Vacances Inoubliables (Partie 2/3)

A la lueur de ma petite lampe, je me regardais dans cette tenue bien trop courte pour moi. J’étais pour ainsi dire nue. Je voyais mes seins et ma touffe. J’étais adossée contre le mur sur mon lit avec mes jambes relevées. Si quelqu’un rentrait à cet instant, il pouvait voir mon sexe sans problème. Je trouvais ça excitant malgré tout et sans vraiment le vouloir, mon corps se relâchait et devenait en proie à des pulsions sexuelles. Je tentais de retenir mon corps mais il m’échappait complètement. Je sentais mes seins se contracter et ma vulve doucement devenir molle et chaude. Mon esprit me forçait à devenir une autre moi et je fus tentée d’ouvrir mes cuisses pour regarder mon corps s’ouvrir. J’avais l’impression de me transformer comme le papillon qui sort de sa chrysalide. Je glissais ma main sur ma hanche et je posais un doigt sur ma chatte. Mon doigt rencontra la douceur chaude et humide de mon sexe ouvert. Le contact me créa un choc électrique qui ne fit qu’accen les sensations. L’onde se propagea dans tout mon corps avec un effet de plus en plus incontrôlable. J’avais envie qu’on me prenne, j’avais envie d’être à la merci de caresses sans fin, j’avais envie de baisers, j’avais envie d’ouvrir mes cuisses et d’offrir mon sexe, j’avais envie de devenir un objet de plaisir et de me laisser envahir par des ondes de plaisir tout au long de la nuit. Je sentais mon sexe s’inonder de cyprine et mes seins commençaient à me faire mal tellement ils étaient contractés.
Je fermai les yeux et tout mon esprit était envahi de corps nus. J’entendis un grincement qui me fit sursauter et je vis ma cousine dans l’encadrement de la porte. Elle me regardait sans aucune gêne mais moi, j’étais morte de peur et de honte, je serrai mes genoux, puis après quelques secondes, je me rappelai que ma chatte ouverte était visible. Je relevai le drap sur moi et demandai à Sonia ce qu’elle voulait. Sonia entra dans la chambre et ferma la porte. Elle s’approcha de moi et mit sa main sur celle qui tenait le drap.

Elle appuya doucement pour me faire baisser la main. Son sourire était rassurant et ma main se reposa avec le drap. Sonia regarda le drap et me dit « Tu l’as tout mouillé ! Tu sais que tu es belle dans cet état ? ». Dans ma confusion, l’esprit encore embrumé, je lui demandai « Qu’est-ce que tu fous ici ? ».Sonia regarda vers la tâche sur les draps et me dit « Tu as fait une super sensation à Pascal et je viens te dire que ma proposition tient toujours. En plus, je vois que tu es dans tous tes états et que tu es prête à venir ». Je lui répondis « Mais que racontes-tu ? Tu veux que je me fasse sauter par ton mari ? T’es malade ma grande ! Et puis pour mon état, ce sont mes affaires et je trouve que tu t’occupes de choses qui ne te regarde pas ». Sonia se pencha pour regarder ma chatte encore légèrement ouverte et toujours baveuse. Elle me dit « Tu es ma petite cousine et je viens de te découvrir une vraie femme. Tu es superbe et j’aime mon mari. Si tu fantasmes sur lui, je te propose de venir dormir avec nous et il arrivera ce que tu décideras.
Depuis notre mariage, il y a trois ans, il t’a remarquée et nous parlons souvent de toi. Il est même arrivé qu’il me fasse de petits scénarii avec toi dans l’action. Je t’aime ma chérie et c’est bien parce que tu es ma cousine que je te propose ça. Si tu es toute seule dans cet état, c’est que tu es malheureuse et seule. Je te propose de vivre l’amour avec mon mari et je resterai à côté de toi. ». Je lui demandai « C’est Pascal qui t’a demandée de venir ? ». Elle me répondit sans hésiter « Et bien non, tu vois. Quand je lui ai parlé des possibilités de te faire l’amour, il a dit clairement non car il ne voulait pas perdre ton amitié ». Je trouvais ça super sympa et raisonnable mais une partie de moi criait du fin fond de mon ventre « dis OUI ! ».
