Vacances Innoubliables (Partie 1/3)

Je m’appelle Marie-Hélène, j’ai 19 ans et je reviens de vacances. Jusque là, rien d’anormal, je suis une fille tout à fait classique avec mes idées sur la vie et mes goûts en matière de relation humaine. Je suis partie deux semaines avec ma cousine et son mari. Ils avaient loué un mobil home dans les Pyrénées et nous avions décidé de faire quelques randonnées et quelques sommets. Ma cousine est de trois ans mon aîné et son mari a déjà 29 ans. Pour moi, ils représentent un couple ordinaire avec leurs petites manies et leurs disputes passagères. Ils forment un couple sympa avec mon cousin par alliance, Pascal, qui n’arrête pas de faire le clown et de sortir une connerie toutes les minutes. Ma cousine, Sonia, est un peu plus discrète comme elle l’a toujours été mais, grâce à son mari, elle se déride un peu et cela lui va très bien.
Dans la vie, je suis seule car je n’éprouve aucune envie d’être avec quelqu’un pendant mes études. Je suis des cours de géophysique et de biologie moléculaire, cela me prend tout mon temps et je ne sors jamais ou très exceptionnellement.
C’est à cause de cela que ma cousine m’a e pour venir avec elle en vacances. Sur le coup, j’avais dis non car je voulais préparer ma rentrée prochaine en étudiant chez mes parents. Puis, sous la pression de mes parents qui ne voyaient pas d’un bon œil leur fille rester dans l’ombre d’une chambre pour bosser tout l’été, je me suis décidée à aller voir dehors si le monde valait le coup. Sur ce point, je n’ai pas été déçue, autant sur le point paysage que sur le point personnel.
Je suis arrivée chez ma cousine le vendredi matin, la veille du départ et nous avons passé une bonne partie de la journée à faire les boutiques pour acheter ce qui nous manquait. Les chaussures, les sacs, les fringues et tous les petits trucs pour pouvoir faire des balades en montagne sans devoir appeler les secours au moindre changement de temps.
Le soir, Pascal préparait la voiture en utilisant chaque millimètre carré pour tout caser.

Il faisait une température proche de celle de la fusion du plomb et il était torse nu plein de sueur.
Je le regardais faire et je regardais son corps bouger. Je me suis surprise à fantasmer sur lui pendant quelques instants. Je le voyais travailler en sueur et je trouvais que c’était un beau mec et que ma cousine avait de la chance de l’avoir. Loin d’être jalouse, c’était la première fois que je le voyais, non pas travailler, mais avec un regard… féminin. J’ai tellement l’habitude d’étudier tout ce que j’observe, j’y porte un regard analyste et je mets très rarement des sentiments dans mes relations. A ma grande honte, bien que je m’en moque éperdument, j’étais encore vierge avant mon départ en vacances. Pourtant, certaines copines ont fait beaucoup d’efforts pour me mettre en relation avec tel ou tel mec du lycée ou du campus, mais je n’ai jamais trouvé un intérêt dans une relation intime. Tous les mecs que l’on m’a mis dans les pattes étaient d’une platitude organique désastreuse et inintéressante. Bref, je m’égare !
Je regardais Pascal ranger les affaires et il se retourna pour me demander de lui passer un sac de fringues. Il me dit : « Je crois que j’ai trouvé une place pour toi entre la glacière et les pompes de randonnée ! ».
Je lui répondis immédiatement : « Fait pas trop d’effort pour moi, si je peux rester là, ce sera mieux ». Il me regarda avec un regard un peu triste, ce qui me toucha. Il avait l’air sincère dans son attitude et le fait que je ne vienne pas avait l’air de le peiner réellement. Il me dit sur un ton ferme « Tu viens, même si je dois t’accrocher sur les barres du toit… d’ailleurs si tu trouves les menottes dans ma table de chevet, cela m’aiderait pour pas que tu te sauves ». Sonia arriva sur ces entrefaites et demanda « Qui cherche des menottes ? ». Je répondis « C’est Pascal qui veut m’accrocher avec. ». Sonia rigola et me dit « Ca commence bien entre vous deux, vous voulez que je prenne aussi le fouet et les clous ? ».
