Damien 50 - Nourredine 2
Je pris mes précautions en allant uriner, quand je revins dans la chambre Nourredine était assis au bord du lit et fumait tout en se caressant le sexe.
Me voyant entrer mon ami éteint sa cigarette et me dit "Tu vois j'ai maintenu ma bite en forme
pendant ton absence.
- Je le vois, elle est vraiment très belle.
- Merci, viens approche toi".
J'obéis, mon amant m'enlaça, je sentais le phallus érigé palpiter contre mon ventre.
Mon homme écrasa mes lèvres des siennes, je fermai les yeux et ouvris la bouche, nous langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand mon mec se détacha de moi, j'avais le rouge aux joues et ma respiration était saccadée.
Nourredine me prit dans ses bras et me déposa sur le dos en travers du lit.
Il s'assit à côté de moi et se mit à me caresser la poitrine tout en me pinçant les tétons.
Je me laissai aller à la délicieuse euphorie qui me gagnait sous les légers effleurements que mon amant prodiguait sur mon corps.
A chaque passage mon homme me pinçait un peu plus fort les pointes des seins qui étaient dressées et dures comme du béton me faisant gémir.
Mon mec pratiqua sur moi ces douces caresses jusqu'à ce que je râle de contentement, puis me prenant par la taille il me retourna.
Les mains de Nourredine se posèrent sur ma nuque puis il commença à me masser le dos, une tendre sensation m'envahit et un petit cri pulsa de ma gorge.
Quand la langue de mon mec remplaça ses mains, partant de ma nuque et descendant le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon de mes fesses, je me sentis sombrer dans le désir.
Longtemps mon homme me lécha de la sorte jusqu'à ce je sois pantelant, c'est là que je me rendis compte que mon amant n'avait pas encore touché ni à mon trou ni à mes miches brûlantes.
J'étais tellement excité que le moindre effleurement sur ma peau me faisait gémir.
Mon amant posa ses mains sur ma croupe embrasée et me dit "Ton joli petit zouk est bouillant.
- Oui et mon trou est affamé.
- Je vais m'en occuper de ta petite porte étroite ma petite salope.
- C'est tout ce que je demande.
- Je vais bien préparer ce cul avant d'enfoncer ma grosse bite dedans pour bien te niquer comme tu
le mérites".
Nourredine écarta mes lobes charnus d'une main et m'introduit son majeur dans l'anus.
L'introduction de ce succédané de pénis me fit frissonner et je cambrai mes reins rendant mon fessier.
Mon homme fit aller et venir lentement son doigt dans mon tunnel en feu puis un deuxième et un troisième doigt vinrent rejoindre le premier.
J'avais fermé les yeux et me délectant du désir profond qui montait en moi partant du bas de mes reins pour venir exploser en mille étoiles vers mon visage.
Au fur et à mesure des attouchements que mon mec me prodiguait, je sentais mon sphincter s'ouvrir.
Mon amant faisait aller et venir ses doigt en moi tout en tournant la main pour élargir mon antre béante.
Pendant quelques minutes Nourredine continua ses manuvres me faisant me tordre sur la couche tout en gémissant.
Jugeant que j'étais à point, mon homme ôta ses doigt de ma grotte et me dit "Je crois que tu es prête à recevoir ma grosse queue, mets-toi à quatre pattes que je t'encule".
Flottant dans l'univers brumeux du plaisir, j'obéis en écartant les cuisses au maximum tout en arquant mes reins de telle sorte à tendre mon arrière-train le plus possible.
Mon mec caressa mes fesses bouillonnantes et me dit "On voit que tu as envie de te faire baiser
salope, rien que de te voir tendre ton cul comme ça me fait bander encore plus fort".
Mon amant s'agenouillant derrière moi et engagea son énorme sexe érigé dans la raie de mon cul.
Nourredine promena son gland turgescent le long du sillon de mon postérieur s'arrêtant contre mon ouverture anale pour la lubrifier du sperme translucide qui perlait de son méat.
