une relation avec un homme, pour confirmer son homosexualité intégrale, ou découvrir sa bisexualité.
- Et cest moi qui devrais servir de révélateur ! dis-je de manière un peu idiote.
- Bien entendu ! Je suis sûre que tu aimeras ! Surtout que tu découvriras une autre de mes facettes érotiques : Louisa est mon esclave ! Jai eu du mal à en arriver là avec elle, mais maintenant, elle ne peut plus simaginer autrement que dans un rapport desclave à maîtresse. Dailleurs tu remarqueras quelle ne mappelle jamais autrement que « maîtresse » (« Lalla » en arabe algérien).
- Ecoute, moi je nai rien contre les relations maîtresse/esclave, sauf que je nai absolument pas lâme dun esclave.
- Cela me va parfaitement ! Je suis une maîtresse pour Louisa et parfois pour mon mari, quand il veut jouer aux durs avec moi et cherche à mimposer certaines choses que je ne veux pas faire avec lui ; mais mon amant idéal est fort et dominateur !
Tout en parlant avec moi, sans aucune gêne, comme si on se connaissait depuis des lustres, elle enlevait lentement son foulard aux couleurs chatoyantes et mit à nue une superbe chevelure châtain foncé, longue, ondoyante et abondante. Elle dévala telle une vague sur ses épaules quelle recouvrit totalement. Elle était vraiment superbe. Je la regardai avec encore plus dattention et découvrit une belle plante avec un visage lumineux et sensuel : de grands yeux noisette, surmontés de longs cils naturels de la même couleur que ses cheveux ; des sourcils finement épilés qui donnaient encore plus de profondeur et de mystère à son regard énigmatique ; un nez, un peu long et droit qui surmontait une bouche immense, véritable piège à fantasmes, entourées de deux superbes lèvres charnues, toujours légèrement entrouvertes et laissant apparaître de temps en temps un bout de langue, rose, luisante et pointue.
Le reste, du moins ce qui transparaissait sous la liquette, était du même acabit: tout en rondeurs torrides. De larges épaules rondes ; une forte poitrine portant une paire de seins volumineux et fermes, tendus vers lavant tels des obus de gros calibre ; un ventre plat ; une taille fine, mettant en valeur des hanches larges et rondes ; et un fessier proéminent, bombé et relevé telle une croupe de pouliche. Ses jambes que moulait le jean quelle portait étaient longues, superbement galbées et paraissaient très fermes. Je me fis la remarque, qui se vérifia plus tard, que cette femme navait jamais é : elle avait gardé un corps de jeune fille, que des relations sexuelles plaisantes avaient encore embelli.
- Tu es superbe ! dis-je, un peu bêtement.
- Je sais ! Jai toujours fait bander les hommes ! Mais je nai connu intimement que mon mari. Je nai encore jamais eu damant ! Tu seras le premier ! Mon mari est un bon coup au lit : il baise comme un taureau ; mais comme cest un esprit traditionnel, je ne me laisse pas aller à mes vrais désirs érotiques. Tous mes fantasmes restent en moi. Sauf quand il est vraiment en rut (comme un taureau !) alors là jen profite et mamuse à le pousser à bout : je me refuse à lui
sil ne me le demande pas à genoux et sil ne me supplie pas ! Lexcitation, conjuguée aux quelques bouts de ma nudité que je lui permets dentrevoir quelques fractions de secondes, le mettent dans un tel état, quil en perd complètement la tête. Dans ces moments-là, je savoure ma puissance et lui fait faire nimporte quoi. Dailleurs je lui dis que je le tiens par son zob ! Il en rigole, mais accepte ! Je ne vais jamais plus loin, de peur déveiller en lui des soupçons qui auraient des conséquences désastreuses sur notre mariage. Alors cest avec toi que jai décidé de vivre mes fantasmes - et ceux de Louisa. Mais avant toute chose je veux que tu la dépucèles. Elle ne veut pas ; elle naccepte que pour mobéir et rester mon esclave. Sinon je ne fais plus lamour avec elle !
