A L'Ombre Des Maris; Première Partie: Fatia, Un Fantasme De Jeunesse

A l’ombre des maris

Première partie : Fatia, un fantasme de jeunesse

Depuis le début de ma vie amoureuse, j’ai toujours eu une tendresse très spéciale pour les femmes mariées. C’est avec elles que j’ai eu mes plus belles aventures amoureuses. Non pas que je n’aime pas les femmes célibataires - j’ai eu des relations intenses, torrides et jubilatoires avec beaucoup d’entre-elles - mais sans trop savoir pourquoi, je me suis toujours senti attiré par les femmes mariées. Mes plus belles histoires d’amour - y compris celles qui ont laissé en moi de profondes blessures de séparation - ont eu pour personnages centraux des épouses - à la vie rangée et apparemment sans histoires - et quelquefois leurs époux, qui m’étaient éminemment sympathiques.
Je n’irai pas jusqu’à dire que nous avions - les maris, leurs épouses et moi - une attirance perverse pour les ménages à trois, ni que nous avions la bénédiction des maris pour entreprendre des relations adultérines, ni même qu’ils fermaient volontairement les yeux, par lâcheté, par peur de se retrouver seuls, ou simplement parce qu’ils aimaient tellement leurs femmes, qu’ils acceptaient d’être trompés, plutôt que de les perdre. Ma préférence pour les femmes mariées était peut-être pour moi une manière d’assouvir mes tendances pour des pratiques érotiques un peu perverses, qu’inconsciemment je pensais ne pouvoir vivre librement qu’avec des femmes mariées ; des femmes qui cherchaient à vivre pleinement des fantasmes, qu’il leur était impossible, par peur d’être mal jugées, de vivre avec leurs maris.
Il me semble aussi qu’il y a dans cette préférence, un besoin inconscient de retrouver l’état de béatitude et de bonheur, que m’avaient procuré mes deux premières aventures amoureuses. Des aventures que j’avais eu très jeune, avec deux femmes mariées. La première, une cousine qui vivait chez mes parents et qui avait épousé un jeune cousin qui avait rapidement émigré en France et qui l’avait abandonnée : c’était une bénédiction pour moi qui vécus avec elle des années de passion juvénile et clandestine, qui se terminèrent brutalement avec le retour intempestif du mari .


La deuxième, à l’âge plus avancé de vingt ans, avec une voisine, mariée de force avec un homme de soixante ans, et qui trouva en moi, jeune étalon plein de vitalité, un amant à la hauteur de ses fantasmes et un baume pour son cœur blessé et pour toutes les frustrations de sa vie. Notre histoire dura longtemps, jusqu’à son départ du quartier et la mort de son mari. Elle devint un peu bigote et ne s’occupa plus que du bonheur de ses s (dont une fille qui était le fruit de nos amours.(1)
Ces deux histoires, qui avaient entamé ma vie d’amant, sont restées dans ma mémoire comme mes plus belles histoires d’amour. Probablement enjolivées par la nostalgie, qui ne garde que le meilleur du passé. Ce qui est certain c’est que depuis, j’étais devenu un farouche partisan de « la femme adultère », comme le chantait si bien Georges Brassens. Parmi toute les amantes et maîtresses que j’ai eues depuis, la majorité est constituée de femmes mariées. J’avoue même que c’est avec elles que j’ai vécu mes plus grandes passions et, qu’en contrepartie, j’ai eu le plus à souffrir des ruptures, qui fatalement étaient advenues.
Avec mes amantes ayant époux et s, à aucun moment il n’y avait eu de tabous - moral ou social - pour brider nos relations. Tout était libre et sans entraves. Le seul vrai problème qui se posait à nous, c’était comment rester discret pour ne pas éveiller les soupçons des maris fatalement jaloux et des familles qui craignaient, par-dessus tout, le scandale des femmes adultères (punissables de prison par la loi du pays, inspirée de la charïa islamique). Et même cette crainte d’être découverts ajoutait du piment à l’aventure et accroissait d’autant le plaisir que l’on prenait, mes amantes mariées et moi.
Si je parle aujourd’hui de mes préférences amoureuses, c’est qu’en ce moment même je suis entrain de vivre une aventure, un peu bizarre mais érotiquement passionnante, avec deux femmes, des voisines, qui ont entre elles une relation parentale très étroite : l’une étant la belle-fille de l’autre; l’épouse de son fils unique.
L’histoire avait commencé, il y a une vingtaine d’années environ, quand j’étais directeur, à Alger, de l’antenne d’une institution de formation au management d’entreprise.
