Faouzia Femme Flic. Première Partie: Ma Rencontre Avec Faouzia
Faouzia, femme flic
Première partie : ma rencontre avec Faouzia
Cette histoire commença une nuit dans laéroport dOran Es-Senia, à louest du pays. Je devais rentrer sur Alger pour régler quelques problèmes professionnels et retourner deux jours plus tard à Oran, continuer la mission de suivi dun important chantier que réalisait mon entreprise. Comme dhabitude, lavion avait pris beaucoup de retard. Cétait, parait-il, celui qui devait venir de Marseille qui assurerait ensuite la desserte dAlger. Pour on ne sait quelle raison, il navait pas encore décollé de Marignane. Ne pouvant faire autrement, nous les voyageurs - prîmes notre mal en patience. Jen profitai pour lire un essai dAmine Maalouf, que javais acheté à laéroport même. Jappréciais beaucoup cet auteur libanais et me plongeai avidement dans la lecture du livre (Cétait un magnifique essai intitulé « les identités meurtrières »).
Il devait être environ vingt deux heures quand je vis, comme dans un rêve, savancer vers moi une femme en uniforme, quun moment javais prise pour Demi Moore ! Je venais en effet de voir le film « A armes égales » dont lhistoire se déroulait dans un camp dentraînement de marines américains et dans lequel lactrice jouait le rôle dune stagiaire, habillée durant toute lhistoire dun treillis militaire, qui mettait en valeur son corps superbe. La femme qui savançait vers moi, avec le même pas énergique et gracieux, ressemblait réellement à lapprentie marine du film : la même grande taille, les mêmes épaules larges, la même poitrine arrogante, les mêmes hanches larges et rondes, les mêmes longues jambes et aussi la même croupe de pouliche. Elle en était différente par sa coupe de cheveux : noirs, coupés courts, à la garçonne (au lieu de la boule à zéro de lactrice). Elle en différait aussi par la tenue. Celle que portait la femme qui venait vers moi, était une tenue de combat de la police chargée de la lutte anti-terroriste : une salopette noire faite dune seule pièce, avec une fermeture zip qui allait du col jusquau pubis.
Cet uniforme, ce nétait pourtant pas son rôle, mettait en valeur le splendide corps de la femme policière. Je ne pouvais mempêcher de ladmirer ; peut-être même avec un sans gêne indécent et dérangeant pour elle. Elle sarrêta devant moi, me fit le salut règlementaire des policiers sadressant à des civils, et me demanda si elle pouvait me parler.
- Avec un grand plaisir ! lui dis-je.
- Voila, dit-elle en me montrant une grande enveloppe. Il faut absolument que cette enveloppe parvienne cette nuit au commissaire principal de laéroport dAlger. Le policier qui devait se charger de la porter et de la remettre en mains propres a eu un empêchement et ne peut donc pas faire le déplacement. Et si lenveloppe narrive pas cette nuit, il risque davoir de sérieux problèmes. Pouvez-vous vous en charger ?
- Expliquez-moi cela lui répondis-je !
- Il suffit simplement de remettre lenveloppe au commissaire qui vous attendra dans la salle de débarquement. Nous lavertirons dici pour quil vous attende. Vous naurez rien dautre à faire, mais pour nous ce sera un grand service, qui nous évitera quelques problèmes de sanctions disciplinaires et administratives.
- Daccord ! Mais expliquez-moi pourquoi, vous mavez choisi moi, plutôt quun membre de léquipage. Il me semble que cest ce qui se fait généralement.
- Léquipage de lappareil qui assurera le vol ne quittera probablement pas lappareil. Il repartira immédiatement après avoir fait le plein. Et puis, il sagit dun équipage étranger. Nous avons vérifié. Nous avons étudié votre fiche de police. Vous semblez présenter toutes les garanties de sérieux : vous êtes un homme mûr, entrepreneur et voyageant souvent entre Oran et Alger. Nous avons confiance en vous. Cest daccord ?
- Oui !
Elle me remit lenveloppe, me demanda mon numéro de portable, me donna le sien, pour que je lappelle immédiatement après avoir remis lenveloppe et repartit vers les bureaux de la police.
Lattente dura longtemps. De temps en temps, la policière venait jeter un il à la salle dembarquement et menvoyait par la même occasion un sourire superbe et lumineux ! Je le lui rendais son sourire et priait en silence pour quelle vienne me tenir compagnie en attendant lheure du départ. Evidemment elle nentendit pas la prière. Mais comme lattente se prolongeait, elle vint me proposer de prendre un rafraîchissement dans son bureau. Jacceptai avec empressement. La femme mintéressait beaucoup. Je voulais mieux la connaître.
