A L'Ombre Des Maris. Troisième Partie: Fatia,Fatna Et Moi
A lombre des maris
Troisième partie : Fatia, Fatna et moi
Le lendemain, en effet, Fatna et sa belle-mère vinrent ensemble. Fatia portait Larbi, le bébé de Fatna, qui venait davoir un an et le déposa dans une poussette/berceau, que transportait sa belle-fille.
- Il ne nous gênera pas, me dit Fatia avec son merveilleux sourire. Il ne va pas tarder à dormir.
Elle me tendit les lèvres pour que je lembrasse, me montrant par là que, ce jour, cétait elle la patronne et que cétait avec elle, en priorité, que je devais batifoler. Elle avait été vite daccord pour laisser Fatna laccompagner et partager notre couche. Mais avant que nous fassions quoi que ce soit, elle me raconta létrange histoire qui leur était arrivée toutes les deux, au retour de Fatna à la maison, après avoir fait lamour avec moi.
La belle-fille en rentrant avait lair heureuse et épanouie. Elle montra immédiatement à sa belle-mère les stigmates de sa matinée damour avec moi. Elle écarta les pans de la robe de chambre pour lui monter tout le sperme séché quelle avait encore sur elle. Cela excita tellement sa belle-mère, que sans même réfléchir à ce quelle faisait, elle se mit à la lécher. La vue du sperme et aussi et surtout lodeur quelle avait sur elle une odeur de femme qui venait de faire lamour, mélange de foutre, de sueur et de cyprine lavait affolée. La relation que Fatia avait avec le sperme était une relation bizarre et passionnelle. Elle aimait à la folie le goût et lodeur du foutre de ses amants. Elle ne résista donc pas à la pulsion daller lécher sa belle-fille pour ramasser et avaler le sperme, même séché, quelle avait sur elle.
Et du sperme, Fatna en avait partout : sur le visage, le cou, la poitrine le ventre et même sur le pubis. Fatia commença par celui qui était apparent et que sa bru avait sur le visage. Elle se mit donc à lui lécher avec avidité les joues, le menton, le nez et même le contour des yeux.
Cette dernière, pour le moment ne pensait quà récupérer tout le foutre qui se trouvait sur le corps de sa belle-fille. Elle mavoua plus tard quelle nétait même pas consciente de ce quelle faisait. Ce nétait quau moment où elle sétait retrouvée à genoux devant sa belle-fille entrain de lui lécher le pubis et de lui écarter les cuisses pour avoir accès à sa chatte, quelle prit conscience quelle était entrain de faire quelque chose danormal. Elle arrêta brusquement laction de sa bouche et de sa langue et leva la tête pour lancer un regard inquiet à Fatna. Ce quelle vit lencouragea à continuer, sans plus se poser de question. La fille était aux anges; elle avait le sourire éclatant dune amante qui prenait un plaisir fou à se faire lécher. Elle ne disait rien, mais poussait ses hanches vers lavant pour que son pubis reste en contact avec la bouche de sa belle-mère. En même temps elle ouvrait ses cuisses au maximum, pour lui permettre un accès plus facile à sa chatte.
Fatia se leva, pris la main de sa bru et lentraina dans sa chambre. Elle lallongea en travers du lit, lui fit lever et écarter les jambes et plongea sa bouche dans la chatte offerte. Elle entendait Fatna qui gémissait de plus en plus fort et qui tenait la tête qui était entre ses cuisses, en lui appliquant des pressions de plus en plus fortes et en lobligeant à aller et venir de plus en plus vite sur sa chatte.
Au bout dun moment, quand lune et lautre reprirent leurs esprits et que Fatia sortit sa tête dentre les cuisses de sa bru, elles se regardèrent avec des yeux où létonnement le disputait au bonheur. Fatna tendit les bras vers sa belle-mère, toujours à genoux au bas du lit, pour la forcer à venir sallonger près delle. Elle se blottit dans ses bras, en lembrassant sur tout son visage. Elle lui fit comprendre, quelle avait vraiment aimé ce quelles venaient de faire et quelle en voulait encore.
- Cétait très bon ! Tu sais ty prendre pour faire jouir une fille ! Tu as dû coucher avec beaucoup de femmes !
- Non ! Cest la première fois ! Je ne sais absolument pas ce qui sest passé dans ma tête pour faire ça ! Tu dois me prendre pour une folle ! Le pire, cest que jai vraiment aimé te sucer la chatte ! Elle avait encore le goût et lodeur du sperme de Rafik !