Pascal se mit à rire en disant « Arrête, tu m’excites… ». Je haussai les épaules et quittai le garage avec la mine boudeuse tellement je n’avais pas envie de partir.
Dans la soirée, je pris un livre d’étude et commençai à lire un chapitre sur les ressources sous-marines. Sonia, pendant ce temps, regardait une série américaine à la télé avec Pascal qui venait de sortir de la douche. Pendant les publicités, Pascal se leva et vint regarder ce que je lisais. Il me posa quelques questions sur le contenu de ma lecture et commença à me parler des possibilités d’exploitations des nodules sur les grands fonds sablonneux. Je fus surprise par ses connaissances, et sa présence à mes côtés était agréable. Il sentait bon, son déodorant était très agréable et il était torse nu. Son corps rayonnait d’une chaleur rassurante et douce, il me parlait posément et je découvrais une facette de ce cousin que je ne connaissais pas. Il sortait toujours quelques bêtises avec des jeux de mots (mais où pouvait-il trouver toutes ces conneries à dire ? comme disait ma cousine, maintenant, je comprenais sa réflexion) mais il s’intéressait vraiment à ma lecture.
Il était debout à côté de moi et quand je baissais mon regard vers mon livre, mon regard était étrangement attiré vers son caleçon qui laissait voir un renflement vers la jambe gauche. Je ne voulais pas regarder ses hanches mais à plusieurs reprises, je me surpris à regarder l’endroit où se trouvait son sexe. Il ne vit pas que je regardais et il continua à discuter avec moi. Au bout d’un moment, il me dit « Allez, je te laisse travailler » et retourna vers Sonia sur le canapé. Mon esprit ne put se concentrer de nouveau sur mon étude et au bout de dix longues minutes, je fermai mon livre et allai rejoindre le couple sur le canapé. Je m’assis près de Pascal.
J’avais un pyjama fermé qui ne laissait rien voir de mon anatomie étant du style pudique. Sonia, quant à elle avait un haut léger à fines bretelles qui laissait voir son profond décolleté à la limite de ses tétons.
Ma cousine n'est pas trop mal foutue, elle a une ossature un peu forte mais à force d’exercice et de sport, elle tient une ligne sympa. Ses fesses sont bien rondes et ses seins ont une forme bien galbée avec un 90C très honorable. Quand je me compare à elle, je suis un peu plus forte mais avec la même taille de seins, les miens étant un peu plus ronds.
En fin de soirée, je me sentais toute bizarre à côté de Pascal, je ne pouvais pas me concentrer sur le film et je me demandais si je ne couvais pas une cochonnerie. Une fois au lit, je n’arrivais pas à dormir avec la tête envahie par Pascal dans des scènes torrides. Le lendemain matin, je me levai avec une tête horrible ayant pratiquement pas dormi.
Le petit déjeuner pris, tout le monde grimpa dans la voiture et nous primes la route des vacances. Pendant les deux premières heures, Pascal conduisit avec moi à l’arrière dormant à point fermé.
Après la pause, Pascal reprit la route et j’étais à l’avant. Je m’imaginais partir en vacances avec mon mari et ma cousine à l’arrière. J’avais le cœur chaud et je trouvais que ces vacances étaient finalement une bonne chose. La route me parut courte et nous arrivâmes dans le camping après nous être trompé seulement deux fois. La suite est l’inévitable installation avec le déballage très rapide de ce qui a été tellement long à ranger dans la voiture. Le lit double pour ma cousine et son mari et le petit lit pour moi…normal ! Pascal fit quand même une remarque qui me travailla longtemps « Et si tu es gentille, tu auras le grand lit ! ». Que voulait dire cette réflexion ? Avec Pascal, on ne savait pratiquement jamais s’il déconnait ou s’il parlait sérieusement ! Cette fois ci, je dois avouer qu’une partie de moi espérait qu’il ne déconnait pas. La journée continua avec la visite du village et un tour au syndicat d’initiative pour chopper tous les prospectus possibles. La soirée fut une soirée de travail pour organiser notre emploi du temps pour les deux semaines à venir.