L’institution venait de recruter une standardiste pour occuper un poste qui venait de se libérer. La fille qui venait d’être installée, devait avoir dix huit ans, pas plus. Elle sortait tout droit du lycée, sans avoir pu décrocher son baccalauréat et sans aucune formation professionnelle. Le poste de standardiste n’exigeait pas de compétences spéciales, et la jeune fille pouvait tenir le poste sans trop de problèmes, après avoir été initiée au maniement de l’équipement téléphonique. Je n’avais pas d’avis à donner pour un tel recrutement. Il s’était fait au niveau central et cela me convenait totalement.
Le matin même de son installation, j’avais eu à remarquer le comportement provocateur de la fille - Fatia. Elle était belle et superbement roulée. De taille moyenne – un mètre soixante dix, environ ; les cheveux, couleur rouille, tombant sur sa nuque, avec une frange qui lui recouvrait tout le haut du front; une poitrine forte, ferme et provocante, qui tendait vers l’avant, risquant à tout moment de faire éclater les boutons qui fermaient le fin chemisier qu’elle portait. Elle avait aussi des hanches larges et rondes et un fessier proéminent dont elle jouait pour exciter tous les mâles en chaleur qui tournaient autour d’elle. Et ses jambes ! Ses merveilleuses jambes, longues, pleines, superbement galbées, que mettait en valeur une jupe trop courte, qui descendait à mi-cuisses !
Tous les hommes de l’antenne, célibataires ou mariés, tournaient autour d’elle, comme des abeilles autour de produits sucrés. Je dus même, à un moment y mettre le holà, en interdisant, par note de service, tout stationnement au niveau du standard. Cela n’empêcha rien. La fille était visiblement là pour séduire et, vraisemblablement, pour se trouver un petit ami, qui une fois alpagué, deviendra son mari. Elle joua à ce petit jeu, même avec moi.

Elle venait souvent me voir au bureau, officiellement pour me parler de son travail, réellement pour m’aguicher et me faire bander comme un bouc. Elle y parvenait assez facilement, tant ses arguments étaient forts. Elle minaudait et prenait des poses suggestives ; se baissait pour me mettre sous les yeux, sous son chemisier dont les deux boutons supérieurs étaient toujours défaits, le haut de sa superbe poitrine, blanche et volumineuse. Ou alors, elle s’asseyait sur l’un des fauteuils en face de mon bureau, en croisant les jambes exposant ainsi à mon regard concupiscent le haut de ses cuisses et le bas de sa petite culotte. Elle mettait le feu à mon sang et l’émoi à mes entrailles. Je ne savais vraiment pas quoi faire : d’un côté, je voulais l’entreprendre et en faire - assez facilement, pensai-je - ma maîtresse ; d’un autre côté, je connaissais parfaitement le genre de fille que c’était et était conscient du danger encouru : elle cherchait la bonne poire qui deviendra son futur mari et elle s’accrochera comme une sangsue à celui qui tombera dans ses rets.
La solution vint, à mon corps défendant, de ma secrétaire – une autre femme mariée, qui en ce temps là, me servait aussi de maîtresse occasionnelle. Elle attrapa la fille par le collet et la menaça sérieusement de lui trancher le cou, si elle continuait « à se comporter comme une pute avec le Chef d’Antenne ! ».
- Cet homme n’est pas pour toi ! lui dit-elle (elle me l’avoua plus tard, au cours d’une de nos séances de jambes en l’air dans mon bureau, après les heures de travail). Il m’appartient ! Et si jamais je te vois encore tourner autour de lui, et tortiller ton gros cul pour l’exciter, je vais t’égorger aussi facilement que j’égorgerai un poulet.
Fatia avait compris que ma secrétaire était vraiment sérieuse, parce qu’elle défendait son territoire ; elle prit peur. Elle ne vint plus jamais me voir dans mon bureau (créant en moi une vraie frustration, parce que j’avais fini par être accro à son comportement aguicheur) et jeta son dévolu sur un nouvel arrivant, un licencié en psychologie que j’avais connu à l’université et qui avait rejoint l’institution.
Fatia, forte des arguments que la nature lui avait généreusement octroyés, séduisit très rapidement Lahcen, le psychologue, et au bout d’environ une année, se marièrent et allèrent s’installer dans la banlieue est d’Alger, dans un logement de fonction. Je les perdis totalement de vue, d’autant que le couple eut rapidement un et alla s’installer au sud, où le mari décrocha un poste important dans une société spécialisée dans les services pétroliers.
Je revis Fatia, vingt années plus tard, quand le couple fatigué des dures conditions de vie au Sahara, revint s’installer au nord, dans le logement de fonction (devenu entre-temps la propriété du couple) qu’ils occupaient avant de partir pour Hassi Messaoud. J’avais moi-même emménagé, une dizaine d’années auparavant, dans un logement de fonction (que j’avais fini par acquérir), dans le même bâtiment que le couple Lahcen/Fatia.