Je regardai du côté de Louisa qui était assise sagement sur le sofa, à côté de sa belle-sur. Elle ne participait pas à la discussion et depuis leur arrivée, avait gardé les yeux baissés ; comme si elle était gênée. Aïcha lui ordonna de se lever et de se mettre en face de nous. Cela me permit de lobserver et de détailler sa physionomie. Elle était presque aussi grande que son amie, mais beaucoup plus mince. Presque maigre, daprès ce que laissait entrevoir sa tenue. En fait, cétait une fausse maigre, qui avait des hanches larges et de coquines rondeurs juste là où il fallait. En dehors de son visage anguleux et de ses petits yeux enfoncés, elle était assez mignonne et désirable. Cétait surtout sa grande bouche avec des lèvres pleines et pulpeuses qui attirait lattention.
- Enlève ton foulard !
Elle obéit sans broncher, tout en gardant les yeux baissés. Elle dégrafa lépingle qui retenait le tissu de soie, passa un doigt en dessous et dun geste rapide et élégant, elle enleva le foulard blanc qui cachait ses cheveux, ses oreilles et tout le dessous du menton. Je découvris une chevelure dun noir de jais, coupée court qui lui donnait un air de garçon manqué. Mais ce côté androgyne était loin dêtre désagréable ; il ne faisait quajouter au mystère densemble qui se dégageait de sa personne. Elle gardait toujours les yeux baissés : à aucun moment, elle ne les leva sur moi. Il lui arrivait bien de temps en temps de lancer un regard suppliant vers son amie, mais moi, il me semblait que je navais aucun intérêt pour elle.
- Déshabille-toi ! Complètement ! Montre-nous ton joli corps et ton sublime cul ! Tout de suite !
Cette dernière phrase claqua comme un ordre, auquel il nétait pas question de désobéir. Louisa entreprit de se déshabiller lentement, en commençant par retirer sa liquette en toile de coton blanche et resta en soutien gorge. Cétait vraiment une fausse maigre ; elle avait un squelette puissant, sur lequel étaient accrochés des muscles fins, très gracieux. Ses épaules étaient larges et rondes aux bons endroits. Elle avait une cage thoracique large, à limage des athlètes coureuses de fond. Même ses seins semblaient, dessous le soutien gorge à balconnets qui les protégeait, dun volume acceptable, fermes et dune blancheur laiteuse, comme le reste de sa peau. Quand elle se débarrassa du soutien-gorge, je vis que javais raison de penser quelle avait de beaux seins. Ils avaient la forme de grosses poires bien fermes, haut plantées et tendues vers lavant. Leurs tétons avaient une large auréole violacée. Ajouté à une taille de guêpe et à un ventre extra-plat, javais devant moi un morceau de choix. Une femme au corps parfait.
Elle jeta un regard interrogateur à Aïcha pour savoir si elle devait continuer leffeuillage. Il ny eut pas de réponse de son amie, mais ses yeux lui ordonnaient denlever tout le reste. Elle ne me regardait toujours pas. Elle dégrafa son pantalon en toile de jean et, dun rapide geste de ses doigts accompagné dun sublime déhanchement, elle le rabattit sur ses chevilles. Elle lenleva complètement en levant un pied, plus lautre pour le laisser tomber à côté delle. Elle regarda encore une fois son amie pour linterroger du regard. Elle comprit quelle devait aussi enlever la petite culotte en coton blanc. Elle introduisit deux doigts à lintérieur de lélastique, un à droite, lautre à gauche et avec le même déhanchement que tout à lheure, elle sen débarrassa en une fraction de seconde.
Elle resta ainsi totalement nue. Et quelle nudité ! Tout ce que je disais du haut de son corps était totalement confirmé par le bas. Des hanches larges, rondes ; un petit fessier rond et ferme ; des jambes longues, fines et superbement galbées ; et un pubis sans la moindre trace de poils, rond, bombés et luisant. Il donnait sur un entrecuisse doù je pouvais apercevoir des grandes lèvres longues et dodues (la seule chose, avec les lèvres de sa bouche, qui avait du volume !), elles aussi complètement épilées.