Le lit m’accueillit tranquillement. Au milieu de la nuit, une envie de faire pipi me réveilla et j’ouvris doucement la porte pour aller aux toilettes. Dans la chambre de ma cousine, des petits bruits laissaient imaginer que le couple avait commencé les activités de vacances. Tout doucement, je m’avançais vers leur porte et j’écoutais les bruits. Ma cousine gémissait avec des « hummm » et des « ohhh » et des « c’est bon… ». J’entendais aussi Pascal dire des « t’es belle » et des « j’adore » et … tout plein de petits dialogues qui indiquaient qu’ils appréciaient les vacances.
A les entendre, mon corps réagit et mon ventre se chauffa, mes seins se contractèrent et ma tête devint songeuse. J’allai aux toilettes pour faire mon pipi dans le plus grand silence possible. Les WC étaient à côté de leur chambre et je devais faire très attention. Pendant tout mon pipi, ils ne s’arrêtèrent pas et de retour dans mon lit, je ne pus que me soulager de ne pas m’être fait entendre. Par contre, pour m’endormir, ce ne fut pas très simple. Ma tête était remplie de ma cousine nue et de son mari nu aussi. Ma main glissa doucement vers mon bas-ventre et dans ma culotte pour me caresser. J’eu un orgasme rapidement et en étouffant mes gémissements dans mon oreiller. Malgré ma masturbation, mon esprit ne put effacer l’image de ma cousine et de son mari. Dans une excitation inhabituelle pour moi, je finis par retirer ma culotte et me caressai encore et encore. Dans mes efforts, j’enfonçais deux à trois doigts en moi pour imaginer la pénétration d’un sexe en moi.
Je ne me rappelle plus quand je me suis endormie mais le matin, j’ai eu un mal fou à émerger. Ma cousine ouvrit la porte de la chambre et me força à me lever. Je n’avais pas ma culotte qui devait être coincée dans les méandres des draps. Un rapide coup d’œil dans la chambre vérifia qu’elle n’était pas visible et je me mis à table les fesses nues sous mon pyjama. Tout le monde était assis et je m’aperçus que deux boutons de mon pyjama étaient retirés. J’en remis un seul ne voulant pas faire ma prude alors que je m’étais masturbé une bonne partie de la nuit.
Après le petit déjeuner, Sonia m’emmena dans la salle de bain pour vite se laver. Elle se mit nue et fila dans la douche. Je me lavai les dents et ensuite, Sonia se sécha pendant que j’entrai dans la douche. Sonia ne rata pas le fait que j’avais les fesses à l’air. Elle me demanda : « Tu ne mets plus de culotte pour dormir, toi ? ». Je levai les épaules en rétorquant « J’ai 19 ans maintenant et si je veux dormir le cul à l’air, ça me regarde ! ». Sonia rigola et me répondit « Ne te fâches pas ma chérie, je suis contente que tu te dérides un peu, j’espère que tu n’es plus vierge ! ». Je ne répondis pas et préférai me laver. En sortant de la douche, Pascal avait nettoyé la cuisine et rangé les chambres. Je devins toute rouge quand je vis ma culotte trôner en évidence sur les draps pliés de mon lit. Il fallait que ce soit Pascal qui la trouve. La honte mortelle me toucha et je m’empressai de la prendre pour la glisser dans mon sac de linges sales.
La matinée continua dans les préparatifs de la première randonnée et personne ne parla de l’incident de la culotte. Je fulminais intérieurement dans mon coin. Comment pouvais-je avoir laissé ma culotte à la vue de ce mec ? Qu’est-ce qu’il était venu fouiller dans ma piaule et toucher mes fringues ? Je rageais et pestais prête à faire un . L’ambiance dans la voiture était pourtant à la fête au fur et à mesure que nous arrivions vers le point de départ de la randonnée. Pascal gara la voiture sur un bas côté et nous mîmes les chaussures et chacun prépara son sac. Sonia me lançait des regards désapprobateurs parce que je faisais la gueule. Je continuais quand même à être en colère même si ça faisait chier tout le monde mais je me voyais mal dire à haute voix que j’en voulais à son mec d’avoir trouvé ma culotte que j’avais retirée pour me caresser. Seul Pascal avait l’air content comme d’habitude et je crois que c’était ça qui me mettait dans une rage folle. Ce mec touche mes vêtements intimes et il est content de lui.
