Wassila Et Salim, Ou L'Histoire D'Un Cocufiage Voulu Et Accepté
Wassila et Salim, ou lhistoire dun cocufiage voulu et accepté
En guise davertissement :
Lhistoire qui suit ma été racontée par sa protagoniste principale, une amie, qui désirait que lhistoire de son couple - assez exceptionnelle et symbolique - soit publiée, mais qui pensant ne pas avoir les aptitudes littéraires pour lécrire, men avait confié la rédaction. Avant de lui donner la parole jai décidé, pour plus de crédibilité, de la laisser parler elle je vous décris, en une phrase, la femme : Wassila est un beau brin de femme, denviron trente-cinq ans, assez grande, au physique plantureux, que la nature avait généreusement dotée en formes et en sensualité et dont regard coquin est une véritable invitation aux fantasmes les plus torrides.
Voila donc lhistoire, racontée par Wassila, des aventures du couple quelle forme, depuis environ huit années avec son mari Salim.
-----
« Je mappelle Wassila ; jai trente-cinq ans, mariée, sans s. Je pense être physiquement assez agréable (mon mari, Salim, prétend même que je suis belle !) : un mètre soixante quinze, soixante kilogrammes, cheveux châtain-clairs, visage ovale, grands yeux couleur noisette, grande bouche lippue, petit nez droit, menton rond. Le reste de mon corps est, si jen juge aux regards concupiscents des hommes que je croise, très attirant, pour ne pas dire bandant : des épaules larges et rondes ; un long cou gracieux, blanc, ferme et lisse ; une poitrine volumineuse, provocante (cest mon mari qui laffirme, car il semble quinconsciemment, jai une tendance naturelle à lenvoyer en avant, pour attirer lattention sur elle) avec de gros seins ronds, doux et fermes ; un ventre plat ; une taille quon ne peut pas qualifier de guêpe, mais sans aucun bourrelets disgracieux ; des hanches larges, rondes et fermes ; un fessier proéminent (cest avec ma bouche et mes cuisses, la partie de mon corps dont je suis la plus fière), haut perché, ferme qui a fait bander plus dun homme ; de longues jambes bien pleines, superbement galbées, en harmonie avec des genoux ronds et brillants, annonçant des cuisses blanches et fermes qui sont un vrai piège à fantasmes pour les hommes (et même pour certaines femmes qui mont souvent draguée).
« Salim et moi sommes mariés depuis maintenant huit ans. Nous nous sommes rencontrés au cours dune soirée entre amis et immédiatement quelque chose sétait passé entre nous. Il était grand, svelte, très brun, avec dimmenses yeux noirs. Dès notre première rencontre, il me paraissait déjà être quelquun de gentil (pas dune gentillesse e ; sa gentillesse était naturelle et était un élément fondamental de sa personnalité) et aussi de très cultivé. Cela ne lempêchait pas de paraître très viril et sensuel. Immédiatement javais flashé sur lui et ne le quittais pas dune semelle au cours de la soirée.
« Je crois que je métais imposée à lui, sans même y avoir réfléchi et surtout sans lui avoir laissé le temps de réfléchir à la manière de se débarrasser de moi. Je crois que moi aussi, je lui avais plu dès la première rencontre : il me trouvait belle, et il ne sétait pas gêné pour me le répéter toute la soirée. Mais plus que cela, je sentais quil éprouvait du désir pour moi. Je voyais à ses yeux quil avait envie de moi et quil voulait me tirer. Mais de par sa bonne éducation, il navait pas voulu précipiter les choses, au risque, croyait-il, de me faire fuir.
« Le pauvre, il ne savait pas encore que dès que lavais vu, javais que cétait lui lhomme de ma vie. Je venais davoir vingt-huit ans et je commençais sérieusement à penser au mariage. Jétais encore vierge, bien que javais déjà eu quelques flirts poussés, mais qui navaient jamais été au-delà des caresses sur les parties intimes, des cunnilingus parfois super jouissifs et des fellations avec, ou sans, éjaculations faciales et buccales. A vingt-huit ans, jétais loin dêtre une novice en amour, mais javais encore du respect pour les tabous sociaux et surtout pour la virginité, que je voulais absolument garder jusquà ma nuit de noce.
« Au cours de mes quelques aventures antérieures avec des garçons, il métait bien arrivé de me faire caresser superficiellement la chatte par les sexes de mes partenaires.