Après quelques passages mon homme positionna son phallus à l'orée de mon canal intime, bien que je sois bien ouvert par ce que mon mec avait pratiqué sur moi, je fus pris de panique quand je sentis la taille de la fabuleuse tête de sa virilité triomphante et tentait de me dérober en pensant à ce qui allait s'engouffrer en moi.
Mon amant s'aperçut de mon geste, il me maintint solidement aux hanches et me dit "N'aie pas peur,
je sais que j'ai une grosse bite mais elle rentrera quand même dans ton petit trou du cul tout
chaud.
- Fais doucement je t'en prie.
- Mais oui ne t'inquiète pas".
Nourredine commença à peser sur ma corolle, quand son formidable gland écarta mes chairs je poussai un cri de douleur.
Mon homme s'arrêta et me dit "Si tu as trop mal, on peut arrêter, la seule chose que je te
demanderais c'est de me sucer car il faut que je tire mon coup.
- Non j'ai mal c'est vrai mais je sais que je peux recevoir ta bite dans le cul seulement il faut
que mon trou s'habitue à ton calibre.
- C'est vrai car je sais quand même que si tu t'es fait baiser par Mustapha, tu peux prendre mon
zob.
- C'est vrai et en plus j'en ai très envie, je veux que ta queue m'éclate le cul, qu'elle me lime
jusqu'à ce que je jouisse.
- Tu vas jouir ma salope, décontracte toi et tu verras tout se passera bien.
- Je le sais".
Tout en parlant mon mec avait continué à accen son introduction en moi, il sortit son priape de moi et recommença à forcer ma rondelle.
Petit à petit tout en serrant les dents pour ne pas crier je sentis le superbe bout durci entrer dans mon intimité.
Au bout de quelques instants mon amant me dit "Ca y est tu vois la tête de mon zob est dans ton
cul, le reste va rentrer sans problème".
Nourredine sortit son bout durci de mon rectum puis le re rentra pour m'assouplir la pastille.
Je sentis mon anneau se détendre et la douleur se fit moins vive, mon homme s'en aperçut et d'une poussée il m'enfessa jusqu'à la garde.
Quand je sentis les poils follets de son pubis contre mon derrière brûlant je sus qu'il était totalement en moi.
Mon mec resta immobile me laissant m'habi à la volumineuse présence qui m'obstruait le fondement et me dit "C'est fait tu as toute ma pine dans ton cul, je t'encule à fond".
Petit à petit mon tunnel se décontracta et je commençai à percevoir un ardent désir monter en moi, je remuai un peu les fesses et dit à mon amant "Je n'ai plus mal, vas-y baise-moi, fais-moi du
bien".
Les mains toujours posées sur mes hanches, Nourredine commença à me posséder lentement de toute la longueur de son énorme biroute m'arrachant à chaque passage de petits couinements de douleur.
Au bout de quelques instants mon orifice céda complètement et le mal disparut faisant place à un bien-être grandissant.
Mon homme me besognait de toute la grandeur de son formidable phallus, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au tréfonds de mes entrailles la seconde suivante.
Sous les coups de boutoirs que je recevais le plaisir affluait en moi par vague chaque fois que le pénis tuméfié m'enfilait m'ouvrant un peu plus le cul.
J'avais fermé les yeux et savourait l'inexorable montée du bonheur dans mon être enfiévré.
Mon mec avait posé une de ses mains sur mes reins pour me cambrer encore plus, je me baissais reposant sur les avant-bras, la croupe en l'air afin de m'offrir encore plus.
Les assauts de mon amant devenaient plus rapides et violents, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal.
Ce que je ressentais à me faire défoncer par ce superbe priape était si bon que je devais me mordre les lèvres pour ne pas crier de félicité.
J'avais l'anus complètement éclaté et la fabuleuse bite coulissait entre mes reins sans gène aucune.
Nourredine me limait en de brusques coups de reins qui me faisaient avancer sur le lit chaque fois qu'il plantait sa queue au fond de mon rectum incandescent.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon canal intime et je me mis à râler de volupté chaque fois que la magnifique pine m'élargissait un peu plus le trou du cul.
