La Mère De Manu
Javais un ami, Manu, avec qui je me rendais au lycée tous les jours, et chez qui jaimais passer mes jours de congés.
Javais lhabitude daller chercher mon ami à son domicile tous les matins, il habitait très près de chez moi et nous nous rendions ensemble au lycée. Cependant Luc avait la fâcheuse habitude dêtre souvent en retard. Aussi quand je frappais à la porte de la maison de ses parents, cétait toujours sa mère, Carole, qui venait mouvrir. Son père, routier, était absent la plupart du temps, ne rentrant chez lui qua la fin de la semaine seulement. Il avait une journée de repos de temps en temps de façon à être avec son fils, quil amenait généralement à la pèche pour la journée. Ce qui me déplaisait car cette journée là je me sentais abandonné et ne savais comment passer mon temps.
Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait extrêmement gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, mes cheveux ou sur mes yeux verts. Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir bleu ciel, qui lui arrivait à mi-cuisses. À quarante ans, elle avait lâge de ma propre mère. Nathalie était une très belle femme pour ladolescent que jétais. De souche suédoise, elle possédait de soyeux cheveux blond qui lui descendaient jusquaux épaules, de grands yeux vert irisés, une bouche aux lèvres charnues, et surtout le plus important à mes yeux, une poitrine imposante qui déformait le devant de son peignoir.
Chaque matin je marrangeais pour me présenter chez Manu largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec sa mère pour laquelle jéprouvais une véritable adoration. Dans ces moments privilégiés, Nathalie me parlait comme si jétais un ami intime, se confiant aisément comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en lécoutant dune oreille attentive, je profitais des moindres mouvements quelle faisait pour essayer de distinguer par louverture de son peignoir, un coin de chair nue.
Si je prenais un réel plaisir à découvrir les merveilleux atouts de la séduisante mère de Manu, il marriva bientôt que mon bas ventre sorne dune fâcheuse érection, qui déforma de façon vraiment indiscrète le devant de mon pantalon, me procurant ainsi une effroyable gêne. Nathalie ne tarda pas à sapercevoir de mon trouble et de ce qui le créait. Ses discrets, mais appuyés coups dil en direction de cette protubérance qui membarrassait ne fit quaccen mon trouble et mon embarras. Même si le regard quelle me lançait ensuite était plus amusé, que gêner.
Pourtant, malgré mon innocence, je constatais avec un certain émoi, que plus les jours passaient, plus les incidents avec son peignoir se multipliaient ; celui-ci souvrant de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment.
Devenu follement amoureux de la mère de mon ami, je mempressais chaque matin, sitôt mon petit déjeuner avalé, de me rendre chez mon ami, sachant pertinemment que ce dernier serait, soit encore endormi, soit sous la douche. Le cur battant la chamade, je me faisais une joie de passer quelques instants en tête à tête avec Nathalie, espérant au fond de moi davoir loccasion de découvrir encore un peu plus des atouts généreux de celle-ci.
Un matin, alors que selon lhabitude, nous nous trouvions seuls à la cuisine, Manu prenant sa douche, Nathalie se plaignit quil fallait quelle fasse le lit de son fils chaque matin. Aussitôt, afin de lui donner une bonne image de moi, je me vantais de faire mon lit moi-même tous les jours.
Cest vrai ? sexclama Nathalie
Tu es vraiment un garçon parfait, ce nest pas comme Manu
Tu ne veux pas maider à faire le lit de ton copain ?
Evidement que je le voulais, espérant fortement que lors de cette tache je pourrais percevoir de nouveau quelques parties de ce corps féminin qui me faisait tant fantasmer.
Placé chacun dun côté du lit de Manu, nous commencions à tendres draps et couverture. Plaisantant ou me félicitant, Nathalie se penchait en avant plus souvent quil ne le fallait, tirant le drap, puis le défroissant longuement de la main ou bien retirant une poussière imaginaire. La gorge sèche, je profitais au maximum de laffolant spectacle quelle moffrait. Par louverture généreuse de son peignoir je pouvais voir ses gros seins blancs quaucun soutien-gorge ne comprimait, et même une partie de ses mamelons brun foncés.
Si cette vue me ravissait au-delà de tout, jéprouvais quand même un terrible embarras au niveau du bas-ventre, mon sexe sétait raidi et avait largement doublé de volume, formant une bosse fort sur le devant de mon pantalon. Comme jessayais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Nathalie surprit mon geste :
Eh bien, que tarrive-t-il me lança-t-elle en riant
On dirait que tu as quelques ennuis
Ce nest quand même pas moi qui te met dans un tel état ?
Que pouvais-je répondre, ma timidité et surtout mon innocence mempêchait de profiter de loccasion. Souriant de mon embarras, Nathalie me reconduisit jusquà la cuisine, où Manu nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour là, en me disant au revoir, la mère de mon ami me tendit la main que je mempressais de serrer, mais au moment de la lui lâcher, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant :
Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrait prendre un café ensemble
Manu ne boit pas de café, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferais plaisir davoir un invité, quand penses- tu ?
