Moi, La Voisine Et Ma Chef (Partie 2)
Je la regardais séloigner et voyais ses hanches bien rondes dans un pantalon droit avec une liquette blanche et noire. Ses cheveux étaient coiffés sur une épaule et donnaient à son visage un éclat splendide. Son maquillage lui faisait ressortir ses yeux verts avec une luminosité que je navais pas vue les fois précédentes. Elle revint vers moi et me débarrassa de mon manteau. Elle memmena dans un petit couloir qui donnait sur une petite chambre dans laquelle trônait un lit et une étagère bricolée avec une penderie. Elle jeta mon manteau sur un coin de létagère libre et me dit « Voilà le seul coin que tu na pas vu puisque le reste est comme chez toi
Je vie dans le luxe, jai une chambre particulière ». Elle sourit et je lui répondis « Cest vrai quune chambre me manque chez moi. Quand je fais la cuisine, tout sent la bouffe ». Elle passa à côté de moi dans le petit couloir et nos corps se touchèrent doucement dans un frottements de tissus.
Elle sarrêta face à moi et regarda ma poitrine avec la lavalière. Sa poitrine touchait presque la mienne et elle me dit « Je vois que tu as rangé tes affaires
cest bien mieux » et elle pouffa de rire en allant vers le salon. Je hochais la tête en la suivant et je me sentais bien en présence de cette fille. Elle me proposa un verre tranquillement en attendant Carole, son autre copine qui travaillait comme une dingue la semaine et qui navait pas beaucoup de temps le samedi pour faire ses courses et son ménage.
Nous prîmes toutes les deux un porto et nous fîmes connaissance. La musique de la radio faisait une ambiance cool et jappris quelle venait de Lyon et quelle était sur Paris depuis trois ans. Je lui dis que jétais sur Paris depuis deux ans et que jétais seule depuis tout ce temps. A 19h25, Sybille se rendit compte quelle avait oublié de préparer les amuses gueules et elle se leva pour les faire à la cuisine. Je laccompagnais et nous nous retrouvions toutes les deux côte à côte à couper les toasts et mettre les ingrédients dessus.
Jattendais que Sybille revienne pour me présenter sa copine et je ne savais pas comment me mettre. Assise. Debout. Finalement, je commençais à regarder les livres sur une étagère pour patienter. Sybille apparu dans le salon et mon visage se figea dun coup. Je me trouvais devant ma chef qui était comme moi, figée. Sybille ne remarqua pas larrêt de sa copine et dit le plus tranquillement du monde « Laurence, je te présente Carole, une très bonne copine ». Javalais ma salive avec quelques difficultés en disant « Bonjour Carole ». Ma chef
Carole eu son visage qui reprit doucement des couleurs et finit dun coup à éclater de rire. Sybille ne comprenait pas pourquoi Carole riait à en avoir mal au ventre. Je dis à Sybille pendant que Carole riait toujours autant, incapable de sarrêter : « Ne tinquiète pas, il ny a rien de grave, cest juste ma responsable de service ».Sur ces mots, cest Sybille qui subit un arrêt momentané du rythme cardiaque. Sybille ne pu sempêcher de dire un « mmeerrrddee
Jsuis désolé
Jsavais pas ». Je commençais à rire tellement la situation était cocasse. De plus, le rire de Carole était communicatif et la voir sans son rôle de chef complètement détendue me faisait tout drôle. Carole repris son souffle et avança vers moi pour me faire la bise en me disant à la limite du fou-rire « Enchantée
pfttt ».
Lapéro continua dans des explications pour que Sybille se sente rassurée sur la situation. Carole me dit quelle était ravie de me voir en si bonne forme alors que trois jours avant, je semblais tellement fatiguée. Sybille me dit que si javais des problèmes, je pouvais venir chez elle. Dun seul coup, je me sentais encadrée par deux bonnes copines. Je dis à Carole que je tiendrai ma parole sur la discrétion et elle me dit quelle me faisait confiance. Nous continuâmes la soirée et lapéritif dînatoire continua toujours dans la bonne ambiance. Lalcool aidant, nous commencions à dire des bêtises plus grosses que nous. Carole commença à divaguer sur les filles du bureau et son chef, un gros lard puant de vantardise et de machisme. Sybille lui demanda si les collègues étaient sympas parce quelle savait que les filles entre elles, cétaient comme des furies. Carole dit quelle aimait travailler avec les femmes mais quelle avait une préférence pour une nana de son équipe. Sybille se tourna vers moi et dit : « Ahhh
allez, tu en as trop dit
Cest qui ? ». Je me tournais vers Carole tout aussi intéressée en disant : « Cest qui ? ». Et Carole me regarda droit dans les yeux en me disant : « Cest toi ! ». Sybille éclata de rire en voyant mon visage rougir dun coup. Je me sentais honorée dêtre la favorite de Carole mais je sentais que cette femme avait pour moi des sentiments un peu plus fort que de lamitié.
