Vacances Innoubliables (Partie 3/3)

Cette journée a été très dure car nous avons fait notre premier sommet à 2500m et avec Sonia, nous avons trébuché sur chaque gros caillou qui se trouvait sur notre route. A nos têtes, on voyait bien que ça n’allait pas. Je repassais en boucle les dernières aventures et je voyais bien que Sonia était dans le même état. Pascal faisait ce qu’il pouvait pour nous venir en aide. Arrivés près du but, il nous a même proposé de faire demi-tour car j’avais un mollet bleu suite à une chute sur un rocher et Sonia n’arrivait pas à reprendre son souffle. Pascal portait quasiment tout le bardas avec le maximum qu’il avait pu prendre de nos sacs.
Finalement, le sommet arriva et le sourire revint avec le panorama éblouissant. Nous nous prîmes pour des explorateurs et nous avons vidé la batterie de l’appareil photo en prenant toutes les poses de vainqueur possibles. Quand on revoit les photos aujourd’hui, on a plutôt l’impression de regarder une sortie de match de rugby mais sur le moment, nous étions des vainqueurs. La descente se fit plus facilement hormis les ampoules. Sur le chemin final, Sonia me prit la main et nous étions heureuse d’être ensemble. Pascal se mit entre nous et la chaleur de sa main dans la mienne était bénéfique. A la fin de la balade, j’étais heureuse, tout simplement heureuse. Pascal nous félicitait et on voyait qu’il était heureux pour nous d’avoir réussi cet exploit. Il nous embrassa chaudement en disant que ce soir, ce serait le resto assuré. Sonia demanda un temps mort pour faire une soirée cocooning peinarde pour se remettre de la journée. Deux voix contre une, Pascal dû se rendre et il nous promis des massages pour nous remettre de nos bobos.
Sur la route du retour, je sombrais avec Sonia à l’arrière de la voiture. Pascal nous réveilla arrivés au mobil home. Zombi 1 et Zombi 2, tels étaient nos nouveaux noms. Une douche à tour de rôle pour éviter la répétition des péripéties du matin, de toute façon, la fatigue avait pris le pas sur le reste.

Pascal prépara le repas. Un repas digne d’un homme puisqu’il a ouvert deux boites qu’il a fait réchauffer. Repas sur la terrasse avec un bol d’air rafraîchissant.
Ensuite, il nous proposa de nous mettre à l’aise pour le massage relaxant. Sonia mis sa nuisette habituelle et j’en fis autant avec la nuisette de la veille. Je gardais ma culotte et laissais à Pascal le loisir de voir mes fesses. Pour ma poitrine, j’avais pris comme décision de lui montrer si il la voyait. J’avais de beaux seins et si il les voyait, il ne pourrait que constater que c’était vrai. Sonia s’allongea avec moi sur le lit. Allongées sur le ventre nous attendions la suite des évènements. Pascal sorti un tube de baume qu’il avait acheté dans une pharmacie pendant notre sieste dans la voiture. Il commença par Sonia qui fut massée de haut en bas avec l’odeur du baume qui envahissait la chambre. Sonia enleva sa nuisette pour permettre à Pascal de la masser sur tout le dos sans être ennuyé par le tissu. Elle s’endormi avant la fin du massage. Je la regardais dormir avec un visage détendu. Je la trouvais belle. Elle avait un petit nez entouré de deux beaux yeux d’un vert turquoise. Ses cheveux légèrement ondulés s’étalaient sur ses épaules jusqu’au bas de ses omoplates. Elle était belle et c’était ma cousine. J’étais fière d’avoir une cousine comme elle.
Pascal se mit à côté de moi et me demanda comment on faisait. Je relevais la nuisette tout en gardant mes seins cachés dans le tissu. Il commença à mettre du baume sur les épaules après avoir passé le maximum de tissu au dessus de ma chevelure. Le baume était chaud et les caresses sur le haut du dos me faisaient un bien fou. Je sentais les mains courir sur mon corps et venir de temps en temps sur le côté de ma poitrine comprimée mais sans toucher la peau de mes seins. Le massage descendit sur les reins et les hanches. Tout mon corps se relaxait et j’avais l’impression qu’il me retirait des poids au fur et à mesure du massage. Pascal baissa légèrement le tissu de la culotte pour descendre plus bas sur la colonne vertébrale.
