A L'Ombre Des Maris. Deuxième Partie: Fatna, La Belle-Fille
A lombre des maris
Deuxième partie : Fatna, la belle-fille
Pendant environs deux mois, nous continuâmes, Fatia et moi une relation torride, pour le grand bonheur et la satisfaction de notre libido. Nous étions heureux de nous retrouver le matin, pendant que Lahcen et son fils Mohammed étaient sortis, lun pour aller gagner la croûte de la famille, lautre pour ses études en informatique. Nous profitions de ces moments de totale liberté pour baiser comme des bêtes et entrer dans le nirvana des amants. Fatia était très imaginative en amour. Elle voulait tout vivre et tout essayer : toutes les positions du kamasoutra y étaient passées. Et plus le temps passait, plus elle voulait essayer des choses nouvelles.
Parmi les fantasmes qui revenaient souvent chez elle, il y avait la double pénétration. Elle rêvait dêtre prise par deux hommes en même temps et, comble de perversité, elle voulait que lun des deux soit Lahcen, son mari. Il lui arrivait souvent de crier son nom pendant quelle sempalait sur mon sexe, et de le supplier de venir lenculer. Elle disait quun jour elle vivra vraiment cette expérience. Elle pourtant consciente, quil était impossible pour elle de baiser en même temps avec moi et avec son mari. Dun côté, elle connaissait les idées plutôt traditionalistes de Lahcen en matière de relations sexuelles; et de lautre, elle savait que je nétais pas partageur. Ce fantasme resta donc en létat, avec toutefois, un ersatz de double pénétration avec un légume (un concombre ou une grosse carotte).
Quand lenvie la tenaillait de sentir ses deux trous remplis en même temps, elle allait dans la cuisine prendre ce quelle trouvait dassez gros pour se lenfoncer dans le vagin, pendant que je lenculais. Elle se mettait à quatre pattes, me demandait de lenculer et senfonçait le légume dans le vagin. Je ne commençais mes va-et-vient dans son cul que quand le légume était au fond et quelle le faisait aller et venir.
La jouissance qui sensuivait était toujours paroxysmique. Fatia hurlait son plaisir et jouissait sans retenue. Quant à moi, cétaient des quantités énormes de foutre que je déversais dans son cul et dans sa bouche ; parce quà chaque fois, elle voulait que jen réserve une part pour quelle la boive. Elle aimait vraiment boire du sperme. Cétait devenu sa drogue et elle en était accro.
Nous menions ainsi une vie complètement dédiée au sexe. Elle en était heureuse et le proclamait très fort. Elle disait même quavec moi, elle avait atteint des sommets de jouissance, que même son amant sahraoui navait jamais réussi à lui procurer. Pendant toute cette période, je ne travaillais pas beaucoup ; jarrivais toujours en retard au bureau ; mes collaborateurs sen plaignaient, parce que je les faisais travailler le soir, après les heures, pour rattr mes retards du matin. Mais ils finirent par accepter la situation et arrivèrent eux-mêmes plus tard que dhabitude pour sadapter à mes horaires. Il nétait pas question que je rate une seule de mes séances avec Fatia. Pour moi aussi cétait une drogue.
Et quand Fatna se mit de la partie, je ne trouvais presque plus de temps à consacrer au travail. Cétait maintenant la matinée entière qui était sacrifiée pour pouvoir assouvir ma libido aux prises avec deux panthères assoiffées damour.
Fatna était la belle-fille de Fatia, lépouse de Mohammed, son fils unique. Je fis sa connaissance réellement, la première fois que Lahcen mavait invité à dîner, à loccasion de la rupture du jeûne du premier jour de Ramadhan. Moi je ne faisais pas le ramadhan, mais je ne men vantais pas trop; il était très mal vu de ne pas jeûner au cours de ce mois. La tradition voulait que la rupture du jeûne se fasse en famille. Et Fatia et son mari avaient gardé ces traditions, encore très fortes dans le sud du pays, où ils avaient vécu longtemps.
Fatia mavait raconté lhistoire abracadabrante du mariage de son fils et de Fatna. Les jeunes - garçons et filles - de la cité dans laquelle ils vivaient à Hassi Messaoud, avaient lhabitude de se réunir les après-midi - pendant que tout le monde faisait la sieste - dans une des maisons vidées de leurs habitants la journée et passaient leur temps à batifoler et flirter. Mohammed était avec Fatna, la fille dun voisin, un sahraoui de souche, très à cheval sur les questions dhonneur (honneur centré sur la seule intégrité physique de lhymen des filles).
Mais les flirts gentils et innocents des deux jeunes finirent en accident dépucelage et surtout eut comme conséquence pour Fatna une grossesse malvenue. Tant quelle put cacher son état, ni lun ni lautre nen parlèrent, espérant sans doute une intervention de la Providence pour faire tomber le ftus. Mais le moment arriva où il nétait plus possible pour Fatna de cacher son état ; elle raconta lhistoire à sa mère, qui la roua de coups et qui, furieuse, vint voir Fatia, pour lui demander des comptes.