Inutile de décrire létat dexcitation dans lequel jétais. La chaleur métait montée à la tête et jétais sûr que je devais être aussi rouge quune écrevisse ébouillantée. Mon sexe était gonflé à bloc et formait un immense chapiteau sur le devant de mon pantalon de pyjama.
- Elle est vraiment superbe ! dis-je à Aïcha. On ne le croirait pas quand elle est habillée !
- Nest-ce pas ? Elle te plait ? Tu la veux ? Et bien elle est à toi ! Viens, pour un instant ce sera lui ton maître ! Il va te dépuceler pour faire de toi une femme ! Au moins tu sauras ce que cest ! Si après tu napprécies pas, il ne recommencera pas ! Mais je suis sûre que tu vas finir par aimer te faire tirer par un homme ! Que tu aimeras autant quavec moi ! Aller, viens offrir ta vulve et ton hymen à son engin ! Demain ou après-demain tu auras tes règles. Tu ne risques donc pas de tomber enceinte.
Elle sapprocha tout doucement de moi, les yeux toujours baissés. Je sentais quelle avait peur. Je crois même quelle était prise de panique. Elle avait dépassé quarante ans et était toujours vierge. Elle devait, tout au long de sa puberté, puis de son adolescence, de sa jeunesse et même à lâge mûr, avoir beaucoup fantasmé sur son dépucelage par un homme. Comme la grande majorité des filles, elle paniquait surtout sur la douleur « atroce », qui était inséparable de la première fois. Elle nhésita pourtant pas à venir à quelques centimètres de moi. Je tendis les mains pour la prendre par la taille et approcher ma bouche de sa poitrine. Je ne voulais pas la brusquer ; je voulais y aller en douceur. Je pensais pouvoir lexciter rien quen la caressant et en lembrasant très légèrement. Javais oublié que jamais elle navait été caressée par un homme. Elle nétait habituée à se faire tripoter (et à tripoter elle-même) que par une femme.
Les caresses féminines ne ressemblent en rien à celles des hommes. Je sus bien vite que la belle ne ressentait pas grand-chose sous mes caresses. Il me fallait donc passer à autre chose, si je voulais éviter la honte de baiser une femme qui ne ressentira aucun plaisir. Je regardais Aïcha qui semblait samuser de mon désarroi. Elle savait que je voulais quelle intervienne et quelle prépare elle-même son amie. Elle savait ce quil fallait faire pour lexciter. Elle savait que seule, elle, pouvait réussir. Son sourire moqueur saccentua, puis au bout de quelques secondes dhésitation, elle se décida. En un tour de main, elle se déshabilla totalement, se leva du sofa pour faire admirer sa nudité (cétait Vénus en personne ! Tout en elle suintait la sensualité ! Elle était belle ! Vraiment belle ! Belle et sensuelle !). Elle vint se mettre à genoux devant Louisa, posa ses lèvres sur son ventre et entreprit de lembrasser avec passion.
Je vis immédiatement la différence ! Louisa commença à sanimer et à bouger son corps. Elle prit la tête de son amie et appuya dessus pour quelle reste entre ses seins. Elle avait un sourire de ravissement. Elle était heureuse de se faire entreprendre par son amante. La main de Aïcha alla palper les fesses de sa partenaire et se promena un moment sur elles, pénétrant furtivement dans la raie. Puis elle se décida de soccuper de sa chatte. Elle introduisit sa main droite entre les genoux de Louisa que cette dernière tenait encore serrés, lobligea à les ouvrir et remonta doucement vers le triangle de son entrecuisse. Je regardais le visage de la belle-sur silluminer de plaisir et de bonheur. Elle avait le souffle court. Elle nosait pas encore gémir, ni montrer lintensité du plaisir quelle prenait ; jétais sûr que cétait à cause de ma présence.