Je le laissais faire car j’avais confiance en lui. Il mit du baume sur mes cuisses et commença des longues allés et venus le long de mes cuisses. Ses caresses remontaient entre mes jambes mais jamais plus loin que le raisonnable. A aucun moment, je n’eu l’impression qu’il profitait de la situation. Soit il était raisonnable, soit il était tellement crevé qu’il voulait en finir et dormir. Le massage continua jusqu’au pied mais j’avoue ne pas avoir tout vécue. J’ai dû sombrer vers le massage des chevilles car après, j’ai un grand vide. Le lendemain, Pascal nous a avoué qu’il nous a recouverte et que nous n’avions fait aucun mouvement. Cela ne m’étonne absolument pas.
Le mercredi matin, j’avais un peu froid et je me blottissais contre la chaleur d’un corps. Ma main attrapa un morceau de nuisette pour la tirer vers le bas. Cette merde ne cachait rien et en plus j’avais froid. Un bras m’enveloppa et une douce chaleur me couvrit. La main sur mon ventre me caressait doucement. C’était bon et la chaleur que me procurait cette caresse irradiait dans mon corps. Je bougeais lentement pour me coller encore plus au corps contre moi. Je savais que c’était Sonia et j’étais bien avec ma cousine. Mon esprit se mit en alerte quand je me rendis compte que la main sur mon ventre semblait forte. J’ouvris les yeux doucement et je voyais Sonia face à moi. Aïe, aïe, aïe ! C’était Pascal qui me caressait. Mon Dieu, que devais-je faire ? Je me voyais mal me lever et lui mettre une tarte, surtout que ses caresses étaient bonnes.
Finalement, je le laissais faire. Il me caressait le ventre et j’avais l’impression tout doucement que la main bougeait. Sur le moment, c’était imperceptible mais sa main remontait. C’était excitant comme caresse car ça me réchauffait et ce n’était pas violent du tout. Je laissais faire toujours et la main remontait doucement. A un moment, un doigt toucha la peau de mon sein, juste sous mon sein droit. Un frisson parcouru tout mon être. C’était la première fois que je laissais un homme me toucher.
Une réaction se produisit en moi et ma respiration devint plus rapide, mon sang circula rapidement en moi et chauffa toute mon anatomie. Mes seins se durcirent et ils se contractèrent. La main de Pascal revint petit à petit et caressa un peu plus le dessous de mon sein. Maintenant, je trouvais que les caresses n’évoluaient pas assez vite. Je voulais bouger pour que mon sein approche de sa main mais j’avais peur qu’il retire sa main et que tout s’arrête. Pascal continuait toujours aussi doucement ses caresses mais cela devenait insupportable tellement c’était long.
Je me décidai de jouer le tout pour le tout et de lui imposer où mettre sa main.
Juste avant de bouger, je m’aperçu que Sonia me regardait. Elle voyait bien le mouvement de la main de Pascal sous la nuisette près de mes seins et elle souriait. Sonia était toujours torse nu sauf si elle s’était habillée durant la nuit mais pour le moment, elle était sous les draps à me regarder me faire caresser le ventre. Dans un geste le plus doux possible, je pris la main de Pascal dans la mienne et la monta pour la plaquer sur ma poitrine. Sonia me fit la mine de dire Bravo. Pour couronner le tout, je poussais mes fesses en arrière pour bien faire sentir à Pascal que j’en voulais encore. Pascal passa ses doigts sur mes tétons tendus et j’avais des électrisations partout dans le corps. C’était super bon. Pascal passait d’un sein à l’autre en les caressant doucement. Il les prenait et caressait tout le contour du sein pour finir par le téton. En moi, la réaction en chaîne attaqua mon bas ventre et je sentais mon sexe devenir brûlant. Sonia bougea vers moi et écarta le haut de la nuisette pour regarder les mains de Pascal sur mes seins. J’avais l’impression que ça l’excitait de me voir me faire peloter. Elle fit glisser le drap et je pu voir qu’elle était encore torse nu avec des tétons comme les miens, tendus à mort. Elle me caressa le visage et me déposa un baiser sur l’épaule, puis sur la joue. Je sentais Pascal se frotter contre moi et j’avais l’impression que je sentais son sexe dur contre ma fesse.
