Damien 49 - Nourredine 1
Ce matin je me levai à onze heures, depuis la veille mon cul ne portait plus aucun stigmate de ma dernière baise, mes fesses étaient sans aucune trace et mon trou était refermé.
Après mon petit déjeuner, je suis allé prendre une douche pour donner à mon corps une propreté toute suédoise puis après m'être séché j'ai mis de la musique.
Cela faisait environ un quart d'heure que j'écoutais la 5ème symphonie de Mozart quand on a frappé à la porte.
J'ai ouvert et je me suis retrouvé face à Nourredine, mon meilleur copain, il n'était pas au courant de ma double vie et je lui ai dit "Quelle surprise, ça fait quelque temps qu'on ne t'a pas
vu.
- Oui c'est vrai.
- Entre, tu veux boire quelque chose ?
- Je veux bien un petit whisky".
J'ai servi deux verres, je me suis assis face à mon copain et je lui ai demandé "Alors quoi de
neuf ?
- Moi rien mais toi tu pourrais peut-être me dire.
- Oh tu sais je ne vois pas ce qu'il y a de nouveau.
- Tu es sur ?
- Je ne sais pas, je crois que tu sais tout.
- Moi je ne crois pas.
- C'est à dire ?
- Eh bien je croyais être ton meilleur copain.
- Mais bien sur pourquoi dis-tu ça ?
- Simplement parce que si c'était vrai tu te serais comporté autrement.
- Attends là je ne comprends rien à ce que tu racontes.
- Tu es sur ?
- Mais oui je ne vois vraiment pas.
- Bon alors je vais te dire. Peux-tu m'expliquer comment ça se fait que tout le monde sait que tu
es un pédé sauf moi ?
Peux-tu m'expliquer pourquoi tu as demandé à Mustapha de baiser avec toi ?
- Mais..
- N'essaye pas de nier, je sais que Mustapha n'a pas menti.
- Ecoute
- Non attends Damien tu fais ce que tu veux avec ton cul mais quand même si vraiment tu avais le
cul qui te chatouillait tu aurais au moins pu me le dire à moi.
- Je ne vois pas ce que cela aurait changé.
- Simplement que c'est moi qui t'aurait baisé.
- Parce que
- Oui tu crois qu'il n'y a que les autres, tu sais pour moi aussi un cul est un cul que ce soit le
tien ou celui d'une gonzesse.
- Alors c'est ça le problème.
- Et oui.
- Bon alors maintenant c'est toi qui va écouter, si le jour où j'ai baisé avec Mustapha c'est toi
qui était venu peut-être que c'est toi qui m'aurait baisé. C'est tout.
- C'est vrai ?
- Mais oui c'est aussi simple que ça.
- Excuse-moi je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai cru que tu voulais te cacher de moi et j'ai
trouvé ça pas bien.
- Mais non, c'est simplement un concours de circonstances.
- Je m'excuse.
- Mais non c'est rien.
- Si je me suis comporté comme un con.
- Mais non et puis d'ailleurs heureusement que tu es venu aujourd'hui.
- Pourquoi ?
- Autant que tu le saches, je n'ai pas baisé qu'avec Mustapha, il y en a eu beaucoup dautres.
- Et bien.
- Et oui tu vois je suis une vraie salope, je suis une vraie folle de la bite.
- C'est pas vrai !
- Si d'ailleurs en ce moment j'ai très envie de baiser, alors si tu veux je suis à toi, enfin mon
cul et ma bouche sont à toi.
- Tu es sérieux ?
- Plus que ça, si tu le veux aujourd'hui je peux être ta femme.
- Ca alors.
- Bon alors c'est oui ou non.
- Tu veux vraiment que je te baise.
- Oui.
- Alors c'est d'accord.
- Allez viens allons dans ma chambre, à moins que tu préfères baiser ici dans le salon, en plus ne
t'inquiète pas il n'y a pas à s'occuper de ma bite, quand je suis avec un mec je ne bande pas,
il faut simplement que tu t'occupes de mon corps, et tu vas voir il parait que je suce comme une
vraie pute quand à mon cul il parait qu'il est aussi bon que la chatte de la meilleure femelle
du monde.
- Super allez ne perdons pas de temps allons tout de suite dans ta chambre, je veux découvrir
cette bouche sur ma bite et ce cul que je vais éclater".
Quand nous arrivâmes dans la pièce Nourredine me prit par la nuque et écrasa ses lèvres sur les miennes, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand mon homme s'écarta de moi j'avais le rouge aux joues et la respiration saccadée, il me dit "Tu embrasses comme une vraie pute, approche-toi que je te déshabille".