Avec plaisir mempressais-je de répondre.
Manu enchaîna :
Si tu acceptes de prendre un café avec ma mère, tu es condamné à le prendre tous les matins.
Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui répondre que cela ferait bien mon bonheur. Alors Nathalie sapprocha de moi pour me faire une bise sur la joue gauche, jen profitais, le cur battant pour me coller à elle, frottant avec mon bras ses seins, que je trouvais étonnamment fermes.
Le lendemain matin, qui était un jeudi, je me présentais une demi-heure plus tôt que jen avais lhabitude. À peine dans le hall dentrée, lodeur du café me caressa agréablement les narines. Nathalie, portant son éternel peignoir, maccompagna jusquà la cuisine où elle me pria de masseoir à la table :
Tu veux bien mattendre quelques minutes ? me demanda-t-elle
Le temps que le café passe. Je vais ranger ma chambre en attendant
Moi qui étais si heureux de me trouver en tête à tête avec cette femme si sensuelle, je ressentis une immense déception à lidée de me retrouver seul. La chambre de Carole se trouvait pratiquement en face de la cuisine, et immédiatement je remarquais que doù jétais javais une vue parfaite sur les activités de Nathalie. Pour linstant cette dernière avait entreprit de plier du linge sans faire attention à moi, sans même sinquiéter que son peignoir par moment souvrait dune manière des plus indiscrète, suivant les mouvements quelle faisait. Le cur battant à cent à lheure, je ne manquais pas un des gestes et déplacements de Carole. La vision même fugace de ses gros seins qui ne voulaient pas rester à lintérieur de son peignoir me rendait malade dexcitation.
A un moment donné, elle se présenta près de la porte, à environ deux mètres de moi, et afin de ramasser des chaussettes sur le plancher elle saccroupie face à moi, les cuisses largement écartées; Nathalie, la mère de mon meilleur ami moffrait sur un plateau la vue de son sexe. Dans mon caleçon, soudain trop étroit ma verge se redressa vigoureusement, sans que je ne puisse rien faire.
Son rangement terminé, Nathalie se dirigea vers moi en replaçant son peignoir sur son corps sensuel que je convoitais de plus en plus.
Voila, jai fini, me lança-t-elle
Tu ne tes pas trop ennuyé, tout seul ? me demanda-t-elle en affichant un large sourire.
Une fois le café servi dans les tasses, Nathalie sinstalla à mes cotés devant la table. Mais au moment de boire son café, la mère de Manu saperçut quelle avait oublié les cuillères et le sucre près de la cuisinière. Voulant les attr, sans se lever, elle étira son bras gauche en direction des couverts. Dans ce geste, ses jambes suivirent le mouvement de son tronc et sécartèrent largement lune de lautre. Je demeurais tétanisé par le spectacle qui soffrit alors à mon regard. Le peignoir sétant complètement ouvert au niveau du bas-ventre, jeus sous les yeux le sexe presque totalement épilée de la mère de mon ami.
Je sentis mes joues et tout mon visage devenir rouge. Je demeurais sans voix, la bouche soudainement ouverte. Devant la fixité de mon regard en direction de son entrecuisse, Nathalie me murmura dune voix chaude :
Elles te plaisent tant que ça mes cuisses ?
Je nosais lui avouer que ce qui me plaisait surtout, était placé au bas de son ventre et plus particulièrement entre ses cuisses. Je nosais même pas la regarder dans les yeux. Comme elle navait pas fait un geste pour refermer son peignoir et reprendre une tenue plus correcte, je ne pouvais détacher mon regard de son sexe.
Je ne pensais pas quà mon âge je pouvais intéresser un beau jeune comme toi,
Cest le moment que choisit Manu pour sortir de la salle de bain. Nathalie referma alors vivement son peignoir, me privant du spectacle affolant quelle venait de moffrir. Avant que son fils nous rejoigne dans la cuisine, elle me murmura tout bas :
Demain mon mari va à la pêche avec Manu. Ils vont partirent à cinq heures du matin, si tu nas rien à faire, tu peux venir me tenir compagnie
Tu peux même venir prendre ton café avec moi
Puis après on fera ce que tu veux !!
Je mempressais pour répondre que jétais daccord. Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul avec cette femme si désirable et qui mavait déjà tant offert.
Tu sais, je ne veux pas te gâcher ta journée, si tu as autre chose à faire ne sois pas gêné pour le dire, insista Nathalie dun ton qui sonnait faux.
Non, non, demain je nai rien à faire me hâtais-je de répondre. Je viendrais prendre le café avec vous.