Je la suivis dans son bureau, appréciant au passage le balancement discret de ses hanches, larges et rondes (et certainement fermes et douces, me dis-je en moi-même). Je passai environ une heure avec elle à discuter de choses et dautres, avant que le haut parleur de la salle dembarquement nannonce le décollage imminent de lavion. Au cours de cette période, jappris quelle sappelait Faouzia ; quelle avait trente ans ; quelle était originaire de Kabylie ; et quelle habitait dans un « célibatorium » (affreux néologisme signifiant une résidence réservée aux policiers célibataires; hommes et femmes séparés, bien entendu).
Je ne pus mempêcher de lui faire des compliments sur sa beauté et de minterroger sur son choix du métier de policier. Elle me répondit quaprès son bac, venant dune famille modeste des montagnes de Kabylie, elle avait trouvé intéressant de répondre à une annonce de la Direction Générale de la Sureté Nationale qui proposait une formation dinspecteurs (et inspectrices) de police sur une durée de deux années, en prenant tout en charge et en assurant un présalaire conséquent. Avec le chômage devenu endémique, elle avait sauté sur loccasion. Elle avait été prise immédiatement, car elle avait et le profil physique et le niveau de base requis.
Avant de quitter le bureau de la police de laéroport, javais fait promettre à Faouzia quon se reverrait à mon retour dAlger. Javais vraiment envie de mieux la connaître. Elle accepta, ayant sans doute compris quelle mavait subjugué par sa beauté et que je voulais aller plus loin dans mes relations avec elle. Je pensais que moi aussi javais attiré son attention et que, nétant pas mal de ma personne et ayant une situation matérielle enviable, elle était intéressée, elle aussi à mieux me connaître. Bien entendu, elle avait compris que pour moi cétait avant tout physique ; que je voulais la tirer. Mais je ne pensais pas que cette idée, la dérangeait beaucoup.
De fait, en arrivant à Alger, vers minuit et demie, après avoir remis lenveloppe au Commissaire - qui effectivement mattendait à lentrée de la salle de débarquement - je rappelai Faouzia pour lui dire que javais rempli la mission quelle mavait confiée et quelle me manquait déjà. Jétais surpris de lentendre me répondre :
- Moi aussi, tu me manques déjà !
Jeus le geste puéril de lancer le bras droit vers le ciel, poing fermé, en signe de triomphe. Cétait comme si je venais de remporter une grande victoire. Sur qui ? Sur quoi ? Je ne savais pas trop bien. Mais en fait je men fichais totalement. Jétais heureux à la perspective de la revoir le surlendemain et cela suffisait à mon bonheur. Le lendemain matin, très tôt je lappelai pour lui dire bonjour et surtout pour lui rappeler notre rendez-vous du jour suivant. Elle répondit quelle navait pas oublié et quelle aussi était impatiente. Je lappelai le soir pour lui dire la même chose et pour lui affirmer quelle me manquait. Elle répondit que moi aussi je lui manquais. Cela sannonçait superbement bien !
Et, de fait quand jarrivai le soir vers dix neuf heures, le lendemain à laéroport dOran, je la trouvai devant la porte de la salle de débarquement qui mattendait en souriant, habillée en tenue de combat, exactement comme elle létait deux jours auparavant.
- Bonsoir ma grande ! fis-je avec un grand sourire qui signifiait que jétais vraiment heureux de la retrouver.
- Bonsoir ! répondit-elle plus sobrement.
Nous allâmes récupérer ma voiture que javais laissée dans un garage à proximité et partîmes vers la ville dOran.
- Ça te dit daller manger au restaurant avant daller chez moi ? dis-je en espérant que ma proposition de finir la nuit chez moi, serait bien accueillie.
- Non ! répondit-elle. Je suis en uniforme ; je ne peux pas me permettre daller au restaurant habillée ainsi. Allons plutôt chez toi directement. Il doit bien y avoir quelque chose à manger dans ton réfrigérateur.
- Non il ny a rien, mais nous allons acheter ce quil faut en cours de route !
Jétais aux anges. Javais pensé quil maurait été plus difficile de la convaincre de venir passer la nuit avec moi. Au contraire, à mon grand bonheur, cela avait été dune facilité déconcertante. Cétait comme si elle nattendait quune occasion pour sortir de son train-train quotidien de fonctionnaire de police, affectée aux travaux administratifs dans un aéroport. Je devinais que sa vie de policière célibataire et solitaire ne devait pas être très rose. En fait quand elle me raconta, bien plus tard dans la nuit, sa vie à Oran, et avant cela à Sidi-Bel-Abbès, dans une unité anti-terroriste, je sus que cétait beaucoup plus sordide que cela. Et quelle avait vraiment besoin de souffler et de trouver une épaule forte sur laquelle se reposer.
