Julie S1e01
Chapitre 1 - Julie et Henry
Julie traversait une mauvaise passe. Elle avait 35 ans et tout son univers s'effondrait, morceau par morceau.
Son petit ami l'avait quittée, mettant ainsi un terme à une relation de 6 ans, ce qui, en soit, fut un soulagement, mais la séparation l'avait e à déménager. Elle avait trouvé un studio, petit par la superficie mais immense par le prix du loyer. Seule, tout lui paraissait plus cher et elle avait été contrainte de demander de l'aide à ses parents. C'était soit ca, soit elle retournait vivre chez eux et elle avait choisi ce qui lui semblait être la moins humiliante des solutions. Déjà juste financièrement, elle ne fut pas aidée par la crise du covid-19, qui avait contraint son employeur à ne pas la titulariser, à l'issue de sa période d'essai. C'était un poste de vendeuse polyvalente de 36 heures par semaine qu'elle n'appréciait pas particulièrement mais ça lui rapportait tout de même près de 1 250 euros par mois, assez pour garder la tête hors de l'eau. Là, elle n'avait plus rien sinon l'obligation de piocher dans ses économies en attendant de percevoir les allocations chômage et essayer de survivre. Pour combien de temps?
La tête ailleurs et fatiguée par cette spirale négative, elle avait de plus en plus de mal à garder le moral.
Il y a un an, elle avait commencé un régime. Elle s'était concentrée là-dessus et c'était petit à petit devenu sa principale activité. La routine s'était installée dans son couple, il n'y avait plus ni magie, ni exaltation. Son ex-compagnon travaillait beaucoup et passait tout son temps libre sur sa console de jeux. Les derniers mois, c'est d'ailleurs la complicité entre eux qui avait disparu. Au début, elle pensait que son compagnon se détournait d'elle à cause de son physique, alors elle avait fait le nécessaire pour changer son corps. Les résultats sur sa silhouette furent spectaculaires, ceux sur son couple beaucoup moins...
Quand elle commença à ne plus répondre à ses rares sollicitations, ce fut le coup de grâce.
A ce sujet, le plus dur pour elle, finalement, fut de constater que pratiquement personne dans son entourage n'avait été présent pour l'aider à faire son déménagement, à recommencer sa nouvelle vie. Ce fut un épisode particulièrement douloureux et, pour la toute première fois, elle se sentait veritablement seule et incapable de faire front.
Malheureusement pour elle, elle n'était pas au bout de ses peines.
En rentrant chez elle ce soir là, elle eut en effet immédiatement envie de partir. De partir loin.
S'enfuir pour ne plus jamais revenir.
Le sol de son studio était innondé. Entièrement. 27 M2 sous pratiquement 5cm de flotte. Et le bruit de l'eau qui coulait abondamment indiquait que cela allait empirer.
Constatant l'ampleur des dégâts, elle resta quelques secondes sans réaction.
Celle-ci survint enfin lorsqu'elle vit le matelas posé à même le sol qui lui servait de lit dérivait lentement au milieu de sa minuscule chambre.
- "Mais merde!!! Hurla t-elle. C'est pas possible!!!"
Elle se précipita dans la salle d'eau, pensant trouver l'origine de la fuite mais rien ne s'écoulait du robinet du lavabo ni du pommeau de douche.
Grâce au bruit, elle finit par si l'origine de la fuite. Sous le placard de son évier, un tuyau semblait percé et l'eau s'en échappait avec force.
- "Non, non, non... Dit-elle, c'est pas vrai. Mais comment je fais pour arrêter ça?"
Elle prit son téléphone et appela son proprio mais il ne décrocha pas.
- "Mais mince, qui je vais appeler un dimanche soir à cette heure là?" S'interrogea t-elle à voix haute.
Hors de question d'appeler son ex. Hors de question de déranger ses parents à cette heure là.
Hors de question aussi d'attendre que l'eau arrête éventuellement de s'écouler un jour, ça pourrait durer toute une vie.
Elle habitait au dernier étage et elle était seule sur son palier. 2 appartements à l'étage du dessous mais personne ne répondit.
Elle descendit encore d'un étage. Au moment de frapper à la première porte, elle se ravisa. Le nom sur la porte était "Mme. Bedrot"
"Une femme", pensa t-elle, elle pourra pas m'aider. La féministe engagée qu'elle pensait être en pris pour son grade mais elle réfléchissait dans l'urgence.