Sonia se releva et sortit doucement. Je voulais dire oui mais je voulais dire non. Au moment où Sonia fermait la porte, je lui dis « OK, j’arrive ». La porte s’ouvrit sur le visage de Sonia qui resplendissait.
Je me levai et arrivai doucement avec l’idée de fuir au fin fond de mon lit et de retrouver mon gros pyjama bien protecteur. Sonia me prit par la main et m’emmena vers la porte de sa chambre fermée. A chaque pas, je devenais de plus en plus réticente en me demandant pourquoi je faisais cette marche vers… vers quoi d’ailleurs ? J’allais devenir un objet sexuel temporaire pour servir le besoin d’un mec qui ne peux pas se faire sa femme ! Je m’arrêtai et parlai doucement à Sonia : « Non, qu’est-ce que tu fais ? T’es vraiment tarée comme nana. Je ne vais pas me faire sauter à ta place à chaque fois que tu as tes règles ! ». Sonia se retourna et me répondit sans se vexée : « Si tu crois ça, tu te trompes énormément. Pascal t’aime depuis qu’il t’a vue à notre mariage. Pascal m’aime et jamais il ne me quittera. Par amour pour lui et par amour pour toi, que je vois seule depuis tellement longtemps, je veux vous rendre heureux tous les deux. Qu’il te fasse l’amour ne me dérange pas. Je pense que tu es encore vierge et la première expérience est très importante. J’ai raté la mienne et j’ai eu du mal à refaire confiance en un mec. Pascal a réussi à me faire découvrir des plaisirs que je ne soupçonnais même pas. Je t’offre le plus beau cadeau que je puisse faire.
Maintenant, si tu veux rester seule et faire ton expérience par toi-même, j’espère que tu seras heureuse. Maintenant, je t’assure d’une chose, je ne veux pas que tu te fasses violer pour me faire plaisir et celui de mon mari, je ne suis pas détraquée à ce point là. Si tu veux, tu viens maintenant t’allonger entre Pascal et moi. Je pense que Pascal te respectera comme il me respecte et il ne fera jamais ce que tu ne veux pas qu’il te fasse. D’accord ? ».
Je réfléchissais à pleine vitesse mais les idées s’entrechoquaient sans pouvoir établir une réflexion pausée. J’avais tellement envie de faire ce grand pas et en même temps je refusais d’aller m’offrir comme on donne un bonbon à un gosse. Je décidai quand même de donner une chance à ma cousine car je lui avais toujours fait confiance et à aucun moment elle ne m’avait trahie.
Je laissai Sonia ouvrir la porte de la chambre et j’entrai à sa suite. Je n’osai faire le moindre geste de peur de découvrir mon corps. La chambre était plongée dans le noir et je devinai Pascal allongé sous les draps. Il ne bougeait pas et semblait dormir. Sonia ouvrit les draps pour me laisser entrer dans le lit. Avec toutes les précautions possibles pour que le tissu continue de cacher l’essentiel de mon corps, je me plaçai sur le matelas à côté de Pascal mais pas trop près quand même. Pascal ne bougeait pas et me tournait le dos. Sonia s’allongea à côté de moi et le drap recouvrit ce trio. Après un moment de silence complet, Sonia gloussa doucement et me dit à voix basse : « Ecoute mon gros bébé comment il dort. ». Effectivement, en écoutant attentivement, la respiration de Pascal était longue et tranquille. Je commençais à me relaxer. Le risque qu’il me touche était écarté. Je me suis endormie après un long moment durant lequel je surveillais les moindres gestes et les moindres changements de respiration. Finalement, je sombrai dans un grand sommeil bien après Sonia qui dormait aussi à point fermé.