Elles finirent par décider quil ny avait pas dautre solution quun mariage arrangé pour éviter le scandale et, surtout, linévitable et sanglante vengeance dun père dont lhonneur venait dêtre bafoué. Le mariage eut lieu, au quatrième mois de la grossesse, entre Mohammed jeune homme en fin dadolescence et encore immature et Fatna, belle plante pleine de vie et voulant vivre sa vie à cent à lheure. Fatia craignait beaucoup pour son fils, dont limmaturité lui posait problème. Elle craignait quil ne devienne un jouet entre les mains de sa femme, beaucoup plus futée et plus mûre que lui. Elle sentait le côté très sensuel de la fille et son penchant prononcé pour les relations sexuelles fortes et intenses.
En fait Fatna, qui était une fine mouche, accepta bien vite sa nouvelle situation dépouse et de maman. Elle trouvait sa belle-mère, plutôt cool. Elle la traitait avec gentillesse, bien quelle soit consciente quelle lui en voulait beaucoup pour avoir, consciemment ou pas, créé une situation inconfortable pour toute la famille. Le nouveau couple, qui navait pas encore les moyens de se prendre en charge, vivait chez les parents de Mohammed. Tout se passait plutôt bien. Fatia aidait Fatna à élever son fils. La belle-fille, qui avait une nature enjouée et attirait la sympathie de son entourage, tenait compagnie à sa belle-mère qui se sentait ainsi moins seule dans cette ville cosmopolite de Hassi Messaoud. Le seul problème que posait à Fatia la présence permanente de Fatna, cétait ses rendez-vous amoureux avec Abdeslam, son amant, quelle ne voulait rater à aucun prix.
Un temps, elle essaya de louvoyer avec sa belle fille; elle lui disait quelle allait rendre visite à une voisine, puis deux jours après, à une autre. Fatna comprit très vite quil y avait anguille sous roche. Elle voyait à chaque fois sa belle-mère revenir totalement transfigurée, avec dans le regard du bonheur et de la béatitude. Elle finit par découvrir lexistence de Abdeslam. Elle le dit à Fatia, en lui faisant comprendre quelle nétait pas choquée quelle ait un amant et quau contraire elle la comprenait très bien.
- Mais, ajouta-t-elle, il se pourrait quun jour jen fasse de même ! Si je trouve un homme comme ton Abdeslam, je ferais certainement comme toi ! Je ne dirai rien à personne te concernant ; mais promets-moi que si je trouve lhomme qui me fera grimper aux rideaux, toi aussi tu ne diras rien.
Et Fatia, interloquée, mais assez contente de la tournure que prenaient les choses, promit. Tout ! plutôt que perdre la raison de son bonheur : son amant.
Javais bien remarqué le comportement aguicheur de Fatna chaque fois que je venais chez eux. Elle shabillait de manière sexy, mettant en valeur toutes les rondeurs de son corps. Rondeurs dont la nature lavait généreusement pourvues ! Cet exhibitionnisme semblait gêner tout le monde, mais personne ne disait rien. Elle allait et venait, entre la cuisine et la salle à manger, sans complexes. Cétait elle qui assurait le service et elle le faisait en commençant toujours par moi - linvité - et en me réservant les meilleures parts. Elle me servait en me regardant bien dans les yeux, avec un sourire carnassier sur les lèvres. Elle ne disait rien, mais tout en elle parlait dérotisme et de sensualité. Jétais moi-même très gêné : plus par la présence de son mari et de son beau-père que par le comportement de la fille.
Fatia, quant à elle, faisait celle qui ne voyait rien. Je ne sais pas comment, une fois que jétais parti, les choses se déroulaient : le mari sen prenait-il à sa femme et lui reprochait-il son comportement ? Lahcen, en parlait-il avec Fatia, pour faire changer à Fatna son comportement ? En fait, les quatre ou cinq fois où javais été invité par la famille, la fille avait continué de se comporter de la même manière : elle narrêtait pas de maguicher devant son mari, sa belle-mère et son beau-père. Je restais stoïque, faisant semblant de ne rien remarquer. Mais je nétais pas dupe : tout le monde voyait le manège et comprenait que la fille faisait dans la provocation sexuelle. Ce fut Fatia qui la première men parla, au cours dune de nos rencontres:
- Tu as remarqué que Fatna bande pour toi ?
Comme à son habitude, elle utilisait un langage directe et sans fioriture. Je ne savais pas quoi lui répondre, parce que je ne connaissais pas encore ses arrières pensées. Jétais sûr que si elle avait mis le sujet sur le tapis, cest quelle poursuivait un objectif.
- Ne me dis surtout pas que tu nas pas remarqué comment elle te regarde, comment elle te parle et comment elle taguiche avec ses tenues et sa démarche indécentes ! Elle sait pour nous ! Et elle veut sa part !
- Quoi ? Tu veux dire quelle veut te remplacer dans mon lit ? Sinon elle vend la mèche ?
- Non même pas ! Elle veut partager !
-
.