"Henry Sauveur" sur le palier d'en face. "Peut-être un signe...", espéra t-elle.
L'homme qui ouvrit la porte était grand, mince et à l'allure assez sportive, fonçant probablement lui aussi vers la quarantaine.
Et ment, il sembla surpris de trouver une jeune femme sur son palier, un dimanche soir à 23h.
- "Bonsoir monsieur. Je... Je suis vraiment désolée de vous déranger à cette heure tardive mais j'ai une fuite d'eau chez moi et je ne sais pas comment faire. J'ai de l'eau partout et ça coule encore. Je... Je suis au cinquième étage, j'ai emménagé la semaine dernière et... Je n'y connais rien en plomberie. Je ne sais pas quoi faire."
- "Vous avez coupé l'arrivée d'eau?" demanda -il.
- "L'arrivée d'eau? Je... Mais mince, je ne sais même pas où elle se trouve." Souffla t-elle en laissant tomber ses épaules. "Tout ce que je sais c'est que j'ai de l'eau partout et que je commence vraiment à en avoir marre de tous ces problèmes..."
- "Calmez-vous, dit-il en souriant, je vais regarder ça."
En le conduisant à son appartement, elle espérait qu'il pourrait l'aider. Petit à petit, tout se remettait en ordre dans sa tête et elle savait que s'il ne pouvait rien y faire, elle devrait faire intervenir un plombier et cela lui coûterait une fortune.
Avant d'entrer dans l'appartement, il la retint par le bras.
- "Attendez, il faut couper le courant. D'abord le courant et après l'eau.
- "Mais si on coupe le courant, on n'y verra plus rien.
Il sourit.
- "C'est vrai mais on aura aussi de meilleures chances de rester en vie... Le danger quand l'eau fuit, c'est l'électricité. Je m'en occupe."
"OK... Bon bah je crois que je vais me taire et gentiment attendre que tu t'occupes de tout, alors" pensa t-elle.
Il pénétra dans l'appartement et 30 secondes plus tard, toutes les lumières s'éteignirent.
Il revient vers elle et tourna le robinet d'arrivée d'eau, qui se trouvait à l'intérieur du premier placard situé à côté de la porte d'entrée.
- "La bonne nouvelle, dit-il, c'est que ça ne coulera plus. La mauvaise, c'est qu'il y a vraiment beaucoup d'eau..."
- "Ooooh.... Merci beaucoup monsieur, vous êtes mon sauveur. Pour l'eau, ne vous en faites, je vais me débrouiller."
- "Je vais vous aider, on ira plus vite et j'ai une auto..."
Elle l'interrompit :
- "Non, vraiment, vous en avez fait assez. Je ne veux pas vous déranger plus longtemps.
- "A vrai dire, je n'ai pas le choix... L'eau va ment s'écouler dans les étages en dessous et donc potentiellement chez moi. Si je veux éviter un dégât des eaux, le meilleur moyen est de vous aider. Et j'ai une auto-laveuse, ça ira beaucoup plus vite vous verrez..."
- "Une auto-laveuse?"
- "Oui, c'est une machine pour le nettoyage des grandes surfaces. Ça permet d'aspirer de grandes quantités d'eau... J'en ai une dans mon garage, je vais aller la chercher."
- "Euh... OK, bredouilla t-elle. Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier...
Ils travaillèrent pratiquement dans le noir, seulement éclairés par la lumière de leurs portables, et utilisèrent 2 rallonges pour brancher l'auto-laveuse chez Henry mais celle-ci fit des miracles. Les vidages répétés du bac de récupération d'eau furent extrêmement fastidieux mais effectivement, cela leur fit gagner un temps considérable.
Ils finirent d'éponger à la serpillère.
Au fur et à mesure qu'ils avancaient dans leur tâche, Julie constatait l'ampleur des dégâts.
- "Bon, on s'est bien débrouillé, dit-il quand ils eurent terminé. On a bien rattrapé le coup, non?"
- "Oui et vraiment, vraiment, vraiment, merci du fond du cur. Je ne sais pas comment j'aurai fait sans vous... Je n'ai même pas un truc à boire à vous offrir mais au moins je peux vous faire un café et j'ai moi-même TRES envie d'en boire un."