Nous arrivâmes à la maison vers vingt heures trente, après avoir fait un détour chez lépicier et le boucher du quartier dans lequel javais un pied-à-terre. Nous entrâmes et déposâmes les emplettes sur la table de la cuisine. Je ressentais un peu de gêne et il me semblait quelle aussi était dans le même état. Cétait comme si elle et moi trouvions que les choses sétaient passées trop vite et que navions pas eu le temps de nous faire petit à petit à lidée de nous connaître plus intimement. Nous nous regardâmes un long moment en silence. Il mavait même paru que ses yeux étaient embués de larmes quelle sefforçait de retenir. Je me demandais ce qui se passait dans sa tête. Elle finit par baisser les yeux, probablement pour cacher son émotion. Jai toujours eu une âme sensible qui ne supportait pas les larmes des femmes. Cétait pour moi une situation intolérable, qui me mettait dans la gêne et montrait mon incapacité à calmer les blessures souvent morales de la femme qui pleurait devant moi.
Jétais conscient quil fallait que je fasse quelque chose et que cétait à moi de dégeler latmosphère, mais je ne savais vraiment pas comment. Dune part, javais peur dy aller trop franchement et de la choquer ; dautre part javais vraiment envie de la prendre dans mes bras. Je finis par me fier à mon intuition en ouvrant largement les bras pour linviter à venir sy réfugier. A mon grand étonnement, elle vint, presque timidement, se blottir et se serrer contre moi, mincitant à lenlacer très fort. Javais limpression denlacer une petite fille qui avait un énorme besoin de tendresse. Nous restâmes ainsi un long moment, serrés lun contre lautre, sans rien dire. Dhabitude quand jemmenais une femme chez moi, jétais plus entreprenant et plus direct: je lemmenai directement dans la chambre pour la culbuter et prendre mon plaisir. Mais avec elle, les choses semblaient prendre une autre tournure : la belle Faouzia que je pensais être une femme forte - à limage de Demi Moore dans le film - savérait avoir plus besoin de tendresse que de sexe. Faisant contre mauvaise fortune, bon cur, je me mis à lui caresser la nuque en serrant encore plus fort son corps chaud et ferme contre le mien. Elle se laissa faire, en ronronnant comme un chaton heureux.
Jéloignai son visage du mien et me mis à lembrasser tendrement: sur une joue, puis sur lautre ; sur les yeux ; sur le front ; sur les lèvres ; sur le cou. Elle se laissait faire avec un merveilleux sourire sur la bouche, mais sans prononcer un seul mot. Je voyais dans ses yeux briller une petite lueur de bonheur, comme si elle ne sattendait pas à ma démonstration de tendresse. Elle sétait certainement attendue à ce que je lentreprenne immédiatement. Jétais maintenant certain que si javais agi ainsi, je laurais déçu au plus haut point. Elle repoussa doucement mon visage pour me regarder dans les yeux. Elle me fit un sourire lumineux et dit :
- Je mattendais à ce que tu mamènes directement au lit !
- Tu es déçue ?
- Au contraire ! Je trouve que tu agis en gentleman ! Tu ne te comporte pas avec moi comme si je nétais quun corps. Je sais que tu me trouves belle et désirable ; je sais que tu veux coucher avec moi ; que tu veux me tirer comme une pute ; mais tu te retiens, pour ne pas me décevoir. Jai raison, nest-ce pas ?
- Tu as tout faux ma belle ! dis-je en ne plaisantant quà moitié. En vérité je ne pense quà ça ! Te faire lamour et te faire grimper aux rideaux ! Et y grimper avec toi ! Si je me retiens cest que jai senti que tu étais un peu triste, comme si quelque chose de triste, peut-être un souvenir douloureux, bloquait ton envie de plaisir et tempêchait de te lâcher. Jai raison, nest-ce pas ?
Elle ne répondit pas. Elle se contentait de se serrer encore plus contre moi, collant sa poitrine et son ventre contre les miens. Elle avait posé sa tête au creux de mon épaule droite et resta ainsi un très long moment. Je craignais même quelle se mette à pleurer à chaudes larmes. Javais lintuition quelle était sur le point de fondre en larmes et quelle faisait de grands efforts pour ne pas pleurer. Je continuais à lui caresser doucement la nuque, attendant patiemment que la période de forte émotion quelle semblait traverser, sestompe. Je me dis quil serait bien temps plus tard quelle mexpliquât ce quelle ressentait, et ce qui lui donnait tant de tristesse. Et puis, brusquement, elle releva la tête, me regarda droit dans les yeux, me fit un merveilleux sourire et tendit ses lèvres pour que je les embrasse.