J'obéis et mon mec commença à me dévêtir, il ôta mon tee-shirt, il dégrafa mon pantalon, le retira et je me retrouvai en slip.
Me prenant par les hanches mon amant me fit pivoter puis il baissa mon slip le faisant descendre lentement le long de mes cuisses fuselées.
Quand je fus nu Nourredine posa une main sur mes fesses chaudes pour en apprécier l'élasticité, il glissa un doigt entre mes lobes charnus s'arrêtant sur mon anus pour en titiller l'entrée.
Cette douce caresse me fit frémir et mon amant me dit "Tu as vraiment un cul superbe, il est tout
doux et très chaud tu dois vraiment être un très bon coup j'en suis sur. A peine je t'ai touché
que déjà j'ai senti que tu aimes ça. Maintenant c'est toi qui va enlever mes affaires et je veux
que tu le fasses comme une vraie femme, c'est à dire de la manière la plus amoureuse possible"
Je pris les pans du sweet shirt et l'ôtai en le faisant passer par-dessus la tête de Nourredine.
Je me collai à mon amant et commençai à lui embrasser le torse tout en lui léchant les tétons.
Ce traitement ne fut pas sans effet sur mon mec, je sentis sous ma langue les pointes de ses seins s'ériger et devenir dures et sa respiration s'accélérer.
Tout en continuant à butiner le buste de mon homme, je glissai mes mains vers son ventre et commençai à dégrafer la boucle de sa ceinture.
Une fois la ceinture libre je m'agenouillai devant mon amant.
Le regardant droit dans les yeux je commençai à déboutonner son jeans.
Une fois la taille du pantalon défaite, j'entourai les cuisses de Nourredine de mes bras et posai ma tête contre son entrejambe.
Je sentis palpiter, à travers l'étoffe, le phallus dressé.
Je restai quelque temps dans cette pose puis m'écartai légèrement de mon mec.
Je pris entre mes dents la boucle de la fermeture éclair du pantalon de mon amant et entrepris de la faire glisser.
Quand la braguette fut ouverte je fis lentement descendre la culotte de mon mâle le long de ses cuisses musclées et poilues.
Je déchaussai mon homme et lui enlevai ses chaussettes puis retirai le pantalon.
Nourredine n'était plus vêtu que d'un caleçon dont l'avant, humide et tendu à l'extrême, menaçait de se rompre.
Je me rapprochai de nouveau de mon amant et me mis à embrasser ses cuisses et entre elles, me gardant bien de toucher l'endroit stratégique.
Pendant quelques moments je pratiquai sur mon homme ces doux mamours.
Mon mec, la voix rauque, me dit "C'est bon ce que tu me fais j'ai mal tellement je bande, occupe
-toi de ma bite, je n'en peux plus".
Je levai mon visage vers mon mâle, je lui souris puis prenant son short par l'élastique je le baissai.
Le spectacle qui s'offrit à moi m'émerveilla, le sexe de Nourredine, très long et très volumineux, pointait vers le plafond.
Son magnifique gland circoncis brillait de liqueur translucide dont une goutte perlait du méat, sous le splendide pénis pendaient deux grosses boules duveteuses que je savais gorgées de sève.
Portant une main légère sur les bourses je dis à mon mec "Ta bite est vraiment superbe.
- C'est vrai ?
- Oui elle est belle.
- Elle te plaît ?
- Oh oui.
- Alors prouve le et occupe toi d'elle, commence par me montrer si ta bouche mérite une bite comme
la mienne.
- Tu vas voir tu ne seras pas déçu.
- C'est ce que je souhaite ma petite femme, allez pose tes lèvres sur ma grosse tétine et suce
bien. Si je suis content de toi alors je m'occuperais de ton petit trou du cul.
- Tu seras content.
- Je le sais car je suis sur que tu es une très bonne suceuse, quand à ton petit zouk ne
t'inquiète pas je vais bien le défoncer tout à l'heure.
je suis trop excité et comme je sais que dans un cul la bite est bien serrée j'ai peur de tirer
mon coup trop vite sans avoir bien profité de ton cul de rêve.
- Moi aussi je préfère ça car j'ai envie que tu me limes bien le cul avant de m'envoyer ta purée.
- Puisque nous sommes d'accord alors il ne te reste plus qu'à me pomper le zob".
Tout en restant à genoux je fis asseoir mon homme sur le lit, j'écartai ses jambes et me suis mis entre elles.
Le sexe de mon amant palpitait, du bout de la langue je recueillis une larme de sperme qui perlait et l'avalai avec délectation.
La semence de mon mâle avait un petit goût salé qui me plaisait et je lui dis "Tu sais que ta jute
a très bon goût ?
- Non je ne le sais pas, je ne me suis jamais sucé mais si elle te plaît alors ça me fait plaisir.