Le matin, j’émergeai doucement d’un sommeil profond malgré toutes les peurs qui m’avaient perturbé la veille. En ouvrant doucement les yeux, je voyais Sonia qui dormait face à moi. Mes peurs de la nuit revinrent rapidement et j’écoutais silencieusement pour savoir si Pascal dormait. Rien. Rien derrière moi. Rien comme si Pascal me surveillait silencieusement. Je devais me retourner pour vérifier mais je sentais que le fin tissu que je portais ne couvrait plus grand chose. J’étais sauvée par le drap qui me couvrait jusqu’aux épaules. Dans un mouvement lent, je me retournai et ouvris à peine les paupières. Le mur ! J’étais seule dans le lit avec ma cousine ! Je levai la tête et regardai la chambre. La porte était fermée et j’étais seule dans la chambre avec elle encore endormie. Je me regardais et je vis un de mes seins qui s’était sauvé de sa faible protection et la nuisette qui était remontée jusqu’au-dessus de mon nombril.
Je me tournai pour regarder Sonia qui dormait sur le côté . Elle avait une main sous l’oreiller et l’autre sur le côté. Elle avait toujours des positions pour dormir digne d’une accidentée de la route. De par ce fait, et grâce à son déshabillé, on voyait sa culotte et pratiquement ses seins. Bravo pour l’image des filles de la famille. Deux salopes dans un pieu avec un mec pour les prendre ! Mes peurs de la veille étaient moins fortes que je ne le pensais et j’étais presque déçue que Pascal ne soit pas à côté de moi ce matin. Soudain, je pensais à ce qu’il avait fait pendant que je dormais ! Il avait dû se rincer l’œil on me matant le cul ! Ca y est ! je rageais comme j’en avais l’habitude.
Un bruit dans la pièce principale me fit sursauter. Je remis les bretelles de la nuisette et rangeai mon sein à sa place. Le frottement du tissu sur mes tétons créait une contracture de mes tétons que je ne pouvais pas contrôler. Si jamais Pascal entrait à ce moment là, il verrait mes seins pointer et imaginerait des choses. A vrai dire, c’est mon corps qui parlait en réagissant à des caresses qu’il désire sûrement plus que ma tête ! Sonia commença à bouger et cligna des yeux. Elle réussit à sortir un « coucou » avec une voix pâteuse à en faire une poterie. Elle s’étendit de tout son long ce qui fit glisser le drap prit dans ses pieds. Je laissais le tissu glisser et découvrir mon bas ventre. « Faites qu’il rentre maintenant ! » mes pensées me trahissaient et je commençais à devenir une autre femme. Je commençais à désirer être… je ne sais pas vraiment…mais j’avais envie qu’un homme s’occupe de moi. J’avais envie de caresses, de tendresse, d’amour. J’étais sur le lit, assise en tailleur avec la nuisette relevée et ma chatte offerte à la vue. N’étant pas chaude comme de la braise, mon corps ne laissait voir qu’une touffe de poils. En me regardant, je voyais qu’un maillot ne me ferait pas de mal afin d’éviter d’avoir un Yeti entre les jambes. Je me levai et remis mes affaires en place. Un rapide coup d’œil dans la petite pièce ne me donna pas l’occasion de m’habiller plus convenablement. Heureusement, l’armoire contenait les culottes de ma cousine. J’enfilai une culotte et un soutif assorti. Maintenant, je me sentais un peu plus à l’aise. La poitrine de Sonia n’avait pas la même forme que la mienne mais son soutif contenait mes seins sans problème après un petit réglage. Je sortis de la chambre et fis un rapide tour aux toilettes. Pascal était à table avec un jeu de mots croisés ou de SUDOKU.
Juste un petit « bonjour » fusa entre nous s’en que je m’y attarde. Sonia sortit de la chambre et demanda à Pascal si cela faisait longtemps qu’il était réveillé. Il regarda l’heure et dit « à peu près une heure, mais je n’arrivais plus à dormir. Rend toi compte, j’ai fais un rêve bizarre. Je dormais avec ma femme et je me retrouve avec deux femmes dans mon lit ! J’ai préféré me lever avant de toucher à quoi que ce soit ».