Je posai mes lèvres sur les siennes avec lintention du lui donner un baiser plein de douceur et de tendresse. Mais je compris bien vite que ce nétait pas ce quelle voulait. Elle venait de décider de chasser les idées noires qui lui traversaient lesprit en donnant à son corps et à son âme le bonheur dune relation sexuelle torride et sans tabous. Elle ne voulait donc pas dun baiser doux et tendre ; celui-là ce sera pour plus tard, quand son corps et son âme seront apaisés. Elle voulait un baiser passionné, torride et mouillé. Nos bouches se rencontrèrent et se mirent à faire lamour. Il est en effet des baisers qui sont à eux seuls des actes sexuels qui se suffiMonique, maintenant que voussent à eux-mêmes ; qui donnent autant de plaisir quune pénétration. Et celui que me donna Faouzia, faisait partie de cette catégorie de baisers.
Elle colla, telles des ventouses enveloppantes et envahissante, ses magnifiques lèvres sur les miennes et mentraîna dans un monde merveilleux dans lequel sa bouche et sa langue agissaient en maîtres. Elle avait une langue rose, ferme, fine et agile qui pénétrait dans ma bouche à la recherche de ma langue pour jouer avec elle et aussi pour fourrager à lintérieur de ma cavité buccale et en devenir la maîtresse. Elle ramassait toute la salive quelle pouvait et lavalait goulûment. De temps en temps elle faisait retournait dans sa propre bouche pour moffrir sa salive quelle menvoyait en faisant jouer ses joues et sa langue et que javalais avec autant de plaisir quelle prenait en buvant la mienne.
Jétais - nous étions - au bord de l et heureux de lêtre. Jétais aussi excité quun bouc et sentait mon sexe, gonflé à bloc, palpiter dimpatience. Je faisais connaître à ma partenaire lintensité de mon excitation en frottant le devant de mon pantalon sur son bas-ventre. Elle me rendait la pareille en bougeant ses hanches entraînant ainsi son ventre dans une espèce de danse lascive contre limmense bosse que faisait lavant de mon pantalon. Javais du mal à me retenir. Javais envie douvrir immédiatement le zip qui fermait la combinaison quelle portait et de la lui enlever pour quelle reste toute nue et offerte. Je me retenais pourtant, tout en continuant le baiser torride et mouillé qui nous entraînait au sommet du désir. Nous ne nous arrêtâmes que par manque doxygène, au moment où elle et moi sentîmes que nous allions . Elle éloigna légèrement sa tête de la mienne, ouvrit les yeux quelle avait gardés fermés tout au long du baiser, et menvoya un superbe sourire de contentement.
- Allons dans la chambre ! dit-elle. Je veux que tu me fasses lamour tout de suite ! Nous mangerons après !
Je venais de me rendre compte que nous étions encore dans la cuisine, où nous avions déposé les emplettes. Je la repoussai avec douceur pour léloigner de mes bras, la pris par la main et lentraînai vers la chambre qui se trouvait à lautre bout du couloir. Elle me suivit tout en observant - curiosité bien féminine - les aménagements de lappartement. Arrivés dans la chambre, elle sarrêta pour admirer le grand lit qui était resté défait depuis mon départ deux jours auparavant.
- Jaime dormir à laise ! dis-je, devançant ses questions sur les dimensions du lit. En fait cest le seul meuble dont jai exigé la présence pour venir habiter là chaque fois que je viens à Oran. Mon entreprise a été retenue pour la réalisation dun grand projet et ma présence sur place est nécessaire au moins une quinzaine de jours par mois.
- Cest un champ de bataille pas un lit ! Il a dû beaucoup servir !
- Pas tant que ça ! répondis-je hypocritement en tendant les bras pour lattire contre moi et lembrasser.
Je léloignai un peu de moi, pour être à bonne distance pour pouvoir moccuper de lui enlever son uniforme fait dune seule pièce et fermé par un long zip qui commençait sur le cou et finissait sous le bas-ventre. Je pris la languette du zip et la fit glisser jusquen bas. Je vis que Faouzi ne portait rien dautre sous son uniforme quun soutien gorge à balconnets en soie blanche et, je ne fis que lentrevoir pour linstant, un string lui aussi en soie blanche. Jécartai les pans de la salopette, pour la faire glisser et dénuder ses épaules, sa poitrine et son ventre. Tout ce que je supputais sur la beauté du corps de mon amie savérait exact : des épaules larges, rondes et brillantes ; une poitrine, elle aussi large et ferme, portant une paire de seins haut perchés qui pointaient au dessus de son soutien-gorge à balconnets ; ils semblaient très doux et très fermes. Comme toute grande sportive, elle avait la taille fine et le ventre extra-plat et ferme;
Jenvoyai mes mains caresser et tester la douceur et la fermeté de ses épaules. Quelle sensation de douceur ! De la véritable soie ! Et si ferme !