Je vidais ma tasse au moment ou Manu sapprochait de la cuisine. Je me levais avec regret de ma chaise pour me diriger vers la sortie en bavardant avec mon ami. Nathalie nous suivit jusquà la porte. Pendant que Manu plaçait ses livres dans son sac à dos, me faisant face, je lançais un regard discret en direction de sa mère, qui nétant pas dans le champ de vision de son fils, dénoua la ceinture de son peignoir pour lécarter légèrement, moffrant fugitivement, une vue intégrale sur son corps magnifique. Je me sentis rougir encore une fois à un point que Manu sexclama :
Tu es tout rouge ! Quest-ce quil tarrive ?
Cest le café qui ma donné chaud je crois
Cette réponse fit rire Nathalie qui me fixait du regard avec insistance
Il était clair que cette femme me montrait volontairement son corps, cela devait lexciter au plus haut point et moi je lencourageais par mon côté voyeur.
Le lendemain matin vers huit heures je me présentais chez mon ami, que je savais être absent. Nathalie maccueillit toute souriante. Refermant la porte derrière moi, elle sapprocha pour me faire une bise sur la joue, je pensais déjà à la suite de la matinée. Surpris je constatais quelle portait ce matin une nuisette jaune et assez courte qui se gonflait généreusement au niveau de sa poitrine. Une fois arrivé à la cuisine elle me dit :
Je ne tattendais pas si tôt, le café nest pas prêt.
je mexcuse, bafouillais-je, déçu. Je ne veux pas vous déranger, je peux revenir plus tard.
Non, non, reste. Je dois tavouer que je suis bien heureuse que tu sois venu à cette heure-ci, cest moi qui nai pas pensé préparer le café, mais on a tout notre temps
Assied-toi je vais te laisser quelques minutes, je dois me changer
Ce nest pas correct de recevoir un jeune homme en nuisette
Alors ne bouge pas, je reviens dans un instant
Elle se dirigea en direction de sa chambre. Comme la veille je minstallais de façon afin de ne rien perdre des activités de mon hôtesse. Un côté de la chambre était caché par un mur et cest dans ce recoin que Nathalie se plaça pour se changer. Heureusement pour moi, face à ce recoin où sétait isolée la mère de mon ami, une armoire dotée dun immense miroir me renvoya les moindres gestes de cette dernière. Elle avait retiré sa chemise de nuit et se trouvait entièrement nue, me tournant le dos, je pouvais très facilement admirer ses énormes fesses. Elle avait le bas des reins très cambré, ce qui mettait en valeur la rondeur de ses fesses. Je trouvais cela très excitant. Ignorant complètement ma présence, Nathalie prit le temps de plier sa nuisette avant denfiler son éternel peignoir sur le dos. Pour cela elle pivota sur elle-même, faisant ainsi face au miroir. Je la découvris alors dans son intégrale nudité. Ses gros seins, avec leurs bouts rouges presque bruns. Son ventre plat sornait dun triangle de poils courts blonds, que javais pu découvrir la veille.
Il me sembla que mes yeux me sortaient de la tête, tandis que tout mon visage rougissait. Je sentais mon sang me monter à la tête et mincendier les joues, mes battements de cur se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Lorsquelle sortit de sa chambre en serrant la ceinture de son peignoir, Nathalie saperçut de mon émoi, mon visage devait être violet et comme je portais un bermuda, elle neut aucune peine à constater que jétais en proie à une érection phénoménale.
Me fixant avec un large sourire, elle me lança :
Bon, on va prendre un bon café. Jai limpression que tu en as rudement besoin.
Tu sais, je te trouve très gentil. Et, tu me plais beaucoup, ajouta-t-elle au bout dun moment de silence.
Moi aussi je vous trouve sympathique et aussi très jolie, parvins-je à articuler, la bouche sèche.
Cest vrai ? Tu me trouves jolie ? Minterrogea Nathalie.
Le café étant prêt, ma séduisante hôtesse, se pencha pour remplir ma tasse, me dispensant de répondre. Son peignoir nétait pas complètement fermé. Aussi je ne me privais pas pour contempler ses deux grosses mamelles. Carole continuait de me parler alors que javais les yeux collés sur ses seins que jaurais volontiers pris dans mes mains pour les tripoter et même les sucer. Se rendant compte de lintérêt que je portais à sa poitrine, la mère de Manu me sourit et me demanda :
Tu as une petite amie ?
Non
Je ne connais aucune fille
Je
Je suis trop timide pour
Peut être que tu devrais être initié par une vraie femme, qui pourrait te montrer comment faire, me proposa-t-elle.
Vous avez raison, mempressais-je de répondre, nosant quand même lui proposer dêtre cette femme.
Alors, elle déplaça sa chaise pour sasseoir face à moi. Ses cuisses étaient assez écartées, provoquant un écartement assez important du peignoir. Ses genoux se trouvaient à trente centimètres des miens et je remarquais que lorsque je baissais mon regard pour loucher sur ses cuisses dévoilées, Nathalie, dans un mouvement naturel croisait ou décroisait ses jambes dans un mouvement large, ce qui moffrait une vision intégrale sur son sexe. Je pensais que ce mouvement était en fait du au hasard, mais comme je dirigeais de nouveau mon regard dans la direction de ses cuisses, elle les décroisa pour les recroiser, ainsi quelle venait de le faire, moffrant avec une impudeur certaine une vue imprenable sur son sexe.