Il souriait, content de sa connerie. Je me mis à sourire aussi parce que ça réflexion n’était pas méchante. Durant le petit déjeuner, Pascal me demanda pourquoi j’étais venu dormir avec eux. Je regardais Sonia qui me fit un signe de la tête pour m’indiquer que je devais me démerder toute seule. Je répondis alors : « J’ai eu peur cette nuit alors j’ai eu l’idée de dormir avec vous ». Pascal réfléchit et me répondit : « Cool ! Attention tout de même, je suis un obsédé sexuel et si tu dors à côté de moi dans des tenues comme celle-ci, je ne suis pas sûr de résister toutes les vacances ! ». Je commençais à rougir et enfouis ma tête dans mon bol.
La douche avec ma cousine fut spéciale car Sonia me regardait avec un regard étrange. Quand j’étais dans la douche, elle s’approcha de moi et me demanda si je voulais qu’elle me frotte le dos. N’y voyant pas d’objection, j’acceptais mais les frottements étaient plutôt des caresses douces et langoureuses. Me tournant vers elle pour lui dire de me repasser le gant de toilette, je la vis avec un doux sourire sur le visage et sa respiration était rapide, ses seins contractés et tendus alors que la chaleur et l’humidité de la pièce approchait du climat équatorial. Sonia me regarda et me dit « T’es une belle nana maintenant. Je craque pour toi tu sais ? ». Elle me donna le gant et se pencha pour m’embrasser sur l’épaule. La voir dans cet état m’amusait et je lui demandais « Tu ne serais pas entrain de me draguer toi ? Tu n’as as encore digéré le baiser de tes douze ans ? ». Elle rigola en disant « Un p’tit baiser d’adolescente qui voulait apprendre à embrasser sur la bouche…ce n’est pas une déclaration d’amour ! Je te trouve seulement vraiment belle et désirable. Depuis que nous sommes en vacances ensemble, je te vois changer de jour en jour et devenir une superbe nana. Je me demande comment tu n’as pas encore fait craquer la moitié du campus ! ».
Je me décide à voir jusqu’où elle veut aller et prend le parti de jouer son jeu. Je suis curieuse de voir ce que ma grande cousine est capable de faire. Je lui demande « Est-ce que tu as un rasoir ? Je dois raser mon Yeti ». Sonia plonge dans sa trousse de toilette et en ressort un rasoir. Je lui prends des mains et je lui demande comment elle me verrait taillée.
Elle se releva et montra sa toison brune taillée sur les ailes pour laisser juste une petite toison verticale. « Tu peux faire une élagage comme moi ! ». Je voyais la chatte de ma cousine en gros plan et c’était assez intéressant. Je lui proposai de prendre le rasoir et de me faire le maillot comme elle l’entend sans toutefois tailler tout.
Elle prit un réel plaisir à me tailler la toison. Je la voyais rouge, la respiration pressée, les seins tendus. Je me tenais debout avec une jambe sur le bord de la baignoire. Sonia, à genou, avait tout le loisir de regarder ma fente et elle ne s’en privait pas. Elle avait une grande attention de ne pas me couper et posait ses doigts sur l’intérieur de ma cuisse ou sur l’aine pour ne pas faire de blessure. La situation commençait à m’exciter et malgré mon self control, je sentis mon ventre se chauffer et commencer à dilater mon bas ventre. Sonia le remarqua tout de suite et pu voir mes lèvres s’écarter doucement pour finir comme une fleur à s’ouvrir sur ma vulve rosée et luisante de mouille. Sonia me demanda si ça allait. Je lui répondis : « Oui, c’est pas mal comme sensation. Et toi, tu y arrives ? ». Elle me regarda et dit « Je crois que c’est presque fini. ».