Notre rencontre eut sur moi l’effet d’une très forte décharge électrique : un flot de souvenirs m’était revenu en mémoire, surtout que, physiquement, elle était aussi superbe et bandante que dans sa jeunesse. Les vingt années passées avaient transformé la superbe jeune fille en fleurs, en une femme mûre, toute en rondeurs, à la sensualité torride et au comportement toujours aussi provocant. Elle était avec son mari, son fils, sa belle-fille et un bébé d’environ une année, quand nous nous rencontrâmes, par hasard, devant l’entrée de l’immeuble.
- Bonjour ! fit-elle de sa voix forte et rauque. Tu te rappelles de nous ?
- Bien sûr que je me rappelle de vous ! Cela fait un bail que je ne vous ai vu ! Qu’est-ce que vous devenez ?
- Nous sommes remontés du sud. Lahcen travaille maintenant à son compte et moi je suis devenue une vraie femme d’intérieur. Je te présente Mohammed, notre fils, Fatna sa femme et Larbi leur fils.
- Salut Lahcen ! Salut Mohammed ! Salut Fatna ! Salut Larbi ! Bienvenus chez vous !
Ce jour là, nous n’allâmes pas plus loin. La rencontre m’avait émue, au-delà de tout ce que pouvais croire. Je n’avais pas arrêté de penser à Fatia tout le reste du temps. Je ne l’ai revue, seule, que deux journées plus tard, un matin vers neuf heures. Nous nous rencontrâmes sur le palier, au moment où je sortais de chez moi (elle habitait au cinquième étage et moi au deuxième) et, à ma grande surprise - et aussi à ma grande joie - au lieu de serrer la main que je lui tendis, elle m’embrassa sur les deux joues.
- Tu m’as manqué pendant vingt ans ! Il est temps de rattr tout le temps perdu ! Je t’ai manquée aussi ?
- Euh… Oui !
- Menteur ! Je sais que tu n’as plus jamais pensé à moi, depuis que j’ai quitté l’antenne et que je me suis mariée. Mais toi, tu m’as vraiment manqué ! Je n’ai jamais cessé de penser à toi, depuis que ta secrétaire m’avait interdit, sous peine de mort, de te rendre visite dans ton bureau ! J’aimais bien venir t’aguicher et t’exciter. Je voulais vraiment t’attr. Je voyais combien je te plaisais et combien tu bandais pour moi ! Cela m’excitait fortement ! Je voulais que tu me fasses l’amour ! Que tu m’éclates la vulve ! Je voulais aussi … que tu m’épouses ! Mais toi tu étais avec cette pute de secrétaire !
D’une part, j’étais très gêné par la tournure que prenait la discussion et avais peur d’être surpris par les voisins, qui à cette heure défilaient en nombre dans les escaliers. D’un autre côté, j’étais fier comme un coq d’entendre les déclarations de Fatiha et buvais littéralement ses paroles. D’un autre côté, je sentais le désir monter en moi et devenir trop visible : mon sexe commençait à faire une bosse impudique sur le devant de mon pantalon. Elle était consciente de l’effet qu’elle avait sur moi et regardait, d’un air en même temps intéressé et moqueur, mon sexe qui palpitait sous le tissu de mon pantalon.
- Tu as toujours envie de moi ! N’est-ce pas ? Ne dis surtout pas non, je ne te croirais pas !
Elle envoya sa main pour attr et palper le monstre qui s’impatientait, trop à l’étroit dans le slip et le pantalon. Le contact de sa main me fit pousser un petit gémissement de plaisir.
- Je savais bien qu’il était énorme ! J’en avais rêvé pendant longtemps et j’ai dû me contenter de celui de Lahcen. Ouvre vite la porte ! Il faut que je le voie!
J’ouvris rapidement la porte (en réalité je n’avais fait que la pousser, puisque je n’avais pas eu le temps de la fermer, l’ayant rencontrée sur le palier au moment même où je sortais de chez moi.) Nous entrâmes - elle devant et moi derrière - et je refermai très vite la porte. Je me retrouvai face à Fatiha qui était déjà entrain de dégrafer la ceinture de mon pantalon et d’ouvrir la braguette pour sortir le monstre qui, tel un sabre menaçant, se dressa vers le ciel.
- Ouah !!! Je l’imaginais exactement comme cela. A partir de maintenant, il m’appartient ! Il est à moi ! Il va devenir mon maître ! Il va beaucoup me faire jouir !
Sans transition aucune, elle se mit à le branler tout doucement, comme pour prendre la mesure de sa force, puis plus fortement en accélérant le rythme de sa main sur tout le manche et en pressant le gland, chaque fois qu’elle arrivait à son niveau.
- Arrête de me branler comme cela ! Tu vas me faire éjaculer sur ta main ! Je ne veux pas jouir dans ta main ! Je veux jouir en toi !
- Ne t’en fais pas ! Je ne tiens pas à ce que tu jouisses tout de suite ! Nous avons tout le temps !
