Paul Me Soumet - Partie 1

Avant de commencer, je précise que c’est une histoire que j’ai réellement vécu. J’ai embelli un peu et je vous ai épargné quelques aspects de la chose, mais il reste que le fond est ce que j’ai pu vivre. C’est terminé aujourd’hui, mais ce fut l’une de mes expériences sexuelles les plus excitantes. Enjoy.

Cela faisait maintenant un an que nous étions ensemble. Un an de bonheur, nous devions fêter ça. Et pour ce faire, quoi de mieux qu’un bon petit week-end dans un hôtel à profiter du room service et du calme en amoureux? C’est du moins la surprise que mon petit copain m’a fait. J’étais vraiment très contente, mais loin de me douter de ce qui allait se passer dans cette grande chambre luxueuse.

Avant d’aller plus loin, il faut que je vous explique la relation particulière que j’avais avec ce mec. Appelons le Paul. Paul m’avait avoué, 2 mois à peine après le début de notre relations, que ce qu’il aimait faire pardessus tout sexuellement parlant, c’était de dominer les femmes. Lorsqu’il m’a avoué cela, je l’ai tout de suite rassuré : j’étais prête à essayer au moins une fois pour lui faire plaisir. Je n’étais pas du tout fermée à l’idée, bien au contraire, cela m’excitait de vivre une nouvelle expérience.

Ainsi, un week-end ou nous étions partis faire du ski en montagne et ou nous avions loué un petit chalet rien que pour nous deux, il me déconcerta en sortant de son sac un paquet de cordes.
-Charlotte, tu m’as dit vouloir me faire plaisir l’autre jour. Et si on commençait dès ce soir?
Cela me fit sourire et je sentis tout de suite l’excitation me gagner.
-Quelle bonne idée!
Paul changea alors du tout au tout. Il me dit d’un ton autoritaire et froid, un ton que je ne lui connaissais pas, de me déshabiller entièrement. Étonnée par son attitude, je ne réagis pas tout de suite.
-T’attends quoi salope? Que je te déshabille moi-même? Tu le regretterais.
Complètement décontenancée, je me suis dépêchée d’obtempérer, à toute vitesse, pour ne pas le mettre en colère.

J’avais un peu peur de ce Paul que je n’avais jamais rencontré, mais j’étais à la fois vraiment très excitée.
-Bien. Mets-toi à genou maintenant et lève les bras au dessus de ta tête. Écarte tes jambes également. Voilà, bien.
Il s’accroupit alors à mon niveau et me murmura à l’oreille.
-À partir de maintenant jusqu’à demain soir, lorsque nous quitteront le chalet, tu es mon objet. D’accord?
J’acquiesçai malgré mon inquiétude, mais je pouvais déjà sentir ma chatte qui s’humidifiait. Sans un mot ni un regard de plus, Paul entreprit alors la tâche de m’immobiliser grâce aux cordes qu’il avait apporté. Ce fut simple, il ne m’attacha que les poignets derrière le dos et les pieds. Puis, il fit passer une corde autour de ma taille et une autre entre mes jambes (passant entre mes fesses et appuyant bien sur mon clitoris), qu’il relia à celle autour de ma taille.
-Aujourd’hui, rien de trop compliqué puisque c’est ta première fois, me dit-il, mais ce ne sera pas toujours ainsi.
Un frisson me parcouru l’échine, mais je souris, attendant la suite. Ce qu’il fit me surprit encore plus que tout le reste. Alors que je m’attendais à ce qu’il soit encore très brusque avec moi, il me prit doucement dans ses bras et me porta vers le lit. Une fois allongée, il se recula un peu et me regarde longuement, un petit sourire au coin des lèvres. Il s’approcha, s’allongea à mes côtés et commença à m’embrasser langoureusement et à me caresser. Je mouillais comme une fontaine, j’étais aux anges. Il approcha sa main de mon entre-jambe et me caressa en faisant bien attention de ne pas toucher à mon clitoris. Il m’excitait.
-Tu aimes mes caresses?
-Oui…
-Tu aimerais que je te caresse ou plus particulièrement?
J’étais beaucoup trop gênée pour répondre à cette question, d’autant plus que je savais qu’il connaissait parfaitement la réponse. Je ne fis que gémir un peu.
- Réponds-moi ma petite salope.
En disant cela, il faisait rouler mes tétons entre ses doigts, pendant que son autre main caressait l’intérieur de mes cuisses… je n’en pouvais plus d’attendre, je voulais qu’il me masturbe.