- "C'est très gentil et j'en boirai un bien volontiers mais... Je pense que vous ne pouvez pas faire de café, là."
- "Alors là, détrompez-vous! Je n'ai peut-etre pas grand-chose MAIS j'ai une super cafetière italienne qui fait un café de dingue et..."
- "Et vous avez de l'eau?"
- "Et.......... Non, je n'ai pas d'eau. ment."
- "Allez, c'est pas grave, venez-le boire chez moi. On l'a bien mérité."
- "Vous en avez déjà fait énormément mais j'accepte avec joie. Et maintenant qu'on a vidé l'équivalent d'une piscine olympique ensemble, je pense qu'on peut se tutoyer, non? Je m'appelle Julie, d'ailleurs."
- "Enchanté, Julie, moi c'est Henry..."
Son appartement était beaucoup plus grand que celui de Julie. Sobrement décoré et minimaliste."Un appartement de mec" pensa t-elle.
- "Tiens, assieds-toi, lui dit-il. Je vais essayer de te trouver un t-shirt à ta taille."
- "Euh... Merci mais.... Non, ça va, je vais rester comme ça." Répondit-elle, un peu surprise par sa proposition.
Et, en désignant son haut : "Je pense que... Tu voudras peut-être enfiler quelque chose de sec" dit-il, un peu gêné.
Elle regarda son haut. Blanc, trempé et... Transparent. Elle se couvrit la poitrine avec les bras, terriblement mal à l'aise.
Il lui ramena un petit haut. Blanc aussi, mais sec celui-ci et il lui désigna la salle de bains.
En découvrant son reflet dans le miroir, Julie constata l'ampleur des dégâts. Son t-shirt trempé épousait sa poitrine généreuse et le blanc était maintenant terriblement transparent.
"Bah voilà, pensa t-elle, je me serais baladée devant lui les seins à l'air, c'était pareil." Et en plongeant le visage dans ses mains : "Comme ça je suis sûre d'avoir perdu le peu de dignité qu'il me restait..."
Elle enfila le haut qu'il lui avait donnée. Blanc et extrêmement moulant. "Mais attends, c'est du quel âge ça? Je peux pas porter ça, je vais le craquer son truc, là..."
Elle se regarda dans le miroir : "je peux pas sortir comme ça devant lui, la honte. De toute façon, au point où j'en suis..."
Ils burent un café et passèrent un agréable moment. Julie appréciait l'impression de "force tranquille" qu'il dégageait, ainsi que son humour, calme mais efficace. D'autant qu'elle avait besoin de rire.
Henry quant à lui n'était pas insensible à ses charmes. Elle était drôle, spontanée et pétillante, des qualités qui, même seules, séduiraient de nombreux hommes mais qui chez Julie accompagnaient un physique hypnotisant. Elle avait de longs cheveux blonds qui se déposaient délicatement sur ses épaules bien redressées. Ses yeux étaient profonds, son regard parfois doux, parfois volcaniques. Sa bouche pulpeuse et magnifiquement dessinée attirait souvent le regard des hommes, pour se faire systématiquement voler la vedette par son impressionnante poitrine, démesurément volumineuse. Si elle avait perdu du poids pendant son régime, ses seins quant à eux n'avaient pas dégonflés d'un centimètre et restés même idéalement relevés, malgré leur taille et leur poids, comme s'ils parvenaient à défier les lois de la gravité.
Malgré l'heure très avancée, ils ne voulaient pas se quitter.
Le matelas de Julie étant trempé, Henry lui proposa de lui laisser sa chambre pendant que lui dormirait dans le canapé. Elle voulait accepter, bien sûr, mais refusa poliment en espérant qu'il insisterait pour qu'elle finisse par céder.
C'est exactement ce qu'il se passa. Et Julie se retrouva dans la chambre d'Henry, seule dans son lit. La tension nerveuse après la mauvaise surprise du soir était maintenant complètement retombée. Elle pensait à Henry dans son canapé et elle avait terriblement envie de le rejoindre.
Cela pouvait paraître ridicule mais après tout... Elle l'aimait bien et elle en avait tellement bavé ces derniers temps qu'elle avait envie de quelque chose de positif. Elle essayait parfois de penser à autre chose et de trouver le sommeil mais rien n'y faisait. Alors elle tenta sa chance.
- "Henry? Tu dors?"
- "Non, je ne dors pas... Tout va bien?"