La randonnée commence et je suis le rythme tranquille de la montée. A chaque pas, je repassais les derniers faits et je décidai de faire le vide si je voulais passer des vacances reposantes. J’oscillais entre la colère et le sentiment de vengeance car s’il avait touché ma culotte, il n’était pas prêt de toucher autre chose venant de moi. Je n’allais pas lui faire de cadeau à ce con.
Jusqu’à midi, nous montons régulièrement et Pascal est toujours aux petits soins avec les deux filles qui l’accompagnent. Je ne réponds à aucune de ses gentillesses mais il continue quand même à être agréable. Cette manière d’être me colle les boules et j’aimerais lui mettre des gifles. Dans un sous-bois, on se trouve un coin en retrait et on commence à manger. Vers la fin du repas à base de pain frais pris du matin, Sonia s’éloigne pour faire ses besoins. Dès que Sonia n’est plus visible, Pascal me demande s’il a fait quelque chose de mal. Je lui lance un regard noir et …et… et je ne sais pas comment lui dire.
Pascal, après mon moment de silence me parle tout doucement : « C’est moi qui ai insisté auprès de tes parents pour que tu viennes en vacances avec nous parce que j’étais sûr que cela te ferait du bien. Je suis très content que tu sois là avec nous mais si vraiment, c’est une galère pour toi, je peux te ramener chez toi demain. Je n’ai pas envie que l’on passe deux semaines à se pourrir la vie pour un détail. Ok ? ».
Sur ces paroles, ma colère baisse très vite et je me trouve conne d’avoir été si égoïste. Après un moment de réflexion, je lui réponds doucement « ok ! je reste mais ne touche plus à mes affaires ! ». Pascal eu l’air surpris et un grand sourire s’afficha sur son visage. Il me dit tout joyeux « C’est pour ça …elle est tombée des draps quand j’ai fait le lit et je me voyais mal la laisser traîner par terre. La prochaine fois, je ne m’occuperai pas de ta chambre si tu as peur que je trouve d’autres choses. Ce matin, je l’ai fait pour te rendre service et pas pour jouer le voyeur. Je te demande pardon. ». Je me retrouvais comme une conne avec mon caractère de chienne et je réussis juste à dire un petit « mouais » souligné d’un sourire de paix. Pascal sourit aussi et me dit en retour « Entre nous, j’ai été surpris par le style de culotte, je pensais que tu portais plutôt des strings ». Je fis la moue pour lui faire remarquer que le sujet était sensible mais il éclata de rire et se leva en disant « Allez, je vais aller vidanger aussi moi… ». Il s’éloigna en riant toujours et me laissa toute seule.
Sonia revint et me demanda si ça allait. Je lui dis que ça allait et que je me sentais bien. Sonia m’indiqua que je n’étais pas très cool depuis le départ. Je m’excusai et lui promis d’être plus cool dans l’avenir. Pour rompre le silence qui suivit, je dis à Sonia que son mari était super gentil. Sonia sourit doucement et me dit sous couvert du grand secret « Et je crois qu’il t’aime vraiment beaucoup, j’en suis presque jalouse. Tu sais que c’est lui qui a fait le auprès des parents pour que tu viennes avec nous. Et encore, tu ne sais pas tout mais je t’assure que tu as de la chance d’avoir un cousin par alliance comme lui ». Sur ce, Pascal revint et tout le monde reprit les sacs pour repartir vers l’objectif de notre montée.