-Tu sais ce que je veux Paul…
-Non. Dis-moi clairement ce que tu veux, sinon j’arrête tout, je te détache et nous passerons une soirée banale.
J’étais éberluée et je ne voulais surtout pas que ça s’arrête.
-Je… hum. Je veux que tu me masturbes.
Il sourit. Il prit la corde et la déplaça doucement pour laisser libre mon clitoris maintenant gonflé de désir. Puis je sentis son doigt le titiller, l’effleurer à peine. Des frissons me parcouraient et je lui tendis mon bassin pour qu’il augmente sa pression. Mais il n’en fut rien, il continua de me l’effleurer. Et, sans crier gare, il m’enfonça un doigt au plus profond de ma chatte.
-Ooooh… putain….
-Ça te plait, petite soumise?
-Putain, oui…
-Bien.
Et sur ce mot, il s’arrêta complètement. Je gémis de mécontentement et le regarda en l’interrogeant. Pourquoi arrêter, c’était si bon!
-Il faut bien que tu comprennes, ma chienne, que tu n’as pas le droit de jouir tout de suite. La jouissance, dans ta condition, ça se gagne. Je vais donc te donner trois options pour y arriver. Est-ce que ça te va?
-Oui…
-Bien. La première, c’est 15 claques sur les fesses.
Je le regardai, les yeux ronds. Je ne pouvais pas croire qu’il me faisait une telle proposition.
-La deuxième, c’est 15 claques sur les seins. Et la troisième c’est 15 claques sur ta chatte. Que choisis-tu, salope?
-Est-ce que c’est vraiment un choix!? Je ne veux pas que tu me fasses ça Paul, s’il te plaît!
-Eh bien, comme je le disais plus tôt, nous pouvons tout arrêter et je ne te ferai pas jouir ce soir. Si ce n’est pas ce que tu veux, choisis, et plus vite que ça, chienne.
-Je, euh… je ne sais pas…
Qu’est-ce que c’était humiliant de devoir choisir à quel endroit je me ferais frapper! J’avais les joues en feu et je tremblais, mais j’étais tellement excitée…
-Eh bien?
-15 claques sur les fesses… répondis-je dans un murmure.
-Pardon? Je n’ai pas bien entendu.
Parle plus fort que ça espèce de garce.
-15 CLAQUES SUR LES FESSES.
D’un coup, il me retourna et se positionna sur mes jambes. Il me caressa les fesses lentement, c’était très doux. Tellement que j’en oubliais ce qu’il voulait me faire. Puis, sans que je m’y attende :
*Clac! Clac! Clac!*
Trois d’un coup. De surprise, j’émis un petit cri apeuré.
-Je ne veux pas t’entendre, sinon je devrai te bâillonner. C’est clair ?
-Oui…
*Clac!*
Je me retins cette fois-ci, par peur qu’il ne mette sa menace à exécution. Il continua ainsi jusqu’à ce que le compte soit bien à 15. J’avais mal, je sentais que mes fesses étaient rouges. Je retenais mes larmes, mais je sentais aussi l’excitation dans mon bas ventre me gagner. À mon plus grand étonnement… Paul me retourna sur le dos et m’embrassa.
-Tu es une bonne soumise, c’est bien.
Il descendit sa main et recommença à me caresser le clitoris.
-Ma parole, mais tu es trempée! Tu fais une belle salope. Dis-moi que tu es ma salope.

Je me refusais à affirmer un truc pareil. Puis *vlan* ! Il venait de me frapper un sein avec violence.
-Ne me désobéis pas et dis-le moi.
-Je… je suis ta salope…
-Bien. Tu veux jouir, espèce de traînée?
J’étais tellement excitée que j’aurais tout donné pour jouir à ce moment là.
-Oui…
-Oui, quoi?
-Oui, je veux jouir.
-D’accord. Je vais te masturber jusqu’à la jouissance, mais tu dois me prévenir avant de jouir. Compris?
-Oui.
Il se mit à me caresser plus vivement. Il me doigtait la chatte d’une main tandis que l’autre agaçait mon clitoris avec vigueur. Je sentais l’onde de plaisir m’envahir, c’était si bon! J’ondulais mon bassin et je gémissais de plus en plus fort. J’allais exploser.
-Je vais jouir! Je vais jouir!
-Non.
Et il arrêta tout d’un seul coup. Je laissai échapper un gémissement découragée.
-Tu te crois ou? Je ne vais certainement pas te laisser jouir alors que je n’ai pas joui encore.