« Avec Salim, les choses se passèrent différemment. Dabord, dès le départ, je voyais que ses intentions étaient sérieuses : il était tombé amoureux de moi et voulait passer sa vie à mes côtés. Il me lavait dit au bout de notre deuxième rencontre. Mais lui était du genre intellectuel libéré, pour qui les tabous sociaux étaient des inepties quil fallait dépasser. Il mavait affirmé quun couple devait dabord sassurer quentre lhomme et la femme, il y avait une harmonie parfaite, y compris sur le plan sexuel. Il disait que pour ce qui nous concernait, je devais prendre le risque de faire lamour avec lui pour nous assurer que nous étions bien faits lun pour lautre.
« Javais hésité un moment avant de me laisser entraîner dans les délices de lamour. La première fois que je métais offerte à lui, javais encore la crainte dêtre déçue et de le décevoir. Je savais que lui avait déjà eu plusieurs maîtresses (il ne me lavait jamais caché et il mavait même avoué quau moment de notre rencontre, il avait comme maîtresse une femme mariée, qui lui donnait énormément de plaisir) et que de par mon inexpérience des relations complètes (avec pénétration), je risquais de ne pas lui donner tout le plaisir quil attendait dune amante.
« Les choses sétaient déroulées de manière idéale : Salim sy était pris avec moi avec sa douceur et sa gentillesse naturelles. Le dépucelage fut un véritable plaisir, où même la douleur du déchirement de lhymen avait été accompagnée de tellement de douceur et de plaisir, que jaurais aimé être restée éternellement vierge, pour revivre tous les jours ce moment dimmense bonheur. Salim savait faire lamour : il était du genre altruiste ; il se faisait un point dhonneur à dabord me remplir de plaisir et de me faire avoir plusieurs orgasmes successifs, avant de se laisser aller lui-même à la jouissance.
« Et puis, il était si imaginatif ! Et pour lui et pour moi, il voulait que chaque fois, nous allions vers plus de liberté érotique. Il avait beaucoup lu sur lérotisme et la philosophie épicurienne, sur le libertinage et sur le plaisir sexuel. Il en avait fait un point nodal dans sa manière de vivre. Il ne voulait, bien entendu pas devenir un adepte du marquis de Sade et se laisser entrainer dans des relations sado-masos, mais comme il avait en horreur les relations sexuelles classiques et ternes, il cherchait à faire de nos rencontres amoureuses, de véritables feux dartifice. Jétais heureuse avec cet homme, qui à chacune de nos rencontres me faisait atteindre des sommets de plaisir que chaque fois je pensais être le summum, avant de goûter, la fois suivante, à quelque chose dencore plus intense.
« Quand nous nous mariâmes, environ, une année après notre première rencontre, Salim et moi étions au comble du bonheur. Il disait avoir trouvé en moi, sa deuxième moitié dorange, celle qui sadaptait parfaitement à lui. Et moi, jétais au paradis des amants ; javais trouvé mon Homme (avec un grand H) et surtout mon maître en amour. Et jai oublié de mentionner que physiquement, Salim était super bien monté : beaucoup mieux que tous les garçons que javais rencontrés auparavant.
« Les huit années de mariage furent pour nous, huit années de bonheur intense et de découvertes amoureuses. Nous avions décidé dun commun accord de ne pas avoir ds, jusquà lâge de quarante ans, pour pouvoir vivre pleinement notre vie damants. Nous faisions lamour parfois plusieurs fois par jour et, il me semble que nous avions atteint le Nirvana des amoureux, ce paradis de plénitude dans lequel nous plongions à chaque fois que nous faisions lamour. Dans notre couple, je lavoue volontiers, cela a toujours été Salim le moteur en matière dérotisme. Il avait une telle sensibilité et une telle imagination quà chaque fois, il me surprenait avec une nouvelle idée, une nouvelle proposition parfois étonnante (et même choquante pour les esprits étroits) mais toujours dun érotisme intense.
« Depuis le début de notre relation, Salim et moi, lisions ensemble toutes sortes dhistoires érotiques : quelles soient éditées sous forme de romans érotiques, ou quelles soient lobjet dune publication sur des sites internet spécialisés. Ils nous arrivaient même de visionner des vidéos érotiques ou même pornographiques. Nous napprécions pas toujours ce que nous lisions, ni voyons : rares étaient les histoires ou les films vraiment intéressants. La grande majorité nétait quune lourde compilation de positions qui nont rien de naturel, de gros sexes gonflés aux hormones et de pénétrations buccales, anales ou vaginales sans aucune beauté, ni élégance.
