Le Médecin De Famille Et L'Adolescente
Un examen médical abusif
Je me suis souvenu quun jour Chantal mavait raconté quadolescente, comme elle avait des idées de suicide, ses parents lavaient envoyée chez le médecin de famille. Un détail mavait frappé. Il lavait fait mettre nue sur la table dexamen et laissée ainsi pour continuer à faire ses consultations. Il venait régulièrement la voir et lui demander simplement si cela allait bien ! Puis il repartait. Le petit jeu a duré plus dune heure et chaque fois il revenait pour mater ladolescente à poil sur sa table dexamen. Plus tard il aurait commencé à la toucher jusquà ce quelle rebiffe, se rhabille et se sauve. Elle nen avait jamais parlé à ses parents qui avaient confiance en ce médecin de famille.
Quel scénario pour fantasmer ! Et Chantal qui me parle de cela après plus de 20 ans de vie commune
Aussi un jour que nous étions en vacances, je lui ai demandé de me raconter cette histoire avec plus de détails. Au début rétissante, au fur et à mesure de sa narration, elle se livrait un peu plus pour me raconter une histoire des plus excitantes.
« Javais flirté avec un copain du lycée et ça navait pas marché. Il ma larguée sans ménagements et cela mavait foutu le moral au plus bas. Ma mère qui voulait toujours tout savoir et surtout sur ma sexualité naissante, mavait obligée à aller voir notre médecin. Je ne laimais pas. Quand il venait à la maison, il me regardait toujours avec des yeux de pervers. »
A entendre ces mots je suis déjà pris dune grosse érection quelle ne manque pas de voir.
- « Je vois que tes fantasmes te poursuivent, dit-elle en me souriant. Je vais tout te raconter.
Jai mis longtemps à me décider à prendre rendez-vous. Je me suis résignée devant linsistance de maman. Le rendez-vous est convenu pour un soir 17 heures. Cet horaire me rassure car je pense quil y aura dautres malades. Avant de partir ma mère me prend à lécart : « Je te demande de tout dire au médecin, il est un homme de confiance et il est là pour taider.
Javoue que sur le moment je nai pas réagi. Mais en marchant pour aller à son cabinet, les paroles de maman me sont revenues en tête. Et là je me suis demandé ce quelle avait bien pu dire au médecin, car jétais alors convaincue quelle lui avait parlé. Si elle voulait savoir jusquoù était allé mon flirt, il et elle pouvaient saccrocher. Je ne dirais rien.
Le salon dattente comme je men doutais était plein de malades qui attendaient. Il na pas de secrétaire et on passe chacun à son tour. Je massois et je prends une revue. La porte de son cabinet souvre et une grosse dame noire quitte la pièce. Le toubib attend sur le pas de la porte que le malade suivant le rejoigne. Il jette un regard circulaire dans la salle, me repère et me fait un sourire. La porte se referme. Quelques instants après une autre porte souvre et il sadresse tout de suite à moi :
- « Chantal, tu veux venir, il faut que je te fasse dabord des examens. »
Je reste interdite, ne comprenant pas de quels examens il sagit. Jhésite et autoritaire, il insiste :
- « Alors, tu te dépêches, tu vois bien quil y a du monde ! »
A cet instant, je suis glacée de peur. Car cet homme que je naime pas me fait peur. Je sens mes jambes qui tremblent quand je me lève pour le rejoindre. Il sécarte à peine quand je passe devant lui et je ne pense pas sur le moment quil la fait exprès pour quon se touche.
A cet âge, on est plutôt timide et peu encore bien au courant des perversions des vieux messieurs. Moi à cette époque, jétais toute fragile et innocente. Ce petit flirt passé nétait guère allé très loin. Encore assez pour minquiéter quand je te dirais la suite.
Je nen croyais pas mes oreilles. Cela devenait une véritable confession et vite Chantal était ravie de me raconter cette histoire et leffet que cela me faisait.
Je métais habillée très sage : jean et pull col roulé avec des dessous en coton blancs.
- « Assied-toi sur cette chaise et attends moi, dit-t-il dun ton sans chaleur ».
Et il quitta la pièce en me laissant là. Sa pièce de clinique était blanche avec en son milieu, une table dexamen pliante sur roulette. Un petit escabeau de deux marches permet de monter et de sallonger. A lendroit des pieds, il y a des bras avec des sangles repose-pieds quon imagine facilement destinés pour les examens gynécologiques jambes écartées. Du côté tête, il y a des poignées pour saccrocher, sûrement au moment des accouchements quand les femmes sont amenées à pousser pour faire sortir le bébé. Une chaise assez haute attend quon se pose dessus.