Je commençais à transpirer et à rougir. Extrêmement troublé javais du mal à parler et la gorge serrée. Ma bouche était étonnamment sèche. Je me sentais réellement mal à laise, et je remarquais bien vite que Nathalie se rendait compte de mon tourment et semblait prendre du plaisir à me voir dans cet état.
Tu veux un biscuit avec ton café, me demanda-t-elle mettant ainsi un terme à ma gêne.
Avant que jaie pu répondre, elle se leva pour aller chercher la boite de biscuits. Comme elle tentait de passer derrière moi, et que lespace entre moi et le bar était restreint, je tentais de me lever pour lui laisser le passage. Mais aussitôt Nathalie mappuya sur les épaules de ses deux mains mobligeant à me rasseoir :
Reste assis, me dit-elle
Je suis capable de passer, je ne suis pas grosse !
Comme elle sapprochait de moi, il me prit une idée perverse, je laissais mon bras dépasser sournoisement de la chaise sur laquelle jétais assis, raccourcissant le passage déjà bien étroit. Lorsque Nathalie, malgré sa fine ligne et létroitesse de laccès passa dans mon dos, je sentis ses cuisses se frotter sur mon coude. Elles me semblèrent extrêmement fermes. Jattendis son retour avec impatience, le cur battant. Lorsquelle revint, le paquet de biscuit à la main, mon coude saccrocha sur le bord de son peignoir, lécartant largement. Aussitôt je sentis la douceur de sa cuisse sur mon bras. Et comme je remontais celui-ci, mon coude se trouva au beau milieu de ses deux cuisses chaudes. Etonné, je sentis un liquide chaud mouiller mon bras.
Le visage empourpré, Nathalie moffrit ses biscuits. Mais avant que jaie eu le temps de porter la friandise à ma bouche, mon hôtesse, sapprocha rapidement de moi et me saisissant la tête, elle posa ses lèvres sur les miennes. Javais le cur dans la gorge, sa langue douce et chaude sinfiltra habilement entre mes lèvres pour finalement senfoncer dans ma bouche. Cette langue qui me parut étonnamment fine et gluante envahit ma gorge. Dabord surpris par ce baiser, inconnu pour moi, je me laissais faire, passif. Puis comprenant que je devais moi aussi me montrer actif je lançais ma langue à la rencontre de celle de la femme, la caressant maladroitement.
Tu nas jamais embrassé de filles ? me demanda Nathalie en se reculant.
Non
Avouais-je timidement.
Je suis la première ? continua-elle en me fixant dun air extasié.
Oui
Comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, Nathalie se jeta sur moi pour de nouveau me fouiller la bouche de sa langue agile. Je tentais cette fois de mappliquer en imitant les mouvements de lorgane féminin qui frétillait dans ma bouche. Peu à peu, sous ces assauts, ma timidité disparut. Josais alors avancer une main dans louverture du peignoir pour me saisir dun sein, que jentrepris de malaxer sur toute sa surface. Prenant un extrême plaisir, je fis rouler le téton entre mes doigts. Il était dur et certainement sensible, car Nathalie se mit aussitôt à pousser des petits gémissements.
Jamais je navais bandé aussi fort. Javais limpression que ma verge allait jaillir de mon Bermuda. Haletante Nathalie se redressa me tirant à elle pour me faire lever de ma chaise. Une fois debout lun contre lautre, ma sensuelle hôtesse repoussa les pans de son peignoir et semparant de mes deux mains, elle les posa sur sa poitrine généreuse à la peau si soyeuse.
Caresse mes seins, gémit-elle.
Je mexécutais sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeurais ébahi en découvrant combien les tétons étaient durs et énormes. Nous haletions tous les deux. Lexcitation était à son comble.
Oh oui, gémit Nathalie en pressant fiévreusement mes mains contre ses seins gonflés, mencourageant à continuer mon malaxage.
Soudain, alors que je venais accidentellement de pincer fortement lun des boutons de chair durci, Nathalie se jeta sur ma bouche pour membrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement lintérieur du palais de sa langue diabolique, elle posa sa main sur la bosse que faisait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur elle me caressa par-dessus le tissu de mon bermuda.
Nous restâmes un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Nathalie me regarda dans les yeux :
Tu veux, que je tapprenne ce quun homme doit savoir faire à une femme ?
Comme si je pouvais refuser. Je navais pas lâché ses seins que je continuais à presser des mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements Nathalie me repoussa, me forçant à masseoir sur ma chaise.
Regarde, me dit-elle. Je vais te montrer à quoi ressemble une femme.