« Mais il nous arrivait parfois de tomber sur de véritables chefs-duvre de subtilités érotiques, que nous lisions alors à haute voix (cétait lui qui lisait) ou regardions avec un réel plaisir, nus dans les bras lun de lautre. Nous sortions de la séance de lecture ou du visionnage du film dans un tel état dexcitation, que nous tentions de reproduire en vrai, ce que nous avions lu ou ce que nous avions vu. Inutile de vous décrire le plaisir que nous prenions !
« Ces derniers temps, Salim narrête pas de me répéter, sans pour autant insister, sa curiosité de savoir si je pouvais prendre du plaisir entre les bras dun autre homme. A chaque fois, jétais étonnée quune telle idée puisse lui traverser la tête. Je savais quil nétait était nullement jaloux ; il avait une grande confiance en lui et en ses capacités amoureuses ; et il savait que sexuellement jétais à lui (jai hésité à dire, son esclave, mais je crois quil sagit réellement de cela). Cétait plutôt moi qui étais jalouse. Javais toujours eu peur de le perdre et de le voir partir avec une autre, plus jeune et plus belle.
« En fait, au bout de quelques jours, je compris quil était réellement sérieux et quil venait de réfléchir à une étape supérieure de notre vie érotique : y intégrer un troisième acteur. Et cet acteur devait être dabord un amant pour moi. Il avait envie de vivre la sensation de voir sa femme offerte à un autre homme et en tirer du plaisir. Au début jen étais vraiment choquée. Probablement un reste de morale dominante, plus fortement ancrée en mo, que je le croyais. Et puis petit à petit, lidée dune aventure extra conjugale fit son chemin et vint se fixer dans un coin de mon cerveau.
« Je nen étais pas encore à chercher volontairement laventure. Je nen étais même pas à mintéresser aux autres hommes, si ce nétait virtuellement à ceux de nos histoires et vidéos érotiques. Il se passa un temps assez long entre le moment où lidée sétait insinuée dans mon esprit et celui où je passais à lacte. En fait ce nétait même pas moi qui choisit de passer à lacte; laventure mavait été imposée par les circonstances.
« Depuis que jai terminé mes études, je travaillais comme assistante de direction au sein du rectorat de luniversité dAlger. Joccupais depuis une dizaine dannées, avant même de me marier, le poste dassistante principale du recteur. Jusquà il y a trois mois, cétait toujours la même personne : un gentil monsieur qui nous avait toujours couvés, mes collègues et moi, mais qui avait atteint lâge de la retraite. Il fut donc remplacé par Abdelkader, un professeur de littérature venu dune autre université et qui était précédé par une réputation sulfureuse: cétait un coureur impénitent, bien que marié avec des s; un adepte de la promotion canapé; un homme qui profitait de son poste pour « tirer sur tout ce qui passe » selon la triviale formule populaire.
« Nous étions donc, mes collègues féminines et moi, passablement inquiètes de ce qui allait se passer. Le jour de linstallation du nouveau patron arriva. Le partant nous présenta toutes et tous individuellement à larrivant. Il me présenta en dernier, en insistant sur mes qualités professionnelles et humaines. Il partit rapidement et le nouveau patron rejoignit son immense bureau. Je ne fus nullement étonné de lentendre mappeler dans linterphone.
- Madame, venez, jai à vous parler !
- Bien monsieur ! répondis-je, en collaboratrice disciplinée.
« Je pris un bloc-notes, frappai à la grande porte (je savais que cétait inutile de frapper, la porte étant feutrée, il ny avait aucun risque que quelquun à lintérieur entendît le moindre son) et entrai. Je le trouvais assis derrière son immense bureau, faisant semblant de lire un document. Il leva les yeux sur moi, me fit une espèce de sourire qui immédiatement me rappela le rictus dun chat sur le point de sauter sur une souris.
- Mon prédécesseur ne tarit pas déloges sur vous ! Jespère que jen aurais autant pour vous ! Je suis probablement plus exigeant que lui et jexige que tout se passe de façon idéale dans le travail. Jaime le travail bien fait et refuse catégoriquement ce qui est bâclé. Jespère que vous comprenez ce que je dis et que vous y adhérez !