Puis Aïcha passa à la vitesse supérieure en baissant sa tête pour aller titiller le pubis et la chatte de son amie. Elle ne put résister plus longtemps et se mit à gémir et à pousser des petits cris rauques de plaisir. Elle attrapait les cheveux de sa partenaire et tirait dessus pour lobliger à aller et venir entre ses cuisses quelle avait maintenant ouvertes au maximum. La bouche et la langue de Aïcha avaient pris possession de la chatte de Louisa et ne voulaient plus la lâcher. Elle gémissait de plus en plus et semblait être sur le point de jouir. Aïcha accéléra le mouvement et très rapidement jentendis son amante pousser un long râle de jouissance et décharger dans la bouche de sa belle-sur. Je la vis plier les jambes, vaincue par la fatigue et tomber à genoux dans les bras de Aïcha. Elles restèrent ainsi un long moment, sans soccuper de moi - jaloux du pouvoir de Aïcha - puis se levèrent pour sassoir sur le sofa.
Je ne savais toujours pas ce quil fallait que je fasse. Ce fut encore une fois Aïcha qui trouva la solution. Elle serra sa belle-sur dans ses bras et lui appliqua un baiser torride et mouillé, que sa partenaire lui rendit avec la même intensité. Aïcha prit alors sa partenaire par la taille pour lui faire quitter la position assise et lui dit quelque chose à loreille que je nentendis pas. Louisa se mit alors à genoux entre les jambes de son amante et plongea sa tête entre ses cuisses. Elle était entrain de lui rendre le cunnilingus quelle lui avait appliqué tantôt. Elle y allait franchement. Il était évident quelle aimait cela. Aïcha me regarda, un moment savourant son pouvoir et me fit signe daller moccuper du cul de sa partenaire.
Je venais de comprendre ! Aïcha voulait que je tire sa belle-sur en levrette, pendant quelle était occupée à lui sucer la vulve. Cétait bien vu ! Je mempressai de me positionner derrière les superbes fesses ouvertes et offertes et me mit à les caresser. Je sentis une très forte crispation des muscles de tout le corps de Louisa, mais nen tins aucun compte : je savais que Aïcha tenait fermement la tête de son amante et quelle lobligeait de continuer son uvre sur sa chatte. Je fis glisser deux doigts le long des grandes lèvres et vis quelles étaient mouillées (excitée par Aïcha !). Je me dis donc que ce nétait pas la peine de la caresser plus longtemps. Il était temps que jutilise mon sexe qui était dans un état dimpatience indescriptible. Je le pris dans ma main droite et lintroduisit entre les grandes lèvres. La crispation devint plus forte. Elle sétait même arrêtée de sucer la chatte de son amie.
- Continue de me sucer comme cela ! lui dit-elle à loreille. Cest superbe ! Tu vas me faire jouir comme une folle !
Vaincue, Louisa continua son uvre et ne soccupa plus de moi. Je pus donc introduire le gland de mon sexe jusquà lentrée du vagin et faire pénétrer lensemble dun coup sec, faisant éclater au passage la fine membrane de son hymen. Elle cria très fort et mordit même au passage, une des lèvres de la chatte de son amie. Je maintins très fort les hanches de la femme, pour lempêcher de fuir et restai un long moment au fond du vagin. Aïcha tenait toujours la tête de son amie, que maintenant elle caressait tendrement.
- Naie pas peur mon amour ! Cest bientôt fini ! Tu es maintenant une vraie femme ! Tu verras comme cest bon le zob dun homme ! Un peu de courage ! Continue à me bouffer la chatte !
Vaincue, Louisa reprit son cunnilingus, pendant que moi je commençai un mouvement de va-et-vient dans le vagin de Louisa. Et quel vagin ! Etroit, chaud, humide (de cyprine et de sang). Je minterdisais dy aller franchement, comme je le désirais vraiment ; jy allai avec douceur, de manière à ne pas trop lui faire mal et à ne pas la traumatiser. Je voulais que cette femme finisse par aimer se faire tirer par un homme ; et je voulais être cet homme-là. Je faisais pénétrer mon manche très loin dans son tunnel, mais en revenant je faisais attention à ne pas faire dépasser au gland, que javais très large à sa base (en forme de champignon !) lendroit de la déchirure de lhymen. De fait Louisa ne cria plus de douleur. Elle avait la tête toujours fourrée entre les cuisses de Aïcha. Il mapparut même que petit à petit elle commençait à bouger ses hanches, comme pour accompagner les va-et-vient du manche dans le vagin. Je décidai de pousser lexpérience plus loin en envoyant ma main droite vers son sein et me mettre à le palper doucement et à caresser son téton. Le sein, tout comme le téton, étaient fermes, doux et surtout très excitable.
