Le Bal Masque...
De toutes les soirées auxquelles javais été convié, ma préférée restait celle où il fallait que tout le monde soit déguisé. Comme à son habitude elle se déroulait dans la maison des quartiers de notre chère ville. Nous étions une bonne centaine au départ. Il y avait de la musique, à manger mais surtout à boire à volonté ?
Je métais déguisé en petit garçon modèle. Avec un short des chaussettes un tee-shirt des baskets aux pieds. Autour de moi il y en avait pour tous les goûts. Les mecs sétaient déguisés en grande majorité, en héroïnes qui passaient à cette époque sur les écrans de télévisions.
Les filles quant à elles, sétaient lâchés. Des tenues plus sexy, et cela pour le plus grand bonheur des yeux. Cela aller de la tenue de linfirmière, à celle de soubrettes, ou bien de policiers voir de prostituée.
Je profitais de ma position dobservateur pour deviner qui était qui. Cétait comme ça que je reconnu Valérie. Qui navait pas son pareil pour provoquer, dans sa tenue dinfirmière. Elle avait passé sous sa blouse grande ouverte un tee-shirt transparent. Dont la transparence exhibait ses seins aux tétons tardés. Et que dire de la tenue de Noëlle, en infirmière elle aussi, dont lourlet de sa blouse dissimulait à peine la jonction des cuisses.
Cela dit, Viviane en soubrette me plaisait bien aussi. Le tissu était tellement fin qui ne cachait rien de ce qui se trouver en dessous. Comme le volume de ses seins ou bien la forme de son cul, que la lumière artificielle des projos illuminés à chacun de ses passages sous les faisceaux.
Il me tardait que cette simple réception laisse place à la vraie soirée. Où, quune fois les indésirables parti ou congédier, les choses pouvaient alors dégénérer. Mais ce moment nétait jamais défini à lavance. Et encore une fois jignorai à quel moment et de quelle façon cela allait être déclenché. Mais il était évident que ça allait tôt ou tard terminer en une grosse partouze.
Il était temps pour moi de trouver celle qui sera ma première partenaire. La tenue quelle portait était un des atouts que je recherchais. Tiens ! Comme cette danseuse de ballet qui prenait un verre du côté du buffet. La vingtaine, avec son visage dange que seule peuvent des filles de cet âge. Un sourire mutin laissant deviner un grand attrait pour le plaisir. Que je guettais par-dessus tous ses faits et gestes. Priant très fort pour quelle soit de la partie. Durant les deux heures qui suivirent elle était revenue trois fois à la charge auprès du buffet, prenant à chacun de ses déplacements une coupe de champagne.
Plusieurs fois dans la soirée nos regards sétaient croisés. Assez pour y décerner chez elle, cette double personnalité mais sans pour cela parvenir à distinguer un signe particulier envers ma personne.
Et comme cétait prévu, peu à peu les lieux sétaient dissociés avec les personnes non retenues pour la sauterie. Il ne restait alors que les habitués ou quelques nouvelles têtes comme la danseuse de ballet. Cest Bernadette qui avait ouvert les hostilités. En jouant la strip-teaseuse.
Sur une musique entrainante, elle sétait mise à poil. Cela ne mavait pas plus étonné que ça. Elle était la fille de la situation. Je la connaissais parfaitement bien, pour lavoir à maintes reprises comme partenaire de cul.
Cétait une petite brune avec un cheveu sur la langue. Un cul magnifique et de beaux seins pointus. Rapidement des mains saventuraient sur son corps, et pas uniquement les mains des mecs, celles des femmes ne restèrent pas en reste.
Bernadette se mit poussée par son excitation, à sucer des queues en série, puis à lécher des chattes et des seins.
Je regardais cela de loin, debout dans mon coin. Je ne distinguais pas tout de ce qui se passait, mais je limaginais parfaitement. Comme je savais que je pouvais profiter de ce que je désirais au moment où je le choisirais. Dailleurs javais été invité pour cela.
Avec tout ça je navais pas fait attention que la danseuse de ballet sétait installée à seulement un mètre de moi. Sous son élégant tutu en dentelle blanche, elle ne portait rien en dessous. Jentrevis son sexe velu et vaguement, en dessous, la crête rose et ses grandes lèvres jointes. Je fis glisser mon regard sur les nichons de ma voisine. Avec de larges auréoles mauves.
Jignorais qui pouvait être cette fille, pour ne lavoir jamais vue auparavant avant ce soir. Et alors que je me posais mille questions, elle en avait profité pour glisser sa main sur son sexe, le regard comme aimanté sur les faits et gestes de lintrépide Bernadette.
Autour de nous, ça dégénérait grave. Comme à chaque rendez-vous. Une mariée butinait le sexe de Viviane, linfirmière sétait elle aussi mise à se donner du plaisir. Valérie sétait pour sa part mise à poil, comme lavait fait Noëlle. Et toutes deux sétaient vautrées dans les matelas de gymnastique empilée au milieu de la pièce, et installé pour loccasion. Et elles se roulaient des pelles tout en se masturbant mutuellement, tandis que deux mecs, spectateurs se branler en les matant sans gêne.