- Parfaitement, monsieur ! lui répondis-je, sans me démonter. Je pense connaître mon travail sur le bout des doigts et je laime assez pour le faire parfaitement. Je vous ramène une boisson ?
- Un café sera parfait !
« La machine à café, réservée au recteur avait toujours été installée dans son bureau, probablement pour ne pas la mettre entre toutes les mains : les capsules coûtaient cher et étaient parfois introuvables. Abdelkader connaissait certainement cette caractéristique. Sil voulait un café, cétait certainement pour que je reste dans son bureau le plus longtemps possible. Et de fait, tout le temps que javais le dos tourné, je sentais son lourd regard qui pesait sur moi. Il est vrai que jétais habillée dune longue robe en tissu très léger, qui dessinait mes formes à chacun des mouvements que je faisais. Je sentais que son regard ne quittait pas mon postérieur proéminent et je savais que si je me retournais brusquement je pourrais lire sur ses yeux le désir de me tirer, là immédiatement.
« Je restai longtemps dans la position, le laissant imaginer toutes les cochonneries quil voulait. Je lui remis son café, quil prenait sans sucre, et mapprêtai à quitter le bureau.
- Tu es belle ! dit-il, en me regardant droit dans les yeux, comme pour tester ma réaction.
- Merci du compliment, monsieur !faisant celle qui navait pas remarqué le tutoiement.
- Tu me plais ! Jai envie de toi !
- Mais monsieur ! Je suis mariée et ne moffre pas comme cela à nimporte qui !
- Je ne suis pas nimporte qui ! Je suis le recteur ! Je crois que tout le monde sort du bureau à seize heures ! Quand tous seront partis, tu viendras me rendre une petite visite !
- Mais, ça ne va pas !
« Je quittais le bureau sans plus attendre et rejoignis ma place. Ma collègue qui partageait le bureau avec moi, tenta de savoir ce que me voulait le nouveau patron. Je lui répondis quil sagissait de problèmes professionnels. Elle ninsista pas. Moi par contre, je narrêtais pas de réfléchir : dois-je déposer immédiatement ma démission ? Dois-je écrire un rapport au ministère pour me plaindre de harcèlement sexuel ? Dois-je en parler à mon mari ? Pendant toute la matinée, jen étais encore à me poser des questions.
« Abdelkader quitta le bureau vers treize heure, pour nous dit-il à voix haute, aller déjeuner avec des collègues. Il ne devait revenir, ajouta-t-il, que vers seize heures et quil aimerait bien que jattende quil revienne avant de partir. Il avait un courrier à me dicter. Avant de sortir, il menvoya une illade triomphante, comme sil savait déjà que jallais lattendre et moffrir à lui. En fait il avait raison : si je devais partir, je laurais fait immédiatement après sa proposition. Comme jétais restée, cela ne pouvait signifier quune seule chose : javais accepté.
« Et de fait, javais accepté de devenir la maîtresse de mon patron. Javais repensé au désir de Salim de moffrir à un autre homme, pour pouvoir lui-même prendre du plaisir. Abdelkader était bien de sa personne. Il avait la peau très brune des gens du Sud ; il était grand, mince (presque maigre) avec une charpente osseuse impressionnante. Ses yeux étaient noirs et regardaient fixement ses interlocuteurs ; un regard qui mettait mal à laise par son intensité. Il avait un nez long, un peu crochu, comme celui dun oiseau prédateur. Et sa bouche faisait penser à celle dun carnassier avide de chair.
« Je me disais que ce devait être un amant brutal, sûr de lui et surtout égoïste. Un amant qui ne pense quà son seul plaisir. Jétais vraiment loin de la réalité ! Cétait le macho type, lhomme pour qui tout était dû ! Jappelai Salim pour lui annoncer que je rentrerai un peu tard ; quune affaire urgente me retenait et que je lui raconterai tout en rentrant. Il me répondit que cela tombait bien, parce que lui aussi ne rentrerait pas avant vingt heures.