- Oui ! Tu te rappelles quelle savait pour Abdeslam à Hassi Messaoud. Quelle mavait dit quelle fermait les yeux mais quelle fera la même chose quand elle rencontrera lhomme qui réveillera sa libido. Et bien, là-bas, elle navait rien fait, parce quelle navait pas eu le temps de trouver son homme. Mais dès quelle ta rencontré, et surtout depuis quelle sait pour nous, elle a décidé de sauter le pas.
- Et tu es prête à accepter un tel deal ?
- Pourquoi pas ! Tu sais comme jaime les nouveautés. Je suis sûre que nous allons vivre des moments inoubliables à trois !
- Et ton fils ?
- Quoi, mon fils ! Il sait très bien quil ne pourra pas garder indéfiniment Fatna. Cest encore un ! Il nest même pas conscient de la situation quil est entrain de vivre. Tu as remarqué quil ne sintéresse à rien : sinon aux jeux vidéos, aux forums sur internet et aux téléphones portables. Il na toujours pas de métier et nest pas encore prêt à prendre en charge une famille. Ce nest même pas un papa conscient de ses responsabilités. Tout ce quil peut faire pour le moment, cest poursuivre ses études et décrocher un diplôme. Il pense aimer Fatna, mais en réalité, pour lui, elle nest quun jouet ; comme ses jeux vidéos. Il fait lamour avec elle quand elle en a envie et cela lui suffit. Pour lui, cest cela être marié. Donc je ne men fais pas trop pour lui, si elle le trompe : cest dans lordre des choses. Si ce nest pas avec toi, ce sera avec un autre. Dailleurs, je suis convaincue, quun jour ou lautre elle partira pour vivre une autre vie, plus en relation avec ses désirs de jeune femme.
- Tu veux donc me loffrir ?
- Oui ! Dès demain !
Et effectivement, Fatna se présenta chez moi, le lendemain matin, vers huit heures trente. Elle nappuya pas sur la sonnette ; elle frappa doucement à mla porte, presque timidement. Cest un hasard si javais entendu lespèce de grattements sur la porte dentrée. Jouvris et me trouvai face à une merveille : Fatna dans une longue robe de chambre bleu ciel en satin, mettant en valeur son corps de top model. Parce queffectivement elle avait un corps de top model : grande, élancée, avec des rondeurs affriolantes, toutes à la bonne place et aux bonnes dimensions. La grossesse quelle avait eue quelques temps auparavant lavait épanouie, transformant une adolescente au corps prometteur en une superbe femme, dune sensualité à fleur de peau.
Je la fis entrer et refermai la porte. Elle resta là à lentrée du couloir, adossée à la porte dentrée, un peu intimidée, les yeux baissés et un petit sourire craintif sur les lèvres. Je me rendis compte, quauparavant, elle ne faisait que crâner et faisait montre dune assurance, quelle navait pas. Cétait en fait la première fois quelle se retrouvait seule avec un homme dans une situation sans équivoque : elle venait se donner à un amant et ne savait pas trop comment sy prendre. Je tendis les bras pour linviter à venir se blottir contre moi. Ce qui comptait pour le moment, cétait de la rassurer. Et il ny avait pas meilleure manière de le faire que de lenlacer tendrement et de prendre le temps de lhabi à la chaleur de mon corps.
Je la serrai très fort contre moi, en lui caressant tendrement la nuque. Je sentais son cur battre la chamade; pour la rassurer je lui murmurai à loreille des phrases dencouragement, lesquelles petit à petit firent leur effet.
- Tu es superbe ! Ne craint rien, je ne te ferais rien que tu ne voudrais pas. Tu sais combien tu me plais et combien je suis heureux de devenir ton amoureux ! Cest un grand bonheur pour moi. Dailleurs depuis que je te connais, je narrête pas de penser à toi, à ta beauté, à ton superbe corps. Toi de ton côté, tu as tout fais pour maguicher et pour tintroduire frauduleusement dans mon esprit. Fatia ma affirmé que je te plais et que tu veux devenir ma maîtresse. Dis moi que cest vrai !
- Cest vrai ! répondit-elle dans un souffle, à peine audible.
Je léloignai légèrement de moi pour lui relever la tête et lobliger à me regarder dans les yeux. Elle était toute rouge, démotion, supposai- je, et gardait encore le rictus quelle avait sur les lèvres en entrant ; je lui pris le menton dans ma main droite et posai sur ses lèvres un baiser à peine appuyé, pour ne pas leffaroucher. Elle se laissa embrasser, sans me rendre mon baiser. Je recommençai une deuxième fois, cette fois-ci en gardant mes lèvres sur les siennes plus longtemps pour la forcer soit à me répondre, soit, à tourner la tête pour me signifier quelle nétait pas encore prête. Au bout de quelques secondes, je sentis ses lèvres sanimer et sadapter aux miennes pour me rendre mon baiser.