Mon homme ponctuait ses poussées par des "Encaisse salope, tiens prends tout mon zob dans ton joli
cul".
Je planais littéralement sous les coups de bite que je recevais et je me mis à pousser de lourds râles de délice.
Mon mec me pilonnait l'arrière-train en de virils coups de reins, le puissant sexe me démolissait la rondelle un peu plus chaque fois qu'il m'empalait jusqu'à la garde.
J'étais en nage et j'avais l'impression de mouiller du cul tellement j'avais la raie humide de transpiration.
Je ne vivais plus que pour et par la splendide queue qui me cassait le cul et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon derche vers l'objet de ma dévotion pour accen la pénétration.
Mon amant se rendit compte de mon comportement et me dit "Tu aimes ça hein salope, tu aimes te
faire bien baiser, tu sais que tu as un cul fantastique, allez continue à tourner ton cul sur
mon zob, continue putain, tu vas encore en prendre des coups de bite".
Tout mon corps était un gigantesque brasier et je savais que seule la jute de ce merveilleux phallus pouvait l'éteindre, mais je voulais encore qu'il me baise longtemps avant de stopper l'incident qui me consumait.
Je n'étais plus que jouissance, seul comptait pour moi ce formidable membre qui me forait les reins un peu plus à chaque assaut.
Nourredine me possédait de manière saccadée, il se ruait dans mon antre dilaté à l'extrême avec une violence peu commune me faisant sombrer de plus en plus dans le plaisir.
J'avais atteint la plénitude rectale, la bouche grande ouverte je hurlai de bonheur tout en contractant mon anus autour de la hampe turgescente qui m'alésait un peu plus à chaque enfilade.
Mon homme me dit tout en continuant ses assauts redoublés "Salope, tu es vraiment une salope,
j'aime comment ton cul me presse la bite, continue putain c'est bon, tu aimes comme je te nique
ma pute".
J'avais totalement perdu le sens des réalités, je m'offrais sans aucune retenue tout à mon plaisir.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec m'enculait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Dans la chambre, en dehors de mes hurlements, on entendait le bruit de succion que faisait mon trou de balles chaque fois qu'il avalait le gigantesque pénis érigé.
J'avais atteint le point de non retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
C'est à cet instant que s'enfonçant au fond de mon cul en feu mon amant éjacula en feulant.
Ses épais flots de semence crémeuse frappant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme foudroyant, j'eus le souffle coupé puis un hurlement strident pulsa de ma gorge et je m'effondrais à plat ventre sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me montait.
Je sentis le sexe de Nourredine sortir de mon tunnel et mon homme se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux, mon mec était assis à côté de moi, il fumait une cigarette, son membre à demi érigé et maculé de sécrétions anales et séminales reposait sur sa cuisse comme un gros ver, je lui souris et mon amant me dit "Ca y est de nouveau parmi nous ?
- Oui.
- C'est incroyable.
- Quoi ?
- Je savais que j'allais bien baiser mais jamais je n'aurais cru qu'un mec pouvait jouir comme tu
l'as fait.
- Mais tu sais quand je me fais baiser je ne suis pas un homme mais une femme et je réagis comme
une femme.
- Ca je l'ai vu, tu es vraiment une vraie pute.
- Eh oui.
- Vraiment tu as un cul formidable, je n'ai jamais vu un cul pareil, quel cul !!
- Merci mais tu sais ce n'est pas tous les jours qu'on se fait baiser aussi bien et par une bite
comme la tienne.
- C'est vrai j'ai une belle bite mais devant un cul comme le tien on est obligé de bien baiser.
- Merci.
- Mais de rien c'est moi qui te remercie car moi aussi j'ai pris un énorme plaisir à t'enculer et
j'ai même très envie de recommencer.
- C'est tout ce que je demande car moi aussi j'ai envie de jouir encore.
- Alors mets toi sur le dos et écarte les cuisses que je te nique encore.
- Avec plaisir".
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