Sur ces mots, il s’assit sur mes seins et présenta son sexe dressé à mes lèvres.
-Suce-moi.
C’était sans équivoque. Son ton m’impressionna tellement que j’obtempérai sans poser de questions. Je léchai son gland avec ma langue avant de le prendre en bouche et d’essayer tant bien que mal de lui faire une fellation. C’était très difficile vu la position. Mes mains étaient dans mon dos et il se tenait juste assez près pour que je sois capable d’entrer son gland dans ma bouche, sans plus.
-Mieux que ça petite pute.
Je redoublai d’ardeur, d’autant plus que j’étais chaude comme de la braise. Je voulais qu’il jouisse dans ma bouche, je voulais lui faire plaisir et qu’il me félicite. Mais je n’arrivais toujours pas à le prendre mieux que ça en bouche. Pis, il reculait, faisait exprès pour me rendre la tâche difficile. Je gémissais de frustration.
-Tu n’es vraiment bonne à rien. Arrête. Repose bien ta tête sur le lit et ouvre la bouche.
Je fis ce qu’il me demandait. Aussitôt, il se repositionna et enfonça lui-même sa bite dans ma bouche. Il commença par de petits allers-retours pas trop profonds. Je m’habituai vite et fini par y mettre du mien, enroulant ma langue autour, laissant entendre de petits cris de plaisir. Puis d’un coup, il s’enfonça plus profondément. J’eu un haut le cœur et voulu le repousser, lui dire d’arrêter, mais j’étais sans défense. Il fit quelques vas et viens de la sorte puis s’arrêta.
-C’est ta première fois, alors j’arrête. Mais la prochaine fois, tu boiras mon foutre comme une bonne chienne.
Je n’eu même pas le temps d’analyser ce qu’il venait de me dire qu’il m’avait retourné et mis à genou, la tête enfoncée dans l’oreiller et qu’il m’avait pénétré. Il ne prit même pas un moment pour que je m’habitue à sa bite au fond de ma chatte et commença à me baiser furieusement. Il allait si fort que ses couilles claquaient à mon contact. Il me prit par les cheveux et me cria des insanités :
-T’AIMES ÇA HEIN SALOPE?
-Haaan…haaaan putaiiiin…
-RÉPONDS-MOI!
J’avais du mal tellement il y allait fort, je ne pouvais plus penser, je n’étais plus qu’une pute qui voulait jouir.
-Ouiiii, j’aime ça, défonce-moi Paul! Putain!
-C’est ça salope, je vais bien te bourrer ta chate. Je veux t’entendre crier sale chienne!
Et il redoubla d’ardeur, me faisant crier de plus belle, jusqu’à ce que je le sente se raidir contre moi. Il y alla encore avec deux ou trois coup de butoirs, puis il se dégagea et me laissa pantelante sur le lit. Je n’avais toujours pas joui, je pensais que je deviendrais folle. Je le voulais encore, je ne voulais pas que ça s’arrête déjà. Je le sentis revenir, me remettre sur le dos à nouveau et me caresser dans une douceur infinie. Il accéda enfin à ce que mon corps réclamait depuis le début : il me fit jouir. Je jouis si fort ce soir-là que mon corps tout entier tremblait lorsque ce fut fini. Paul me serrait dans ses bras.
-C’était parfait. Merci. Mais ce n’est pas terminé. J’ai dit que tu serais mon jouet jusqu’à demain soir. Mais avant, je veux être sûr que tu veux continuer. Tu sais que je t’aime et que je ne veux rien faire contre tes envies.
-Non, je veux continuer, dis-je, pleine d’excitation. J’ai adoré Paul, je veux continuer…
Il me gratifia d’un immense sourire satisfait, puis retrouva d’un coup son air autoritaire du début.
-Parfait. Il se fait tard et je veux dormir un peu. Toi tu es une chienne alors tu restes attachée.
Il me prit dans ses bras et me posa au pied du lit. Puis il attacha mes poignets à une des pattes.
-Tu restes là pendant ma sieste. Je ne veux pas entendre un bruit.
Il sortit de la pièce. Alors que je pensais qu’il était allé se coucher sur le canapé, il revint avec quelque chose dans la main. Il s’accroupit.
-Écarte tes jambes.
J’obéis. Il écarta la corde qui était sur mon clitoris et, sans crier garde, m’enfonça un petit vibrateur dans la chatte.
-Interdiction de jouir, pute.
Sur ces mots, il se coucha sur le lit et je sentis immédiatement le vibrateur se mettre en marche. J’espérais qu’il ne dorme pas trop longtemps, car je mouillais déjà abondamment…

À SUIVRE

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