Je me disais en moi-même que cétait gagné; que la belle se laissait aller au désir que je lui transmettais et qui commençait à embraser ses sens. Elle ouvrit ses lèvres, écarta ses dents et laissa ma langue pénétrer dans sa bouche. A partir de là tout bascula. Ce nétait pas encore une experte du baiser mouillé et torride, mais elle apprit très vite comment faire pour prendre autant de plaisir que moi. Elle copia ce que je faisais faire à ma langue dans sa bouche et fit de même dans la mienne. Sa langue était fine, agile et électrifiée. Chaque fois quelle venait titiller la mienne, je recevais une légère et très agréable décharge électrique, qui allait chatouiller ma colonne vertébrale et descendait jusquà mon bas ventre pour réveiller le cochon qui dormait à lintérieur du pantalon de pyjama que je portais. Très rapidement il prit des proportions gigantesques et tentait de sortir à travers lélastique qui retenait le pantalon. Je sentais que le gland était maintenant à lextérieur.
Tout en continuant à lembrasser, je collais mon bas ventre, avec le sexe dressé comme un sabre, contre le ventre de ma partenaire. Elle sentit tout de suite la différence et se mit à bouger ses hanches de manière à me caresser le sexe avec son ventre. Je sentis une chaleur agréable me remplir le corps. Mon sexe se remit à grossir et commençait à devenir douloureux. Une douleur tellement agréable que je voulais quelle dure encore longtemps ! Les caresses quelle administrait à mon sexe avec son ventre étaient infernales. Je sentais que si elle continuait encore une minute, jallais éjaculer sur sa robe de chambre.
Jarrêtai le baiser, léloignai de moi et me mis à défaire le ruban qui fermait sa robe de chambre en satin et en écartai les pans. Le spectacle qui soffrit à mes yeux était de toute beauté. Dabord, elle était complètement nue ; elle ne portait ni soutien gorge, ni petite culotte. Pendant un long moment je ne pus mempêcher dadmirer la merveille qui soffrait à mes yeux : des épaules larges, rondes et luisantes ; une poitrine généreuse avec deux magnifiques seins en forme de pomme, haut perchés, gorgés de lait et pointant vers moi tels deux obus menaçants, un ventre plat qui ne gardait aucune trace de la grossesse passée, une taille fine et souple à limage dune liane, des hanches étroites malgré la grossesse et laccouchement qui ne dataient que dune année, et
un pubis bombé, luisant et sans la moindre trace de poils, qui laissait entrevoir deux grandes lèvres sombres, longues et dodues.
Ses jambes étaient interminables, superbement galbées ; avec des mollets longs et musclés, des genoux ronds, luisants et des cuisses pleines, fermes et brillantes. Et au dessus de ses cuisses, le triangle de couleur plus sombre que le reste, qui laisser deviner toute la beauté de son jardin secret que je ne pouvais pas encore contempler dans sa globalité. Le tout était de couleur mâte, la couleur affriolante des filles du sud.
- Tu es splendide ! lui dis-je en la regardant dans les yeux.
Elle avait maintenant relevé la tête et me regardait avec un air à la fois émerveillé certainement de lire tant de désir dans mes yeux et un peu gêné. Elle ne semblait pas être encore à son aise, même si maintenant elle était fière doffrir à mon regard concupiscent son merveilleux corps. Elle navait pas encore lhabitude de la nudité devant un homme. Je tendis les mains pour faire tomber la robe de chambre en libérant totalement ses épaules. Elle resta ainsi, nue et immobile, telle une merveilleuse statue de marbre. Je me mis à lui caresser les épaules et leur appliquer un léger massage pour tester la fermeté de ses muscles. Elle se laissa faire, en poussant un tout petit gémissement et eut un geste qui mémut au plus au point : elle pencha sa tête pour caresser ma main droite avec sa joue gauche; puis ma main gauche avec sa joue droite.
Je laissai mes mains aller et venir longtemps sur ses épaules et le dessus de ses omoplates fermes et douces comme de la soie et profitai ainsi des caresses de ses joues. Elle se laissait prendre au jeu et se détendait de plus en plus. Il ny avait plus aucune gêne, ni aucun blocage en elle : elle se trouvait bien et profitait des sensations de plaisir qui la traversaient. Je sentis quil était temps pour moi de passer à létape suivante. Mes mains descendirent de ses épaules et vinrent prendre possession de ses deux magnifiques seins. Je la sentis frémir de plaisir, au moment du contact de mes mains avec sa poitrine. Elle avait des seins soyeux et fermes; ils étaient gonflés de lait. Elle allaitait encore son bébé, une fois par jour, me dit-elle un peu plus tard. Même avec tout le lait quils contenaient, ses seins nétaient pas énormes; ils avaient gardé leur taille et leur forme initiales : deux grosses pommes de couleur mate, avec des tétons marron foncé, à lintérieur dune auréole légèrement plus claire.
Jentrepris de palper et denrouler ses tétons entre trois doigts de chaque main. Je regardai son visage en même temps que je jouai avec ses seins; je voulais voir leffet de mes caresses. Elle avait fermé les yeux et souriait aux anges ; elle aimait la manière dont je la caressais. Elle gémissait en silence et laissait couler un peu de salive entre ses lèvres entrouvertes. Je tendis mes lèvres pour cueillir et boire avec délectation toute la salive que je pouvais recueillir. Elle ouvrit les yeux, pour voir ce que je faisais. Elle eut un petit rire détonnement en me voyant boire sa salive avec autant davidité. Elle mattrapa la nuque et me roula un patin chaud et humide en faisant faire à sa langue toute sortes de contorsions pour entrer dans ma bouche, ramasser ma salive et lamener dans sa bouche pour la boire, avec autant de délectation que jen avais mis pour la sienne. Elle était de toute évidence entrain de me signifier quelle avait compris les règles du jeu et quelle allait les pratiquer avec ferveur.