Me voilà dans une situation très délicate car jétais attirée par ma voisine, relation que je refusais dassouvir pour rester dans la normalité. Javais vue ma chef avec ma voisine se faire des câlins. Ma chef avais sûrement des vues sur moi pour des relations intimes. La situation était très scabreuse. Sybille me dit « Tu sais que Carole est lesbienne et que tu peux la poursuivre pour harcèlement sexuel. Je haussais les épaules en disant « Jvois pas pourquoi ! ». Carole fit les gros yeux et dit à Sybille « Dis pas nimporte quoi. Je sais me tenir ».
Je réfléchissais à toute vitesse et je pris une décision qui allait engendrer les plus grand changements dans ma vie. Je pris la parole « Jai toujours été avec des garçons et jamais je nai penser à une relation lesbienne. Jusquà mon arrivée sur Paris, javais une pensée claire sur la chose. Depuis peu, je reconnais que mes idées changent et je suis beaucoup plus ouverte sur le sujet. » Carole et Sybille mécoutaient avec la plus grande attention. « Si Carole est lesbienne, je trouve cela très bien pour elle car cest une femme superbe et je suis presque jalouse des femmes avec qui elle peut être. En plus, je pense quun homme ne peut pas apprécier le corps dune femme à sa juste valeur sans devenir un rustre. Pour toi, Sybille, tu es superbe aussi et je suis sûr que tu es une fleur bleue malgré ta façade dure. Si tu es lesbienne, cest très bien pour toi. Si je ne veux plus te voir parce que tu aimes les femmes, je pense que cest moi qui perdrais plus que toi
Ai-je bien répondu à votre attente ? ».
Le silence qui suivit fut un peu lourd et je crus bon dajouter : « Et pour moi, si vous voulez tous savoir, je crois être tombée amoureuse de vous deux. Je ne sais pas comment cela est possible mais cest comme ça. Carole, si je vais mal depuis quelques temps, cest parce que je refuse ces sentiments qui marrivent et que je nen dors plus. Voilà
Comme ça vous savez tout et nous sommes bien avancées maintenant ! ».
Carole prit aussitôt la parole en disant « Je suis très contente que tu ais pu dire tout ça. Maintenant, jespère que tu vas allez mieux ! ».
Sybille mis les bougies sur le gâteau et me demanda daller fermer les rideaux et déteindre la lumière. Sybille alluma les bougies et le noir se fit dans la pièce. Elle avança avec le gâteau et nous avons chanté la petite chanson habituelle. Carole nous demanda de nous tenir les mains pendant quelle soufflait ses bougies. Les flammes moururent doucement et Carole nous tenait les mains fermement en disant : « Faites un vux mesdames ».
Nous étions dans le noir à par la petite lueur de la chaine stéréo. Japerçu une ombre sapprocher de moi et Carole me déposa un baiser sur la joue, très près de mes lèvres. Un frisson me parcouru léchine et une chaleur douce menvahie partout. Jentendis le même baiser vers Sybille. Carole nous lâcha les mains et jallais allumer la pièce. En venant masseoir , le regard de Carole croisa le mien et je ne pus supporter ses yeux amoureux. Je pouvais dire quelle était amoureuse à partir de sa manière dêtre avec moi. Elle était tendre, je ne reconnaissais plus du tout ma chef de service. Javais une nouvelle femme devant moi. Une femme amoureuse qui cherchait le contact, le retour de sentiments, lamour tout simplement. Sybille distribua les parts de gâteau et se leva pour sortir une petite boite pour loffrir à Carole. Je me sentais toute conne de navoir pas prévu un cadeau et pendant que Carole ouvrait le paquet, je cherchais ce que je pourrais lui offrir. Je navais rien sur moi, pas une bague, pas de cadeau de dernière seconde que je pourrais allez chercher chez moi.
Rien
rien à part moi ! Et si josais, je moffrirais comme cadeau. Complètement folle cette idée ! Je mimaginais me levant, soulevant ma jupe et montrant ma culotte en disant « bon anniversaire ».