- "Oui, ça va... Tu...
- "Je quoi?"
- "Je.... Euh... Tu veux me rejoindre?"
- ....
- " Désolée... Ce n'était pas..."
- "J'arrive..."
Il se leva du canapé et découvrit sa silhouette, dans l'entrebâillement de la porte. En le voyant arriver, elle ouvrit la porte en grand. Il lui passa la main derrière la nuque et plongea vers elle pour l'embrasser fougueusement. Elle sentit sa force physique et l'intensité de ses gestes.
Il la retourna énergiquement et lui attrapa les seins à pleines mains. Il les lui massa avec force puis remonta son haut moulant au dessus de sa poitrine. Ses 2 énormes obus jaillirent de dessous le haut comme des boulets expulsés d'un canon. Il avait des grandes mains mais les seins de Julie étaient beaucoup trop volumineux. Pressés, ils débordaient entre les doigts d'Henry.
Dos à lui, Julie sentit son membre raide plaqué au dessus de ses fesses et dans le creux de ses reins. Elle l'attrapa avec une main et commenca à le caresser.
Il la retourna à nouveau vers lui. Pendant quelques secondes, ils se regardèrent dans les yeux de manière très intense. Julie se sentit désirée et elle adora cette sensation. Face à lui et ne sachant plus quoi faire alors elle se laissa tomber à genoux devant lui. Elle baissa son caleçon. Son sexe était de bonne taille et bien tendu. Elle l'attrapa avec une main puis commença à lécher le gland, assez timidement.
Henry lui passa la main derrière la tête et l'attrapa par les cheveux.
Julie continuait de faire courir sa langue autour de son gland gonflé. Ne tenant plus, Henry la fit s'empaler sur son sexe.
Julie écarquilla les yeux, surprise de se retrouver aussi soudainement et brusquement enfoncée aussi loin sur sa queue.
Henry lui tira la tête en arrière, elle avait de nouveau juste son gland en bouche. Elle leva les yeux vers lui. Elle était à la fois choquée et excitée. Henry l'enfonca une nouvelle fois tout au fond, jusqu'à lui taper la gorge avec son gland.
Julie ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait. Elle avait déjà taillé de nombreuses pipes à son ex-copain mais elle avait toujours considéré qu'il s'agissait simplement de petites gâteries. Cette fois, ça ressemblait à un véritable acte sexuel. Elle en avait plein la bouche et elle voulait en profiter. Elle ne voulait pas simplement le sucer, elle voulait lui dévorer la queue.
Elle se retira jusqu'à pincer son gland entre ses lèvres puis l'avala à nouveau entièrement. Il n'avait plus besoin d'intervenir, elle allait et venait toute seule sur sa queue à un rythme frénétique.
Absolument tout l'excitait. Elle sentait la bave couler sur le côté de ses lèvres et le long de son menton et tomber entre ses deux énormes seins qui rebondissaient dans tous les sens pendant qu'elle le pompait.
Elle entendait aussi les gémissements qu'elle émettait à chaque fois qu'elle s'enfonçait sur sa queue. Jamais elle n'avait autant taffé pour une pipe mais jamais non plus elle n'avait éprouvé autant de plaisir à en tailler une.
Il finit par la redresser, lui attrapa le pantalon et le descendit jusqu'aux chevilles. Il la pencha en avant, fit glisser sa queue entre ses fesses jusqu'à se positionner entre ses lèvres puis la pénétra avec force. Elle sentit une décharge électrique lui traverser pratiquement tout le corps. Il n'était pas du tout hésitant, sur de ses gestes et aussi très dominant.
Il commença à la prendre dans cette position qui n'était pas très agréable pour elle. Elle se faisait tamponner avec force et essayait de garder son équilibre en s'appuyant sur ses mains.
Il la tenait par les hanches et ses coups de rein étaient de plus en plus puissants.
Très surprise par la force du rapport, Julie eut envie de lui demander d'y aller plus doucement mais... Ça l'excitait aussi énormément. Elle était penchée en avant, complètement offerte et chaque coup de rein lui secouait tout le corps.
Elle expérimentait quelque chose de nouveau et elle aimait ça. "Putain.... mais je suis en train de me faire défoncer" pensa t-elle..."
Et ça ne faisait que commencer.
Il lui attrapa les bras et les remonta vers lui. Elle était désormais penchée à 45°, les bras en arrière, tenus dans son dos.