« Quand Abdelkader revint au bureau, qui entretemps sétait vidé (ma collègue mavait proposée de me remplacer; elle était célibataire et navait pas de contraintes; je refusai poliment) il me trouva assise derrière mon bureau. Il me fit de loin signe de le suivre dans son bureau directorial. Ce que je fis, un peu hésitante, mais déjà soumise. Il arriva devant le grand meuble, se retourna, tendit les bras pour me prendre par la taille. Je me laissai faire, sans lui montrer quoi que ce soit da mes sentiments. Il commença par palper ma poitrine qui avait lair de lattirer. Il sy prit brutalement, tirant de moi un petit cri de douleur que jétouffais immédiatement, pour ne pas avoir à lui donner le plaisir de contenter son côté sadique et brutal.
« Et puis, sans plus attendre, il me retourna, mobligea à me pencher sur le bureau et releva le bas de ma robe pour le déposer en boule sur le bas de mon dos. Je restai ainsi en culotte, le cul en lair. Il rabaissa la culotte mobligeant à relever une jambe pour la faire sortir en partie, la laissant pendouiller sur lautre jambe. Il me fit relever les fesses plus haut, sortit son sexe et me lenfonça brutalement dans le vagin. Sans aucune préparation ! Je poussai un hurlement de douleur que je ne pus pas , tant javais mal.
- Tu peux hurler petite salope ! Personne ne peut tentendre ! Jaime faire mal aux putes comme toi ! Comment tu trouves la trique qui est entrain de te posséder ? Dis-moi quelle te plait ! Dis-moi quelle te plait ! Je tordonne de me dire quelle te plait !
-
. (je refusais de lui répondre)
- Ah bon, tu tentête ! Tu veux me résister ! Eh bien tu vas voir, comment je vais te corriger !
« Et il se mit à me tirer, comme cela en force, sans aucune précaution, ajoutant à ses coups de boutoirs sa main droite qui me mécrasait le sein droit. Je ne sus absolument pas ce qui se passa alors : je sentis brusquement le désir menvahir ; ma chatte se mit à couler comme une fontaine et le plaisir sempara de moi. Je voulais résister, mais ma volonté avait brusquement disparu ; seul restait ce besoin de jouir. Rien ne comptait plus : je sentais le sexe - long, fin et dur comme de la pierre - qui limait les parois de mon vagin et qui me procurait du plaisir ; un plaisir différent de celui que javais avec mon mari ; un plaisir fait de douleur physique. Un type de plaisir que je me croyais incapable de ressentir et que Abdelkader me donnait en me traitant comme une chienne. Sa chienne !
« Jétais heureuse dêtre une chienne ! Je ne sais combien de temps avait duré la séance, mais dans ma tête, elle dura une éternité. Le pire, cest que ce fut moi qui eus le premier orgasme. Un immense orgasme qui me fit hurler de plaisir et décharger des litres entiers de jus. Abdelkader continua encore un moment à me limer le vagin, en poussant de han de bûcheron à chaque coup de boutoir, puis il eut lui aussi un énorme râle de jouissance et déchargea tout son foutre, abondant, épais et brûlant, en une longue giclée qui dura une éternité. Apaisé, il relâcha sa prise sur moi et sortit de ma chatte. Il séloigna un peu, me prit par les épaules et me retourna brutalement pour que le regarde droit dans les yeux.
- Tu as aimé salope ! Ne me dis surtout pas le contraire ! Tu as joui comme une chienne ! Dis-moi que tu as joui comme une chienne ! Dis-le ! Dis-le !
Comme je ne disais rien, il menvoya une gifle retentissante, pour bien me montrer qui était le maître.
- Dis-le ! Dis que tu as joui comme une chienne !
- Oui ! Jai joui comme une chienne !
- Cest qui ton maître ?
- Cest toi !
« Il aimait vraiment cette situation ! Il était le maître et moi lesclave. Cela lexcitait tellement quil se remit à bander comme un bouc. Je voyais son sexe grandir rapidement et atteindre une dimension étonnante. Il avait gardé son pantalon, quil avait descendu légèrement sur ses hanches. Je regardais fascinée, son gourdin sallonger, durcir et palpiter de désir. Il devait avoir près de trente centimètres, et même sil était fin, il respirait la force et virilité. Il mattrapa par les cheveux et mobligea à magenouiller devant lui.
- Suce-moi, salope ! Je veux jouir dans ta bouche de pute ! tu as une bouche de pute, faite pour sucer ! Alors suce-moi !