Jenlevai une main de sa poitrine pour lenvoyer sur son pubis quelle caressa pendant quelques secondes avant daller explorer son entrecuisse. Dès que ma main se posa sur son pubis, Fatna ne se retint plus. Elle se mit à gigoter des hanches et à les pousser vers lavant, exigeant de ma main une plus forte pression et surtout daller plus bas à la recherche de son intimité plus profonde. Mes doigts se posèrent sur sa chatte ; elle ouvrit ses cuisses plus largement pour permettre à mes doigts de jouer avec ses grandes lèvres, de les entrouvrir et de se glisser à lintérieur. Tout était ferme, chaud et maintenant de plus en plus humide ; ma belle était entrain de mouiller. Quelle merveilleuse sensation de recevoir sur mes doigts entreprenants, et sur la main, une énorme quantité de liquide chaud et visqueux !
Je sortis un moment les doigts de la chatte de ma mie, les portai à mon nez pour les sentir et à ma bouche pour les lécher, devant ses yeux étonnés de tout ce que je faisais. Le goût acidulé de sa mouille, conjugué à lodeur lourde et aphrodisiaque de musc quelle dégageait, était tellement agréable que je sentais mon sexe grossir encore plus et ne plus tenir en place. Il était maintenant totalement sorti du pantalon et frémissait dimpatience. Je dis à loreille de ma belle :
- Je vais te prendre comme cela, debout contre la porte dentrée !
- Oui ! Prends-moi !
Je lui fis relever la jambe gauche que je pris sous le genou pour la maintenir le plus haut possible. Je lui demandai de saccrocher à ma nuque pour garder léquilibre et pris mon sexe de la main gauche pour positionner le gland à lentrée de la chatte. Je lui fis faire deux ou trois allers-retours entre les grandes lèvres pour le mouiller, maccroupis légèrement pour me positionner sous le pubis de ma belle, et dun coup sec, je fis pénétrer lensemble jusquau fond du vagin.
- Aille !!!! Tu mas fais très mal !
Je laissai le monstre au fond du tunnel et me mis à embrasser ma belle tendrement sur le cou, en lui susurrant hypocritement:
- Tu veux que jarrête ? Tu verras tu thabias très vite ! Ça ne fait mal quau début. Tu verras, rapidement tu ne ressentiras que du plaisir. Jarête ?
- Non !!!! cria-t-elle à mon oreille. Continue ! Fais-moi jouir ! Je veux jouir ! Jai besoin de jouir !
Je ne me fis pas prier pour entamer un mouvement franc dallers-retours dans le vagin de ma belle. Un vagin, brulant, humide et moulant que je sentais palpiter sur mon manche ! Je ne prenais même plus la précaution dy aller doucement pour lhabi à la force de mon sexe et à sa capacité destructrice. Je la limais en force, en la soulevant du sol sur une dizaine de centimètres pour lavoir à ma portée. Jallais et venais dans son tunnel à un rythme de plus en plus rapide et avec une force de plus en plus grande. Ma mie était aux anges. Passée la première période de douleur, elle ne ressentait plus maintenant que le plaisir que lui donnait ce sexe, si gros et si fort, qui la possédait sans retenue et qui était entrain de devenir son maître.
- Ça te plait ? Cest bon ?
- Cest super ! Continue ! Ne tarrête pas ! Tire-moi encore plus fort ! Nique-moi ! Nique-moi !
Elle saccrochait à ma nuque avec force. Sans sen rendre compte, elle avait même planté ses ongles dans ma chair, me faisant très mal. Elle poussait des cris de plus en plus forts et de plus en plus longs, à mesure que sintensifiait le plaisir quelle prenait. Elle avait posé sa tête au creux de mon épaule gauche et je sentais quelle bavait et lâchait des quantités de salive qui descendait le long de mon dos. Elle se mit même, au moment où elle sentit arriver un énorme orgasme, à me mordre cruellement lépaule. Elle eut une jouissance, soudaine et irrépressible, qui lui fit pousser un long râle de mourante, avant de décharger toute leau de son vagin sur mon manche, mes couilles et en dehors, expulsée par les furieux va-et-vient du monstre.
Je continuai un temps de la pilonner, plus pour que sa jouissance soit complète et aille à son terme, que pour que moi jéjacule en elle. Javais décidé de ne pas éjaculer cette fois-ci, me réservant pour la suite que jespérais longue et toute aussi torride. Je la voulais toute entière; je voulais lui montrer toutes les facettes de lamour dès cette première fois. Je voulais la rendre accro à moi ; à mon sexe; à ma manière de la posséder; je voulais devenir dès maintenant son maître es érotisme. Jarrêtai le pilonnage et sortit de son vagin le manche encore tout raide et frémissant; je la déposai par terre et lâchai sa jambe; elle flageola et se laissa glisser sur le carrelage pour retrouver ses forces. Je la suivis et vint mallonger auprès delle, à même le sol, à lentrée du couloir.