Il avait beaucoup de force et elle avait l'impression de ne pas pouvoir s'opposer à lui. Il l'avait bloquée dans cette position et il se retirait presque entièrement pour s'enfoncer à nouveau avec un violent coup de rein.
A chacun d'eux, il voyait ses obus qui rebondissaient devant elle et venaient presque lui heurter le menton. Il accéléra le rythme, excité par la vision de ses seins qui remuaient dans tous les sens.
Elle écarta légèrement les jambes pour mieux se stabiliser parce qu'il la secouait vraiment très fort...
- "Mais putain... Tu me.... Tu me defonces " souffla t-elle.
- "T'aimes ça?"
- " Oui c'est bon... Tu me... Oohh.. Tu me... Tu me prends bien, là."
Elle sentait qu'elle s'abandonnait complètement à l'intensité du moment.
- "Vas-y... Pends-moi... Prends-moi à fond... J'aime ça..."
C'était la première fois qu'elle avait un rapport où elle osait parler cru et ça l'excitait au plus haut point.
- "Oohh... Putain, c'est bon... Tu me prends bien... elle est bonne ta queue."
Tout se mélangeait dans sa tête, elle avait envie de mettre des mots sur son excitation et de les hurler. Elle ne s'était jamais autant sentie salope avec un autre mec.
- "T'aimes te faire prendre comme ça?"
- "Oh oui, j'aime ça... J'aime ta queue..."
- "C'est pour ça que tu m'as sucé comme ça tout à l'heure?"
- "Oui... Je suce jamais comme ça... C'est juste ta queue."
- "Ah ouais? Juste ma queue? Alors tu avales comme ça que pour moi?"
- "Oui... Je... Que pour toi... Je... Tu me.... Oohhhh.... Je fais ça qu'avec toi."
Il se retira soudainement et l'attrapa par les cheveux puis la poussa en avant. Il la plaqua sur une table puis la pénétra à nouveau. Elle sentit sa verge lui transpercer le vagin.
Il l'attrapa par les bras et les fit remonter en arrière, pratiquement perpendiculaires à son dos. Il lui attrapa les poignets avec une seule main. Avec l'autre, il alla chercher ses cheveux et lui tira violemment la tête en arrière.
Elle se tenait sur la pointe des pieds, son corps ne lui appartenait plus. Elle était dans une position où elle ne pouvait absolument plus bouger. Et il continuait de la tamponner avec force.
Elle ne pouvait plus que gémir et râler.
- "Oohh... Oohh... Mmmm... Doucement... Tu me.... Oohhhh... Oohhhh..."
- "Tu aimes ça, hein?"
- "Oui.... Oohh... Oohhhh... C'est bon... Je... Oh putain... Je... Je me fais défoncer..."
Julie se sentait emportée par un tourbillon d'émotions.
Malgré l'intensité du rapport, elle en redemandait.
Et si elle s'abandonnait à lui, à son emprise physique, elle ne s'était paradoxalement jamais sentie aussi libre et autant... femme.
Là, elle ne faisait pas "l'amour" routinier et parfois platonique comme avec son ex-copain, elle baisait avec un homme. Et elle aimait ça.
Un homme qui la baisait comme une femme, une amante, pas une jeune femme dépassée, qui galère dans tout ce qu'elle entreprend. Un homme dans les yeux duquel elle lisait toute l'intensité du désir qu'il éprouvait pour elle. Une intensité qu'elle ressentait aussi à sa façon de la tenir, de lui parler, de lui attr les seins ou encore de la tirer par les cheveux.
Toutes ses barrières avaient volé en éclats et elle voulait vivre et profiter à fond de l'instant présent, sans se poser de questions. Elle n'était plus la jeune femme qui se bat contre des moulins à vent, qui demande de l'aide, appelle "au secours" ou s'en remet à quelqu'un d'autre. Elle voulait assumer ce qu'elle faisait, qui elle était. Elle ne pensait plus à dissimuler sa poitrine généreuse sous des t-shirt trop grands. Elle voulait que ses seins explosent, rebondissent dans tous les sens. Elle ne pensait plus à ses fesses qu'elle trouvait trop grosses. Elle voulait qu'elles claquent sous les coups de rein d'Henry. Il pouvait même la fesser avec ses mains puissantes s'il en avait envie, elle le laisserait faire et en redemanderait. Elle ne doutait plus de son corps ou de son pouvoir de séduction. Elle voulait l'entendre lui répéter encore et encore à quel point il la trouvait bonne. Elle ne pensait plus à se mettre des barrières ou à s'imposer une limite. Là, au moins pour cet instant, elle n'en avait plus aucune. Elle voulait se sentir désirée, femme, amante, salope. Elle voulait apprécier le moment présent et ne plus réfléchir.