- Tu es vraiment superbe ! lui dis-je, en faisant descendre mes mains pour sortir les seins de dessous le soutien-gorge.
Ils nétaient pas volumineux ; ils étaient de taille plutôt moyenne. Mais ils étaient tellement beaux ! Tellement sensuels ! Ils avaient la forme de deux pommes, blanches, fermes et brillantes; avec des tétons pointus, dressés vers le ciel, au milieu dune large auréole violacée. Je me mis à les caresser tout doucement du bout des doigts ; insistant surtout sur les tétons, qui semblaient être très sensibles. Elle confirma leur extrême sensibilité en frémissant légèrement au contact de mes doigts et en avançant plus encore sa poitrine pour exiger de mes mains des caresses plus intenses. Je me mis donc à palper et tâter les deux seins en même temps. Javais une envie irrépressible de les écraser dans mes mains et de lui faire mal. Javais toujours cette envie, quand je prenais des seins de femmes dans mes mains - peut-être un reste de brutalité ancestrale - mais je me retenais presque toujours, sachant que mes partenaires ny prenaient aucun plaisir.
Je me retins donc et passai aux tétons que je me mis à enrouler entre mes doigts. Je voyais leffet de mes caresses sur le visage de ma belle qui souriait aux anges et sur son regard qui se voilait comme si elle était entrée en elle-même et était à lécoute de son seul plaisir. Elle poussait de temps en temps un petit gémissement de plaisir, et me prenait les mains pour quelles restent sur ses seins et continuent de la caresser. Jenlevai un moment la main droite de son téton gauche pour lenvoyer dans son dos à la recherche du système de fermeture du soutien-gorge, pour le lui enlever. Jy arrivai, difficilement, au bout dune dizaine de secondes et le jetai par terre à lautre bout de la chambre. Elle resta ainsi, la poitrine totalement nue ; belle comme un cur !
- Tète-moi !
Je ne fis pas prier pour le faire. Je baissai la tête pour la mettre au niveau de sa poitrine et pris son téton droit entre mes lèvres. Je me mis dabord à le titiller avec la pointe de ma langue, puis à le lécher et enfin à le sucer tel un bébé affamé. De temps en temps je marrêtai pour me mettre à embrasser tout le sein en même temps que je le caressai. Faouzia me tenait par la nuque sur laquelle elle exerçait une forte pression pour mindiquer ce quelle voulait que je lui fasse. Elle mobligeait ainsi à passer dun sein à lautre et à les téter à tour de rôle. Quand elle sentait que je narrivais pas à résister à lenvie de mordre à pleine dents, elle tirait fortement sur mes cheveux pour mindiquer la limite à ne pas dépasser.
Jétais au bord de lapoplexie tellement jétais excité et tellement était forte lenvie de la faire basculer sur le lit et de moccuper de son jardin dEden. Pendant que je tétais un sein, puis lautre, jenvoyais ma main lui caresser lentrecuisse par-dessus le tissu de son uniforme. La caresse la fit se figer et envoyer en avant ses hanches pour accroître la pression de ma main sur sa chatte. Dévidence, elle aimait la sensation de ma main fourrageant dans son entrecuisse; même si cétait à travers le tissu. Je frottai donc de plus en plus fort et de plus en plus vite. Puis je me dis quil était temps de la déshabiller totalement et davoir accès à son intimité.
Jarrêtai subitement les baisers et les suçons sur ses seins et en méloignant légèrement delle, je fis glisser toute la salopette sur ses mollets. Elle resta ainsi en string, luniforme bloqué sur les mollets par les guêtres de ses rangers. Cétait un spectacle splendide et super bandant ! Je me fis la réflexion que ce serait vraiment plaisant de la prendre ainsi avec luniforme abaissé et bloqué sur ses jambes par la paire de rangers règlementaire quelle portait. Je me retins en me disant que ce que je voulais vraiment, cétait de voir ma maîtresse dans la tenue dEve. Toutes les parties de son corps que javais pu observer jusque là étaient superbes ; je voulais la voir dans son ensemble et admirer sa beauté.
Je la fis assoir sur le bord du lit et entrepris de lui enlever ses rangers. Cétait assez compliqué ; ils étaient fermés chacun par deux sangles qui tenaient les guêtres et par un long lacet que je mis une éternité à défaire. Mais le résultat en valait la chandelle ! Ma belle se retrouva vêtue dune paire de chaussettes en coton et dun string en soie noire ! Cétait une véritable uvre dart : une photographie artistique en noir et blanc, comme on savait les faire dans la première moitié du vingtième siècle, ou une peinture dun grand maître figuratif du dix-huitième siècle !
