Vol En L'Air
Cétait un avion très spécial, à chaque vol une personne de la classe régulière était choisie pour aller en classe supérieure. Le vol commença et le pilot débuta sont annonce. « Mesdames, Mesdemoiselles et monsieur, notre vol en direction de Montréal sera dune durée de 6 h. Notre arrivée devrait être vers là 9 h ce soir. De plus, nous avons choisi lun dentre vous pour bénéficier du traitement spécial Vol 3694. Et notre grande gagnante est Monique Duprés. »
Lintéressée se trouvait assise au milieu de la 4ème rangé. Surprise elle se leva lorsque la serveuse arriva à coté delle pour lescorter jusquà la première classe. Ravie de cette sorte de promotion elle prit son bagage à main et suivi lhôtesse.
Monique était une femme avoisinant la trentaine pesant environs 250 livres et mesurait 59. Ces mensurations lui donnaient une allure grassouillette, mais ses somptueux 38D ajoutaient à lenvie.
« Bienvenue dans la classe supérieure madame » dit lhôtesse de lair qui laccompagnait. Tous les gens étaient assis et formaient une ronde. Au centre de la pièce, il ny avait pas de table juste un grand espace vide. Monique sinstalla, un peu mal à laise de sentir tant de regard sur elle.
« Bonjour Monique, vous voici maintenant en première classe. Vous allez recevoir un traitement très spécial, cependant peut-être pas dans le sens dont vous le voulez. Vous devez tout dabord savoir que les portes sont verrouillées et que tous les membres de léquipage sont derrière ceci. Si vous refusez de collaborer, nous vous injectons avec la drogue du viol, rons de vous et vous éjecterons hors de lavion ». Dit un homme dont la voix était très calme en dépit ce quil annonçait.
Prise de peur par ces déclarations, Monique ne savait pas trop comment réagir. Elle ne voulait pas être catapultée hors de lavion mais elle ne voulait pas non plus que la situation lui échappe. Nayant pas vraiment dautres choix pour le moment, elle acquiesça timidement et resta assise en attendant de voir la tournure que prendraient les événements.
Choquée et terrorisée, la jeune femme tenta tant bien que mal de discuter lordre donné. « Mais
mais
non je ne vais pas me mettre nue devant tous ces gens. » À peine avait-elle fini sa phrase que deux serveuses savançaient vers elle, une seringue à la main et une paire de menottes dans lautre. Voyant bien quelle navait décidément pas le choix, Monique se repentit et sexécuta.
Habillée dun complet-veston-jupe elle commença par enlever son blason. Puis lentement, elle défit un à un les boutons de son chemisier. Elle nosait pas regarder les spectateurs qui la fixaient des yeux. Une légère larme sécoule le long de sa joue. Cétait un des moments les plus humiliants de sa vie. Elle retira finalement son chemisier. Levant les yeux quelques secondes, elle remarqua, avec une sorte de soulagement, que les personnes qui la fixaient étaient un peu moins nombreuses quelle le pensait. Ils étaient à peine 10, homme et femme confondus. Une fois son chemisier au plancher, elle défit dun mouvement de hanche sa jupe qui tomba au sol.
Tentant tant bien que mal de cacher sa semi-nudité avec ses bras, Monique refusait de continuer à se dévêtir.
Quelques seconds passèrent dans le silence jusqu'à ce quun des passages se frustre. « Allez salope, a poil ou on te catapulte dehors nue comme un ver. Ne nous force pas, tu ne serais pas la première. » Ces paroles lui glacèrent le sang. Avaient-ils déjà mis leurs plans à exécution auparavant? Monique décide de ne pas tenter sa chance sur ce point et continua à de déshabiller lentement tout en tentant de cacher la honte quelle ressentait. Elle défit lentement son soutien gorge, le laissant tomber au sol avec le reste de ses vêtements. « Allez tourne quon voit tes nichons la grosse! lança une femme assise dans son dos.
Morte de honte, elle saccroupit en position foetale et commença à pleurer malgré elle. Elle ne voulait pas faire cela, mais cétait plus fort quelle. À peine sétait-elle accroupie quun une main la gifla. « HEY! Quest-ce que tu fais là? Debout et déshabille-toi entièrement maintenant ou tu seras punie comme la chienne que tu es. Et crois moi
tu ne veux pas quon te punisse ! » Murmurait lhomme qui venait de la gifler. Il affichait un sourire malsain qui laissait à penser que, non, effectivement Monique naimerait pas du tout ce qui pourrait suivre si elle ne faisait pas ce quon attendait delle.