Elle fit deux pas en arrière et dénoua la ceinture de son peignoir, quelle retira lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perdis pas connaissance, mais je nen étais pas loin, à la vue de ce corps nu si proche de moi. Me faisant face, la mère de mon ami se caressa les seins dune manière si sensuelle, que jen eus très vite la gorge sèche. Presque machinalement je posais une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants étrangement, Nathalie approcha sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée moffrit une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarta les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante.
Subitement, comme pris dune ferveur païenne, je tombais à genoux aux pieds de la femme dénudée. Se trompant sur mon geste, Nathalie me demanda dune voix soudain changée.
Tu veux embrasser ma chatte ?
Je savais par ouïe dire que ce genre de baiser se pratiquait, mais jamais je ne lavais pratiqué moi-même. Je ne savais pas vraiment comment je devais my prendre. Heureusement pour moi, Nathalie, follement excitée mattrapa les mains et mentraîne dans le salon. Elle sinstalla sur le fauteuil en cuir noir les cuisses grand ouvertes. Je magenouillais entre ses jambes pour être bien en face de son sexe. Nathalie magrippa la tête et poussa mon visage contre sa vulve.
Embrasse là, me commanda-t-elle dune voix hachée.
Je maintenais alors de mes mains ses cuisses ouvertes et ma bouche se colla contre les lèvres humides de son sexe. Une odeur épicée me monta aux narines. Cétait la première fois que je voyais une chatte de si près. Même si jen avais follement rêvé, je me trouvais totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment my prendre. Heureusement pour moi, Nathalie me guida, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle mencouragea dune voix rauque :
Embrasse ma chatte, mon chéri
Tu sens comme je mouille
Pour le sentir, je le sentais, mes lèvres baignaient dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lançais à leau. Timidement, je commençais à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.
Oui, cest bien, mencouragea Nathalie
Lèche-là
Enfonce ta langue à lintérieur
Obéissant, je mexécutais, tachant de faire de mon mieux. Je promenais ma langue à lintérieur de cette faille humide, lenfonçant légèrement à lintérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Nathalie se mit à pousser des petits gémissements, Puis je sentis ses deux mains se saisir de ma tête pour limmobiliser. Agitant son bas-ventre davant en arrière, elle entreprit de frotter avec fougue, son clitoris contre ma bouche et mon menton. Je ne tardais pas à mapercevoir que son sexe était de plus en plus dégoulinant de sécrétion, javais un goût de liquide gluant et assez salé dans la bouche, ce qui me surprenait beaucoup, sans vraiment me déplaire.
Cependant au bout dun instant, Nathalie cessa tout mouvement, simmobilisant brusquement, tandis quune douce plainte jaillissait de sa gorge, brisant le silence de du salon. Puis au bout de quelques minutes, elle me libéra.
Cétait rudement bon, tu sais, me dit-elle dans un sourire
Assied-toi !
La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui sétait échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je minstallais sur le canapé, curieux de connaître la suite des événements.
Sans un mot, Nathalie pivota sur elle-même pour me montrer sa croupe, que je trouvais magnifique. Devant la fixité de mon regard, Nathalie me lança :
Elles te plaisent mes fesses ?
Regarde !
Perverse, elle se baissa en avant en écartant largement ses jambes, ce qui me permit dadmirer ses fesses, son anus rose et les grandes lèvres de sa longue vulve. Penchée en avant, la tête effleurant presque le carrelage, me fixant entre ses jambes largement écartées et légèrement pliées, Nathalie lança ses deux mains entre ses cuisses afin décarter les bords de sa chatte. Jeus sous les yeux le spectacle hallucinant des plis et replis rouges vifs et luisants de lintérieur de sa vulve. Je mourais denvie dy enfoncer mes doigts, de sentir ces chairs palpitantes enserrer mes phalanges voir ma queue. Combien de doigts pourrais-je y enfoncer ? Ainsi maintenu écarté le sexe féminin me paraissait immense.
Tu nas pas envie de me faire lamour ? me demanda soudain Nathalie
Tu ne veux pas enfoncer ta queue dans ma chatte ?
Regarde tu serais bien à lintérieur de mon ventre!
Nattendant même pas ma réponse, qui de toute façon naurait pas été négative, Nathalie se redressa et me saisissant la main elle me tira jusquà sa chambre. Là, debout lun en face lun de lautre, nous nous embrassâmes de nouveau, passionnément. Ayant perdu toute timidité, jen profitais pour laisser courir mes doigts sur ce corps si sensuel, caressant ses hanches, ses fesses et sa poitrine. Est-ce le fait de mes caresses, pourtant bien maladroites, Nathalie, accrochée à mon cou, commença à sagiter contre mon corps, frottant son bas-ventre nu contre limposante bosse que faisait ma verge tendue.
Déshabille-toi, grogna-t-elle soudain en se reculant, échappant ainsi à mes attouchements de plus en plus précis en direction de son sexe.
Avec des gestes désordonnés, elle voulut maider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes je me retrouvais aussi nu que mon initiatrice. Au bas de mon ventre, ma bite se dressait fièrement, tandis quune douleur me tordait les entrailles.
