Je Sors Seule
Lors de nos expériences avec un autre homme, nous retirions à chaque fois un plaisir intense, que mon mari participe ou soit simplement voyeur ; à chaque fois jean revenait dans mes bras et cétait alors un grand moment de bonheur ; jaimais le voir jouir et j y prenais plaisir ; nous évoquions parfois la possibilité que je le fasse en dehors de sa présence et à chaque fois, je refusais car jaurais limpression de le tromper ; avec toi oui, sans non ; à force de persuasion, jai réussi à accepter le principe, mais on verra plus tard.
Un après midi, jai envoyé un mail à son bureau lui signalant que je rentrerais tard, en raison des perturbations à mon boulot ; il était au courant de la situation et cest par un bon courage quil ma répondu. Javais pris avant de partir, ce matin, une tenue plus sexy et je me suis changée avant de partir du bureau, javais décidé de franchir le pas, mais sans lui dire ; au risque quil soit jaloux. Sous mon manteau, une jupe étroite, courte et fendue assez haut, couvrant tout juste le bord de mes bas, corsage transparent sur un soutien gorge balconnet laissant découvrir les mamelons ; cétait pour moi aussi loccasion de savoir si je plaisais encore ; 40 ans, 1m65, un maquillage très léger, lon me dit jolie mais javais besoin daffronter la réalité. Javais remarqué un lounge bar dans le quartier de mon bureau et cest le cur battant la chamade que je pousse la porte du bar ; il est 18h, dans la salle un bar, une petite piste de dance et quelques tables basses ; le décor est sympa, la lumière tamisée et une musique de jazz douce ; je prends place et une coupe de champagne me donne contenance ; une table plus loin, quatre hommes discutent et un peu plus loin un jeune couple .
La musique donne un slow, et le couple senlace sur la piste, deux amoureux ; les voir enlacés réveille un peu mes envies et quand un des 4 vient minviter, jaccepte, avec à la fois lenvie et lappréhension ; sur de lui, 30 ans beau gosse ,il mentraine sur la piste et très vite, il me drague : compliments, questions sur moi ; puis les mains deviennent plus coquines ; il me frôle le cou, me caresse les épaules ; je me laisse aller et ma tête se pose sur son épaule ; les slows senchainent et ses mains descendent sur mes reins ; leur contact me fait frissonner ; il le récent et doucement membrasse dans le cou ; la chaleur monte dans mon corps ; heureusement la série sarrête et rapidement je regagne ma place ; je suis un peu perdue, et brutalement jai honte de mon attitude.
« Quelle bonne pute ; ton mari sait que tes en train de te faire baiser ? Une grande claque sabat « répond, il le sait ?«
« Non, je lui ai dit que javais du travail «
« Quand il verra ton cul dilaté, il comprendra » .
« Écoute la jouir, une vrai salope » soudain Pierre me prend les mamelons et les pincent brutalement ; dun coup de rein, il me cambre et je sens sa verge se gonfler et déverser son jus par saccade. Je ne maitrise plus mon corps et mon cul va à la rencontre de ce sexe qui se vide. Comme Denis, il me fait lécher son sexe, qui commence à débander.
Une main vient se coller sur mon sillon et titille mon anus ; cest Denis qui essaie de rentrer son doigt dans le cul ; je veux me retirer, mais à nouveau une grande claque sabat sur mes fesses, et son doigt perfore mon anneau ; le sperme qui coule de ma chatte a humidifié mon cul et cest bientôt deux, puis trois doigts qui me pénètrent ;
« la salope ,elle est déjà ouverte » et me prenant par les hanches, il se plante , dun seul piston, dans mes reins ; je suis tellement dilatée qu à peine un trait de douleur me traverse, immédiatement suivi par une nouvelle vague de plaisir ; sa bite me transperce , ses couilles battent contre ma chatte ; je jouis en continue ; soudain il se retire , mais ce nest plus celui de Denis, cest pierre qui a pris la suite, sa queue me remplit lanneau, me dilate au max ; il me défonce comme un taureau ; chaque coup de queue me projette en avant ; chacun leur tour ils me prennent, sans ménagement, leurs commentaires, au lieu de me blesser, me stimulent ; je voudrais quils jouissent, mais je sens quà chaque fois ils se retiennent ; pour moi cest en continu ;ma chatte dégouline et alimente en même temps la pénétration anale ; Denis se met sur le dos et me plante le vagin de sa queue bandée ; brutal, dune seule poussée, pierre se replante dans mon cul et de concert ils me baisent et menculent, je ne sais plus où je suis ; mes deux trous remplis me comblent, ma jouissance déferle et quand enfin je sens la giclée me remplir, je meffondre vaincue par ces deux sexes.
Il est tard, mon téléphone a déjà sonné plusieurs fois « ton cocu simpatiente ! Maintenant tu sauras ce quun mec peut te faire ; comme salope, tu te poses là ! » Il pense me vexer, en réalité cest ce que je voulais faire savoir à mon Jean, que sa femme était une vraie salope, mais pour lui.
« Jarrive, regarde par la fenêtre » devant la porte, alors quil est à la vitre, je descends de voiture et avant de monter, je roule une pelle à Denis « merci, vos queues mont bien fait jouir « tai vraiment une belle salope « et ils partent.
Jean mattend furieux ; les morceaux de mon string à la main ; les seins découverts, je me plaque contre lui
« tu voulais que je me fasse baiser, je lai fait ce soir, et ces deux mecs ont remplis tous mes trous et plusieurs fois, je viens de le faire une dernière fois dans la voiture ; alors suce moi le sexe et bois mon plaisir et son sperme » il na pas la temps de répondre , je métends sur le canapé et les cuisses écartées, je loblige à me sucer la chatte ; dabord sur la défensive, il me nettoie la moule, boit la jute qui coule sur mes cuisses ; sa langue est douce et elle me calme un peu les lèvres enflammées par la soirée ; enfin la pression tombe et amoureusement je le redresse et je lui raconte en détail ; nous sommes nus sur le lit ; jean bande et veut me prendre , mais je me refuse ; je veux aller au bout de mon histoire ; je lui dis de se branler ; tu ne me prendras pas ce soir ; je suis encore aux mecs qui mont baisé comme une pute ; jai aimé avoir une bite dans tous mes trous, jai aimé leurs injures, jai aimé leur brutalité, ils mont traitée de salope ; pour eux cétait dégradant, pour moi, cétait un compliment ; tu mavais demandé de me faire prendre , je lai fait pour toi, pour nous deux ; jute sur mon sexe ; ce soir je ne suis quune pute ; demain je serais à nouveau ta petite femme aimée et à tes ordres. Son jus sest répandu et il ma pris dans ses bras ; je taime et cest sur ces mots que je me suis endormie, épuisée, mais heureuse.
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