À mes côtés, la danseuse se caressait toujours. Je suivis ça.
Masturbation par intermittence. Je ne voyais que les extrémités de ses deux doigts qui tournaient vraisemblablement sur le petit bouton, que je devinais dur. Elle avait passé lautre main par-dessus ses fesses et plongeait en cadence toute la longueur de son majeur dans son vagin.
Je humais lodeur aigrelette qui sen dégageait. Au bout de quelques minutes, son index alla rejoindre son majeur dans son antre.
Jétais aux anges. Je continuais à lui palper le sein délicatement, faisant durcir sa pointe entre mes doigts, son globe élastique frissonnait dans ma paume.
Sur ma droite jai pu être témoin de la pénétration de la queue de Lucky Luke dans la chatte dune soubrette. Captant mon regard la danseuse, me contemplait avec amusement. Alors quun peu plus loin sur le tapis central, le sosie de Dalida, taquinait le bourgeon de Betty Boog du bout de sa langue. La caresse semblait légère, mais assez experte pour faire chanceler Betty. Qui les yeux clos, se pinçait les lèvres comme si elle avait honte dextérioriser son plaisir. Offrant tout son intimité à la bouche de sa suceuse.
La danseuse toujours près de moi, et dont javais arrêté de lui malaxer les seins, se délectait du spectacle qui lui était offert. Commençant à ressentir les premiers effets de sa propre caresse. Des spasmes annonciateurs dun possible orgasme. Elle se retenait bien elle aussi de le gueuler quand celui-ci vint faire vibrer tout son corps.
Quand elle retira ses doigts, ils brillaient de mouille. Alors que quelques gouttes de son plaisir coulaient à lintérieur de ses cuisses, et glisser jusquà ses genoux. Sans y être invité, je me penchais jusquà arriver à coller ma bouche sur son sexe odorant. Je lai alors léché, lapé, dévoré, je lai même doigté, et elle navait pas mis longtemps pour jouir, et cela trois fois de suite.
Je profitais de ce quelle récupère pour lui caresser ses fesses et sa raie, évitant son sexe devenu trop sensible. Lubrifiant lanus de salive. Elle avait eu lair dapprécier cette caresse. Je voyais sa rosette palpiter, comme si elle demandait quen soccupe delle. De telle sorte que je tentai ma chance par-derrière.
Pour recharger mes batteries, je voyageais de salle en salle. Apercevant dans chacune delles des corps enchevêtrés. Ça baisait de tous les côtés. Très vite et malgré ma précédente éjaculation, javais encore, bizarrement envie de foutre de nouveau. Du côté de la cuisine, je tombais sur une jeune métisse à poil elle aussi, accroupie, en train de sucer la bite dun mec inconnu de ma mémoire. Pris dans un toboggan dexcitation, je maccroupis derrière elle. Glissant ma main sous ses fesses. Prenant un plaisir énorme de tripoter sa vulve. Faisant glisser mon majeur dans la jonction de ses lèvres enflées. Qui se sépara avec un bruit mouillé. Comblée, la coquine écarta encore plus les genoux, offrant sa fente éclatée, à mon audace. Ma main la parcourait sans hâte alors quelle émettait de petits « hmm
», De contentement.
Elle prit même soin de lever ses fesses à la rencontre de lindex qui fouillait son vagin. À lintrusion du pouce dans son anus, elle poussa un « Oooh ! » dans lequel se mêlaient la surprise et la gratitude. Je la branlais ainsi doublement, et cela pendant un long moment. Mes doigts émettaient une sorte de pet humide quand je les extrayais complètement, laissant le vagin et lanus ouverts. Cétait pour moi le comble de lindécence. Puis je les replongeais avec une facilité dérisoire, accueillie par un « Aaah! » de satisfaction. Je faufilais mon autre main sous son ventre. Pour taquiner son bourgeon. Ainsi travaillait à deux mains, elle atteignit rapidement la jouissance comme en témoignaient ses plaintes de plus en plus aiguës.
Sitôt sorti de la cuisine jallais faire un tour du côté des bureaux. Là aussi tout le monde était à poil. Jétais là dans mon élément. Loccasion rêvée de baiser qui on voulait, y compris des nanas qui en temps normal ne nous étaient pas destinées. Comme létait Nadine, une métisse déguisée en indienne, qui travailler à la DRH, en position de 69 au-dessus de Corinne, sa collègue de bureau.
Nécoutant plus la voix de la raison mais celle-ci, ô combien délicieuse du désir, je mavançais, assez près pour poser ma bouche sur son sexe. Elle était trempée et odorante, il en émanait un fumet aphrodisiaque incomparable. Cette odeur forte me rendait fou. Je me mis à brouter en duo le con à pleine bouche tout en malaxant son fessier.
Et puis soudain, je sentis une main sur mes fesses et aussi quelque chose de chaud qui frottait sur ma raie culière.