Sonia souleva ce qu’elle pouvait de la nuisette et glissa sa main sur ma poitrine. Mes seins étaient caressés, malaxés, pincés, chauffés et cela me faisait le plus grand bien. Le bras de Pascal se dégagea et laissa la place à Sonia.
Sonia tira sur la nuisette pour la retirer et je fis quelques mouvements pour l’aider. Elle réussi à retirer la nuisette et la balança à terre. Pendant ce temps là, Pascal avait mit sa main sur ma hanche et me caressait la cuisse en allant sur mes fesses. Sonia s’allongea contre moi et m’embrasse sur la bouche. J’étais envahie de frisson avec une sensation de bien-être étonnant. Je laissais Pascal me caresser et j’embrassais ma propre cousine avec une délectation sans retenue. Mon corps s’offrait complètement et mes hanches oscillaient contre le sexe de Pascal que je sentais contre mes fesses. Les mains de Pascal s’aventurèrent vers le devant de ma culotte. Je sentais les doigts longer l’élastique de mon dessous et commencer à glisser entre ma peau et le tissu. J’avais hâte que cette main découvre mon pubis fraîchement taillé. Pascal devait être excité car il ne tarda pas à glisser sa main sous ma culotte vers ma toison qu’il atteignit. J’avais le ventre en feu mais j’étais tellement occupée à embrasser Sonia que les sensations se mélangeaient. Sonia me caressait les seins en me les prenant à pleine main pour les écraser et pincer doucement le téton. Elle glissa doucement vers mes seins et commença à me lécher et à prendre un téton dans la bouche. La sensation était délicieuse et je me mis à pousser de petits gémissements à chaque coup de langue qu’elle me donnait sur la pointe du téton. Je mis ma main sur sa chevelure pour la retenir sur ma poitrine. Elle arriva à dire entre deux tétés : « Tu es bonne ma chérie ».
Dans un très court moment de lucidité, je me demandais ce que je faisais ici, coincée entre ma cousine et son mari. Et puis cette question perdit tout son intérêt quand la main de Pascal alla encore plus bas vers mon clito. Je n’en pouvais plus, il fallait qu’il vienne sur mon bouton pour le prendre. Il était trop lent. Je n’en pouvais plus d’attendre. Sonia dû comprendre ce qui se passait en moi car elle glissa sa main entre mes jambes pour la plaquer sur le tissu qui recouvrait ma fente. Sonia fit aussitôt « Ohhh ! Tu es trempée ma chérie ! Laisse moi retirer ta culotte, elle ne te sert plus à rien… ».
Sans attendre une réponse de ma part, elle se redressa et quitta mes seins pour se mettre vers mes hanches qui hochaient toujours contre le sexe de Pascal. Sonia attrapa le bord de ma culotte et tira dessus pour la faire descendre. La culotte glissa sur ma hanche et Sonia arriva avec plusieurs mouvements de ma part à baisser ma culotte jusqu’à mes chevilles. Voilà que j’étais nue et Pascal en profita pour glisser un doigt sur mon clitoris gonflé de désir. Il maniait son doigt avec une grande connaissance de l’anatomie féminine car il réussissait à créer une multitudes de stimuli qui faisaient monter mon excitation à un point que le plaisir arriva comme jamais. Pris dans le tourbillon de l’orgasme qui m’envahissait, je n’entendis que vaguement Sonia dire à Pascal « Humm, elle sent bon ». Je ne compris pas de suite de quoi elle parlait car j’eu mon premier orgasme de la journée et pour ainsi dire, le premier de ma vie de femme. Je tremblais de partout et je ne retenais plus du tout mon corps. Je me surpris toute seule à pousser un cri qui ressemblait plutôt à un râle long et rauque.