- "Vas-y à fond, prends-moi... Oohh... Oui.... Oui... Oui... Putain, j'en ai envie... Oohh... Oohhhh... C'est bon comme ça... Oohhhh.... Prends-moi à fond..."
Henry continuait de la pilonner à un rythme frénétique. Ses coups de reins provoquaient des vagues incessantes sur ses larges fesses. Il lui maintenait la tête tirée en arrière et les bras remontés au dessus de son dos. Ils avaient fait avancer la table jusqu'à la plaquer contre le mur.
Henry prenait son pied lui aussi. Il était en train de la défoncer et elle encaissait bien. Mieux, elle en redemandait.
- "Vas-y... Vas-y.... Défon... Oohhhh.. Oohhh... Oui, prends-moi.... Prends-moi bien... Oohhhh... Oohhhh.... T'es... Tu me... Tu me défonces..."
Soudain, il relâcha ses poignets et ses cheveux. Ses bras retombèrent lourdement, en croix, de chaque côté de son corps. Il se retira d'elle
"Attends.... J'ai besoin de souffler un peu. Désolé, je me fais vieux..."
Elle rit spontanément.
- "Pourquoi tu te marres? Ca me navre de le dire mais... J'suis plus tout jeune, j'approche de la quarantaine."
- "T'inquiète pas... Moi j'ai plutôt l'impression que t'es en pleine forme. C'est très... Intense!"
- "C'est vrai?" demanda t-il un peu flatté.
- "Ah ben ouais... Je pense que je l'ai assez dit, non? tu m'as bien... Euh..."
- "Défoncée?" Interrogea t-il, amusé.
Elle rit. "Oui, voilà... Mon Dieu, j'ai honte maintenant."
- "Aucune raison d'avoir honte, Julie. T'es vraiment... Enfin, j'te trouve particulièrement bonne."
Puis il l'invita : "On va sur le canapé? J'ai envie de m'occuper de tes seins."
Il s'assit puis lui demanda de venir sur lui.
Elle se tenait assise sur ses cuisses, face à lui, ses seins gonflés et volumineux devant son visage.
- "Putain Julie, t'as une de ces paires... J'ai jamais vu des seins pareils."
Il en attrapa un pleine main et le pelota.
- "C'est incroyable comment ils sont lourds et.... Gros."
Il le remonta jusque devant la bouche de Julie.
- "Oh mince... Mais tu peux carrément te le bouffer toute seule. Tu le fais des fois?"
- "Oui, ça m'arrive... J'aime bien me les lécher, je suis très sensible des seins."
- "Montre-moi..."
Elle sortit sa langue et la fit rouler autour de son téton, dressé par l'excitation.
Il la rejoint. Leurs langues se mélangeaient autour de son téton gros comme la dernière phalange du petit doigt. Avec son autre main, il lui attrapa le deuxième sein et le pressa si intensément qu'il débordait entre ses doigts.
Julie n'avait pas menti : elle était extrêmement sensible des seins. Henry lui tenait un téton entre deux doigts et tirait dessus. L'autre téton se faisait toujours délicatement caresser par sa langue...
Elle pencha la tête en arriere et gémit.
- "Oohhh... Tu me le bouffes bien, ça m'excite."
Henry remonta son deuxième sein et passa de l'un à l'autre. Il lui léchait les tétons, les mordillait, les pinçait et tirait dessus. Il aimait les belles poitrines et il en avait une exceptionnelle entre les mains. Ça l'excitait au plus haut point, il avait envie de les engloutir mais ils étaient beaucoup trop gonflés.
Julie avait la tête qui tournait. Les coups de langue répétés sur ses tétons la rendaient folle. Son entre-jambes était innondé. Elle sentait sa verge raide plaquée sur son ventre et elle voulait s'empaler dessus.
Elle se hissa sur ses genoux, positionna le sexe d'Henry entre ses lèvres trempées et s'assit dessus.
