Ma Jolie Cousine Jocelyne
Ma jolie cousine Jocelyne
Jocelyne a le même âge que moi 18 ans. Nous avons grandi ensemble, c'est comme si elle était ma sur, ou presque. Nous avions l'habitude de parler librement de tout et nous le faisons toujours. Nous parlons très souvent de sexe. Ce jour là, nous sommes seuls chez elle et, assis sur le canapé, nous regardons la télé. Ou plus exactement, nous bavardons comme souvent sans vraiment suivre l'émission. Nous parlons de garçons et de filles des copains et des copines. On en vient à parler de sexe. C'est alors que Jocelyne me pose une question inattendue :
- Et toi, tu te masturbes souvent ?
- Tous les garçons font ça.
- Oui, mais toi ?
- Tu veux vraiment qu'on parle de ça ?
Malgré la liberté qui règne entre nous, je suis embarrassé. Je veux bien parler de fesses en général, lui décrire mes exploits plus ou moins imaginaires, mais là, j'hésite et je bredouille :
- Tu sais, heu ! oui, un peu ... enfin, pas beaucoup.
Je suis tout rouge et Jocelyne s'en aperçoit.
- Cela te gêne de me parler de cela ?
Non, c'est un acte parfaitement normal.
- Pourquoi est-ce que les garçons se masturbent ?
- Pourquoi ! Ils ont envie de se faire du bien.
Les questions de Jocelyne continuent. Elle semble vouloir tout savoir sur les garçons. Moi je ne sais pas trop quoi lui répondre exactement, je suis extrêmement mal à l'aise.
Jocelyne continue ses questions :
- Qu'est-ce qui te fait bander ? Tu bandes en ce moment ?
- Non pas vraiment.
- Fais voir.
Jocelyne pose sa main sur mon bas ventre et me palpe le sexe.
- Cela n'a pourtant pas l'air si mal mon cousin !
Je lui retire la main aussitôt, mais pourtant c'était bien agréable ! Après quelques secondes de silence, chacun fait semblant d'être intéresser à ce qui se passe à la télé.
Jocelyne, reprend la parole :
- Je n'ai jamais vu de garçons se masturber...
Encore une seconde de silence, et elle ajoute d'une voix innocente :
- Et si tu me faisais voir comment on fait ?
- Ecoute, Jocelyne, c'est un truc qu'on fait toujours tout seul.
La main de ma cousine se pose à nouveau sur mon entrecuisses, y reste et appuie doucement sur la bosse. Je sens comme un picotement et voilà que mon instrument se met à tendre le tissu de mon pantalon. Jocelyne ne peut pas se rendre compte de l'effet qu'elle me fait.
- S'il te plaît ! insiste-t-elle.
Sans un mot, rouge de gêne et aussi de honte, je déboucle ma ceinture et j'ouvre ma braguette. Le regard de Joselyne est braqué dessus. Je m'arrête un instant.
- Vas-y mon cousin, continue ! murmure-t-elle.
- Tu veux vraiment ?
Elle me fait un signe de tête.
Je me soulève un peu pour faire descendre mon pantalon. Sous le caleçon, on devine une forme déjà dressée. J'hésite encore. Ma cousine semble m'encourager du regard elle est bien jolie, aussi je me décide. Je tire un peu sur l'élastique et je commence à dégager mon sexe, seulement à demi raide. Je regarde bien la réaction de Joselyne et je remarque qu'elle a les yeux braqués sur ce sexe qu'elle ne quitte pas des yeux jusqu'à ce que tout soit sorti, hampe et testicules. Je suis mal à l'aise, espérant que je vais pouvoir en rester là, je lui dis :
- Voilà, mon engin !
- Masturbe-le...
- Tu le veux vraiment ?
- Oui, vas-y.
- Pour se masturber, il faut que le pénis soit raide, en érection, puis on fait des mouvements de va et vient...
- Allez, fait moi voir, branle-toi, je veux voir comment tu te branles.