Sonia souleva ma jambe libre et ouvrit mes cuisses. Je sentis que mon sexe était pénétré sans aucun problème tellement j’étais trempée. Sonia avait glissé ses doigts dans ma vulve écartelée par le désir. Pascal lâcha mon clito et bougea derrière moi. Je me pris un sein dans ma main et commença à me peloter.
Je prenais un malin plaisir à me caresser la poitrine alors que jamais je ne le faisais avant. Pascal se colla contre moi, dans mon dos et je sentais sa chaleur. Il devait être nu. Je n’avais absolument plus peur de ma nudité, ni de ce qui pouvait se passer. Je sentis Sonia retirer ses doigts de ma chatte toujours trempée et ma vulve fut envahie par le sexe de Pascal. Mes chairs s’écartèrent pour laisser entrer le sexe de Pascal qui me pénétrait doucement. La sensation, ou je devrais dire les sensations étaient extraordinaires. D’un coup, c’est mon corps qui fit le mouvement en arrière pour faire entrer Pascal plus loin en moi. Je poussais un gémissement de bien-être tellement la pénétration était délicieuse. Je m’attendais à avoir mal mais c’était tout le contraire. Pascal s’enfonça en moi encore plus loin en moi.
Sonia faisait des commentaires et elle devait regarder mon sexe se faire envahir. Je l’entendais dire « Ohh, c’est magnifique », « Super », « C’est trop bon », « Oh, mon Dieu »… Ma défloraison semblait faire de l’effet à ma cousine et elle poussait des gémissements pratiquement en même temps que moi. Je glissais sur le ventre et Pascal écrasa son bassin sur mes fesses pour me pénétrer complètement. Il commença des allés et venues avec une lenteur qui donnait le temps à chaque sensation de se déverser en moi. Je faisais l’amour et c’était exceptionnel. Ma vulve était comprimée par le sexe de Pascal et le frottement de son sexe dans le mien était l’entrée dans un monde inconnu de ma sexualité. Mon bassin se tendait en arrière pour créer une pénétration différente et des frottements sur l’avant ou l’arrière de mon vagin. Je sentis la main de Sonia qui se glissait sur mon sexe gonflé pour écraser le clito. Les électrisations de mon clito ajoutées à la pénétration de mon vagin me lançaient des ondes de plaisirs jusque dans le fond de mon esprit. Pascal me prit par les hanches et me demanda de me redresser. Ne sachant pourquoi ce changement alors que les mouvements étaient délicieux, je m’exécutais avec regret. A quatre pattes, Pascal attrapa ma poitrine qui pendait de tout son poids et continua à me pénétrer. Le changement de position changea aussi les sensations et les frottements. Je poussais des « hummmm » langoureux à chaque fois que le sexe tapait dans le fond de mon vagin. Je sentais un orgasme monter doucement en moi. Sonia n’arrêtait pas de dire « Humm, c’est bon ».