Et elle se mit à genoux devant moi, abaissa totalement mon pantalon sur mes chevilles et se mit à pomper mon manche avec fureur et savoir-faire. Elle avait une technique très au point pour réussir une fellation d’enfer : elle ouvrait totalement la bouche, écartait les dents et faisait pénétrer le gland qu’elle enroulait de ses superbes lèvres, lippues et fermes ; Elle tenait le manche de sa main gauche et le faisait pénétrer lentement jusqu’au fond de sa gorge. Sa tête restait immobile ; c’était mon sexe qu’elle obligeait, en tirant sur mes hanches de sa main droite, à aller et venir dans sa bouche, douce, humide et chaude. Je me laissai aller à son rythme, qui devint vite rapide et de plus en plus profond. Le gland allait maintenant titiller sa glotte, pour revenir jusqu’à l’entrée de sa bouche. Elle le faisait repartir jusqu’au fond, tirant chaque fois de moi, un long gémissement de plaisir.
Elle sentait que j’étais sur le point de jouir et levait les yeux pour admirer son œuvre et son pouvoir sur moi. Elle avait le regard moqueur qui semblait me dire « tu es complètement en mon pouvoir ! Je peux faire de toi ce que je veux !». Et de fait, elle accélérait et ralentissait le rythme et l’ampleur du mouvement, en fonction de ce qu’elle recherchait. Elle faisait monter et redescendre la pression, m’amenant au bord de l’orgasme et m’empêchant de décharger, pour m’emmener plus loin encore. Je n’avais encore jamais été sucé comme cela ; avec autant de science et de savoir-faire. Elle sentit qu’elle ne pouvait pas aller plus loin et que j’allai éjaculer très fort. Elle accéléra encore le rythme et fit entrer le gland le plus loin qu’il pouvait aller (c’est-à-dire jusqu’au moment où mes couilles rencontrèrent ses lèvres) le fit revenir à l’extérieur de sa bouche, pour le faire repartir violemment.
Je ne tins plus et, en poussant un énorme râle de jouissance, j’envoyais dans sa gorge, en un flot continu, une énorme quantité d’un sperme brûlant et épais. Il me sembla que l’éjaculation dura une éternité et que je noyai totalement la bouche et la gorge de ma belle. Je craignais même de la voir . C’était mal connaître Fatia et sa capacité à ingurgiter du sperme. C’était une véritable pompe aspirante : elle ne rejeta pas la moindre goutte. Elle avala tout, en me regardant de ses yeux moqueurs.
- J’aime le sperme ! Si je pouvais j’en boirais tout le temps ! Et le tien a un super goût de miel ! Comment as-tu trouvé ? Je suce bien ! Tu vois ce que tu as perdu tout ce temps où j’étais loin de toi !
- Tu es une vraie pompe aspirante ! J’ai l’impression que tu as fait cela toute ta vie. Ce n’est quand même pas avec ton mari que tu as appris à sucer comme cela !
- Evidemment pas ! J’ai appris à faire l’amour avec un amant que j’ai trouvé à Hassi Messaoud. C’était un gros commerçant - un sahraoui, pas un homme du nord - qui avait plusieurs épouses, et qui possédait un appétit sexuel énorme. Il avait besoin d’une maîtresse qui pourrait satisfaire sa libido excessive. Il m’avait rempli de cadeaux de valeur (il me considérait comme sa pute de luxe), mais m’avait surtout procuré énormément de plaisir. Je fis sa connaissance dans son magasin d’électroménagers, où j’allais souvent au début de notre installation à Hassi Messaoud, pour acheter des appareils et des ustensiles qui manquaient à la maison. A chaque fois, il me faisait comprendre discrètement que je lui plaisais et qu’il fantasmait beaucoup sur moi. Il était à l’image d’un taureau : massif et sanguin. J’étais convaincue que devait être un magnifique coup au lit. J’avais fini, au bout de quelques rencontres seulement, à mouiller ma culotte rien qu’en pensant à lui. Je n’ai donc pas résisté longtemps et je ne l’ai pas regretté; il est devenu très rapidement mon amant attitré. Il m’a fait - et m’a fait faire - tout ce dont il rêvait. Tout ce qu’il ne pouvait pas faire avec ses épouses légales, il le faisait avec moi. A part qu’il n’avait pas un sexe énorme, comme le tien, il m’a fait très souvent grimper aux rideaux. C’était pour moi un amant très imaginatif et merveilleux.
- Et ton mari dans tout cela ? Il ne s’est jamais douté de rien ?
- Non ! Je ne travaillais pas, et Abdeslam (c’est son prénom) avait acheté la maison à côté de la notre, pour que nous puissions nous rencontrer, les après-midis, au moins deux fois par semaine. Le seul problème qui se posait à moi était Mohamed, notre fils, que je laissais souvent tout seul à la maison, pendant que je me faisais tirer à côté. Tu trouves que je me comporte comme une pute ?