Je me demandai ce que je voulais lui enlever en priorité : le string ou les chaussettes ? Joptai, je ne savais pas trop pourquoi, pour les chaussettes. Au bout de lopération, je découvris deux merveilleux pieds, bien blancs, bien lisses et brillants. Javais rarement rencontré des pétons aussi beaux. Ils nétaient ni trop grands, ni trop petits ; les orteils étaient superbement dessinés, fins et longs. Dévidence elle soignait ses pieds, comme elle soignait ses mains et tout le reste de son corps. Dhabitude, les femmes - tous comme les hommes, dailleurs - négligeaient leurs pieds, pensant, faussement, quils nintervenaient pas dans lharmonie densemble du corps. Faouzia, elle savait que ses pieds étaient aussi sensuels que toutes les autres parties de son corps. Jen pris un dans mes mains pour le porter à ma bouche et lembrasser avec gourmandise. Il était doux et lisse; et il sentait si bon, malgré quil avait été enfermé toute la journée dans un soulier en cuir. Je me mis à le lécher, tirant de ma belle un petit rire de contentement. Elle semblait étonnée que je lui fasse cela (embrasser les pieds était, dans nos contrées, un signe de honteuse soumission); mais elle se laissait faire avec un plaisir évident. Cétait certainement la première fois quelle était embrasée ainsi: elle roucoulait de satisfaction et riait parce que mes lèvres et ma langue la chatouillaient.
Elle était allongée en travers du lit, les jambes se balançant dans le vide (le lit étant relativement haut). Javais une superbe vue sur tout son corps : sur ses seins pointant vers le plafond de la chambre ; sur son petit nombril rond et magnifiquement dessiné; sur son ventre plat ; sur son pubis que ne cachait plus que le petit bout détoffe de son string ; sur ses longues cuisses blanches, luisantes et entrouvertes ; sur ses genoux ronds et lisses ; et sur le tringle de son entrecuisse, que recouvrait le string et qui appelait mes caresses. Je me mis à genoux entre ses jambes, lançant mes deux mains sur son ventre quelles caressèrent longuement avant de descendre, lune sur un genou, lautre allant prendre possession de sa chatte à travers le fond du string.
Au contact de ma main sur sa chatte, Faouzia eut un petit cri de plaisir et remonta ses hanches. Le fond du string était complètement mouillé. Jintroduisis un doigt pour écarter le string et faire apparaître le paradis. La chatte de ma mie était à limage de tout le reste : belle et sensuelle ! Et brillante de mouille ! Il ny avait pas la moindre trace de poils, ni sur le pubis ni sur et autour des lèvres. Elle sétait épilée très soigneusement et limage, même incomplète, que javais sous les yeux était dune beauté à couper le souffle. Les grandes lèvres étaient longues, dodues et brunes. En les caressant, je sentis quelles étaient remplies dune mouille abondante et visqueuse. Les petites lèvres cramoisies, qui apparaissaient en dessous, palpitaient au rythme de son cur et de larrivée intermittente de sang quil envoyait. Je ne voyais rien dautre, mais le spectacle que javais sous les yeux avait encore augmenté lintensité de mon excitation et avaient donné à mon sexe des dimensions monstrueuses.
Javançai la tête vers la chatte de ma belle et plongeai ma bouche pour embrasser et sucer les grandes et les petites lèvres. Il se dégageait de lendroit un fort parfum dambre, agréable et aphrodisiaque, qui, je ne sais par quel miracle, décupla encore mon excitation qui avait pourtant atteint son paroxysme. Faouzia qui jusque là ne faisait que pousser de petits gémissements et cris de plaisir, se mit soudain à avoir des râles rauques qui venaient du fond de ses entrailles. Des râles de plaisir, accompagnés par des mouvements saccadés de ses hanches, qui montaient et descendaient au rythme des allers-retours de ma bouche sur sa chatte. Elle ne disait rien, mais me faisait part de son excitation et du plaisir quelle prenait par les pressions de plus en plus fortes quelle appliquait à ma nuque. Elle finit par perdre tout contrôle sur elle-même ; elle leva ses jambes très haut et maintint lune delle avec sa main droite. Son autre mains attrapait ma tête et tirait sur mes cheveux pour me pousser à accélérer le mouvement de va-et-vient de ma bouche et de ma langue sur et dans sa chatte. Ses râles devenaient de plus en plus forts et rapides et sa respiration de plus en plus difficile et saccadée. Je sentais quelle ne se retenait plus et quelle nallait pas tarder à avoir un immense orgasme.