Je t'en prie fais quelque chose je me sens comme un chien devant une chienne en chaleur.
- Mais mon grand je suis une chienne en chaleur et je suis très fière que tu bandes comme ça pour
moi. Seulement tu sais quand on baise il ne faut pas être pressé, il faut prendre son temps car
comme on dit, plus c'est long c'est bon. Crois-moi même si je ne suis pas une fille il ne faut
pas simplement me baiser mais me faire l'amour.
- Je suis d'accord et je n'ai jamais dit le contraire, pour moi en ce moment c'est comme si
j'étais avec une fille puisque nous allons baiser ensemble. Tu sais pour moi un cul ou une moule
c'est pareil, l'important c'est de bien baiser et de prendre du plaisir. Mais je t'assure que
j'ai vraiment envie de tirer.
- je le sais je vois dans quel état est ta belle pine, allez détends-toi et laisse toi porter par
le plaisir que je vais te donner en te suçant comme jamais on ne t'a sucé crois-moi. En plus je
vais m'appliquer car c'est vrai je t'aimais bien mais maintenant que tu vas me baiser ce n'est
plus je t'aime bien mais je t'aime tout simplement".
Je pris le priape distendu à la base et me suis mis à le masturber lentement, Nourredine poussa un gémissement, ferma les yeux et se cambra pour s'offrir totalement à ma caresse.
Je continuai mes mouvements jusqu'à ce que Nourredine râle et que son bassin se soulève chaque fois que je pressais son pénis érigé.
Le gland de mon amant coulait abondamment, j'avais du foutre plein la main.
Arrêtant mes gestes je me penchai vers le phallus tuméfié et ouvrant tout grand la bouche j'engloutis l'objet de ma dévotion.
Sous le contact de mes lèvres mon homme frémit, enroulant ma langue autour de la verge raide je me mis à monter et descendre dessus lentement tout en la mordillant.
Chaque fois que j'embouchai totalement le membre turgescent mon mec poussait des petits cris de bonheur en disant "Ouii ahh c'est bon, ohh tu suces bien, ta bouche est bonne, continue, ahh suce
suce suce, c'est bon".
Plusieurs fois, sentant l'explosion proche j'arrêtai ma fellation laissant la calme revenir puis recommençant de nouveau à sucer cette superbe queue.
Soudain mon homme posa ses mains sur ma nuque et bloquant ma tête il se mit à donner des coups de reins.
Le résultat ne se fit pas fait attendre, je sentis le pénis de mon mâle tressauter sur ma langue et il me sembla que le gland doublait de volume.
Nourredine plaqua ma figure contre son pubis et éjacula en feulant, un épais flot de sperme crémeux, que j'avalai avec délice, gicla contre mes amygdales.
Mon homme relâcha la pression de ses mains sur ma nuque mais je restai collé à lui, cajolant de ma langue le phallus qui continuait à se déverser dans ma gorge, jusqu'à ce que le calme soit revenu.
Quand je m'écartai de mon amant, je relevai mon visage vers lui, je lui souris tout en lui demandant "As-tu as aimé ?
- Si j'ai aimé mais tu m'as sucé mieux qu'une pute, ta bouche est super.
- Merci si tu es content alors je suis content.
- Je t'assure que tu suces vraiment bien et on voit bien que tu aimes ça tu es vraiment une vraie
pompeuse.
- Oh oui j'aime ça, j'adore sucer une bite bien raide comme la tienne.
- Je me dis que si ton cul est aussi bon que ta bouche on va passer une journée géniale.
- Tu vas voir, mon cul est encore meilleur que ma bouche et comme j'ai très envie de baiser il va
falloir que tu sois très en forme.
- Ne t'inquiète pas pour ça je suis toujours en forme quand il faut baiser, je suis sur que c'est
toi qui me demandera d'arrêter.
- Je ne veux pas te vexer mais pour fatiguer mon cul il en faut beaucoup et je peux te dire que
pour l'instant personne n'a réussi à me faire demander grâce, c'est toujours les mecs qui se sont
arrêtés car ils avaient les couilles vides.
- On verra bien.
- Comme tu dis.
- Comme tu peux le voir, rien que de parler de baiser me fait bander, regarde comme ma bite est
dure.
- Bravo je crois que je suis tombé sur un vrai mâle.
- Tu peux en être sur, je suis un vrai mâle.
- Je ne demande que ça.
- Maintenant je vais bien m'occuper de ton petit cul, bien l'ouvrir avant de bien l'enculer.
- D'accord.
- J'ai très envie d'enfoncer mon zob dans ton petit trou serré.
- Moi aussi j'ai très envie de toi, je suis en feu".
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