Elle ne put cependant sempêcher de penser : Comment cela pouvait-il être? Alors quelle était perdue dans sa réflexion, elle sentit la morsure dune seconde gifle « Bon tu lauras voulu sale pute. Tu vas recevoir ta punition. »
Plusieurs mains lentourèrent soudainement, la forçant à se lever. Lhomme qui lavait frappée à deux reprises déjà la regardait dans les yeux avec un regard pervers et sadique. Il mit sa main dans ses poches et en sortit un couteau. Terrorisée, Monique commença à trembler de la tête aux pieds. Il avança la lame vers elle, tranquillement lui laissant le temps de voir les reflets brillants de la lame et dimaginer ce quil pourrait lui faire. Ne pouvant pas croire que sa vie allait finir comme ça, elle ferma les yeux et marmonnait des prières. Lorsquelle sentit la lame glacée sur sa peau, elle hoqueta de surprise en la sentant glisser contre sa chatte. La lame venait de se poser tranquillement sur sa culotte a quelques centimètres a peine de son clitoris. Dun geste brusque la lame déchiqueta les tissus, frôlant la peau de la pauvre Monique et déchira le tissu jusquà son cul.
Elle était maintenant totalement nue exposée au regard sans pitié de ses tortionnaires. Elle ne pouvait pas croire que ceci lui arrivait. « Maintenant tourne à nouveau sur toi et obéi cette fois!» Retentit une voix forte et sans appel. Morte de honte la jeune femme commença à tourner sur elle-même les voyant la dévorer des yeux. On pouvait voir ses gros seins se balancer sur son ventre. Les surplus de gras de son bide tombaient sur ses cotés et cachaient partiellement sa chatte. Celle-ci était pourvue dune belle grosse vulve épaisse et dodue. Totalement rasée, on voyait ses lèvres et sont petit clitoris à peine sortir de sa grosse chatte qui lentourait. Son gros cul était aussi large que le reste de son corps pour le plus grand plaisir de ses spectateurs qui le giflaient et lempoignaient sans douceur.
Une des femmes se leva et la poussa vers lavant la forçant à rester penchée dans cette position présentant ainsi une vue imparable sur grosse vulve qui commençait à baver de honte mais aussi dexcitation au grand damne de Monique. « Regardez moi ça, la grosse vache, elle mouille déjà. » Sur ces paroles elle lui enfonça ses doigts lui fouillant sans répit le vagin, elle entrait et sortait ses doigts les enfonçaient dans son cul, la giflait et recommençait. Elle lui prit le cul et de lautre main lui écarta la chatte afin que tous puissent bien y voir lintérieur. Cest dans cette position, prise et exposée quelle la fit marcher à reculons devant chacun des passagers assis dans la salle.
À tour de rôle ils lui observaient la vulve, largement étirée par la femme. Lui entrait quelques doigts violemment puis lui lançait un bon gros cracha au fond de son trou ouvert (je dirai plutôt dans sa chatte ouverte et humide. Monique était morte de honte, se sentant souillée jusquaux plus profonds de son intimité. Une fois le tour fini, la femme la relâcha finalement.
Pensant sa punition finalement terminée la jeune esclave sassit au centre et se mit en position foetale à nouveau tentant de cacher un peu son corps.
La voyant ainsi assise, le premier homme qui lavait « préparé » à ce qui allait suivre, savança vers elle en riant. Elle redoutait ce quil allait dire à présent. Se tournant légèrement elle le regarda sapprocher delle. « Regardez ça, elle pense quelle vient davoir sa punition. » Puis il séclata de rire. Il sarrêta soudainement devenant sérieux et menaçant. Il prit Monique par les cheveux et la força à se lever. Monique laissa échapper un cri de douleur avant de se relever maladroite et tremblante. Elle aurait voulu que son calvaire prenne fin mais il semblait que lhomme nen avait pas fini avec elle. Il la regarda droit dans les yeux et annonça dune voix triomphante : « Ta punition na pas encore commencée chienne. Ce nétait que notre apéro ce petit strip-tease. Vu que tu as désobéi, tu vas subir ta punition, maintenant! Et Cest sans appel! »
A suivre
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