La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1427)
Lesclave salope au Château (suite de l'épisode N°1412) -
- Jouit, maintenant la chienne, je lexige !
Cest avec lautorisation du Maitre que jexplose dans un orgasme tellement intense, tellement libérateur que tout mon corps est en trans à trembler comme une feuille bien secouée par le vent. Et par ailleurs, je ressens même une certaine fierté, car pour lune des rares fois, je nai pas demandé la permission du Noble pour jouir, jai réussi à attendre et à me retenir jusquà que le Maitre me lautorise. Une fois que jai retrouvé mes esprits, le Châtelain sapproche de moi et me retire dabord le carton sur mon visage, puis il commence à me caresser délicatement les cheveux ainsi que le visage, tout en me parlant dune voix douce, et rassurante, mais aussi Dominante.
- Bien, Ma chienne, Ma Nala, Mon esclave, tu es obéissante, une bonne chienne bien dressée. Et même si je nai jamais douté de ta docilité, jai toujours aimé constater une obéissance parfaite de mes soumises ou esclaves
Pour le moment, tu vas aller te coucher dans ton panier, aux pieds de mon bureau, le temps que je travaille un peu.
Monsieur le Marquis détache mes mains et mes pieds, et me montre du doigt mon panier juste à côté de Son bureau. Je my dirige à quatre pattes, tourne en rond dedans, pour finir par my allonger. Le silence me permet de me rendre compte que je suis couchée aux pieds du Maitre, et rien que cette réalité me fait tellement plaisir. Couchée aux pieds du Maitre tant chéri et Vénéré je me sens tout simplement à ma place, une chienne qui attend à Ses pieds, davoir lhonneur et la chance de Le servir. Cest après 2h de patience que le Noble m'appelle dun claquement de doigts. Je sors alors de mon panier et me mets donc en position dattente, agenouillée, mains derrière le dos, buste droit, cuisses écartées le plus possible. Il exige que je lui fasse part de mes ressentis de cette nuit dans lenclos à cochons de la porcherie (voir épisode précédent).
Jexplique au Châtelain que jai bien vite compris que de me savoir dans cette porcherie à devoir vivre comme une truie, cétait Son bon vouloir, alors je me suis concentrée sur la puissante humiliation que je vivais dans lespoir de rendre fier le Maitre, dans lespoir de vivre pleinement ce quIl a prévu pour moi. Et quand le Noble a commencé à me parler, et quIl sest trouvé durant quelques minutes avec moi, cette humiliation est devenue beaucoup plus puissante. Je finis dexpliquer au Maitre mon ressenti sincère et ce fort besoin dhumiliation en le remerciant de cette puissante humiliation à laquelle Il a pensé me faire subir. En le remerciant de mavoir laissé mexprimer ce que jai ressenti... Et même si jai le tète baissée et que mon regard est dirigé vers le sol, je sais, je ressens fortement Son regard Dominant sur moi. Me savoir observée par Monsieur le Marquis me fait frissonner de plaisir, mais aussi une certaine appréhension, celle de ne pas être à la hauteur, celle de pas plaire et satisfaire entièrement le Maitre. Cette appréhension me donne toujours envie de faire plus pour Le satisfaire, pour Le rendre toujours le plus fier possible, de toujours me dépasser pour le Maitre
Cest après un léger silence que jentends Sa voix qui comme toujours na pas besoin dêtre élevée pour me sentir toute petite, face à Son fort Charisme.
- Parfait Mon esclave, je suis fier de toi et de cette épreuve et puissante humiliation que tu as enduré pour Mon bon plaisir, et aussi pour le tien, car tu as comme pris du plaisir, beaucoup de plaisir à être humiliée et rabaisser de la sorte.
Le Maître memmène alors près des toilettes, dans laile Sud du Château que je ne connaissais pas. Postée devant une grande et haute double-porte en bois vernie, où il est affichée Toilettes pour Dames, je me demande bien ce que le Noble a prévu de me faire subir comme humiliation. Il minstalle de nouveau un uf vibrant dans mon sexe sans dire un mot, puis Il ouvre cette massive double-porte et je découvre une espèce de fosse bétonnée et creusée de la taille en longueur et largeur dun corps humain couché. Au bout de cette fosse un trou dévacuation est flanqué par une grille métallique. Monsieur le Marquis exige que je me couche sur le dos dans cette petite fosse rectangulaire. Jobéis et de suite je frisonne de froid au contact du béton lissé sur la peau nue de mon dos
Ce nest pas du tout confortable que dêtre couchée ainsi sur ce dur support bétonné. Je regarde le Maître avec étonnement, ne comprenant pas ce quIl attend de moi. Quand, sans un seul mot, il dépose sur la fosse, avec moi dedans, avec une grande planche recouvrant la totalité du trou. Seule une large ouverture dans la planche en forme de cur se retrouve juste au-dessus de mon visage.
- Vois-tu Mon esclave, ici jadis, du temps des Rois de France, il y avait ce que lon appelle maintenant un cabinet à la turc. Cest ici que Mes aïeuls venaient faire leur besoins.
Sans un mot de plus, il quitte ce cabinet à la turc et referme la porte, et jentends Ses pas séloigner
Je me sens plus quhumiliée car servir de WC public est tout simplement humiliant, dégradant. En serais-je excitée ? Je pense que oui car je sens déjà que mon sexe shumidifier par la situation sans men rendre vraiment compte, et je sens aussi luf immobile dans mon sexe qui mapporte déjà un bien-être même sil ne vibre pas encore, il me remplit et cela mexcite aussi
Je nai pas à attendre longtemps, quand au bout de dix minutes, jentends la double-porte souvrir, et je comprends quune personne saccroupit sur lépaisse planche, celle-ci craquant très légèrement dun petit bruit sec.
Ce scénario se répète ensuite une quinzaine de fois en 2 heures et sans me retenir, jai largement joui une bonne dizaine de fois au total, trop excitée par cette suprême humiliation fort excitante. Luf vibrant étant à chaque fois enclenché dans diverses vitesses, jai joui très fortement tout en étant abondamment souillée, telle une souillonne
La plus forte jouissance fut la dernière personne à être venue se vider la vessie. Toutes celles davant navaient dit aucun mot, car je suppose quelles étaient toutes des soumises, mais la dernière femme à être venue pisser était Marie la cuisinière, qui en plus du scénario habituel, avait rajouté des nombreuses insultes humiliantes en me traitant de sale cochonne, de petite merde, de sac à pisse, de souillonne etc, etc et jen passe
Quand les deux heures se termine, le Maître est revenu me chercher et ma emmené me doucher pour me retirer toute puanteur durine
- Bien, Mon esclave salope, je suis très fier de toi et je sais que tu as pris du plaisir et que tu en a joui sans modération dêtre ainsi humiliée et déshumanisée
Maintenant, il est temps pour nous de se quitter pour aujourdhui, je vais te raccompagner, toi à quatre pattes comme la chienne que tu es. Jattends ton compte rendu de tout le reste de ces deux jours, où je nai pas entendu tes ressentis
Quand il finit de parler, cest dun coup de laisse que le Maitre me fait mettre à quatre pattes et me tire vers la sortie du Château...
(A suivre
)
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