D’un coup, Sonia changea de place et se glissa sous moi. Je la regardais faire et voyais son corps nu se dandiner pour passer sous moi. Soudain, je compris qu’elle voulait mettre son visage sous mon sexe pour me voir me faire pénétrer. Je trouvais cela complètement dingue qu’elle apprécie ce genre de vision. La position de ma cousine tête bêche sous moi me força à lever les mains pour laisser son corps s’allonger dans le même axe que moi. Je fermais les yeux à chaque mouvement en moi et quand je les ouvrais, j’avais une vue directe sur la toison de ma cousine. Ses jambes étaient entrouvertes et je voyais ses lèvres écartées. C’était la première fois que je voyais un sexe de femme d’aussi près et l’odeur âcre qu’il dégageait semblait envahir mon esprit. Je vis les jambes de ma cousine se replier et ses abdominaux se contractèrent. Dans l’instant qui suivi, je sentis la tête de ma cousine s’approcher de mon ventre et je devinais plus que je sentais réellement la bouche de Sonia m’attr le clito et le titiller avec sa langue. Je réussis à dire « Non » et à mettre la main vers mon ventre pour la repousser. Pascal accéléra au même moment et je dû me retenir pour ne pas tomber en avant. J’en voulais à ma cousine de me prendre le sexe en bouche mais d’un seul coup, les spasmes de l’orgasme m’envahir et Pascal s’enfonça complètement en moi. Je sentais son sexe pulser et une pointe de chaleur chauffa le fond de mon ventre. Pascal s’agitait dans tous les sens en moi et il était comme secoué par des spasmes qui le faisaient taper au fond de mon vagin. A chaque coup de boutoir, une décharge électrique se diffusait en moi et dès le début de l’agitation de Pascal en moi, mon corps répondit aussitôt dans un orgasme terrible qui me fit trembler. J’avais complètement oublié Sonia qui m’aspirait le clitoris et qui faisait glisser sa langue sur mon bouton gonflé et je la laissais faire. Pascal poussa plusieurs grognements et je me joins à lui dans les cris et les gémissements. Mes bras fléchirent et je posai ma tête entre les cuisses toujours écartées de Sonia. Pascal continuait d’être en moi et il me caressait les seins doucement.

Je n’étais plus vierge. Cette phrase revenait en moi en boucle avec une sorte de satisfaction rafraîchissante. Je respirais difficilement comme si j’avais couru pendant une heure. Ma respiration était chaude et j’avais du mal à reprendre mon souffle. J’ouvrais les yeux et j’avais le sexe de Sonia à moins de vingt centimètres de mon visage. Je sentais Sonia me lécher le sexe et ses coups de langue étaient très agréables. Je voyais ses lèvres roses et humides ouvertes sur sa vulve d’un rose plus profond. Un fil de cyprine liait les lèvres entre elles et une goutte de mouillure coulait vers les fesses. Sonia me léchait le sexe avec une telle gourmandise que je me disais qu’elle devait y trouver du plaisir. Avec un sentiment partagé entre le dégoût et le désir de découverte, je m’avançais doucement vers le sexe de ma cousine et embrassa l’intérieure d’une de ses cuisses. Je sentis Sonia trembler et cela me donna envie de recommencer. Un autre baiser sur sa cuisse, puis encore un autre un peu plus près de son sexe. Sonia tendit une jambe et écarta son autre jambe pour me laisser accès à son sexe sans problème. Je regardais le sexe de ma cousine vivre. C’était impressionnant à quel point j’apprenais de chose sur mon propre corps en regardant celui de ma cousine.
Ses fesses se contractaient de manière aléatoire et de ce fait, les lèvres vivaient aussi. Mes baisers approchaient de plus en plus de son sexe dont l’odeur me berçait. Pascal devait me regarder et cela lui donna une seconde vigueur car je sentis sa queue devenir plus présente en moi. Il recommençait à bouger dans ma chatte qui en redemandait. Maintenant que j’avais goûté au sexe, je n’allais pas laisser passer l’occasion d’en avoir plus ! Sonia gémissait de plus en plus et elle ne quittait pas mon clitoris et mes lèvres. Pascal me caressait les seins et finit par se pencher sur moi pour me rejoindre vers le sexe de Sonia. Ma position était très « X » car j’étais complètement cambrée avec mon bassin basculé en arrière pour que Pascal puisse me pénétrer complètement.