Jétais content quelle jouisse comme cela, sans se retenir et sans attendre que je la pénètre. Je me dis quelle avait décidé de se laisser aller à ses désirs du moment et à ne pas résister au plaisir qui simposait de lui-même. Ma belle était partie pour toute une nuit de plaisir et dorgasmes ! Lorgasme vint en force, dévalant de ses entrailles, telle une rivière en crue. Elle lança un long cri rauque vers le ciel et déchargea dans ma bouche une quantité incroyable de jus salé et un peu acide. Je tentai de tout boire, sans totalement y arriver. Une bonne partie méchappa et coula à lextérieur pour aller sétaler sur le couvre-lit. Quand je sortis ma tête de sa chatte et que je pus la contempler de nouveau, je fus accueilli par un superbe sourire de contentement et en même temps un remerciement.
- Jai honte davoir joui comme cela ! fit-elle avec ce superbe sourire qui contredisait complètement ce quelle disait.
- Pourquoi ? Cétait merveilleux ! Tu es merveilleuse !
- Jai joui avant toi et sans tavoir rien donné encore !
- Nous avons tout le temps, ma grande ! Ne ten fais pas, je vais prendre ma part de plaisir ! Beaucoup plus que tu ne crois ! Je sais maintenant que tu nas pas de tabous en matière damour ! Moi non plus ! Nous avons été créés pour baiser ensemble et jouir comme des bêtes ! Dailleurs, nous allons commencer tout de suite !
Je venais de me rendre compte que javais gardé tous mes habits. Lidée me vint de me faire déshabiller par elle. Jai toujours aimé me faire déshabiller par une femme, elle-même complètement nue. Jaimais quelle le fasse lentement en commençant par les souliers, puis par la veste, la chemise et tout le reste. Jaimais les caresses volontaires ou non, prononcées ou légères qui accompagnaient lopération deffeuillage. Je le dis à Faouzia qui ne se fit pas prier. Elle me fit assoir au bord du lit pour soccuper de menlever les souliers et les chaussettes. Elle fit alors une chose qui mavait vraiment ému : elle prit un pied pour le caresser et lembrasser (comme je lavais fait pour elle auparavant). Jétais gêné, parce que je pensais quelle ne le faisait que pour me rendre la pareille.
- Tu nas pas besoin de faire cela ! Moi jai toujours aimé les pieds de femmes, quand ils sont mignons, beaux et soignés comme les tiens. Ils font partie de mon univers érotique. Mais je sais toute la signification péjorative qui accompagne le geste dembrasser les pieds de quelquun dans notre société. Tu nas donc pas à tefforcer à le faire.
- Qui te dis que je mefforce à quoi que ce soit ! Il sagit dune envie irrépressible que je ne veux pas inhiber. Je refuse de me contraindre à quoi que ce soit en amour.
Délicieuse Faouzia ! Elle me fit lever du lit pour me mettre debout en face delle, pendant quelle soccupait de menlever la veste, puis la chemise en dégrafant, lun après lautre chaque bouton, sans se presser. Je ne portais pas de maillot de corps ; elle dénuda ma poitrine, resta un moment silencieuse à contempler le spectacle dune poitrine velue, de pectoraux de sportif et dun ventre plat.
- Tu es beau ! fit-elle avec un sourire gourmand. Jespère que le reste est du même acabit !
Elle soccupa sans plus attendre de menlever le reste. Elle dégrafa la ceinture, déboutonna le pantalon, ouvrit le zip de ma braguette et se mit à descendre le tout, slip compris, jusque sur mes genoux. Elle sarrêta à la vue de limmense bâton dressé, à la verticale, comme un mât de tente. Jétais tellement excité que mon sexe avait atteint des dimensions incroyables. En fait, je navais pas débandé depuis le moment où je métais mis à lui caresser la poitrine. Et plus le temps passait et plus mon désir delle grandissait et plus le monstre continuait de gonfler. Javais même peur quil ne finisse par éclater ! Maintenant quil se trouvait à lair libre, il piaffait dimpatience et était secoué de temps en temps par des contractions involontaires et douloureuses. La douleur irradiait alentour par faisceaux concentriques dans tout mon bas ventre. Ce nétait pas une douleur désagréable, ni insupportable ; elle était au contraire légère et agréable. Cétait comme si elle - la douleur - me disait : « plus tu auras mal, plus lorgasme qui suivra sera intense ! »
Faouzia était en extase devant la bête. Elle sétait mise à genoux devant elle et la prit dans sa main droite pour la palper et tester sa dureté ;
- Ouah ! Il doit bien avoir trente centimètres ! Et je narrive pas à le prendre complètement dans ma main ! Jai hâte de le sentir en moi !
- Embrasse-le dabord !