Ses hanches, qui ne faisaient que bouger légèrement, se mirent de la partie et accompagnaient maintenant très franchement mes coups de reins. Aïcha comprit elle aussi que la partie venait dêtre gagnée. Elle tira sur les cheveux de son amie pour extraire sa tête dentre ses cuisses. Elle voulait absolument voir Louisa prendre du plaisir à se faire piner par un homme. Elle lui releva la tête, lui donna un baiser très tendre sur la bouche et se mit à contempler la scène. Elle était excitée en regardant mon sexe, complètement rempli de sang, entrer en sortir du vagin de sa belle-sur. Louisa se mit à gémir de plaisir et je vis sa tête partir dans un mouvement saccadé quelle narrivait pas à contrôler. Javais le sentiment quelle ne voulait pas encore montrer quelle aimait être tirée ; elle ne disait donc toujours rien. La seule preuve du plaisir quelle prenait était ces mouvements incontrôlés de sa tête et de ses hanches, ainsi que les petits gémissements sourds qui sortaient de sa gorge.
Moi je voulais la faire hurler de plaisir. Je me mis donc à y aller plus franchement, conscient que jallais lui faire mal, mais certain que le mal se transformera très rapidement en plaisir. Cest effectivement ce qui arriva.
- Cest bon ! nest-ce pas ? Dis-moi que cest bon ! Dis-le ! Cest bon ! Bon !
- Bo
(Elle résistait et ne voulait pas encore avouer clairement quelle aimait)
- Dis-moi que tu aimes te faire tirer par un homme ! Dis moi que mon zob est aussi bon que la chatte de Aïcha !
- Oui cest bon ! Cest bon !
Jaccélérai encore le rythme de mes coups de boutoir. Je ne faisais même plus attention à la douleur que je pouvais provoquer. Je voulais la faire jouir comme une folle. Et elle jouit comme une folle. Soudain, elle se lâcha complètement, se mit à pousser des cris de plaisir à chacune de mes pénétrations et à lâcher toute une bordée de mots crus, qui accroissaient son plaisir.
- Zob ! Magnifique ! Bon ! Encore ! Encore ! Plus fort ! Plus vite ! Gros zob ! Mon autre maître ! Je jouis ! Je jouis ! je jouiiis !
Elle accéléra les mouvements de ses hanches et de sa tête, lâcha des litres de salive, tendit tous les muscles de son corps et poussa un très long râle, avant de décharger des litres de cyprine sur mon sexe qui continuait imperturbablement à la pilonner. Exténuée, elle saffala par terre, et sallongea sur le ventre avec moi sur son dos et mon sexe encore affamé dans sa vulve. Je ne voulais pas, pour le moment éjaculer en elle. Je ne voulais pas prendre le risque dune grossesse, bien que javais cru comprendre quelle nétait pas en période de fertilité.
Je sortis mon sexe de sa chatte pour le montrer à Aïcha qui avait suivi toute lopération avec des yeux brillant de luxure et denvie. Je voulais quelle reconnaisse que javais réussi une prouesse : celle de faire aimer un homme à une homosexuelle. Elle semblait sen ficher éperdument. Ce qui lintéressait, cétait cet immense zob, dressé comme un étendard et plein de la vierge. Elle semblait émerveillée par le spectacle. Elle tendit la main pour agripper lengin et le caresser. Elle regarda ses doigts devenus tout rouges et les porta à sa bouche. Elle se mit à les lécher goulûment.
- Cest le sang de mon esclave qui est maintenant devenue aussi la tienne. Si javais été un homme, cest moi qui aurait eu le plaisir de la dépuceler. Jaurais aimé connaître cette sensation de déchirer un hymen de fille. Quand jai été dépucelée par mon mari, je nai ressenti que de la douleur. Le plaisir nest venu que beaucoup plus tard, quand je me suis habituée à sa brutalité au lit. Je crois que maintenant jaime cette brutalité et ne pourrait jouir quavec un homme qui me possède en force.