Sans un mot, Nathalie grimpa sur le lit conjugal où elle sallongea sur le dos. Là me fixant avec une intensité que je ne lui connaissais pas elle écarta largement ses cuisses.
Viens ! Mappela-t-elle
Viens entre mes cuisses mon chéri
Je veux que tu prennes le temps de découvrir ma chatte, je veux que tu saches dans quoi tu vas enfoncer ta queue, tu vas voir, cest très doux et très chaud
Tout en me parlant, elle écarta de ses deux mains sa fente cramoisie et ses lèvres intimes qui me cachaient lentrée de son sanctuaire. Du fait de ma position agenouillé entre ses cuisses, que je profitais pour caresser au passage, je pouvais contempler sa vulve. Je remarquais à la brillance des parois internes quelle était excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles je remarquais une énorme excroissance rose, que je devinais être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans lavoir vraiment vu.
Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que moffrait généreusement la mère de mon ami, je mapprochais de cette dernière avec ma bite douloureusement tendue. Ecartant encore plus largement lentré de son vagin, Nathalie minvita à la pénétrer dune voix oppressée.
Oui, mets-la-moi
Enfonce ta queue dans ma chatte, regarde je louvre bien pour que tu puisses entrer dans mon ventre
Viens mon chéri
Prends-moi
Je nen croyais pas mes yeux de voir ce sexe féminin offert à mes désirs, à ma disposition. Pensant sans doute que je narriverais pas à la pénétrer, Nathalie se saisit de ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à lentrée de sa fente humide. Alors je me laissais aller et mallongeait sur elle, mappuyant sur mes coudes.
Avec une énorme émotion je sentis ma verge senfoncer progressivement dans le conduit vaginal dune extrême onctuosité. Jétais terriblement excité par cette situation. Cétait la première fois que jenfonçais mon membre viril dans le sexe dune femme. Jen avais tellement rêvé. Durant quelques secondes, jeus un peu honte de voir la mère de mon meilleur ami complètement nue sur son lit et moi aussi nu quelle, en train de la baiser. Cependant ce sentiment senvola très vite, remplacé par un indicible contentement. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sentis mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne, qui sans que je comprenne pourquoi se mit à gémir sans retenue. Prise dune espèce de frénésie, elle avançait son bassin et relevait ses jambes en les écartant le plus possible, pour soffrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde.
Jentamais alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaisait énormément.
Plus vite ! Gémit soudain Nathalie
Va plus vite mon chéri
Baise-moi bien à fond.
Puisquelle me le demandait, jaccélérais alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui menfonçaient violemment dans la chatte de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux. Plus mes coups de reins se faisaient violents, plus ma compagne se cambrait en poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle saccroche à mon cou pour membrasser avec fougue. Nos langues se caressèrent dans un bain de salive, alors que ses gros seins se trouvèrent écrasés par ma poitrine.
Jétais au paradis. Depuis le temps que je rêvais de faire lamour à la mère de mon ami, qui ne loupait aucune occasion pour maguicher avec louverture de son peignoir, jétais enfin arrivé à mes fins, elle était pour moi tout seul, toute nue dans mes bras, ma langue dans sa bouche, ma bite entre ses cuisses, bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortaient du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tendait, sarquait, soffrait à mon membre viril. Ses mains me griffaient le dos. Je narrivais pas à réaliser ce quil marrivait. Je sentais et voyais ma queue entrer et sortir de ce sexe ruisselant de mouille. Nathalie avait fermé les yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonnait entre ses dents quelle aimait ça, que je la rendais enfin heureuse.
Oh oui ! Vas-y mon chéri, enfonce la bien ta queue dans mon ventre
Vas-y baises-moi profondément
Défonce-moi la chatte, elle est à toi
Elle soufflait comme un buf, son souffle était puissant et bruyant, elle jouissait comme une folle. Au début, devant les marque évidentes de jouissance, je pensais que Nathalie me jouait la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver ; mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je compris que mon initiatrice ne jouait en aucun cas la comédie. Sa jouissance était bien réelle, et elle moffrait son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baisais de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin. Sa chatte dégoulinait dun jus chaud et poisseux qui me trempait les cuisses, avant dinonder les draps du lit.
Subitement je sentis le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui allait lui arriver, je déchargeais mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillirent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre lincendie qui ravageait la vulve dans laquelle je naviguais. Cet orgasme aussi violent que soudain me procura des douleurs dans le dos et larrière des jambes, jétais secoué de la tête aux pieds. Alors que mon éjaculation arrivait à sa fin, Carole se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se mit à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Je découvrais là, ce quétait un véritable orgasme féminin. Ça dépassait tout ce que javais pu imaginer. Le fait de penser que jétais responsable de cette jouissance phénoménale, me comblait de joie et de fierté.