- Non ! Répondis-je hypocritement. Parce qu’en fait, je trouvais son comportement anormal. Non pas parce qu’elle trompait son mari; mais parce qu’elle laissait son fils - très petit au moment où elle se donna à son amant - seul, et qu’il aurait pu faire plein des bêtises.
- J’aime faire l’amour ! J’aime baiser ! J’aime les hommes ! Je ne peux pas rester longtemps sans faire l’amour ! Lahcen n’a pas les moyens de me rendre heureuse ! Il est trop tendre, trop doux ! Et il a un trop petit sexe ! Il me fallait un amant dominateur, et de préférence super bien monté ! En fait dans ma vie amoureuse, je n’ai pas eu beaucoup d’aventures extraconjugales, ni beaucoup d’amants. J’ai bien eu quelques aventures sans lendemain - avant et même en même temps que Abdeslam - avec des hommes de passage qui me plaisaient physiquement - des collègues à mon mari, pour la plupart. Mais ce n’est qu’avec lui que cela a duré des années ; jusqu’à notre retour à Alger. Et, certainement par sentiment de culpabilité, j’avais toujours essayé de donner un maximum de bonheur et de plaisir à mon mari, faisant même semblant de jouir intensément avec lui.
- Et tu crois qu’il avait été dupe tout ce temps ?
- Bien entendu ! Tu ne connais pas mon côté actrice ! En fait même avec Abdeslam, mon sahraoui, il m’arrivait de simuler la jouissance alors que je ne ressentais que de la douleur. Par exemple, il adorait me sodomiser, alors que moi, j’avais toujours préféré la pénétration vaginale. Je lui avais fait longtemps croire que j’adorais qu’il me défonçât le cul, alors qu’il n’en était rien. Je n’avais fini par apprécier, et même aimer, la sodomisation que beaucoup plus tard; probablement à force de me faire enculer ! J’avais appris par la suite, que mon amant aimait aussi les garçons. Et qu’il avait un éphèbe dans chacun de ses magasins et qu’il les entreprenait au moment de l’incontournable sieste du début de l’après-midi!
- Ce n’était donc pas totalement le nirvana que tu me décrivais tantôt. Ton amant ne te satisfaisait pas à tous les coups.
- Oh si ! Parce qu’il était insatiable ! Après avoir mon cul, il s’en prenait à ma chatte qu’il embrassait, suçait et baisait, plusieurs fois à la suite. Quand je rentrais à la maison, je nageais dans le sperme et le bonheur. J’étais heureuse d’avoir jouie comme une chienne ! Et quand Lahcen rentrait, il trouvait une femme souriante et heureuse. Bien sûr, il croyait que c’était lui la cause de ce bonheur et je le laissais dans sa crédulité.
- Tu es dure pour ton mari ! Je te signale que c’est presque mon ami !
- Non je ne suis pas dure ! Si tu lui poses la question sur le degré de bonheur qu’il vit avec moi, depuis notre mariage, il te répondra, sans mentir, qu’il est au sommet ! C’est parce que je fais vraiment attention à lui donner tout ce qu’il désire. C’est aussi une preuve d’amour ! Non ?
- Tu m’inquiètes un peu, s’agissant de notre relation à tous les deux ! Comment je saurais que tu ne simules pas, en faisant l’amour avec moi ?
- Avec un engin comme celui-là, dans ma chatte ou dans mon cul, je ne risque pas de simuler. Tu as tout pour satisfaire mon côté nymphomane : un grand et gros zob et de l’énergie à revendre ! Je ne suis absolument pas inquiète. D’ailleurs, il est temps de passer aux actes. Tu ne m’as pas encore entreprise ! Qu’attends-tu ?
Et sans attendre, elle se mit à quatre pattes sur le carrelage, à l’entrée du vestibule, releva sa robe d’intérieur en coton sur ses fesses, tourna sa tête vers moi en disant avec sa superbe voix rauque :
- Baise-moi comme cela, en levrette sur le carrelage !
Je ne me fis pas prier pour me positionner, à genoux derrière elle, et à abaisser sa culotte en coton sur le bas de ses cuisses, découvrant son magnifique cul proéminent, rond et encore très ferme. J’avais une vision panoramique sur son anus et sur sa chatte. Un anus légèrement ouvert, preuve qu’il a souvent accueilli un (ou des) sexe (s) et qui palpitait sous le coup de l’excitation. Une chatte, longue et dodue, totalement épilée et brillante de mouille. Un moment, je me posais la question sur ma préférence immédiate : le cul ou le con. Puis j’optais pour le con, me rappelant qu’elle m’avait dit qu’elle préférait être pénétrée par devant, plutôt que par derrière.