- Suce-moi ! lui dis-je, excité par la scène de lèche-sexe enduit de Louisa.
Elle ne se fit pas prier pour se mettre à genoux entre mes jambes, par terre à côté du sofa. Elle se mit dabord à lécher le gland puis tout le sexe pour le nettoyer qui lenduisait. Elle avalait tout ce quelle ramassait. Puis elle ouvrit très grand son immense bouche et fit disparaître totalement lengin. Jétais dans un autre paradis, aussi chaud, doux et humide que le vagin que je venais de quitter. Aïcha savait sucer : elle avait la science de la fellation. Au bout de quelques secondes seulement, jeus une énorme envie dutiliser cette bouche exactement comme si cétait un vagin. Je le lui dis. Elle leva la tête pour me regarder dans les yeux, comme si elle voulait être sûre quelle avait bien compris mon désir, puis mattrapa par les hanches et fit le mouvement dintroduire le membre jusquau fond de sa gorge et de le ressortir totalement pour le réintroduire complètement. Par ce geste, elle me donnait le feu vert pour pilonner sa bouche, comme javais pilonné le vagin de son amie.
Je ne fis pas prier pour lattr par les cheveux pour bien bloquer sa tête et me mis à faire entrer et sortir lengin à un rythme de plus en plus rapide. Je prenais soin toutefois de lui laisser un intervalle de respiration et de ne pas rester longtemps au fond de sa gorge, pour ne pas quelle étouffe et pour quelle ne vomisse pas. A chaque fois que je sortais de sa bouche, je lui faisais lever la tête pour voir leffet de mon pilonnage : elle avait les yeux remplis de larmes qui descendaient en abondance le long de ses joues ; son nez coulait sans discontinuer ; et de la salive séchappait de la commissure de ses lèvres pour sétaler sur mon sexe à chacune de ses sorties. Je savais quelle souffrait. Et jaimais cette souffrance que je trouvais tellement érotique ! (Il faudrait peut-être quun jour je me fasse psychanalyser pour connaître lorigine de limmense plaisir que je prends à faire mal aux femmes que je baise). Je continuais donc ainsi en accélérant le rythme jusquau moment où je sentis que la jouissance allait arriver sans plus tarder.
Je regardai furtivement où se trouvait Louisa, parce que je voulais la faire participer à lopération et la remplir elle aussi de sperme. Elle était assise par terre, adossée au sofa entrain de regarder avec intérêt sa maîtresse se faire piner sauvagement par la bouche. Elle aussi avait ouvert sa grande bouche, comme si elle attendait quun gros sexe sy introduise. Je me disais que cétait exactement ce que je voulais : jallais éjaculer une première grosse giclée dans la bouche qui maccueillait et le reste dans celle de Louisa, qui était en attente. Jaccélérai le rythme de mes va-et-vient et rapidement je sentis arriver la jouissance et un torrent de sperme dévala pour se déverser en une première grosse giclée au fond de la gorge de Aïcha. Je sortis rapidement de la première bouche et allai investir la seconde qui mattendait.
Je refis quelques mouvements de va-et-vient dans la bouche de Louisa - qui avait plus de mal à maccueillir, parce que non habituée - et lâchai une deuxième, puis une troisième bordée, quelle eut beaucoup de mal à avaler. Une grande partie sortit de sa bouche et se mit à couler sur son menton, puis sur son cou. Il restait encore beaucoup de sperme dans mes entrailles. Je le fis sortir en me masturbant et en le répartissant de manière équitable entre mes deux belles.
Elles étaient maintenant pleines de foutre, quelles samusèrent à aller ramasser avec leur langue lune sur lautre. Je regardais la scène avec extase. Cétait tellement beau ! Tellement érotique ! Elles se léchaient avec empressement, se roulant au passage des patins très sonores et mouillés. Elles avaient oublié ma présence et sétaient mises à faire lamour entre elles, comme si je nexistais pas. Et de fait je nexistais pas ! Elles étaient toutes à leur plaisir de saimer. Et cest à ce moment là que je compris réellement ce que Aïcha voulait dire quand elle qualifiait Louisa desclave. Cétait elle qui dans le couple menait la danse : elle ordonnait et Louisa exécutait. Suce-moi la chatte ; et Louisa enfouissait sa tête entre les cuisses de sa maîtresse et suçait goulûment jusquà ce quun autre ordre vienne changer la donne. Met-moi un doigt dans le cul : et la fille introduisait délicatement un doigt dans lanus de sa maîtresse, tout en continuant son cunnilingus.