- Tu as aimé ? lui demandai-je, un peu anxieux de sa réponse.
- Enormément ! Je comprends maintenant le sourire lumineux de Fatia, chaque fois quelle revient à la maison, après avoir fait lamour avec toi ! Cest vraiment merveilleux. Je nai jamais joui comme cela avec Mohammed ! Lui il me fait lever les jambes, entre en moi et au bout de quelques minutes, il a fait son affaire et se retourne pour dormir. Cest vraiment frustrant. Jai toujours rêvé dun homme qui me fasse monter au septième ciel, comme je lai toujours lu dans les livres. Mon expérience avec mon mari dans ce domaine, nest vraiment pas concluante !
- Peut-être parce quil ne sait pas sy prendre ! Quil faut quil apprenne ! Que tu lui apprennes ! Si tu sais ty prendre, il deviendra vite un bon coup ! Surtout sil est bien monté !
- Pas comme toi ! Il a un sexe de taille moyenne ! Et puis cest avec toi que je veux continuer à prendre mon pied ! Mohammed na quà aller chercher ailleurs !
- Je pense, au contraire, que tu dois te conduire comme Fatia: donner du plaisir et du bonheur à ton mari ! Dune part, comme cela tu nauras pas à culpabiliser et dautre part, sil est heureux avec toi, il ne se posera pas de questions sur votre couple.
Fatna sétait blottie dans mes bras et membrassait partout sur le corps, pendant que je lui parlais. En fait elle ne mécoutait pas; elle était occupée avec mon sexe quelle caressait doucement, presque avec crainte. Elle le regardait admirative et promenait une main légère qui allait titiller lénorme gland en forme de tête de champignon, pour aller chatouiller mes bourses, en passant par la longue hampe.
- Il est vraiment grand ! Jen ai vu un pareil dans des photos tirés dun film porno. Jai toujours rêvé doffrir ma chatte à un zob comme celui-là. Et ce jour est arrivé.
- Pas seulement ta chatte, ma grande ! Tous tes trous ! Jaime remplir tous les trous des dames ! Tu ne partiras dici aujourdhui avant que je ne dépucelle ton petit cul, lequel jespère na jamais accueilli de zob !
- Non ! Il na jamais servi et pour te dire la vérité, je crains vraiment la sodomisation ! Javais une copine à Hassi Messaoud qui se faisait enculer par son petit ami, pour ne pas avoir à se faire dépuceler par devant. Elle mavait avoué quelle naimait pas et que cétait sale.
- Son copain ne savait probablement pas sy prendre ! Demande à ta belle-mère, tout le plaisir quelle prend quand je lencule ! Elle en redemande ! Mais avant de tenculer et te faire encore jouir, tu vas me faire jouir avec ta bouche. Je suppose que là aussi tu es novice. Il faut que tu sache quune femme, une vraie utilise tous les moyens en sa possession pour donner du plaisir à son amant (ou à ses amants, si elle en a plusieurs). Viens allons dans la chambre, nous y serons plus à laise et nous attirerons moins lattention des voisins, qui montent et descendent les escaliers du bâtiment.
Je me levai, lui pris la main pour la mettre debout et nous allâmes vers la chambre, elle devant, balançant son merveilleux cul et moi derrière, bandant comme un bouc. Arrivé dans la chambre, je la fis se retourner pour me faire face, lui appuyai sur lépaule pour la faire mettre à genoux devant lengin qui dardait vers le plafond et qui frémissait dimpatience. Je le pris dans ma main droite et le présentai devant limmense bouche de ma mie.
- Suce-le !lui ordonnai-je dune voix que je voulais douce, mais ferme.
Elle attrapa le gourdin de sa main droite, entrouvrit ses lèvres, qui ressemblaient aux grandes lèvres dune superbe chatte, et y introduisit le gland. Elle avait gardé les dents serrées et le gland vint cogner dessus.
- Ecarte bien tes dents ! Il ne faudra pas me mordre, ni racler le sexe quand il sera dans ta bouche. Tu verras, tu apprendras vite ! Tu es douée pour lamour !
Encouragée, elle desserra ses dents, laissa passer lengin qui pénétra doucement dans sa bouche et alla se caler à lentrée de sa gorge. Elle eut un léger mouvement de recul de sa tête, que jempêchai, dune forte pression sur sa nuque, daller trop loin. Je fis faire un mouvement de retour à mon sexe qui sarrêta à lentrée de la bouche, puis le fis repartir au même endroit au fond. Jempêchais toujours sa tête, en appuyant fortement sur sa nuque, de quitter le lieu où je voulais quelle soit. Je fis plusieurs allers-retours sans forcer pour habi sa bouche, puis sa gorge à la présence de mon gourdin. Elle se laissait faire sans résister. Elle avait bien de temps en temps une crispation qui montrait que le gland avait atteint un endroit sensible de sa gorge ; ce qui entraînait chez elle une irrépressible envie de vomir.