Je mis ma main sur sa chatte pour la caresser et tester sa fermeté et l’intensité de son excitation. En pénétrant, avec deux doigts, entre ses grandes lèvres – qu’elle avait douces et fermes – je me rendis compte que je n’avais pas à la caresser, ni à y ajouter de la salive, pour lubrifier l’entrée du con : elle dégoulinait littéralement de mouille. Je plaçai donc mon engin, dressé comme étendard, entre les grandes lèvres et la pénétrai d’un brutal coup de rein. Tout le sexe pénétra facilement jusqu’au fond ; jusqu’à ce que mon pubis vint frapper contre ses fesses. Elle poussa un petit cri de plaisir. Je me dis en moi-même, qu’avec sa manière bruyante de faire l’amour, nous allions attirer l’attention de toutes personnes qui montaient ou descendaient les escaliers. Je me promis que la prochaine fois, nous ferions l’amour dans la chambre, loin de la porte d’entrée.
Je la tenais fermement par la taille et faisait aller et venir mon engin en force jusqu’au fond de son vagin. Je le ressortais doucement jusqu’à l’entrée du vagin et reparais en force jusqu’au fond. Le vagin était tellement plein de mouille que chaque fois que je la pénétrais, j’entendais un fort clapotis qui accroissait mon excitation et mon envie de la tirer encore plus fort. Elle aimait la force de mes pénétrations : à chacune d’elle, je l’entendais pousser un cri rauque, qui devenait de plus en plus fort, au fur et à mesure qu’elle s’empalait sur mon sexe. Bien que je sois certain de l’effet particulièrement jouissif de mes coups de reins sur Fatia, je me demandais si elle ne simulait pas (ce qu’elle m’avait avoué tantôt était resté présent dans mon esprit).
Ce ne fut qu’au moment où elle s’était mise à parler, et à lâcher un chapelet de demies phrases et de mots crus, que je fus rassuré sur l’intensité du plaisir qu’elle prenait sous moi.
- Baise ta pute ! Tire ta putain ! Dis-moi que je suis une pute ! Que tu aimes baiser ta pute ! Chienne ! Chienne ! Suis une chienne ! Baise ta chienne ! (et je n’ai gardé que ce que je pouvais discerner clairement; le reste je l’avais inconsciemment, censuré !)
J’accélérai le rythme de mon pilonnage et en augmentait l’amplitude. Maintenant je sortais totalement de sa chatte et réinvestissait son vagin en partant de plus en plus loin. Elle tournait la tête pour essayer d’apercevoir ce zob qui la pénétrait avec autant de force. Mais malgré tous ses efforts et le torticolis qu’elle risquait d’attr, elle ne voyait rien, si ce n’était mon bassin qui s’éloignait de son fessier et y revenait de plus en plus vite. Elle était au bord de l’apoplexie : elle respirait de plus en plus difficilement ; les mots qu’elle prononçait s’arrêtaient de plus en plus sur ses lèvres, qui tentaient d’empêcher le flot de salive de s’échapper de sa bouche ; l’intensité de ses cris augmentait, au fur et à mesure que sa tête s’abandonnait à des balancements désordonnés. On aurait dit une belle poupée désarticulée. Ses paroles se faisaient de plus en plus espacées et de plus en plus crues.
- Jouir ! Gros zob ! Zob ! Aime gros zob ! Jouiiir !!!
Et elle eut une très forte jouissance qui arriva sous la forme d’une contraction de tous les muscles de son corps et d’un râle de plaisir presque inhumain, accompagné par une sécrétion d’une énorme quantité de mouille qui augmenta d’autant l’intensité des clapotis que faisait mon sexe, qui continuait de la pilonner imperturbablement, dans sa chatte.
Fourbue, elle arrêta tous les mouvements de son corps, y compris ceux, toujours aussi désordonnés, de sa tête et s’affala sur le carrelage m’entrainant avec elle. J’avais le sexe toujours fourré dans sa chatte, mais j’avais arrêté de la pilonner. Je me contentais de bouger légèrement en elle, pour qu’il ne ramollisse pas. Nous restâmes ainsi quelques minutes, avant qu’elle ne tourne la tête pour me regarder et m’envoyer son sourire moqueur.
- Tu penses que j’ai fait semblant de jouir ? Tu as vu combien j’aime être baisée comme une chienne. Abdeslam, mon amant sahraoui disait de moi que j’étais une chienne ! Sa chienne ! Et je crois qu’il s’agit bien de cela. Quand je baise, je suis une vraie chienne et j’adore cela ! Je veux être ta chienne ! Tu veux toi aussi ? Tu peux faire de moi ce que tu veux ! Ordonne et j’obéis ! Tu veux que j’aboie ?