Pendant la suite de la journée, j’appréciais le paysage et je prenais un réel plaisir à être dans les montagnes. L’ambiance était bon et la balade se déroula dans de très bonnes conditions. A la croisée d’un chemin, Pascal en profita pour nous arroser avec l’eau d’une petite cascade et avec Sonia, nos maillots mouillés collaient au corps. Mon maillot laissait voir le dessin de mon soutif et le maillot de Sonia montrait le relief de dentelle. Pascal fit mine de ne rien voir mais je me demandais s’il ne voyait vraiment rien. Tout se passa très bien jusqu’au retour à la voiture. Nos jambes n’en pouvaient plus et j’avais l’impression que mes pieds allaient prendre feu si je mettais de la paille à côté.
Le retour au mobil home se fit vite et j’eu le privilège d’accéder à la douche en premier. Je me changeais en prenant soin de prendre une belle culotte et de ne pas mettre de soutif. Les paroles de Pascal et Sonia lors de la pause m’avaient travaillé un peu et je trouvais effectivement que j’avais de la chance d’avoir un cousin comme lui. Je pensais à demain matin et s’il devait trouver ma petite culotte, il verrait de quoi je suis capable mais il serait déçu parce qu’il était hors de question que je me colle une ficelle dans les fesses pour faire fantasmer un mec. Enfin, voilà mon caractère de guerrière qui refaisait surface !
Sonia et Pascal prirent la suite dans la douche. Ensuite, petite soirée BBQ et un jeu de société TRIVIAL POURSUIT pour la nuit. Je fut surprise de voir que Pascal ne connaissait pas uniquement des blagues à la con mais il avait une culture générale assez bien fournie. Je gagnai quand même la partie grâce à des questions sur la chimie et l’histoire. La bonne ambiance nous amena jusqu’au lit où chacun pu se reposer. Je passai une bonne nuit et le matin, je me réveillai sereine avec encore la culotte sur moi. Avant de me lever, j’étais presque sur le point de la retirer pour la mettre sous les draps mais c’était un peu osé comme idée et cela pouvait créer un scandale.
Petit déjeuner tranquille et suivi de la douche avec ma cousine. Je voyais la mine de ma cousine pas dans sa grande forme. Elle me dit qu’elle avait ses règles et que ça gâchait un peu les vacances. Je trouvais qu’elle en faisait beaucoup pour des règles et qu’à part le problème des couches qui donnent chaud, c’était supportable. Sonia me dit « J’avais prévu de faire l’amour pendant toutes les vacances et je suis emmerdée par ses maudites règles. » Je levai les épaules car je n’avais pas de solutions. Après m’être lavée les dents je lui dis avec un petit sourire « Tu ne veux quand même pas que je prenne ta place pour faire plaisir à ton mec. ». Sans se démonter, Sonia me répondit « Arrête, si je lui propose, il serait prêt à accepter, depuis le temps qu’il fantasme sur toi ! ». Elle me cloua le bec et aussitôt, elle dû se rendre compte qu’elle avait trop parlé car elle devint toute rouge et bafouilla un « enfin…je crois…c’est un mec quoi ! …j’en n’ai que pour deux ou trois jours…oh merde ! ». Je dois avouer que l’idée d’être avec Pascal était intéressante mais il me semblait très merdique comme situation que je me fasse sauter par le mari de ma cousine pour la remplacer pendant ses règles. La matinée se passa sans autre allusion et mon esprit réussi à être occupé par des visites de caves et d’une grotte. C’était à la limite du truc chiant à en vomir mais nous avions fait ce choix en groupe. A la fin de la dernière visite, Pascal se mit au volant de la voiture et nous demanda de lui faire une promesse. Il nous dit « Plus jamais ça ! ». D’un commun accord, nous nous mirent à crier un OUI haut et fort tellement nous avions trouvé cette journée longue. Nous avons fini prêt d’un torrent pour manger notre casse-croûtes à la fraîcheur de la montagne.
Au retour dans le mobil home, nous nous sommes affalés sur le grand lit pour jouer au LOVE TRIVIA, un jeu avec des questions sur l’amour…très relatif car les questions étaient surtout basées sur de la littérature et des sondages. Pascal gagna et à chaque tour, un gage était donné au perdant. Pascal gagna un baiser sur la bouche de la part de sa femme (ouf) et une promesse aveugle de ma part. Il me fit promettre d’être gentille avec tout le monde pendant deux semaines. C’était une boutade et je réussis à rester zen sans prendre la mouche. Me retrouver sur le grand lit pendant la soirée avec ma cousine et son mari me rendait toute chose et je me disais qu’ils avaient fait l’amour au même endroit il y avait à peine plus de 2 jours.