Elle fit mieux que lembrasser. Elle le lécha sur toute sa longueur et sa superficie ; y compris sur les bourses. Elle titilla longuement le gland tuméfié, en forme de tête de champignon. Elle sentait que quil piaffait dimpatience et quil voulait pénétrer un nid chaud et humide. Elle ouvrit brusquement sa grande bouche en y introduisit délicatement le gland qui disparut derrière ses lèvres. Elle le suça un moment, tirant de moi mes premiers gémissement de plaisir de la soirée. Elle leva les yeux pour me regarder prendre du plaisir dans sa bouche. Jattrapai sa nuque à deux mains pour empêcher sa tête de séchapper et appliquai une forte poussée à mes hanches pour faire pénétrer lengin au fond de la bouche et dans la gorge. La sensation de chaleur et dhumidité était divine ; comme était divin le frottement du gland contre les parois buccales et lentrée de la gorge. Jétais conscient que les dimensions exceptionnelles du gland allaient lempêcher de bien respirer sil restait trop longtemps au fond de sa gorge.
Je ne restai au fond quune fraction de seconde ; juste le temps de ressentir cette sensation si agréable de rencontrer un obstacle (la glotte) et de regarder ma partenaire réprimer une très forte envie de vomir (Cest un peu mon côté pervers !). Je faisais reprendre à mon membre le chemin inverse et le faisais sortir totalement de la bouche, avant de repartir de lavant. Jadorais regarder le manche sortir totalement de la bouche de Faouzia et repartir en force à lintérieur. Jétais au paradis. Surtout que ma maîtresse faisait tout pour ne pas me faire mal avec ses dents quelle avait écarté au maximum, malgré quelle commençait, de toute évidence, à fatiguer. Mon côté pervers y trouvait une grande satisfaction.
Elle avait gardé la main sur mon manche et accompagnait ses allers-retours par une branlette magnifique. Sa main allait et venait sur le manche en appliquant une forte pression sur le gland quand il sortait dentre ses lèvres. Je sentais quà ce rythme je nallais pas tarder à jouir et à décharger tout le foutre qui était en moi. Le spectacle qui se présentait à moi, dont jétais en même temps acteur et spectateur, était dun érotisme torride : ma belle levait les yeux vers moi pour voir où jen étais dans lintensité du plaisir que je prenais dans sa bouche. Ses yeux me suppliaient de faire vite et de jouir rapidement, tant elle était fatiguée et quelle avait envie de vomir. Je jubilais à cette idée quelle souffrait. Je jubilais aussi en voyant ses yeux remplis de larmes provoquées par le frottement de mon manche contre les parois de sa gorge ; je jubilais aussi en voyant son nez couler comme une fontaine et surtout en contemplant toute la salive qui sortait de la commissure de ses lèvres et qui se répandait par terre devant nous.
Jaurais voulu que cela durât longtemps ; mais je sentis que je ne pouvais plus arrêter le flot de jouissance qui arrivait en force Jaccélérai donc le rythme de mes va-et-vient et soudain ce fut lexplosion : le flot de sperme, brûlant, épais et visqueux, qui attendait arriva avec la force dun torrent et alla se répandre en un flot continu dans la gorge, la bouche et sur le visage de ma belle qui continuait à branler lengin pour le vider complètement de tout son foutre. Elle tenta davaler tout le foutre que javais déversé dans sa bouche, mais ne réussit quen partie. Le reste sortit dentre ses lèvres et alla sétaler sur son menton et sur son cou. Quand jarrêtai déjaculer, je contemplai ma partenaire sescrimer avec tout le jus quelle avait sur elle. Elle nettoyait son visage et son cou avec ses doigts, quelle regardait un moment avant de se mettre à les lécher. Lopération dura longtemps, me faisant bander de nouveau, tant lérotisme du spectacle était intense. Elle me regardait avec ses grands yeux moqueurs, sachant combien jaimais la voir ainsi.
Je me laissai tomber à genoux en face delle, la pris dans mes bras et la serra très fort, tout en lui caressant la nuque.
- Je sais que jy ai été un peu fort, que tu as eu mal et que tu as passé tout ton temps à réprimer lenvie de vomir. Mais cétait tellement bon ! Je me suis comporté en sadique avec toi et tu mas laissé faire parce que tu voulais me donner autant de plaisir que je ten avais donné tantôt. Tu es vraiment merveilleuse et je sais que je viens de trouver ma deuxième moitié dorange ! Celle que je cherche depuis des lustres !
- Je veux que tu sois content et satisfait de moi ! Tu es lhomme que jattendais depuis plusieurs années. Depuis la mort de Salah, mon chef dans la brigade anti terroriste et mon amant et maître.
- Tu veux dire que tu nas pas fait lamour depuis des années ? Jai du mal à le croire.
Et cest là quelle sétait mise à me raconter ce quavait été sa vie depuis la fin de sa formation en tant quinspectrice de police, spécialisée dans la lutte anti terroriste jusquà la dépression nerveuse quelle avait eue deux années plus tard après la disparition de son amant en passant par la période quelle avait passée dans la wilaya de Sidi-Bel-Abbès à traquer les groupes terroristes.
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