La Prison

Prison de femmes, prison sans sexe ? Dans cette cellule, deux jeunes femmes en attente de jugements tuent le temps comme elles peuvent, c'est à dire très mal. Surtout Céline qui avait l'habitude de baiser souvent avec son mec et qui se trouvait privée d'orgasme. L'autre Adeline était un peu dans le même cas. Mai à la différence de Céline, elle attendait qu'elle dorme pour se branler. Un reste de pudeur l'empêchait de se montrer en prenant son plaisir.
Pourtant une fois, pendant que Adeline se masturbait, Céline se réveille. Elle voit dans la semi obscurité de la cellule qu'Adeline avait repoussé les draps et qu'une de ses mains s'agitait sur son con. Cette vision lui donnait brusquement envie d'en faire autant: elle n'était pas trop portée sur la masturbation, mais là s'en était trop. A son tour elle écarte ses jambes et glisse une main entre elles pour atteindre son sexe et surtout son petit clitoris. Elle entame sa masturbation et au milieu de celle-ci, elle se doigte. Et là elle se fait jouir. En jouissant elle cri toujours "je jouisssssss! Ce simple cri fait que Céline la regarde et sourit. Sans doute qu'elles pourraient toutes les deux la nuit, se branler et peut être faire l'amour. Quand on n'a pas d'hommes sous la main, il faut bien faire avec ce qu'on a.
La nuit se termine, la journée passe et enfin la nuit arrive. Céline demande à Adeline se qu'elle pense de l'amour physique et la réponse est simple: j'aime ça. Céline lui avoue qu'elle la vue se branler et que si elle voulait, elles pourraient baiser ensemble plutôt que de satisfaire plus ou moins bien. C'est entendu elles vont baiser. Elles se mettent sur le même lit et nues elles échangent des baisers comme avec un homme. Elles se caressent et ont les mêmes sensations que si c'était un homme qui les pelotait. Leurs mains se dirigent vers la moule de l'autre et commencent à les branler. Elles s'embrassent toujours. Chacune a trouvé le point sensible de l'autre et leurs mains s'agitent en cadence sur les clitoris.

Elles jouissent l'une après l'autre mais assez vite: l'excitation des filles est très forte, surtout pour cette première. Elles en veulent d'avantage et commencent un 69 qui n'en finit pas.
Elles arrêtent en entendant dans le couloir les pas d'une matonne. Elle se couchent rapidement et s'endorment nues. Le matin elles se réveillent à cause des bruits et s'habillent rapidement. Elles s'embrassent, juste un bisou sur les lèvres.
Il leur tarde de recommencer. Mais comment faire dans la journée: c'est pratiquement impossible. Elles attendent la nuit et elles se baisent à nouveau. Elles vont plus loin. Con à con frottés l'un contre l'autre, elles ont trouvé une position qu'elles ne veulent plus oublier.
Chaque soir elle recommencent leur petit manège et leur baise durent de plus en plus: le plaisir est bien meilleur si deux filles baisent souvent.
Aujourd'hui, changement de surveillante: elle semble plus pète sec que l'autre. Il n'empêche que nos deux filles attendent la nuit. Elle sont en train de baiser quand soudain la porte de la cellule est ouverte et refermée rapidement: c'est la nouvelle matonne qui les a vue par le judas et qui aimant bien les filles venait se mêler à leur jeux saphiques. Surprise par l'intrusion dans leur intimité d'une tierce personne, surtout elle, Céline et Adeline arrêtaient de baiser. Mais la matonne se déshabillait à son tour et demandait à participer avec elle à ce jeu de l'amour. Elle se branlait. Excitées de voir cette femme se donnant du plaisir elles ne se concertaient même pas. Elles l'acceptaient dans leur club.
C'est à trois que les filles baisent chaque nuit.