Je ne répondis rien ; parce qu’en fait, je ne savais pas trop quoi répondre. J’étais très heureux d’être l’amant d’une femme totalement soumise à mes désirs. Mais je n’aimais pas dévaloriser mes partenaires en les traitant en animal ; encore moins en chienne ! D’un autre côté, il me semblait que Fatia, au cours d’un coït, ne prenait vraiment de plaisir que dans cette position, dégradante et dévalorisante, de chienne soumise à son maître. C’était en même temps très agréable – le plaisir n’en était que plus intense – et très déstabilisant pour moi, qui avait toujours milité pour l’égalité totale entre les sexe et pour la disparition du machisme ambiant.
Mais au diable la philosophie ! Profitons plutôt de ce bonheur intense que m’offrait ma partenaire ! Il sera toujours temps, plus tard de réfléchir sur la bonne manière d’allier la jouissance sexuelle et la morale ! Je pris la main de Fatia, maintenant assise à même le carrelage du couloir, et l’entraînai vers la chambre. Le grand lit était encore défait et nous tendait les bras. Je bandais toujours comme un âne. Je n’avais pas éjaculé au cours de l’étreinte précédente. Il me fallait immédiatement réinvestir un de ses trous et le remplir de sperme. Après sa chatte, je voulais essayer son cul. Et je le lui dis.
- Tu aimes enculer tes maîtresses ?
- Oui ! J’adore ! J’ai fait la connaissance de ta bouche et de ton con. Il me reste à connaître ton anus. J’ai remarqué qu’il a déjà beaucoup servi et qu’il palpite de désir.
- J’ai été souvent enculée, même par mon mari. Mais tous les zobs qui m’ont pénétré par là étaient de taille moyenne. Pas comme le tien. Je crois que tu vas me faire aussi mal que quand Abdeslam m’avait défloré le cul.
Elle s’allongea sur le dos en travers du lit et souleva ses jambes qu’elle plia de part et d’autre de sa poitrine. Elle exposait ainsi et la rondelle de son anus ouverte et palpitante et sa merveilleuses chatte dégoulinante. Elle avait pris cette pose pour qu’elle puisse voir mon manche entrer et sortir de son cul. Je me plaçai entre ses fesses, le manche palpitant et impatient, brandi comme un glaive. Je plongeai trois doigts dans sa chatte pour y ramasser une bonne quantité de jus pour mouiller l’entrée de son cul. Je recommençai deux fois, jusqu’à faire pénétrer facilement deux de mes doigts dans le rectum. Jugeant que le tunnel était maintenant assez lubrifié, je positionnai le gland de mon sexe à l’entrée du cul, et sans précaution aucune, donnai une forte poussée pour faire pénétrer en une seule fois tout le manche à l’intérieur.
Elle eut un petit cri – de douleur certainement – et tendit ses bras pour me saisir par la taille. Elle avait les yeux grands ouverts qui brillaient de désir. Ses lèvres entrouvertes et étirées laissaient passer un peu de salive, que j’allais cueillir et boire à chacune de mes pénétrations. Elle ne disait encore rien ; elle se contentait de regarder avec des yeux émerveillés, entrer et sortir l’énorme engin qui la possédait ainsi en force, qui remplissait complètement son boyau et qui lui tirait un petit cri de douleur à chacune de ses pénétrations. De temps en temps elle levait les yeux sur moi, pour vérifier l’intensité du plaisir que je prenais en l’enculant ainsi et me lançait un grand sourire de satisfaction et d’encouragement.
Et, sans transition aucune, elle se mit à gigoter et à essayer de faire bouger son bassin pour m’indiquer d’y aller encore plus fort. Elle porta trois doigts de sa main droite à sa bouche, les suça un moment et les porta à sa chatte ouverte et palpitante. Elle entreprit de se masturber en même temps que je pilonnais son cul avec des allers-retours de plus en plus rapides, de plus en plus brutaux et de plus en plus longs. Elle ajusta le rythme de la masturbation à celui de la sodomisation. Elle semblait être sortie totalement de son corps : ses yeux devinrent absents, comme s’ils regardaient une scène merveilleuse, qu’elle seule pouvait voir; sa bouche s’ouvrit complètement et laissait maintenant passer des flots de salive, qu’elle n’essayait même plus de contenir. Ses lèvres s’étiraient en un rictus qui les vidait de leur sang. Et soudain, elle se mit à parler ; à parler avec sa voix rauque, qui devenait de plus en plus forte et caverneuse, tant elle provenait du fond de ses entrailles :
- Bon ! Bonnnn ! Gros zob ! Jouir ! Jouiir ! Sperme ! Speeeerme ! Mal ! Maaaal au cul ! Nique ! Niiiiique moi !
Les mots sortaient comme cela de sa gorge au fur et à mesure qu’une idée ou qu’une sensation lui venait en tête. Je la sentais qui montait de plus en plus dans son plaisir et que celui-ci était lié aux idées cochonnes qui lui traversaient le crâne. Je sentais qu’elle voulait demander quelque chose, mais qu’elle n’y arrivait pas, tant les idées se bousculaient en elle et que elle n’arrivait pas à prononcer les paroles qui auraient pu les exprimer. Elle avait perdu sa capacité à faire des phrases. Elle accélérait le mouvement de ses doigts dans son vagin et essayait d’attr au passage mon sexe qui allait et venait de plus en plus vite dans son cul.