« Totalement vaincue, je me mis à lui faire consciencieusement une fellation qui tira de lui des gémissements de plaisir continus. Au jeu de la fellation, jétais championne : Salim mavait appris comment faire jouir un homme avec la bouche. Je mis en uvre toute la science que javais acquise. La longueur de sexe de Abdelkader me gênait un peu, car il voulait pénétrer au-delà de la glotte et je naimais pas la sensation que cela me donnait. Javais envie de vomir. Je trouvais très vite la solution en saisissant le sexe au niveau des couilles pour rétrécir la distance quil pouvait parcourir dans ma bouche.
« Il protesta un moment, puis me laissa faire. En utilisant ma langue pour titiller et enrouler le gland, je tirai de mon amant des petits cris de plaisir. Il ne tarda pas à sentir monter lorgasme, et tira encore plus fort sur mes cheveux pour me signifier daccélérer le rythme des va-et-vient de ma bouche sur son sexe. Ce que je fis. Quelques secondes suffirent à le faire éjaculer ce qui lui restait comme sperme dans ma bouche et sur le visage. Il sortit son sexe, totalement ramolli de ma bouche, me prit par le menton pour me relever la tête et admira son uvre, avec son sourire de carnassier: du sperme sur le visage, sur un il et qui dégoulinait de ma bouche.
- Jadore ce spectacle ! me dit-il, avec un petit rire sarcastique. Je veux que tu avales ! Que tu avales tout le sperme qui est sur toi ! Ne dis surtout pas non, si tu veux éviter une bonne correction !
« Ce nétait pas la peur dune nouvelle correction qui me fit obéir. En fait javais toujours aimé le goût du sperme, et avaler celui de Abdelkader était pour moi un plaisir. Mais comme je ne voulais pas lui donner ce plaisir, je faisais celle qui détestait ce quelle faisait. Je ramassai donc avec mes doigts le foutre que javais sur le visage et le portai à ma bouche pour le lécher et lavaler. Je regardai de temps en temps mon amant et je le voyais sourire avec satisfaction. Je voyais même son sexe qui frémissait comme sil voulait encore se réveiller.
« Il me tendit la main pour me relever, me palpa encore une fois brutalement les seins et me dit plein de satisfaction :
- Tu as maintenant un nouveau maître ! Tu dois lui obéir au doigt et à lil ! Demain je tenculerai !
- Non ! Pas ça ! Je déteste la sodomie !
- Et bien avec moi tu vas aimer. Tu verras comme il te possèdera en force et comme il ira très loin dans ton cul (il me montrait son sexe qui continuait à frémir). Et maintenant tu peux partir. Je vais me doucher avant dentrer chez moi. Il ne faut pas que ma femme se doute que jai baisé une petite pute !
« Je me retournai pour partir, avec un sentiment mitigé de plaisir et de honte. Il me rattrapa, souleva le bas de ma robe et me caressa les fesses. Il mobligea à me pencher vers lavant, me caressa les fesses (je navais pas remis ma culotte) et brusquement menfonça un doigt profondément dans lanus. Il le fit tourner un petit moment à lintérieur du rectum, puis le retira. Il le regarda un instant puis le porta à ses narines pour le sentir. Il eut à nouveau son sourire de carnassier et le porta à sa bouche pour le sucer.
- Jadore lodeur de ton cul ! Demain je vais me régaler !
« Je rentrais à la maison vers dix huit heures. Je me demandais si jallais tout raconter à Salim. Il nétait pas encore rentré. Je me décidais donc à préparer le dîner en lattendant et en réfléchissant à ce qui venait de se passer. Quand il rentra vers vingt heures, il membrassa tendrement comme à son habitude. Il séloigna un peu de moi en me tenant à bout de bras :
- Il y a quelque chose de bizarre en toi, ce soir ! Cest quoi ? Il y a sur ton corps, une odeur que je ne connais pas !
- Allons dabord dîner ! Je texpliquerais après dans la chambre !
Nous dînâmes en silence, moi ruminant ce que jallais bien lui dire, lui réfléchissant à différentes hypothèses. Il mangea très vite contrairement à ses habitudes, mobligeant à faire de même. Il se leva, me prit par la main et mentraîna dans la chambre. Il sallongea sur le lit, tout habillé et me tira avec force pour que je mallonge à ses côtés.
- Allez dis-moi vite ce qui sest passé dans la journée ! Pourquoi tu as dû faire des heures supplémentaires ! Jai limpression quil sest passé quelque chose dextraordinaire !
- Je lai fait !
- Tu as fait quoi ?