Jétais en plein délire. Carole ouvrit son cadeau et sorti un ensemble de sous-vêtement. Elle déplia les affaires et montra un string ficelle avec juste un tout petit triangle de tissu décoré avec une colombe en broderie. Un soutif qui ne devait pas tenir grand chose à part juste cacher les tétons pour celles qui ont de tout petits tétons. Carole sorti aussi de la boite un tube en genre de plastique. Cela fit rire aux éclats Carole et elle regarda Sybille en lui demandant : « Où tas trouvé ce truc ? ». Sybille avait le sourire accroché aux lèvres et répondit : « Sur le net, on trouve de tout ! ». Carole se leva et embrassa Sybille sur les lèvres sans faire attention à ma présence. Cela me fit drôle de les voir sembrasser et jaurais voulu être entre les deux pour pouvoir recevoir un baiser de la part des deux femmes à la fois.
Sybille dit à Carole : « Tu na plus qua nous faire un essayage ! ». Carole pris les vêtements, hocha la tête et se leva en disant : « Mouais, pourquoi pas ». Sybille rigolait pendant que Carole allait dans la salle de bain pour se changer. Je regardais Sybille et lui dis « Je nai pas de cadeau, tu crois quelle va men vouloir ? ». Sybille me dit « Mais non, tinquiètes pas pour ça. Carole est super cool
tu ne la connais comme moi je la connais ». Carole revint dans la pièce avec un long peignoir et imita un roulement de tambours. Elle ouvrit doucement le peignoir et je vis une femme magnifique avec un tissu sur sa toison qui cachait quune toute petite partie de son pubis. Un fin ruban de tissu couvrait chaque téton mais laissait voir les seins gonflés. Aussitôt, mon ventre pris feu et javais envie delle. Je sentais mon corps chauffer et se dilater. Carole fit tomber le peignoir à terre et elle me regardait en disant « Alors mesdames, le vrai dessert est servi ». Ny tenant plus, jouvrais mes cuisses et relevais ma jupe pour découvrir ma culotte. Carole ne me quittait pas des yeux et je la regardais fixement en disant « Bon anniversaire ».
Javais une position obscène avec les cuisses écartées. Je me levais pour glisser ma jupe derrière moi et pouvoir offrir à la vue de toutes ma culotte. Sybille se pencha pour regarder entre mes cuisses et dit « Ouah, ça, cest un vrai dessert. Bon les filles, je crois que nous avons une petite toilette à faire avant de passer dans la chambre. »
Carole acquiesça et alla dans la chambre en disant « Prête ». Sybille se leva et memmena dans la salle de bain pour me montrer les produits. Elle me demanda si javais un test du SIDA. Je lui dis quil datait de ma dernière relation, donc il y avait deux ans. Sybille réfléchit et me dit : « Carole à toute confiance en toi et je crois que lon peut avoir confiance mais jaimerais quand même que tu en refasses un régulièrement ». Je lui répondit quelle pouvait me faire confiance. Elle me dit alors : « Tu fais ta toilette et tu rejoins Carole habillée comme tu veux ».
Elle me laissa et retourna dans le salon pour ranger un peu pendant que je faisais ma toilette intime. Je nen revenais pas de ma conduite. Javais carrément ouvert mes cuisses. Jamais jaurais cru cela possible venant de moi. Je retirais ma culotte qui étais mouillée et je lavais consciencieusement mon anatomie. Je gardais mes habits pour ne pas faire la vicieuse mais je retirais la lavalière tout en retirant les deux premiers boutons de mon chemisier pour offrir un beau décolleté. Je sortais de la salle de bain et Sybille pris ma place. Jétais dans le couloir mais je nosais rejoindre Carole qui était jusquà hier ma chef de service. (Ouah, quest-ce quelle était belle).
Jattendis un peu, puis jentrais dans la chambre. Carole était assise en tailleur sur le lit. Elle avait les seins volumineux qui se tenaient difficilement par la petite ficelle sur les tétons. La position en tailleur offrait à la vue sa toison presque complète. Carole minvita à venir masseoir près delle. Je montais sur le lit et massis. Elle me sourit et me dit : « Cest le plus beau cadeau que lon mait jamais fait ». Elle se pencha et déposa un baiser sur mes lèvres. Sybille arriva complètement nue. Je la regardais avec ses petits seins et sa toison fine et blonde qui laissait voir le relief de son sexe. Elle monta sur le lit et resta debout devant Carole et moi. Elle dit « Hep ! les filles, jai limpression que je ne fais pas le poids avec mes petits titi face à vous deux.