Dès que je sentais cette crispation, je faisais demi-tour pour lui permettre de respirer mieux et de déglutir au lieu de vomir. Cela dura une éternité qui me donna un énorme plaisir (sa bouche était si chaude, si humide et si douce !) mais qui, je le sentais, constituait un calvaire pour elle. Je ne voulais pourtant pas quitter cette bouche avant dy éjaculer au moins une partie du sperme que javais emmagasiné. Je faisais donc, hypocritement celui qui ne comprenait pas la souffrance de ma partenaire et continuait aller et venir dans cette merveilleuse bouche. Je sentais la jouissance qui montait en moi et qui voulait débouler dans la gorge de ma mie. Je pris la tête de Fatna entre mes mains et me fis faire à mon sexe de longs allers-retours depuis lentrée de la bouche jusquau fond de la gorge, ne tenant aucun compte de la souffrance visible de ma partenaire.
Je voyais ses yeux qui se remplissaient de larmes et son nez couler à flot. Cela mexcitait encore plus ! Ajouter à ce spectacle, celui de sa bouche qui laissait passer aux commissures de ses lèvres, des litres de bave ramenée par les va-et-vient de lengin et qui dégoulinait sur mes couilles et sur la poitrine nue de ma mie. Cétait un spectacle tellement érotique ! Je ne résistai plus longtemps et, en poussant un long gémissement de plaisir, je lâchai une première giclée dun sperme abondant, brûlant et épais, qui alla sétaler au fond de sa bouche.
- Avale-le ! lui ordonnai-je, en sortant le manche pour éjaculer le reste à lextérieur.
Pendant quelle sefforçait à avaler le foutre quelle avait en bouche, je me masturbais pour faire sortir le reste et lenvoyer sur son cou et sa merveilleuse poitrine. Elle leva la tête pour me regarder et observer le résultat de sa toute première fellation. Elle avait le regard anxieux de lélève qui attend les résultats de lexamen quelle venait de passer. Elle demandait, silencieusement, si elle avait été bien.
- Tu es très douée ! Encore une ou deux séances comme celle-ci et tu deviendras une experte es fellation. Tu sauras comment respirer pour ne pas , comment éloigner lenvie de vomir, comment faire éjaculer rapidement ton partenaire, en taidant de la main et en masturbant le sexe qui prend possession de ta bouche. Et comment avaler sans te forcer et surtout sans avoir envie de vomir, tout le foutre que ta bouche et ta gorge reçoivent. Tu aimes le goût du sperme ?
- Pas beaucoup, pour le moment ! Je naime pas la sensation de viscosité et larrière goût quil laisse dans la bouche ! Mais je suis sûre quavec le temps, je laimerai, comme Fatia dit laimer ! Et comme toi tu aimes que je boive ton sperme, je me ferai un plaisir de le boire avec délectation !
- Tu recommenceras à me sucer, si je te le demande ?
- Immédiatement si tu veux ! Tu veux ?
- Non, pas maintenant. Je vais dabord moccuper de ton cul ! Tu me suceras encore quand jen sortirai. Allonge-toi, à travers le lit et lève-bien tes jambes ! Pose tes chevilles sur mes épaules ! Oui comme cela ! Je vais te faire certainement très mal, mais cela ne durera que le temps pour ton rectum de shabi à la présence de mon sexe.
Elle sallonge en travers du lit, écarta ses jambes, me laissa le temps de me mettre entre elles, et posa ses chevilles sur mes épaules. Je pouvais ainsi les soulever très haut et lui faire ouvrir et la chatte et lanus. Je pris la hampe de mon sexe dans ma main droite et positionna le gland à lentrée de la chatte. Je le plongeai à lintérieur du vagin pour le mouiller. Ma belle adora la pénétration vaginale et commença même à gémir de plaisir. Je me retirai aussitôt et allai titiller lanneau de son anus pour le mouiller avec le liquide que javais ramassé dans le vagin de ma belle.
Je refis lopération plusieurs fois, tirant delle, à chaque fois des gémissements de plaisir quand je plongeai le gourdin dans le vagin et une moue de déception quand je len retirai pour aller sur son anus. Au bout de la quatrième fois, je décidai que lentrée de lanus était maintenant assez mouillée pour permettre une pénétration en douceur. Je mis le gland à lentrée du cul et appliquait une pression assez forte pour introduire le gland et une partie de la hampe dans le rectum. Je sentis une forte résistance du lanneau qui ne céda quau bout dune longue seconde et qui fit très mal à ma mie. Elle cria très fort que je lui faisais mal. Jarrêtai le mouvement de pénétration pour lembrasser sur la bouche et lui dire hypocritement que si elle le voulait, jallais arrêter et ressortir de son cul. Il nen était bien sûr pas question ! Je tenais le cul de ma belle en mon pouvoir ; je nallais tout de même pas le lâcher ! Je voulais seulement que ce soit elle qui mencourage à continuer luvre de destruction du fion, si chaud et si serré. Mon zob était au paradis !
- Continue, mais vas-y doucement ! Cela fait vraiment très mal !