Pascal me chuchota dans le creux de l’oreille : « Je t’aime ma chérie, tu es vraiment merveilleuse ! ». Cela me toucha jusqu’au fond de mon cœur et j’étais tout simplement heureuse. En réponse à cette déclaration, je lui répondis : « Qu’est-ce que tu veux que je fasse ? ». Il me répondit sans attendre : « Glisse un doigt dans son sexe et fait moi goûter ». La réponse ne m’étonna presque pas et sans attendre, je positionnais mon index face au sexe de Sonia, juste entre ses lèvres et le fit entrer jusqu’à la garde. La chaleur et la douceur du sexe de ma cousine enveloppèrent mon doigt et cette sensation était bonne. Je sortais le doigt recouvert de cyprine et le tendit vers le visage de Pascal qui se trouvait à côté de moi. Je le regardais happer mon doigt et le sucer avec délectation. Mon doigt dans la bouche de Pascal qui le léchait avec gourmandise m’excitait. Il me dit « A ton tour maintenant ». Je retournais donc entre les cuisses de ma cousine et avança mon doigt vers ses lèvres. Je vis le sexe de ma cousine se contracter et une goutte de mouillure sortit de son vagin. Je fermais les yeux pour ne pas être dégouttée et j’enfonçais mon index dans le sexe de ma cousine. Je sortais mon doigt et m’approcha pour le mettre dans ma bouche. J’avais toujours les yeux fermés et ma bouche devait être à moins de trois centimètres du sexe ouvert. Le goût de ma cousine entra dans ma bouche et Pascal se redressa pour s’agiter en moi. Le fait que je sois sur le sexe de Sonia avait dû l’exciter car ses mouvements étaient fermes et vifs. L’odeur insistante du sexe de ma cousine, la cyprine en bouche, Sonia me titillant le clitoris avec sa bouche et Pascal faisant ses mouvements, tout cet ensemble me faisait tourbillonner la tête et j’ouvris la bouche pour tendre la langue vers le sexe de ma cousine. Je croyais que son sexe était éloigné de ma bouche et je fus surprise de sentir la chaleur sur le bout de ma langue. N’y tenant plus, j’approchais mon visage et ma bouche se plaqua sur le sexe de Sonia. Sans hésiter, ma langue tendue se glissa entre les lèvres de ma cousine et le goût de cyprine entra complètement en moi.

Sonia cria sans retenue et son cri créa en moi comme une réaction en chaîne. Dans les dix minutes qui suivirent, je gourmandais le sexe de ma cousine qui me le rendait très bien. Pascal arrivait à peloter les seins de Sonia et les miens à tour de rôle. Il éjacula en moi pour la deuxième fois et cette fois-ci, je sentis son liquide se répandre en moi. Sonia eut un orgasme démesuré juste avant et je sente son sexe se crisper pendant que je la léchais. J’ai rapidement pris goût à lécher le sexe de ma cousine. C’est un plaisir que je ne soupçonnais pas du tout et depuis, j’ai aussi appris à me lécher. C’est un plaisir très particulier mais ceci est hors du contexte de mon histoire. Après l’orgasme dévastateur de ma cousine, elle se libéra de sa position et vint s’allonger à côte de moi pour me donner un énorme baiser sur la bouche. C’est à ce moment là que je me suis rendu compte que j’avais le goût du sexe de ma cousine et de mon propre sexe dans la bouche. De plus, nous dûmes suspendre nos baisers à plusieurs reprises car des poils pubiens s’étaient invités dans nos bouches.
Après l’éjaculation de Pascal en moi, il me titilla le clitoris pour ne pas me laisser en reste. Je glissai ma main sur mon sexe et toucha pour la première fois le sexe gonflé de Pascal dans mon sexe. Pascal eu l’air d’apprécier et sentir entre mes doigts son sexe humide entrer et sortir de ma féminité déclencha en moi un enchaînement de vagues de plaisirs. Finalement, Pascal sortit de moi et s’allongea à côté de moi. Je le regardais haletant et complètement en sueur. Il me donna un baiser et je fermais les yeux tellement c’était bon de l’embrasser. Personne ne parlait. Chacun reprenait sa respiration et chacun était perdu dans ses pensées, ou du moins ce qu’il en restait. Je fus la première à parler ; « C’était super, j’ai tout adoré…on le refait quand ? ». Sonia se mit à rire sans retenue et me dit « Tu es une vraie dépravée, toi ! ». Pascal souffla et dit : « Maintenant, les filles, vous faites un peu entre vous parce que moi, c’est mon heure de pause ! ». Tout le monde rigola et la matinée se continua avec une bonne douche pour tout le monde et un bon déjeuner copieux. C’était le mercredi 5 juillet 2006 et c’est le plus beau jour de ma vie de femme.