Je sentais les doigts de Sonia s’approcher de plus en plus de mon clito sous couvert de tenir la peau pour me raser. Je commençais à avoir les jambes flageolantes tellement l’excitation était forte. Sonia me rinça avec le jet qu’elle passa sur mes lèvres gonflées. La réaction fut immédiate comme si des milliards d’aiguilles m’électrisaient le sexe. Sonia m’averti « Attention, je vais te rincer » et sans attendre, elle glissa ses doigts le long de mes lèvres dans ma vulve ouverte. Je réussis à contenir un cri mais mes jambes ne tenaient plus et je faillis tomber dans la baignoire. Sonia me dit « Une vrai femme magnifique ».
Je ne pouvais pas lui demander d’arrêter tellement l’excitation était forte et ses caresses étaient bonnes. Dans un sursaut de lucidité, je lui pris la main et la dégagea de mon sexe. Je m’accroupis dans la baignoire et me retrouva à sa hauteur. Elle était rouge comme une pivoine et sans rien dire, nous nous sommes approchées pour nous embrasser à pleine bouche. Nos langues se trouvèrent et notre baiser fût de loin le plus beau baiser de ma vie. A l’époque de notre adolescence, nous nous étions embrassées juste pour connaître la sensation du baiser sur la bouche mais jamais les sensations n’avaient été aussi puissantes. Tout mon corps était tendu et Sonia se plaquait contre moi. Nos poitrines étaient collées et mes seins me faisaient mal tellement j’étais tendue. Notre baiser dura longtemps et nous étions devenu deux amantes plutôt que deux cousines. Mon esprit avait explosé et la réalité m’avait complètement échappée. Notre baiser s’interrompit pour que nous puissions reprendre notre respiration.
Pascal demanda à la volée : « Hep ! Les filles, vous faites votre sieste là-dedans ? ». Sonia se retourna violemment vers la porte et me regarda aussitôt après. Elle répondit avec difficulté en bafouillant : « Euh…ça va…on arrive… ». Je regardais Sonia sans savoir quoi dire et Sonia était dans le même état que moi. Petit à petit, nous nous mîmes en mouvement pour reprendre un court normal d’activités dans une salle de bain. J’avais repris possession de mon corps et de mes idées. A vrai dire, cette impression était fausse car j’avais surtout les idées embrumées.
Comme des zombies, sans parler, nous nous sommes préparées et avons laissé la place à Pascal qui patientait tranquillement. Sonia s’isola dans la chambre et j’allais chercher le pain pour les casse-croûtes du midi. On était mardi et ma vie prenait un rythme complètement aux antipodes de mes principes et de mes habitudes. En trois jours, j’ai dormi dans un lit prête à faire l’amour avec mon cousin par alliance, je me suis masturbée devant ma cousine, je me suis faite touchée par ma cousine et je l’ai embrassé à pleine bouche comme une vrai lesbienne. Qu’est-ce que je faisais ?
Perdu dans mes pensées, je me suis perdue dans le camping. J’ai facilement retrouvé mon chemin mais j’avais vraiment la tête ailleurs. Je découvrais que j’aimais ma cousine. Je l’aimais comme une cousine mais j’avais des sentiments beaucoup plus profonds. Merde alors, j’étais lesbienne avec ma cousine. Jamais je n’aurais cru cela de moi. Etant plus petite, j’avais joué aux parents et on dormait ensemble mais jamais je n’avais eu de pulsion amoureuse envers elle. Maintenant, je me demandais si j’étais normale. J’avais tellement adoré quand elle avait sa main sur mon sexe que c’était perturbant. En fait, c’était moi qui lui avais donné mon sexe pour qu’elle me touche. C’était moi qui l’avais attirée. C’était moi qui lui avais montré mon sexe ouvert la veille au soir. Sans vraiment m’en rendre compte, c’était moi qui avais allumé ma cousine.
Je tombais de haut en arrivant à cette conclusion car je découvrais une facette de moi que je n’imaginais absolument pas.
C’est à partir de ce moment que je décidais d’écrire un journal. Ce que vous lisez viens de ce jour où j’ai voulu écrire tous mes actes et tous mes sentiments, toutes mes réflexions. J’ai été étonnée quand je l’ai relu après les vacances car j’avais oublié la plupart de mes pensées.

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