- "Oooh...." Gémit-elle "qu'est-ce qu'elle est bonne ta queue".
Pendant qu'il lui dévorait les seins, elle commença à le chevaucher. Elle se pressa contre lui, ses énormes seins lui débordaient partout sur le visage. Elle accélérait le rythme de ses coups de bassin pendant qu'il lui bouffait goulûment un téton. Son plaisir était intense, elle avait envie de se laisser aller.
- "Oui c'est bon.... Elle est bonne ta queue... Je.... Oooohhhh.. Oooohhhh.... Je sens que ça vient.... Oooohhh.... Oooohhhh.... Putain, tu vas me faire jouir... Oooohhhh. Oui, je vais jouir.... Je vais jouir.... je vais.... Oooohhh.... Oooohhhh..... OOOOHHHHH!!!!
L'orgasme fut extrêmement intense. Elle le serra si fort contre elle au moment où elle explosait qu'il ne pouvait plus respirer. Il avait le visage enfoncé dans un de ses seins. Il sentit ses doigts lui écraser le haut du dos. Les jambes de Julie refermèrent sur lui et tout son bassin eut de violentes secousses.
- "Oh putain.... C'était bon..." Souffla t-elle en se détachant de lui.
- "ah! ah! T'as pas traîné..."
Elle soupira : "J'étais trop excitée... Je t'avais prévenu : je suis trop sensible des seins."
- "Bah, tant mieux si tu as pris du plaisir... Moi aussi, j'ai adoré. T'es.... Étonnante."
- "Tu me laisses quelques secondes pour retrouver mes esprits et je m'occupe de toi?"
- "Ah mais carrément..."
- "Tu veux quoi? Sur mes seins? Je te branle et tu éjacules sur mes seins?"
- "Ok... Mais ils m'excitent tellement tes seins que je sens que je vais pas tenir longtemps moi non plus..."
Elle se retira et se positionna à genoux devant lui. Elle lui attrapa la queue et commença à le masturber en le regardant dans les yeux....
- "C'est vrai, ils t'excitent mes gros seins?"
- "Putain Julie, joue pas à ça, je vais pas tenir..."
Elle le branlait lentement sans le quitter des yeux. Avec son autre main, elle se remonta un sein jusqu'à la bouche puis commença à se lécher le téton.
- "Mmmm.... Ça t'excite que je me le bouffe?"
- "Oh putain... T'as pas idée comment tu m'excites, là."
Elle accéléra légèrement ses va-et-vient.
- "Tu vas me jouir sur les seins? J'ai envie que tu m'en mettes partout..."
- "Vas-y continue, tu vas me faire jouir..."
Elle accéléra encore le rythme.
- "Putain, elle est bonne ta queue. Tu m'as bien prise avec. Maintenant je veux que tu me jouisses partout sur les seins..."
- "Vas-y... Vas-y... Ça vient..."
- "Oui, je sens que tu vas m'en mettre partout...
Elle lâcha son sexe qui tomba entre ses seins. Elle les écarta légèrement pour que sa queue s'enfonce entre eux puis avec le haut du corps elle fit de légers mouvements pour le masturber avec ses seins.
La vue de son sexe englouti dans son énorme paire de seins décupla l'excitation d'Henry.
- "Oh putain... Tu vas.... Tu vas me finir entre tes seins..."
Elle continua de le masturber lentement entre ses seins sans le quitter des yeux.
- "Oooooooohhh, je vais jouir..... C'est bon, je vais jouir..."
Il y eut deux premières énormes giclées qui traversèrent ses seins et ricochèrent sur son cou, plus rien pendant 2, 3 secondes puis une troisième, une quatrième et même une cinquième giclée qui innondèrent sa poitrine.
- "Oooohhhh....... putain Julie, c'est abusé.... Oh putain, tu m'as fini entre tes seins..."
Ravie de son effet, elle se recula et regarda le sperme qui s'écoulait autour, sur et entre ses seins.
- "Wow, t'as pas fait semblant... Tu m'en as vraiment mis partout!"
Elle lui attrapa le sexe encore très gonflé avec une main et l'enfonça à nouveau entre ses seins.
- "C'est ça qui t'excite?" Dit-elle avec un petit sourire.
- "C'est toi qui m'excite" répondit-il "C'est un truc de fou comment t'es bonne...
A suivre...
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