Histoires De Pieds - La Fête De Fin D'Année
Javais plané toute la soirée, les yeux fixés sur elle.
Carole possède un style particulier. Elle porte souvent des chemises amples, de toutes les couleurs, des jeans bien souvent déchirés, et des bottes. De vieilles bottes, dont elle ne se sépare jamais, été comme hiver.
Cétait maintenant la fin de lannée scolaire et un week-end entier avait été organisé pour fêter ça.
Nous avions élu domicile chez Carole, dont les parents qui sont paysans possèdent une grande ferme et un terrain tout aussi imposant.
Les deux jours passés, nous étions tous un peu moites de sueur, car les parents de Carole ne voulaient pas permettre à 30 étudiants demprunter la salle de bains.
Le dimanche soir, il ne nous tardait quune chose. Le lundi, où nous rentrions chacun chez nous en vacances, et où nous pourrions prendre une bonne douche.
Nous étions tous exténués, et vers 3h du matin, chacun se rendit vers la place qui lui avait été imposée pour dormir.
Nous étions 4 dans notre tente. Un homme que je connaissais à peine, Claire, Carole et moi.
Chacun sentait la sueur, même Carole qui navait pas voulu profiter de son statut pour prendre une douche.
Après avoir fait un tour aux toilettes, je me rendis vers la tente.
Mes trois voisins y étaient déjà installés, ne me laissant quune place assez inconfortable.
« Désolé Chris, plus de place, cest ton tour dêtre au fond ! »
A contrecur, je me défis de mes chaussures, et rentrait minstaller à ma place.
Phil dormait dun côté, et Carole de lautre. Au milieu se trouvait Claire. Au moment où je regardais ma pitoyable place, je vis quils avaient tous quitté leurs chaussures. Claire et Carole avaient respectivement quitté leurs ballerines et bottes, les mettant à lextérieur, près de là où je dormais. La plupart des gens se seraient plaint. Mais lidée davoir les pieds nus de Carole sous le nez ne me déplaisait pas. Surtout si ils avaient passé deux jours dans des bottes.
Mon cur bondit dun coup, et je sentis monter une chaleur en moi, ainsi quune excitation certaine.
Vive le camping.
De petits pieds bien archés, taille 37 à vu dil, étaient posés là, plante vers le haut.
Claire avaient des pieds bien plus grands, sûrement du 40 ou même 41.
A la lumière de ma lampe, je pouvais voir la belle couleur orange de leurs plantes, signe dune sueur évidente. Ceux de Carole étaient plus foncés à certains endroits, en lon ne pouvait blâmer les bottes den avoir été la cause.
Je me couchais de suite, la tête bien entendu au niveau des pieds de Carole. Je laissais lexcitation monter, et finis par éteindre ma lampe-torche.
Tous tombèrent dans le sommeil comme des masses, mais pas moi. Javais rapproché ma tête à quelques centimètres de ses pieds, et leur odeur me rendait fou.
Jétais maintenant sûr quils dormaient tous.
Dans le noir, je me redressais un peu, et, à lodeur, me rapprochait encore plus. Ils étaient là, peut être 1 cm plus bas.
Lodeur était vraiment intense, et aurait été insoutenable pour quelquun naimant pas ça.
Je montais et descendais le long de son pied, inspirant plus quexpirant, essayant de définir où lodeur était la plus forte.
Le talon me semblait un bon candidat. Cependant, arrivé à la base des orteils, je faillis éjaculer dun coup. Cétait bien ici.
Nen pouvant plus, ne me maîtrisant plus, je collais mon nez contre cet endroit où la sueur, le vieux cuir et la saleté avaient fait des merveilles. Elle ne bougeait pas.
Délicatement, je pris alors 2 orteils que jécartais afin dy enfoncer mon nez.
Je devenais fou.
Je me retirais alors, car une question me trottait dans la tête. Et Claire alors ?
Mon cur se mit à taper plus fort, je nen pouvais plus. Je vins à me demander si personne nétait jamais mort dune crise cardiaque due à lexcitation.
Voulant maintenir le suspense et lexcitation, je décidais davoir un aperçu de son odeur.
Je lapprochais et finis par reconnaître la ballerine. Je la collais alors sur mon visage et reniflai lintérieur.
Mon dieu, comment peut-on aimer une odeur aussi
sale. Suave.
Jhumais et humais encore le résultat de ces deux jours de fête. Je tendis le bras à nouveau, et ramena lautre ballerine.
Cest avec stupeur que je découvris que Claire y avait rangé ses petits bas. Lodeur dun bas-collant ayant été porté quelques jours ma toujours rendu fou.
Je les avais déjà aperçu il y a quelques jours, lorsquelle avait retiré sa ballerine pour en déloger un petit caillou. Des bas dont la partie des orteils et du talon commençait à noircir sous leffet du temps passé dans ces chaussures à lodeur exécrable.
Je les mis donc sous mon nez, et, ne tenant plus sortit mon affaire pour commencer à me branler en silence.
Les yeux fermés, sensible à tout bruit, je me masturbais.
Un frottement se fit entendre, et marrêtais, aux aguets. Jattendais. Puis, plus rien.
Je recommençais alors là où je métais arrêté. Cest alors que je senti quelque chose toucher mon gland. Jouvris les yeux.
Elle était redressée, à peine discernable dans la pénombre.
Claire frottait sa plante de pied sur mon gland. Elle le mit ensuite à la base de ses orteils, et samusait à les recroqueviller pour me le branler.
Sous le choc, je continua, croyant rêver.
Cest alors que son deuxième pied vint recouvrir mon visage. Je lâchais ses bas, et, dune main, attrapais son pied pour mieux le sentir.
La ballerine navait pas menti. Sa propriétaire a les pieds qui puent.
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