Rafik, bien entendu, cétait moi ! Quand jai entendu cette histoire de la bouche de Fatia, je nen crus pas mes oreilles. Mais cétait tellement érotique ! Tellement bandant ! Je pris la belle-mère entre mes bras pour lui rouler un pelle et lui dire à loreille :
- Tu narrêtes pas de métonner ! Tu es entrain de devenir une bisexuelle, sans même lavoir cherché ! Et tu sais quoi ? Çà me fait bander rien que dy penser ! Je voudrais bien vous voir à luvre ! Tu veux ?
Fatia ne répondit pas. Elle membrassa avec fureur sur la bouche; séloigna de moi; pris sa belle-fille par la main et lentraîna sur le lit. Fatna se laissait faire sans encore comprendre ce qui allait se passer.
- Bouffe-moi la chatte, comme jai bouffé la tienne hier.
Fatna me regarda pour voir ce que je pensais de la proposition ; je ne dis rien, mais lui fis un grand sourire, qui nétait rien dautre quune invitation à exécuter lordre de sa belle-mère. Elle se mit à genoux par terre, pour être au niveau de la chatte de sa partenaire et sans plus tarder, plongea sa tête entre les cuisses ouvertes et se mit à lécher et sucer goulument. Le cunnilingus auquel jassistai, debout à côté du lit, était vraiment phénoménal. Fatna mettait tout son cur et sa volonté dans ce quelle faisait. Je ne voyais que larrière de sa tête qui allait et venait sur la chatte de sa partenaire, en tirant delle des petits cris de plaisir. Fatia ne me quittait pas des yeux ; elle souriait en me regardant : je ne savais pas encore si réellement elle prenait du plaisir ou si elle faisait semblant. Et puis, je vis ses yeux se voiler et ses lèvres souvrir pour laisser passer des flots de salive. Je savais maintenant quelle était toute à son plaisir.
Je me dis quil était maintenant temps que moi aussi jentre dans la course. Je me plaçai derrière Fatna, qui était agenouillée par terre. Je relevai le bas de sa robe en coton pour avoir accès à ses fesses. Elle portait une petite culotte noire, en coton.. Je la rabaissai pour dénuder sa chatte. Je lui relevai les hanches pour quelles soient à hauteur de mon engin, raide comme un mât de tente et qui piaffait dimpatience. Sans plus attendre et sans même chercher à lubrifier lentrée, je pris la belle à la hussarde, en poussant des han de plaisir à chaque pénétration. Je ne savais pas si Fatna prenait du plaisir à se faire tirer comme cela; elle avait la tête emprisonnée entre les cuisses de sa belle-mère qui len empêchait de sortir, en la tenant par les cheveux.
Mais moi jétais heureux dans ce vagin, visqueux, brûlant et moulant. Fatia relevait la tête pour me regarder pilonner la chatte de sa maîtresse, avec ses yeux toujours voilés par le plaisir quelle prenait sous la bouche de sa belle-fille. Elle me souriait pour mencourager à continuer. Un moment, je vis ses lèvres sétirer et devenir minces et blanches, comme elles avaient perdu tout le sang quelles contenaient. Elle avait subitement arrêté ses cris et sa respiration devint haletante; elle banda tous ses muscles et releva ses hanches très haut, puis poussa un énorme râle et déchargea dans la bouche de sa partenaire. Elle continua un moment à obliger la tête de Fatna à continuer ses mouvements dallers-retours sur sa chatte, puis saffaissa totalement sur le lit, relâcha la tête de sa partenaire et lui permit de sortir dentre ses cuisses et de reprendre sa respiration.
Fatna tourna la tête pour essayer de me voir pilonner sa chatte. Elle ne put rien voir, mais me montra quelle aimait que je la tire en gémissant fortement. Elle bougeait ses hanches au rythme de mes coups de boutoir et se mit à soliloquer :
- Bon ! Cest bon ! Montre à Fatia combien tu aimes baiser ta pute ! Pute ! Nique ! Nique ! Je vais jouiiiir !
Et effectivement elle eut un orgasme très fort et déchargea à lintérieur de son vagin, qui maintenant dégoulinait. Mon sexe, qui continuait à aller et venir avec force, produisait de curieux clapotis à lintérieur du tunnel. Fatna laissa tomber la tête entre les cuisses de Fatia, qui était restée à la même place. Je sentis la jouissance arriver avec force et lançai une première giclée de foutre à lintérieur du vagin de ma belle. Je sortis rapidement et en répandis le reste sur le bas de son dos et ses fesses en frottant mon sexe contre eux. Fatna se retrouva ainsi pleine de sperme. Ce que sa belle-mère vit immédiatement et se mit à lécher et avaler avec délectation.