Je regardais Sybille debout devant nous et notre position nous donnait tout loisir de voir son sexe avec la fente des lèvres légèrement écartée. Cétait la première fois que je voyais le sexe dune femme daussi près et je découvrais lanatomie féminine dans toute sa simplicité. Sybille me demanda « Maintenant, tu peux nous montrer tes seins. Je crois savoir quils sont très beaux. Jai déjà eu loccasion den voir une partie ». Je défis doucement les trois derniers boutons de mon chemisiers et le retirais. Mes seins réclamaient des caresses et la contraction de mes tétons me faisait presque mal. Je dégrafais mon soutif et Carole en fis autant. En peu de temps, nous étions trois filles nues sur le même lit.
Jamais je naurais imaginé me retrouver nue devant dautres femme en vue de faire lamour. Sybille se mis à genoux et posa ses fesses sur ses talons.Javais mes mains entre mes cuisses pour cacher ma toison car je ne me sentais pas très à laise. Ma respiration étais rapide et ma poitrine se soulevait en rythme.
Carole avança sa main sur les miennes. Elle me dit : « Tu es très belle, tu sais ? » Je tournais la tête vers elle et elle me souriait. Mon regard alla vers sa poitrine qui était toute ronde avec de belles aréoles contractées et sombre. Elle avait une belle poitrine légèrement plus grosse que la mienne avec des seins tout ronds retombant par leur poids. Sa peau était lisse avec unE tache de rousseur sur son sein gauche à lintérieur. Je sentis la main de Sybille me caresser la cuisse doucement. Des frissons me parcouraient tout le corps. Sa main remontait doucement vers mes mains.
Sybille se déplaça et avança vers moi. Carole aussi savança et me déposa un baiser sur les lèvres. Je ne résistais pas et sans vraiment le vouloir, mes yeux se fermèrent et ma bouche sentrouvrit pour laisser entrer la langue chaude de Carole. La pénétration de la langue de Carole dans ma bouche me fit comme un coup électrique et tout mon corps se mit en marche pour le plaisir. La bouche de Carole se colla à la mienne et jouvris ma bouche pour lui faire le plus beau baiser que je puisse faire. Nos langues jouaient ensemble et mes main prirent Carole par les épaules pour lenlacer. Sybille glissa sa main entre mes cuisses et posa sa main sur mon sexe ouvert. Le contact de sa main sur mon sexe déjà gonflé dexcitation me fit perdre la tête.
Mes gestes étaient mal assurés et je sentis un orgasme venir du plus profond de mon être. La langue de Carole métouffait presque tellement elle envahissait ma bouche. Mon sexe trempé était pénétré par les doigts de Sybille pendant que je ne pouvais réfreiner un long râle de plaisir. Mes hanches se soulevaient pour forcer les caresses de Sybille contre lintérieur de mon vagin. Jétais tellement sous pression que je ne pouvais plus marrêter.
Sybille se pencha et glissa sa tête entre mes jambes. Elle posa sa tête et regardait mon sexe tout en titillant mon clito. A chaque pression sur mon bouton, je poussais un gémissement qui semblait amuser Carole. Elle avait quitté ma bouche me poussa en arrière pour mallonger sur le lit. Sybille en profita pour écarter mes jambes et elle commença à pointer sa langue sur mon clito, ce qui me lança des petits picotements comme une petite décharge électrique dans le bas ventre. Carole était penchée au dessus de moi et me caressait les seins avec les siens. Ses seins avaient tout leur volume et ses tétons dressés jouaient avec les miens. Je me laissais faire en poussant toujours mes petits gémissements avec les caresses de Sybille.
Jétais devenu un objet de plaisir entre les mains expertes de ses deux femmes. Chaque contact était précis et procurait un plaisir intense. Jamais un homme ne pourrait offrir une telle quantité de plaisir. Je découvrais les possibilités énormes du plaisir féminin. Les seins de Carole me parcouraient le corps et elle descendait sur mon ventre et mes hanches. Je relevais la tête pour regarder et je voyais la tête blonde de Sybille entre mes cuisses et les gros seins de Carole frotter ma peau. Sybille laissa la place à Carole qui entrepris de me caresser la vulve avec ses tétons. Sybille vint vers moi et me dit « Dis donc ma chérie, tu es vraiment super bonne
Jadore les brunes et tu as vraiment très bon goût
tu veux goûter une blonde ? ».