Nous sommes restés allongé lun sur lautre, lun dans lautre, sans rien dire pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. Javais laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques minutes, Nathalie ayant refait surface, me passa tendrement la main dans les cheveux.
Tu as aimé ? Me demanda-t-elle doucement. Tu as bien joui ?
Oh oui, répliquais-je comblé. Si je nai pas perdu connaissance, cest un miracle.
Nathalie se mit à rire :
Tu es sûr que cest ta première expérience ?
Oui, cest la première fois.
Eh bien, il me semble que tu es plutôt doué, me complimenta-t-elle.
Mattirant à elle, Nathalie membrassa à pleine bouche. Nous avons passé dix minutes à nous embrasser et nous caresser mutuellement. Au bout dun moment, mayant repoussé hors de son sexe, elle se redressa pour se pencher sur ma virilité encore à demi bandée. Lorsque je sentis la pointe de sa langue effleurer mon gland tout poisseux de nos sécrétions amoureuses, je ne pus refouler un geste de recul, songeant quelle ne pouvait lécher les résidus de nos jouissances respectives, ce nétait pas propre. Comprenant mon émoi, Nathalie tint à me rassurer :
Tu sais, en amour, rien nest sale
Ton sperme ou mon jus, comme certain lappelle, sont des liquides savoureux
Regarde je vais sucer ta queue et crois moi, je vais me régaler.
Je demeurais plutôt surpris de ce que je venais dentendre. Evidemment, au lycée, certains de mes camarades avançaient, dun air prétentieux, que des femmes leur avaient fait des pipes et quelles avaient avalé leur sperme. Mais peu dentre nous les avaient crus.
Cependant, au bas de mon ventre, la mère de Manu, joignant le geste à la parole, se mit à me sucer la bite avec ardeur. Si bien quen un rien de temps, je me remis à bander avec autant de force quavant mon éjaculation. Je nen revenais pas. Dhabitude, lorsque je me branlais, le soir dans ma chambre, il suffisait que je me fasse jouir et jétais tranquille pour 24 heures. Or sous la fellation savante et terriblement voluptueuse que me procurait Nathalie, voila que je mon sexe se durcissait de nouveau, dix minutes après quil eut déchargé sa réserve de sperme.
Profitant que ma sensuelle initiatrice était penchée sur mon bas-ventre, occupée à me sucer dune bouche experte, je neus quà tendre le bras pour pouvoir lui caresser les fesses. Je les pétris avec ferveur, les malaxant, les écartant largement lune de lautre pour contempler le minuscule orifice brun qui sy cachait. Mais découvrant aussi la longue fente broussailleuse, dans laquelle je venais de mépancher, lenvie me prit dy coller mes lèvres pour en goûter le bouquet. Soudain Nathalie abandonna ma verge frémissante pour me demander :
Tu aimes que je te suce la bite ?
Jadore, lui répondis-je.
Que pouvais-je répondre dautre.
Un moment passa, avant quelle reprenne la parole :
Tu aimerais enfoncer ta queue entre mes fesses ?
Je restais sans voix. Cétait trop beau. La mère de mon meilleur ami venait de moffrir ce que tout adolescent espère, mais que très peu obtienne : faire lamour avec une vraie femme, pouvoir enfoncer son membre viril dans un sexe féminine. Et voila que cette même femme me demandait si je désirais lenculer, comme on disait entre nous au lycée.
Devant mon silence, Nathalie continua :
Tu sais, jamais un homme ne ma pénétré par là. Mais pour te remercier du plaisir que tu mas donné, je veux bien essayer avec toi
Ça te ferait plaisir ?
Oh oui, réussis-je à bégayer.
Attends-moi !
Étonné, je la vis se diriger vers la salle de bain. Elle en revint, tenant un tube à la main. Sinstallant de nouveau à mes cotés elle me précisa :
Ça aidera
Pour moi aussi ce sera la première fois, il vaut mieux prendre quelques précautions.
Elle ouvrit le tube pour senduire la main dune crème translucide avec laquelle, elle me massa la verge.
Avec cette crème, ça glissera plus facilement, tint-elle à me prévenir.
Sous le prétexte de menduire le membre de cet onguent, Nathalie me branla dune façon plus quagréable, faisant grimper le désir dans mon bas-ventre. Enfin jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tendit le tube et elle se coucha sur le ventre écarta ses fesses rondes et rebondis de ses deux mains.
À toi, me demanda-t-elle
Passe-moi de la crème dans mon petit trou.
Je nen revenais toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, Nathalie, la mère de mon meilleur ami, celle qui quelques jours plus tôt maccueillait comme son fils, moffrait avec une réelle impudeur son petit trou du cul. La gorge sèche, japprochais lembout de lorifice anal, et je pressais le tube. La crème incolore en jaillit, pénétra lanus relâché, avant de déborder de chaque côté du minuscule cratère.
Fais-la bien pénétrer à lintérieur avec ton doigt, me conseilla Nathalie, moffrant son cul dans une position des plus obscène.