J’étais allongée à la place de Pascal et j’utilisais son oreiller pour poser ma poitrine. J’imaginais Pascal dormir dans quelques instants à l’endroit où j’avais posé mes seins. C’était excitant et les questions du jeu me procuraient aussi une petite excitation. Nous rigolions beaucoup et le jeu grivois me libérait l’esprit. Sonia rigolait en me regardant bizarrement comme si elle était contente pour moi de quelque chose que je ne comprenne pas. Elle proposa de faire une partie en strip tease mais Pascal lui dit que je ne voudrais pas et que c’était le truc à faire en couple. Sur le coup, j’étais entièrement d’accord avec lui mais l’idée de me déshabiller devant lui était tentante. Et puis, si je gagnais, c’est lui qui se retrouverait à poil. L’idée du jeu n’alla pas plus loin et vers 1h00 du matin, Pascal se leva pour aller aux toilettes et se changer pour dormir. Sonia en profita pour me demander si je voulais dormir avec eux.
Je lui répondis : « T’es dingue ! ». Elle attendit une autre réponse puis dit « bon, tant pis ».
Pascal revint dans son caleçon et sans vraiment le vouloir, je regardais vers son sexe que je voyais ballotter sous le fin tissu. Je me demandais à quoi il pouvait ressembler. Je chassais rapidement cette idée de ma tête et me leva pour aller me préparer à dormir. Je croisais Sonia dans la salle de bain. Elle enfilait sa chemise de nuit à fines bretelles. En la regardant, je trouvais que cette tenue, la rendait très sexy. Je lui demandai si elle avait une autre pour moi car j’avais que des gros trucs qui tenaient chaud. Elle rigola en me disant qu’elle avait une nuisette mais que je n’allais sûrement pas la vouloir. Elle sortit alors d’une valise, une nuisette en satin. En me la montrant, je me demandai si c’était fait pour cacher quelques chose ! Elle rigola de voir ma tête et commença à la replier pour la ranger en disant « Tu vois, je t’avais dis que ce n’était pas pour toi ». Relevant le défi, je la lui pris doucement des mains et lui dit : « Merci mais je crois que j’ai un gage pendant deux semaines. Tu ne me connais pas beaucoup ma chère cousine ! ». Sonia fit des yeux tout ronds et sortit de la salle de bain en me disant « Tu m’épates ! ».
Seule dans la salle de bain, je fis ma toilette intime et j’enfilai le déshabillé. Je voyais mes tétons pointer à travers le tissu et la longueur du vêtement s’arrêtait juste sous ma culotte. J’avais le choix entre, je montre mes seins ou je montre ma touffe. Puisque ma cousine m’avait lancé un défi, je devais le relever. Je retirai ma culotte et la rangeai dans le sac de la salle de bain. Ma toison châtain se voyait si je levais les bras et mes seins se voyaient si j’osais me baisser un peu. Je pris un miroir et le mis derrière moi. En me baissant, d’une part, on voyait mes seins devant mais mes fesses se voyaient derrière. Le dilemme pour moi car si je sortais comme ça, c’était une incitation au viol. En sortant de la salle de bain, Je vis que la porte de la chambre de ma cousine était ouverte et Pascal et Sonia attendaient patiemment que je sorte. Pascal poussa un « bravo » soutenu par un sifflement approbateur. Quant à ma cousine, elle me dit « Ben ma cochonne, tu es vraiment splendide ». J’étais rouge et je n’osais bouger de peur qu’un mouvement dévoile ma féminité. Je réussis à dire « Ouais, ben vous pouvez rêver pour que je vienne vous dire au revoir. ». Pascal me répondit « Si c’est un problème, je voudrais bien venir mais ma femme m’a accrochée au lit ». Je dis « A demain » et m’enfermai dans ma chambre.

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