Je souriais avec difficultés car les caresses des seins de Carole sur ma chatte me lançaient des fourmillements dans tout mon corps. Sans attendre ma réponse, Sybille me chevaucha et mis ses cuisses de part et dautre de ma tête. Je me retrouvais recouvert de la chatte à Sybille à environ une dizaine de centimètres. Je voyais ses lèvres ouvertes autour de son vagin rosé. Un fil de mouille courait entre les lèvres et les poils blonds de sa toison étaient rare. Je voyais le renflement du clitoris et je ne savais pas si jallais oser passer le pas. Mes fourmillements sur mon sexe narrêtaient pas et la vue de ce sexe ouvert et baveux devant moi ne mattirait pas. Ayant déjà goûter ma mouille à plusieurs reprise par le passé, je fermais les yeux et attrapais les fesses de Sybille. Je relevais la tête et tira la langue tout en mavançant. Soudain, le contact chaud et humide du sexe de Sybille se fit avec ma langue. Lodeur âcre de son sexe envahit progressivement mon nez et je glissais ma langue dun bout à lautre de la fente. Jentendais Sybille souffler bruyamment et cela me poussa à continuer ma caresse. Le goût de la mouille entra dans ma bouche et mes lèvres sécartèrent pour mettre en contact toute ma bouche sur le sexe ouvert de Sybille. Je lèchais le sexe de Sybille pendant que Carole me masturbait avec ses seins. Jattrapais le clito de Sybille et laspira en bouche pour le têter. Je découvrais le sexe féminin mais je savais où se trouvait les endroits stratégiques. Jen profitais pour lêcher à grand coup de langue tout le sexe offert. Carole sabsenta et revint pendant que Sybille me léchait en joli 69 féminin. Nous faisions comme un concours. A chaque caresse de lune, lautre faisait de même. Je continuais de glisser ma longue sur le clitoris de Sybille quand une décharge menvahi le ventre.
Ma vulve gonflée de désir venait dêtre pénétrée par un genre de sexe long qui alla jusquau fond de mon ventre. Je poussais un cri à moitié étouffé dans le sexe de Sybille tellement la surprise et la quantité de sensations était colossale. Carole me dit : « Humm, je crois que mon cadeau te va bien » et elle commença de long va et vient avec le gode que Sybille lui avait offert. Sybille était penché sur moi et elle regardait le gode me pénétrer. Cette vue lui fit tellement deffets quelle obtint un orgasme. Je sentis son bassin onduler dans le même rythme que les allez et venues en moi. La vitesse augmenta et javais du mal à garder ma concentration sur son sexe tellement jétais secouée par le godes et ses impacts en moi. Sybille atteignit lorgasme en même temps que moi et jeu dans la bouche comme une éjaculation de mouille. Un fin filet gicla sur mon visage au moment où elle cria à plusieurs reprises. Je continuais de lécher son clitoris pendant que Carole me léchait le sexe à grand coup de langue.
Dans la suite, je pourrais raconter tout ce que nous avions fait mais la liste est longue. Jai appris le plaisir de lécher des seins et des vulves. Jai appris le nombre innombrables de caresses que les femmes peuvent offrir aux autres femmes. Jai pris un réel plaisir davoir en bouche le sexe de Sybille et celui de Carole. Jai appris à reconnaître le goût de leurs sexe les yeux fermés daprès lodeur, la forme du sexe, la structure de leurs pilosités. Jamais je naurais imaginé prendre autant de plaisir à faire lamour avec dautres femmes. La seule différence entre ce que peut fournir un homme et une femme, cest la pénétration, mais un gode fournit des caresses profonde dans le vagin et quand le sexe est bien chaud, les sensations sont identiques.
Mes relations avec Sybille et Carole se sont prolongées. Jai emménagé avec Sybille et nous sommes pacsées. Carole est toujours ma chef de service et nous nous voyons une à deux fois par mois pour une soirée et une nuit de folie. Carole vit toujours seule malgré une invitation pour devenir collocatrice et devenir un trio de femmes modernes.
Aujourdhui, je vis un parfait amour avec Sybille. Nous restons discrètes dans la rue et nous gardons notre amour pour nos moments dintimité car la vision des autres sur les lesbiennes est très négative et complètement faussée par les médias.
Voilà mon histoire, jespère quelle vous a plu et quelle pourra service à quelques femmes doser vivre leurs sexualité sans tabou. Pour les mecs, et bien prenez du plaisir mais dites vous que vous avez beaucoup à apprendre pour rendre réellement une femme heureuse en amour et sachez que la longueur de votre membre nest pas ce qui primordiale. Apprenez à être doux et tendre et sensible.
Laurence
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