- Masturbe-moi et fais-moi jouir avec tes doigts !
Et Louisa sexécutait en branlant sa maîtresse avec maestria. La séance dura ainsi une éternité au cours de laquelle, jai pu admirer le pouvoir quavait Aïcha sur son amante. Dans le couple, cétait Louisa qui faisait lhomme et qui faisait jouir sa maîtresse. Elle la pinait avec sa main et faisait entrer jusquà quatre doigts en même temps pour la faire jouir. Mais elle ne faisait rien que sa maîtresse ne lui commandait de faire. Aïcha jouit ainsi plusieurs fois, sous les caresses de Louisa. Quand elles sarrêtèrent et reprirent leur souffle, elles se rendirent compte de ma présence. Louisa me lança un petit sourire désolé et Aïcha me regarda bien en face, fière de mavoir montré son pouvoir envers son amie.
- Je nai pas encore connu la chaleur de ta chatte ! Je ne vais pas vous laisser partir avant que je ne fasse connaissance avec ton minou !
- Je suis fatiguée ! Ce sera pour une prochaine fois ! Car cela ne va pas sarrêter là ! Nest-ce pas ?
- Bien sûr que non ! Mais jaurai bien aimé te baiser aujourdhui ! Et même tenculer ! Car bien sûr tu aimes la sodomisation !
- Pas tellement ! Mais cest toi le maître ! Ordonne et jobéis ! Mais pas aujourdhui ! La prochaine fois.
Je les ai laissé partir, avec la promesse quelles reviendront, ensemble, le lendemain, et le surlendemain. Et tous les jours. Elles revinrent effectivement le lendemain et le surlendemain ; ensemble. Nous refîmes lamour comme des bêtes. Louisa avait même fini par adorer faire lamour avec moi, un homme. Elle se donnait à moi, sans retenue et me laissait lui faire tout ce que je voulais, y compris la sodomiser et la baiser par la bouche. Elle métait devenue indispensable. Avec elle je prenais un plaisir immense ; supérieur à tout ce que les autres femmes mavaient donné jusque là. Y compris Aïcha qui pourtant était plus belle et était une véritable experte en amour libre. Je crois que son corps mince et agile, sa totale disponibilité, le plaisir quelle prenait et quelle montrait sans fausse honte, létroitesse des ses trous qui navaient jamais servi avant moi et surtout le bonheur qui se lisait dans ses yeux quand elle était avec moi, firent quelle avait ma préférence. Jaimais quand elles venaient toutes les deux ensemble ; quand nos trois corps sentremêlaient, quand tous les trois nous nous effondrions de fatigue et de plaisir.
Mais jaimais encore mieux quand Louisa venait seule (Aïcha étant bloquée à la maison par la présence impromptue de son mari). Les moments que je passais alors avec elle avait un autre goût ; peut-être celui de lamour. Je crois queffectivement jétais tombé amoureux de cette femme, qui navait connu dhomme quà la quarantaine passée et qui sévertuait à rattr le retard en prenant, et en donnant, le maximum de plaisir.
Ce qui est exceptionnel, cest que Aïcha, la magnifique Aïcha, comprit rapidement que javais une préférence pour son esclave, mais ne men tint pas rigueur. Ni à Louisa non plus. Elle continua de venir chez moi et de soffrir à moi sans retenue, prenant un plaisir évident à le faire. Mais cest vrai, quelle, elle était mariée et connaissait triplement le plaisir : avec son mari (même si elle réprimait ses désirs pour des raisons de morale sociale), avec son esclave et avec moi. Elle acceptait donc que Louisa ait sa part damour en dehors delle.
Notre trio infernal continue de fonctionner jusquà maintenant. Et sans être bigot, ni même croyant, je prie tous les jours le ciel pour que cela continue ainsi.
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