- Je tai fait cocu !
- Quoi ???????
- Oui aujourdhui, jai enfin trouvé loccasion de te tromper. En réalité, jai même été obligé de te tromper. Je ne voulais pas le faire, tout en voulant le faire
tout en ayant peur de le faire ! Enfin tu comprends !
- Non je ne comprends rien, sauf quenfin, tu me fais porter une paire de cornes ! Allez raconte; ne me fait pas languir !
« Et je lui ai raconté lhistoire dans sa totalité, y compris tout le plaisir que jai pris à le tromper. Tout en lui parlant, je regardais ses yeux pour y lire ses sentiments. Javais peur quil ne prenne très mal ce qui sétait passé ; surtout le plaisir que jy avais pris. Je voyais son regard silluminer au fur et à mesure que je lui décrivais par le détail, tout ce que Abdelkader mavait fait et mavait fait faire. A la fin du récit, il avait sur les lèvres un sourire de béatitude, comme si javais fait quelque chose dextraordinaire pour lui prouver tout mon amour.
- Tu as été géniale ! Jaurais tant aimé assister à la scène ! Promet-moi que la prochaine fois tu amèneras ton amant à la maison pour que je te regarde jouir avec un autre homme que moi !
- Non pas celui-là, cest un vrai pervers ! Il nest heureux que dans la douleur de ses maîtresses. Et ses maîtresses, il les force à se donner à lui, sinon il les vire du boulot. Ce nest pas très fair-play ; cest même dégueulasse. A partir de demain, je vais demander ma mutation à un autre service, pour ne pas rester avec lui !
- Pas avant quil ne tencule ! lentendis-je dire.
- Tu veux vraiment que jaille jusque là. Tu sais que je naime pas la sodomisation. Je laccepte de toi, parce que je taime. Mais pas dun autre ! Surtout pas de ce salaud !
- Si rien que cette fois ! Je veux savoir ce que tu ressentiras réellement ! Tu as peut-être trouvé létat qui te convient le mieux en érotisme : la soumission totale à un maître pervers et brutal. Moi jai trouvé le mien, cest dêtre cocu et de rêver assister à mon cocufiage. Je ne serais vraiment bien, que quand je pourrais toffrir moi-même à un autre homme; que je choisirais pour toi !
« Le lendemain, je repartis donc au travail, décidée à laisser faire Abdelkader. Et effectivement, en fin daprès-midi, après le départ de tous les fonctionnaires, je me retrouvais dans le bureau du patron. Dans la même robe que la veille, mais cette fois-ci, sans porter ni culotte, ni soutien gorge. Comme la veille, Abdelkader y alla brutalement ; il me fit me pencher contre le bureau, releva le dessous de ma robe, dénuda mon cul, sortit son sexe, long et dur comme une pierre, écarta mes fesses, posa son gland à lentrée de lanus et me défonça le cul, sans ménagement. Je criai de douleur, sans que cela ne lémeuve le moins du monde.
« Bien au contraire, mes cris de douleur, lexcitèrent encore plus et augmentèrent la force de ses coups de boutoir. Je lentendais qui ahanait à chacune des pénétrations et je sentais arriver son orgasme. Moi-même je ne ressentais rien, si ce nest une douleur lancinante sur mon anus et dans le boyau. Il poussa un long râle de jouissance et déversa tout son sperme en une longue rasade, qui séchappa à lextérieur, expulsée par les allers-retours de son sexe.
« Quand il sarrêta, il saperçut que je navais pas aimé et que je navais fait que subir une sodomisation qui ne mavait rien apporté. Cela le mit en fureur.
- Ah bon, tu nas pas aimé que je tencule ! Et bien je vais te faire faire quelque chose que tu aimeras encore moins ! A genoux salope ! Et suce-moi lengin ! Oui comme cela plein de merde et de sperme ! Fais vite, sinon tu recevras la correction de ta vie !
« Ce nest certainement pas la peur de la correction qui mavait obligée à faire ce quil me demandait (je crois que jaurais été en mesure de lui tenir tête physiquement, si je lavais réellement voulu, dautant plus que jaurais pu alerter les gardiens et le personnel de sécurité, ce qui aurait pu donner lieu à un scandale, qui aurait mis fin à sa carrière de recteur duniversité). Ce qui mavait fait accepter de le sucer comme cela, cétait la curiosité du geste, sa nouveauté pour moi et surtout ce que jaurai à raconter à Salim. Je suçais donc presque avec volupté, le sexe un peu ramolli et plein de sécrétions et avalais tout ce qui sy trouvait. Je le fis si bien, que Abdelkader se remit à bander et pris la décision de me baiser par la bouche.