Youpi ! fis-je en moi-même. Je pouvais prendre complètement ce merveilleux cul ! Jappliquai donc une autre poussée, aussi forte que la première pour atteindre le fond du rectum. Je ne marrêtai que quand mes couilles vinrent cogner contre ses fesses. Je restai une fraction de seconde au fond avant dentamer le mouvement de retour vers lentrée. Je refis trois ou quatre allers-retours en douceur, tirant toujours de ma partenaire de petits cris de douleur. Quand je sentis que le chemin était maintenant bien balisé jaccélérai le mouvement de mes hanches et intensifiai la force de pénétration. Fatna cria un peu plus fort, puis après sêtre habituée aux allers-retours de lengin dans son cul, arrêta les cris de douleur. Je jugeai quil était maintenant temps de lui faire aimer être enculée par un gros engin comme le mien.
Rien de mieux pour cela, que de laccompagner dune belle masturbation vaginale. Je lui donnai encore un baiser sur la bouche, histoire de la détendre un peu, puis lui pris la main droite pour la porter à sa chatte. Elle se laissa faire en regardant avec curiosité ce que voulais faire de cette main.
- Caresse-toi ! lui ordonnai-je. Fait entrer trois doigts et fait leur faire des mouvements de va-et-vient, comme si cétait un zob !
Elle me regarda curieusement, comme sil sagissait dune idée saugrenue, mais ne protesta pas et obéit à lordre que je venais de lui donner. Elle fit pénétrer trois doigts dans son vagin et commença précautionneusement à leur faire faire un léger mouvement de va-et-vient. Rapidement elle ressentit du plaisir et accéléra et le rythme de ses allers-retours et leur amplitude. Elle essayait daller au plus profond de son vagin. Moi-même, jaccélérai les va-et-vient de mon engin dans son cul et intensifiait la force de mes pénétrations. Mon sexe et ses doigts se croisaient maintenant à une vitesse infernale. Je la regardai qui se masturbait maintenant avec force et fureur. Elle y allait franchement en poussant des petits rires détonnement et de plaisir. Elle aimait le frottement de ses doigts sur mon sexe ; même sils se faisaient à travers les fines parois du vagin et du rectum. Cela lexcitait de plus en plus et lui donnait beaucoup de plaisir. Un plaisir quelle ne connaissait pas encore. Cette sensation de se masturber, tout en me masturbant et en ressentant la force de mon zob qui allait et venait en force dans son cul, la faisait monter au ciel. Elle perdait maintenant tout contrôle et se laissait aller à son plaisir. Elle se mit enfin à parler pour dire son plaisir de se faire défoncer ainsi.
- Oui ! Oui ! Oui ! Cest bon ! Je vais jouir ! Jouiiir ! Gros zob ! Cul ! Cul !
Et elle déchargea subitement en hurlant quelle jouissait ! Comme pour me dire son étonnement de jouir en se faisant enculer. Elle déchargea sur sa main que je regardais se remplir de mouille en continuant à aller et venir avec fureur dans sa chatte et qui essayait au passage dattr mon sexe qui pilonnait imperturbablement son fion. Une seconde à peine après le puissant orgasme de Fatia, je déchargeai moi aussi dans son cul ce qui me restait de sperme. Jen avais encore assez pour le voir sécouler en dehors de son cul, expulsé par les allers- retours de mon sexe, qui continuèrent encore un moment. Je restai dans son rectum encore un moment, le temps que mon engin, repus et heureux, ramollisse. Je pris la main de Fatna, celle qui avec laquelle elle sétait masturbée pour la, porter à ma bouche. Je sortis la langue pour lécher la cyprine quelle avait encore sur les doigts. Elle me regardait avec curiosité, un sourire lumineux sur les lèvres.
- Cest magnifique ! Cest bon dêtre enculée par toi ! Tu sais y faire ! Tu mas fait très mal et en même temps tu mas permis davoir encore un puissant orgasme. Tu es un magicien ! Tu es content de moi ?
- Evidemment que je suis content de toi ! Jaime ton superbe corps et ta façon de me loffrir. Tu as été créée pour mappartenir; pour me donner du plaisir et du bonheur. Tu es maintenant à moi ! Rien quà moi !
- Rien quà toi !
Nous restâmes toute la matinée ensemble, heureux et fatigué; de cette fatigue qui cerne les yeux, mais qui aussi, transforme les regards en ciel étoilé. Fatna me dit quelle comprenait maintenant le bonheur béat qui transfigurait le visage de Fatia, quand elle me quittait et entrait à la maison. Elle comprenait aussi pourquoi, elle aimait garder sur elle tout le sperme que javais déversé sur son corps.
- Moi aussi, je vais le garder sur moi pour continuer à ressentir ta présence et le monter à ma belle-mère pour quelle en soit jalouse. Demain, ce sera à mon tour dêtre jalouse; ce sera à elle de venir se faire tirer comme une chienne et sabreuver à ton sperme ! Je vais certainement devenir jalouse !
- Pourquoi, vous ne viendriez pas toutes les deux ? Nous passerons un moment inoubliable à trois. Tu en parles à Fatia en rentrant ?
- Evidemment que je lui en parlerai ! Une partie à trois ! Ce sera certainement formidable ! Tu es un diable !
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