Nous nous retrouvâmes au lit tous les trois à batifoler comme des gamins et à faire lamour comme des bêtes. Nos corps ne voulaient plus se séparer. Ils étaient heureux dêtre ensemble, de sinterpénétrer, de former une masse compacte, comme sil ne sagissait que dun seul individu. Nous nous aimions ainsi à trois, formant un trio damants inséparables et insatiables. Nous passâmes ainsi plusieurs mois, au cours desquels, nous avions tout essayé en matière de sexe et dérotisme. Fatia et Fatna étaient réellement heureuses de partager lamour que chacune avait pour moi; et aussi de saimer maintenant comme des amantes.
Fatna avait même fait leffort déveiller son jeune mari aux plaisirs de lérotisme. Petit-à-petit, grâce à mes conseils, et surtout grâce à ceux de sa belle-mère, elle fit connaître à Mohammed, les vrais plaisirs du mariage. Il était maintenant devenu accro à sa femme et aux nuits torrides damour quelle lui réservait. Elle maffirmait que sur les conseils de sa belle-mère, elle mimait le plaisir et la jouissance et quelle avait même fait croire à son compagnon quil était son maître au lit. Quil lui était devenu indispensable et que chaque fois quil la prenait, il la faisait monter au septième ciel. Il en était fier comme un coq. Elle mavait même avoué quelle se sentait beaucoup mieux comme cela. Elle navait jamais eu de sentiment de culpabilité vis-à-vis de son mari, quand elle le trompait, mais maintenant elle était plus sereine : elle faisait son devoir dépouse et donnait du bonheur à son conjoint. Quant à elle, son bonheur elle le prenait ailleurs, avec ses amants de cur : sa belle-mère et moi.
La belle histoire se continue jusquà maintenant, avec un développement un peu bizarre. En effet, au cours dune de nos séances à trois, Fatia avait émis le désir davoir un de moi. Elle venait davoir quarante deux ans et le démon de la maternité commençait à la titiller. Je pensais quil ne sagissait que dune de ses nombreuses lubies. En fait, il nen était rien : elle voulait vraiment avoir un bébé de moi. Elle avait même été chez sa gynécologue et avait enlevé le stérilet quelle portait depuis des lustres.
- Ou bien cest toi qui me fais un , ou bien ce sera Lahcen ! Moi je veux que cela soit toi ! Jusquà maintenant je navais pas voulu dun autre que Mohammed. Mais aujourdhui, cest peut-être à cause de mon âge, je veux goûter encore une fois à la grossesse et à laccouchement. Et puis, je voudrais garder une trace de mon amour pour toi.
Les choses ne sétaient pas passées exactement comme Fatia et moi, lavions programmées. Au lieu que ce soit elle qui tombe enceinte tout de suite, ce fut Fatna qui devint grosse du fruit de nos relations intimes. Sans rien nous dire, ni à moi, ni à sa belle-mère, elle avait abandonné la pilule et un mois après tomba enceinte. Elle nous lannonça avec beaucoup de fierté : comme si elle venait de réaliser un exploit. Fatia fit contre mauvaise fortune bon cur et continua daimer sa belle-fille comme avant. Cela ne lempêcha pas de continuer à vouloir tomber enceinte elle-aussi le plus rapidement possible. Elle ne le fut que trois mois plus tard, quand le ventre de Fatna commençait déjà à grossi et à devenir énorme.
Notre relation à trois, y compris nos séances damour torride, continua pendant toute la période de grossesse de mes deux maîtresses. La seule différence était que maintenant, lune et lautre, se pavanaient, tous les soirs aux bras de leurs maris - fiers comme des coqs - exposant leurs gros ventres à ladmiration et/ou à la jalousie des voisins et des voisines. Quand Fatna accoucha - dune fille - elle resta près de deux mois, sans sortir et sans venir à nos rendez-vous. Elle était toute à son - notre - bébé. Nous ne recommençâmes à nous aimer et à refaire lamour, avec toujours autant de plaisir, quaprès ces deux mois de sevrage.
Fatia accoucha trois mois plus tard - dune petite fille, elle-aussi. Elle mit moins de temps que sa belle-fille à reprendre ses relations avec moi (et aussi avec Fatna). Et aujourdhui encore, nous continuons à nous aimer, à lombre de leurs maris respectifs, fiers daimer et dêtre aimés de leurs épouses.
- FIN-
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