La suite des vacances fut gâchée par les vraies règles de ma cousine qui arrivèrent dans le milieu de la deuxième semaine. Cela ne l’a pas empêchée de me brouter le minou et de pomper le sexe de Pascal. J’ai eu le privilège d’avoir le sperme de Pascal sur moi et dans la bouche. La première fois, j’ai failli m’ avec le jet de sperme qui a atterri directement sur ma glotte. Avec Sonia, nous avons même testé le sperme dans le soutif… agréable sur le coup mais c’est très éphémère. En deux semaines de vacances, j’ai appris sur l’acte amoureux et les possibilités entre hommes et femmes, des choses que je ne soupçonnais même pas. En revenant, j’avais la tête bien plus ouverte qu’avant et ma vision sur les femmes, l’amour, le 69, le sexe en général avait bien changé. Je me suis découverte une nouvelle passion que j’espère pouvoir partager encore longtemps avec ma cousine et son tendre mari. Durant le reste des vacances, nous avons fait encore quelques randonnées mais nous étions pressés de rentrer le soir pour pouvoir nous retrouver après une bonne douche pour une soirée super coquine. Avec Sonia, nous avons fait les boutiques et j’ai jeté mes fringues de grand-mère pour me mettre en valeur dans des fringues plus recherchées. Mes dessous ont changés et mon vieux pyjama est parti à la benne. Les vacances m’ont coûtés un fric monstre mais ça en valait le coup d’après les critères de Sonia et Pascal.
J’ai découvert avec admiration les transformations du corps féminin pendant la pénétration. J’ai vu ce que ma cousine regardait pendant ma défloration. J’ai vu le sexe de Pascal gonflé et devenir droit et dur. J’ai vu le sexe de ma cousine s’ouvrir et s’humidifier et j’ai surtout vu le sexe de Pascal pénétrer ma cousine. La beauté des lèvres qui s’écartent pour laisser entrer le sexe gonflé. Je ne sais pas si je suis devenu une vraie détraquée du sexe mais je trouve la pénétration vraiment exceptionnelle à voir.

Aujourd’hui, j’ai plusieurs projets et je compte bien le faire avant d’être trop flétrie :
- Il paraît que les blondes n’ont pas beaucoup de poils pubiens et j’espère en voir une vraie un jour pour lui bisouter le minou et si possible la regarder se faire pénétrer.
- Il paraît aussi que les rousses sentent fort, j’espère aussi en trouver une pour vérifier si c’est une bêtise ou non et ce sera l’occasion de goûter à ce type de femmes.

- J’ai comme projet la sodomie. Avec Sonia qui n’est pas chaude et Pascal qui n’est pas non plus un adepte, nous avons comme projet d’essayer au moins une fois pour voir.

- J’espère pouvoir faire des photos de mes expériences et des petits films pour pouvoir me les repasser dans les moments de blues. Sonia est devenue pudique quand je lui ai proposer mais Pascal semble être très chaud pour le faire… on verra bien dans le futur.

- Pour les garçons, je verrais si j’en trouve un qui me va, pour le moment, j’ai le mari de ma cousine qui me comble et avec qui, nous avons quelques expériences à faire.
J’espère que mon histoire vous a plu et sachez que je suis plus délurée que ma cousine alors qu’avant les vacances, l’inverse était réellement un calvaire pour moi. Mes parents ne savent rien et je pense que cela est mieux pour eux.
Marilou.

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