Il est revenu un quart dheure après. Sans un mot pour moi, il a pris dans un placard un rouleau de tissu papier, la étalé sur la table dexamen et me dit, dun ton sec :
- « Déshabille-toi, je reviens dans quelques minutes ». Et, il sort sans même me regarder. Je me rappelle encore aujourdhui que jétais morte de peur. Seule, dans cette pièce froide, je tremble de froid et de peur. Il est revenu plus vite que prévu et je navais encore commencé à me déshabiller.
- « Chantal, je nai pas que cela à faire. Dépêche-toi. Déshabille-toi et allonge-toi sur la table dexamen. »
Sans plus attendre, je quitte mes chaussures, mon jean et mon pull. En slip, soutien gorge et petites chaussettes, je grimpe sur la table et reste en position assise, comme pour voir venir. Mallonger me semblait devenir plus fragile, sans défense, à la merci. Je pensais encore quil allait simplement mexaminer et minterroger.
Il est revenu un quart dheure après :
- « Tu te fous de moi ? Enlève-moi tout cela et met toi complètement nue si tu veux que je texamine normalement. Et allonge-toi sur le dos. Je reviens ».
La porte par laquelle il disparaît est dans lallongement de la table, côté pieds. Sans états dâmes, je quitte mes derniers vêtements et nue, jescalade la table et my allonge.
- « Tu nas pas froid ? Je vais allumer le radiateur électrique. Il passe près de moi et je sens son regard qui parcoure mon corps nu. Jai des frissons qui me submergent. Il sarrête sur le côté et je le vois qui regarde mon ventre, descend le long de mes cuisses, jusquaux pieds. Lentement, sans un mot il remonte jusquà ma poitrine que je lui dissimule avec mes mains. Il sattarde sur mon cou, mes cheveux avant daller jusquau radiateur derrière moi. Puis il me dit :
- « Reste comme cela, détends-toi, je vais revenir ».
A ce moment, je suis tellement excité par cette histoire que jai envie de me branler devant elle. Chantal qui a deviné ma pensée sest approchée de moi et lentement elle me caresse le sexe dessus mon pantalon.
- « Attends, prends ton temps, le mieux est à venir ».
Il est revenu plus vite cette fois. Et encore, il sest contenté de mater mon corps. Ses yeux me détaillaient et cela finit par me troubler. Surtout quil ne disait pas un mot ce qui ne laissait plus aucun doute sur ses idées. Je nétais plus dupe et pourtant je me laissais mater par ce vieux cochon.
Il partit au bout de 10 minutes qui mont semblées interminables. Avant douvrir la porte il ma lancé :
- « Quand je reviendrai, allonge tes bras le long du corps et laisse toi aller en fermant les yeux. Tu nas rien à craindre ».
Je navais pas trop à craindre il est vrai car jentendais toujours les malades qui attendaient. Aussi comme une automate, jai mis mes bras le long du corps, découvrant ma jeune poitrine. Fermes, même dans cette position allongée, mes seins pointaient et cela me rendait fière.
La porte souvrit doucement, je gardais les yeux fermés. Je devinais facilement quil venait dentrer. Je sentis sa présence tout près de moi. Jai entendu le froissement de sa veste qui faisait le tour de la table. Jétais troublée. De plus en plus excitée même. Je sentis soudain que je mouillais et la panique me prit en comprenant quil pourrait sen apercevoir. Je décidais de ne pas bouger. Il fit deux fois le tour de la table pour sarrêter au niveau des jambes. Je savais quil regardait entre mes jambes, quil devait voir mon sexe briller sous les reflets de mes sécrétions. Je devenais comme folle mais jarrivais quand même à me contenir. Il sortit sans rien dire. Je restais immobile car il pouvait revenir dun instant à lautre.
Jai du rester seule encore quelques minutes. Je nai pas entendu la porte souvrir et je décidais de jouer toujours lendormie. Je prenais plaisir à mexhiber et même je me surpris à ouvrir un peu plus mes jambes pour quil puisse voir mon sexe humide. Jentrouvris très légèrement les yeux et dans une image floue, je le vis figé à mes pieds fixant mon entrejambes. Lentement il sapproche sur le côté. Il me regarde. Rassuré que je dors, il fixe mes seins. Lexcitation me gagne, je sens des picotements aux bouts des seins et je réalise que mes tétons bandent. Jouvre alors les yeux. Il se recule et me dit :
- « Tu es très jolie Chantal. Ta mère ma dit que tu navais pas le moral. Tu as des chagrins ? Un amour déçu ? Tu peux me faire confiance et tout me dire. Rassure-toi, je ne répèterai rien à tes parents ».