Je me retournais intriguer. Tarzan se tenait là, que je reconnus être le petit copain de Nadine, la verge dressée, et le coquin la présentait entre mes fesses. La métisse quitta sa position pour venir ouvrir mon cul avec ses doigts pour le présenter à son amant. Sur le moment, jétais partagé entre la peur, celle qui me pousserait à fuir la scène ou bien alors me faire mettre. Mais comme jétais dans un tel état dexcitation que je me laissais faire. Me laissant écarter mes fesses pour que Nadine prépare le terrain, avant de se placer sous moi, et de guider ma queue dans son antre.
Je relâchais mes sphincters et goûtais aux délices de ce gland bien chaud qui se frottait tout près de mon trou. Et soudain la colonne de chair glissa en moi, lentement mais inexorablement. Javais été tellement bien préparé que je nen éprouvais aucune souffrance, juste limmense plaisir de sentir ce membre bien raide me remplir le cul. Je bandais de plus belle. Et lorsque Tarzan se mit à bouger, je repris les mouvements à lunisson dans le con détrempé de Nadine. Qui semblait encore plus excitée par cet enchevêtrement de corps.
Elle était complètement hors delle-même, bredouillant plus quelle ne parlait. Complètement déchainée, elle donnait des coups de reins pour que je vienne plus fort.
Quel pied ! Jétais au bord de lexplosion. Surtout que je sentais les parois de son vagin se contracter autour de ma queue. À navoir pas dautre moyen que de me laisser aller à la jouissance.
Dès le dernier jet lâchait je me laissais meffondrer sur la métisse, alors que Tarzan accélérait la cadence de ma sodomisation.
Me pinant le cul avec force et véhémence tout en ahanant son plaisir. Maspergeant le conduit anal dune substance tiède.
Par la suite, malgré lanus irrité, je métais laissé allé pour me faire sucer par une petite blonde qui me plaisait bien, pendant que Medhi, un collègue lui bourrait la chatte.
Ensuite je pris la superwoman en levrette, tandis quelle suçait elle aussi une queue. Je lai baisé pendant un bon moment, tant la jouissance mit du temps à poindre son nez.
Jignorais combien de chattes javais enfilé cette nuit-là. Je nai pas compté. Je me suis tapé des blondes, des brunes, et je suis même revenu vers ma métisse pour lembrasser avec la langue.
Je me souviens mêtre fait sucer dans un coin par une fille à cheveux très longs qui était venue vers moi en titubant. Je ne sais pourquoi je métais autorisé à éjaculer sur le pubis lisse dune fille dont je ne vis même pas le visage, car la fameuse Bernadette était assise sur sa bouche à ce moment-là.
Jétais repu, pour me ressourcer je suis allé me servir une coupe de champagne. Verre en main, japerçus ma danseuse qui sétait endormi dans un coin. Je lui ai fait un bisou sur le front et je lui ai demandé si elle voulait que je laccompagne. Elle accepta tout de suite. Dailleurs elle ne possédait pas de permis d conduire. Je laidai à se relever, comme je lassistai à lui passer son imperméable. Je me rhabillai, ramassaient les sous-vêtements de la belle.
Mais alors quon se diriger vers la sortie, ma danseuse eut un caprice.
- Jaimerais bien sucer une chatte avant de partir. Cela te dérange ?
- Pas du tout ! Tu as une préférence ?
- Non ! Je veux juste tenter lexpérience sest tout. Cela fait des années que cela me travaille. Tu as une fille en particulier à me conseiller ?
Je lai prise par la main et jai parcouru avec elle pièce après pièce jusquà trouver lâme sur. Mon choix se porta sur Viviane. Ça tombé bien, elle était en train de faire une fellation. Assise dans un fauteuil.
Avec la danseuse, nous nous sommes approchés. Je me saisis de sa jambe gauche pour la poser en appui sur laccoudoir, lui faisant prendre une position obscène. La danseuse sagenouilla devant le sexe baillant. Cétait la première fois que la danseuse se livrait à ce genre de jeu. Mais comme cétait souvent le cas, en matière de sexe linstinct compensait toujours le manque dexpérience. Et une fois encore jen eut la preuve devant mes yeux.
Se fiant à ce quelle éprouvait en se masturbant, la danseuse devina vite où il fallait insister.
Sur le bourgeon bien sûr. Et Viviane nétait pas insensible à ce genre de caresse. Et jétais bien placé pour le savoir. Comme elle aimait quand sattarde sur les drôles de petites crêtes de chair qui pointait plus bas, et aussi sur les bords du trou, et enfin dans son centre.
Sans arrêter de lécher, la danseuse glissa une main entre ses cuisses. Et très vite sa jouissance rejoignit celle de Viviane. Son expérimentation étanchée, elle se redressa. Je me penchais sur elle. Nos bouches se joignirent, pour un baiser profond. Nos langues saccrochant dans quelque chose de furieux.
Elle sest détachée pour me lancer :
- Il est temps pour moi que tu me raccompagnes.
- Avec plaisir.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!