Reposant le tube sur la table de nuit, jétalais la crème à laide de mon index de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glissa jusquau centre du mini cratère de chair, sy enfonça lentement. Lorsque ma première phalange se fut enfoncée dans le conduit anal, il me sembla que celui-ci souvrait, sécartait de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continuais donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouva fiché dans son cul, sans que cela ne mait posé de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur était loin datteindre le volume de mon sexe bandé.
Oui, frotte bien, mencouragea Nathalie en cambrant ses reins au maximum.
Puisquelle me le demandait avec une réelle insistance, jactivais mon doigt dans lorifice anal, éprouvant un certain plaisir à explorer ce cul étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve que javais fouillé de ma bite quelques instants auparavant. Comblé, je fis coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.
Oh oui, cest bon gémit Nathalie au bout dun instant
Continu mon chéri
Branle-moi bien le cul
Étonné quelle puisse ressentir un tel plaisir par ce trou, jaccélérais mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à lesprit. Accolant mon index à mon majeur, jenfonçais mes deux doigts dans son cul copieusement lubrifié par la crème que jy avais versé et les activais fébrilement.
Oh oui, cest encore meilleure, grogna aussitôt Nathalie en lançant furieusement son derrière au-devant de mes doigts
Viens maintenant me dit-t-elle ! Je veux sentir ta queue dans mon cul !
Mets-la-moi !
Dun coup de reins, elle se positionna à quatre pattes devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite quelle dirigea entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland sappuya sur son illet rose, qui me semble extrêmement petit.
Là, tu y es, me prévint Nathalie dune voix sourde
Va doucement, tu es si gros
Avec émotion, je sentis comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, je poussais pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à lintroduction vaginale, qui sétait déroulée dans un glissement, lorifice anal résista à ma poussée, faisant plier ma verge pourtant rigide. Nathalie poussa un petit gémissement, je la voyais agrippée des deux mais le polochon.
Oh comme tu es gros, gémit-elle
Vas-y pousse !
Doutant du résultat, jexerçais une nouvelle pression, en tirant à moi Nathalie que je tenais fermement par les hanches. Celle-ci poussa un nouveau gémissement, suivit aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui marrivait, je me retrouvais fiché jusquaux couilles dans son cul qui venait de sécartelé brusquement.
Oui, oui, ça y est grogna Nathalie
Ne bouge plus
Oooh cest terrible, tu mas défoncé le cul
Ne bouge pas, je ten prie
Pas tout de suite.
Son anus était tellement serré que javais limpression que mon gland était divisé en deux par un élastique trop petit, je sentais le bout de ma bite gonflé à lintérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémissait et poussait des petits cris de douleurs. Je demeurais immobile, ivre de joie. Jenculais une femme. Quand je raconterais ça aux copains, jallais tous les estomaquer.
Vas-y, me demanda enfin Nathalie
Mais va doucement, jai limpression que tu mas déchiré le cul.
Je commençais alors à magiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Nathalie avait passé sa main entre ses cuisses et se caressait le clitoris en poussant des petits gémissements
Oh oui ! Vas-y mon chéri, encules-moi bien à fond, défonce moi
La maintenant par les hanches, javais une vue incroyable sur son merveilleux fessier que jadmirais depuis des mois. Je voyais ma bite entrer et sortir de lanus dilaté par mon membre. Jétais excité comme jamais je ne laurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne mencourageaient à continuer. Jaccélérais peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Nathalie poussait de tels cris, que je me demandais si elle éprouvait du plaisir ou de la douleur.
Mais dun seul coup je senti mon sperme monter de mes couilles gonflées à ma verge frémissante. Sans que je puisse me retenir je lâchais mon sperme par saccades dans les intestins de la mère de Manu, mon ami. Jeus limpression de me vider entièrement, tant léjaculation dura. Nathalie se raidit subitement et grogna comme un animal, son corps tremblait comme une feuille. Etant penché sur elle, je lui caressais lintérieur des cuisses que je trouvais abondamment mouillées, tant ma complice avait joui.
Epuisé par cet acte intime, je retirais ma verge de lanus inondé. Elle était extrêmement sensible. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de lendroit où je lavais plongé. Se redressant, Nathalie me serra dans ses bras, ses tendres baisers me remercièrent de tout ce plaisir quelle venait de vivre et partager avec moi.
Tu sais, cest la première fois que je me fais sodomiser et cest toi que jai choisi pour me faire vivre ce moment spécial. Jai eu un peu mal au début, mais par la suite jai jouis comme une folle, tu mas procuré énormément de plaisir. Je naurais jamais songé que lon puisse éprouver autant de plaisir de ce côté là
Cest toi qui me las fait découvrir
Devant ses aveux, je me sentais gêné mais très fier davoir pour la première fois de ma vie, donné autant de plaisir à une femme mûre et expérimentée. Puis la journée passa, en grignotant des biscuits, nous avons continué à faire lamour en sembrassant.
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