« Jai déjà parlé de la longueur de son sexe et de sa tendance à vouloir aller au delà de la glotte. Et bien cette fois-ci, je ne pouvais rien faire pour len empêcher. Cétait pas moi qui le suçais, cétait lui qui me baisait. Il y allait comme à son habitude, en force sans se soucier, ni de la douleur, ni de lenvie de vomir quil procurait. Il y allait dans de longs allers-retours depuis lentrée de la bouche jusquau fond de la gorge, en faisant à chaque fois une longue pose au fond, comme pour mobliger à vomir. Je souffrais beaucoup, surtout quand, il restait trop longtemps au fond de ma gorge ; mais comme je ne voulais pas lui donner le plaisir de me voir vomir, je tins bon jusquà ce quil jouisse. Javais la gorge qui me faisait mal, les yeux qui pleuraient et le nez qui coulait à flots. Quand il sortit da ma bouche et quil vit que javais tout avalé, il en fut content et ne put sempêcher dexulter :
- Je suis ton maître tout puissant ! Je fais de toi ce que je veux ! Je te dis à quatre pattes, et toi tu obéis ! Je te dis suce ta merde, et toi tu obéis ! Tu nes rien dautre que ma chienne !
« Je voulais lui répondre que je lemmerdais et quà partir de demain, il ne me reverra plus. Que je ferais une demande de mutation, quil sera obligé de signer, sinon je laccuse dagression sexuelle et de viol. Avec la réputation quil traîne, un tel scandale lui sera fatal. Mais la douleur dans ma gorge, consécutive à lirritation de mes cordes vocales, mempêcha de parler. Je me promettais de le lui dire en face le lendemain matin à la première heure. Pour linstant, jétais pressée de retrouver Salim et de lui raconter ce qui venait de se passer et de mon intention darrêter ma relation desclave à maître avec ce malade de Abdelkrim.
« Je le trouvais qui mattendait gentiment, allongé sur le canapé du salon, lisant son journal. En mapercevant, il jeta son journal et me fit signe de venir le rejoindre. Jallais vers lui, tellement heureuse de le retrouver et tellement contente de retrouver mon homme : le seul ! le vrai ! Il membrassa tendrement et me fit raconter les évènements de la journée, en me serrant dans ses bras, pour me faire comprendre combien, il était fier de moi. Et combien, il aimait les cornes que je lui faisais porter. Il était daccord pour que je quitte mon poste auprès du recteur. Mais me répéta toutefois, quil voulait toujours être le témoin dune scène damour torride entre moi et un amant, qui se passerait ici même, à la maison. Il pensait même avoir trouvé lhomme idoine pour cela : un homme, taillé comme un athlète, jeune et beau comme un Apollon et surtout très viril.
- Je ne veux pas en parler maintenant ! lui rétorquai-je. Je veux la preuve que tu maimes toujours. Hier tu mas laissée dormir, sans me faire lamour. Et même aujourdhui, tu vas me laisser comme cela, complètement frustrée par ce qui sest passé avec ce cochon de recteur. Allez viens me faire lamour et me faire jouir tendrement, pas comme cette bête !
« Et Salim me fit lamour longuement, tendrement et me fit jouir intensément. Jai vraiment aimé sa manière en même douce et forte de me faire grimper aux rideaux. Je me suis dit que mon mari était en fait le meilleur des amants possibles. Sauf que lui, voulait tenter cette expérience dun autre homme sur moi et je savais que tôt ou tard, cela arrivera.
----
Voila donc lhistoire telle quelle ma été racontée et que je pense avoir transcrite fidèlement. Mais il se passe quelque chose de bizarre en moi depuis que jai pris connaissance des dessous érotiques du couple formé par Wassila et Salim. Wassila, mon amie, et Salim son mari que je ne connaissais pas, métaient subitement apparus sous un visage différent : celui dun couple vivant un amour libre, à labri de tous les tabous sociaux et moraux et étant heureux de leur comportement. Je me disais même que je serais heureux dêtre cet amant qui rendrait Salim cocu et heureux de lêtre !
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!