- Sperme ! Speeeerme ! Corps ! Mon corps ! Speeeerme !
Je comprenais qu’elle voulait quelque chose en relation avec le sperme que j’allais éjaculer. Et soudain je me rappelai qu’elle aimait rentrer à la maison avec du sperme sur tout son corps. Je décidais donc de ne pas éjaculer dans son cul, mais d’étaler tout mon foutre sur son corps. J’enlevai ma main droite de sa taille pour rapidement lui remonter sa robe jusque sous le cou, dénudant au passage sa poitrine et ses seins que jusqu’ici, je n’avais pas encore vus. Je les sortis de dessous les bonnets de son soutien gorge et les vis pointer vers le ciel, comme si c’était encore des seins de jeune fille. Elle était maintenant toute nue, jusque sous son cou. Je remis ma main sur sa taille et repris de plus bel le pilonnage du cul de Fatia. Je sentais qu’elle n’allait pas tarder à avoir un puissant orgasme. Ses cris devenaient de plus en plus forts et sa respiration de plus en plus rapide. Les mots qu’elle prononçait n’étaient plus que de onomatopées sans signification.
Soudain elle poussa un immense râle, tendit tous ses muscles et bloqua sa respiration. Elle déchargea longuement des litres de cyprine sur ses doigts, sa main et à l’extérieur du vagin, hurla qu’elle jouissait et s’affaissa éreintée sur le lit. Moi je continuai à la tirer en force, sentant arriver un orgasme aussi fort que le sien. Mon sexe était gonflé à bloc et voulait éclater. Je sortis soudains du cul de Fatia, pris mon sexe dans ma main droite me mis à le masturber de manière à éjaculer à l’extérieur, sur le cops de ma belle qui avait compris ce que j’allais faire et qui en était heureuse :
- Remplis-moi de sperme ! Mets en partout ! Sur mon ventre, sur ma poitrine, sur mes seins, sur mon visage, dans ma bouche !
Et de fait j’éjaculai en plusieurs bordées, tout le foutre que j’avais emmagasiné : sur son ventre, sur son visage et sur sa poitrine. Les dernières gouttes, je les réservais à sa bouche, qui s’ouvrit très grande pour avaler mon sexe, encore plein de sperme et du produit du ramonage de son cul. Elle se mit à le sucer et à le nettoyer complètement et à boire tout avec délectation. Quand j’arrêtai, fourbu et heureux, je m’affalai à côté d’elle et l’embrassai sur le front et les paupières.
- Tu es un superbe coup !
- Une vraie pute, n’est-ce pas ? Ta pute ! J’aime me comporter en pute quand je me donne à mon amant ! Tu veux que je devienne ta pute, rien qu’à toi ?
- Ouiiiii ! Répondis-je, réellement ému.
Nous continuâmes à nous rencontrer régulièrement, chez moi ; pratiquement, une matinée sur deux. Nous passions environ deux heures à nous aimer comme cela, sans aucune restriction. De temps en temps, surtout pendant la période du ramadhan ou des fêtes religieuses, elle m’invitait chez elle, pour partager leur dîner. C’était bien entendu, son mari, qui me transmettait l’invitation. Je fis ainsi connaissance avec toute la famille de Fatia. C’était ainsi que je tissais des relations presque amicales avec Lahcen, dont je partageais les goûts musicaux et littéraires et avec qui j’avais de longues discussions sur les problèmes de la société. Je fis la connaissance de leur fils Mohammed, qui venait d’avoir vingt ans et qui m’appelait par respect, «a’ammou» (tonton) ; je fis aussi, et surtout, la connaissance de l’épouse de Mohammed, la fantasque Fatna, une belle plante de dix-neuf ans, à la sensualité torride et au comportement aguichant. Et c’est cette superbe jeune femme qui vint ajouter du piment à mon aventure avec sa belle-mère.
Mais ceci est une autre histoire que je vous conterais une prochaine fois.



(1)J’avais envoyé cette histoire à HDS, mais pour des raisons de code éthique, ce dernier l’a jugé non publiable dans sa forme actuelle. Comme il s’agissait de ma toute première expérience amoureuse à un âge très - trop – jeune, je n’Avais pas pu me décider à l’altérer, en lui apportant des corrections qui l’auraient rendue publiable. J’avais donc décidé de la laisser en l’état et de ne pas la publier. Il en est de même de l’histoire qui l’avait suivie, et qui racontait elle aussi une expérience réellement vécue, à la fin de mon adolescence faisant partie de mon processus d’apprentissage amoureux.

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