C'était la première fois que je l'entendais dire le mot branler, je ne sais pas pourquoi, mais, j'ai cessé de me sentir embarrassé et mon mal à l'aise a disparu.
- Jocelyne ! Caresse-moi, fais moi bander.
Ma cousine, hésite, sa main avance et recule, elle n'ose pas la poser sur mon sexe, maintenant qu'il est sorti et qu'elle l'a juste devant elle. Je guide sa main jusqu'à moi. Le contact est électrique, la hampe se redresse, gagne en longueur, en diamètre et en rigidité. Je pousse un peu sa main sur mes couilles et je commence à me branler, lentement, en tirant bien la peau en arrière et en la ramenant complètement en haut. Jocelyne semble fascinée, puis elle se met à me caresser doucement les couilles d'une main légère et des picotements me parcourent le ventre. J'accélère un peu le rythme, ma main serrée sur mon dard monte et descend. Il me vient une idée :
- A toi maintenant, je vais t'apprendre à branler un garçon.
Je prends sa main. Elle se laisse faire et je la pose sur la longueur de mon sexe et referme ses doigts dessus. J'entoure sa main de la mienne pour lui donner le rythme, en haut, en bas. Je lui fais serrer ou desserrer un peu sa prise, insister quand la main recouvre le gland. Rapidement elle trouve les bons gestes. Je veux la caresser en même temps, mais quand mes mains tentent de passer sous sa jupe et de franchir le barrage de sa petite culotte, elle m'arrête d'une main et me dit :
- Bas les pattes, mon gros cochon. Aujourd'hui c'est de toi qu'il s'agit.
Bien entendu, j'insiste mais elle cesse de me masturber et me déclare :
- Puisque que c'est comme ça, vas finir de te branler tout seul dans les toilettes.
Encore quelques secondes d'explications et j'abandonne mes tentatives sur Jocelyne.
- Fais-toi jouir, je veux voir.
Je me branle plus rapidement pour atteindre l'orgasme et Jocelyne masse doucement mes couilles.
- Ca va bientôt venir !
- Comment ça te fait ?
- Je sens le jus monter, c'est bon.
- Ou ça monte ?
- Dans mes couilles et dans le ventre. C'est tout gonflé et sous pression. C'est comme si ça allait exploser.
Je jouis avec violence, j'en ai le souffle coupé et Jocelyne ne quitte pas la scène des yeux une seconde. Avec des grognements de plaisir, je sens le liquide se précipiter de mon manche et jaillir violemment, plusieurs jets chauds, épais et crémeux montent avant de retomber sur mon ventre et sur le tapis. Joselyne en a même reçu quelques gouttes sur les mains.
Ma cousine est comme assommée par la violence incontrôlable de ma jouissance. Quand je me calme un peu, Joselyne se détend elle aussi et me demande :
- C'était bien ? C'est toujours comme ça ?
Elle pose un doigt sur mon ventre pour saisir une goutte de liquide, la serre en deux doigts et les écarte pour la voir le sperme faire comme en fil entre ses doigts.
- C'est doux comme de la crème...
Ma cousine repose un doigt sur moi et étale un peu cette crème sur mon ventre, puis elle porte son doigt à sa bouche et le lèche un peu. Je n'en reviens pas !
- Tu peu gouter sur mon gland si tu veux :
- Non ! C'est salé, mais c'est bon... Dis-donc, qu'est-ce que tu en as ! Il y en a même plein sur ta chemise.
- C'est aussi parce que tu m'as beaucoup excité. Tu branles bien. C'est la première fois que c'est une fille qui me fait ça. C'est bien plus excitant que seul !
Soudain, ma pudeur, mon embarras reviennent. J'ai fait ça avec ma cousine ! Comment ai-je pu ? J'att vivement des kleenex et je m'essuie le ventre. D'un ton agressif, pour cacher ma gêne, je lui dis :
- Tu as voulu voir, et bien maintenant tu sais !
Je la regarde tout en me reculottant rapidement: elle a l'air parfaitement naturelle, bien plus à l'aise que moi...
Merci mon cousin, ça m'a bien plu.
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