Je métais juré de ne rien lui dire, mais maintenant, je me sentais comme hypnotisée par lui, par sa tranquille assurance. Son ton était chaud, amical, plus rien à voir avec tout à lheure. Alors, je me livre, toute rougissante :
- « Un petit chagrin damour qui sest mal terminé. Cest tout ».
- « Cela fait toujours mal. Tu as eu des rapports sexuels ? »
- « Non », je mempresse de répondre trop vite, car je vois quil ne me croit pas ».
- « Je vais quand même texaminer ».
Je sursaute quand il me pose sa main sur le ventre et me palpe en profondeur. Je panique car cette main déclenche une onde de chaleur dans tout mon corps. Puis elle remonte doucement vers ma poitrine.
- « Détends-toi, laisse-toi aller, tu vas voir, ce nest pas terrible ».
Il enfonce doucement ses doigts sous mes cotes sous le sternum. Je me crispe.
- « Tu es toute dure, relâche tes muscles. Jai besoin de tâter en profondeur. Puis sa main, à plat me presse à nouveau le ventre. Elle est chaude et jaime cette sensation. Aujourdhui encore, jai des frissons en pensant à cet instant. Il continue sa descente vers mon pubis, à travers les poils il caresse, juste au dessus de mes grosses lèvres. Je panique, car je me sens mouiller de plus en plus. Mais il laisse cette partie de mon corps et remonte en caressant le ventre.
Quand il se saisit du sein près de lui, je me sens mévanouir. Je ne contrôle plus ma respiration qui saccélère. Je me surprends à fermer les yeux pour mieux goûter cette caresse. Il se saisit de lautre sein quil caresse à son tour. Puis je sens quil sempare des deux mains de ma poitrine et quil la malaxe avec ardeur. Cest sûr maintenant, il a deviné que jaimais ses caresses. Je lentend qui respire de plus en plus vite et de plus en plus fort. Il sest approché et je le sens qui se frotte contre la table.
Alors quil laisse une main soccuper de mes seins, je sens lautre qui redescend vers mon ventre. Quand elle atteint les poils de mon pubis, je ramène dun réflexe les genoux sur mon ventre, et serre les cuisses comme pour me protéger. Mais cela ne larrête pas. Je sens la pression qui moblige à mouvrir. Et sans vraiment men rendre compte, mes jambes sécartent, invitant à la caresse. Elle frôle doucement les poils, puis lentement un doigt, délicatement sinsinue entre mes grandes lèvres toutes humides quil écarte. Le doigt remonte à la recherche de mon petit bouton quil se met à branler avec une pression délicate. Cest à ce moment que je mentends gémir, au bord déjà de la jouissance. Jamais je navais ressenti ce genre de sensation et ce débordement de plaisir soudain me fait peur. Je suis vierge encore et mon petit copain ne ma jamais touchée aussi précisément. Alors je me redresse soudain et lui demande darrêter. Je le vois qui panique à son tour.
- « Excuse-moi Chantal, je ne sais pas ce qui ma pris. Mais te voir là nue ma fait perdre les pédales. Et comme tu as eu lair dêtre daccord et dapprécier ».
- « Daccord, mais on en parle pas à ma mère ». Comme il acquiesce, je me rhabille très vite et je pars en courant. Arrivée à la maison, je suis montée dans ma chambre et jai essayé de me redonner ce plaisir. Je me suis caressée et très vite je me suis faite jouir.
En terminant son histoire, elle a sorti mon sexe et ma fait jouir dans sa bouche.
En lisant ces mots, je me suis laissé aller à imaginer un autre déroulement à cette aventure, comme si Chantal ne mavait pas tout dit. Voilà comment cela aurait pu être.
Il est revenu un quart dheure après :
- « Tu te fous de moi ? Allonge-toi sur le dos. Je reviens ».
La porte par laquelle il disparaît est dans lallongement de la table, côté pieds. Sans états dâmes, jescalade la table et my allonge. Je serre les jambes car jai bien vu que quand il va revenir, il aura de suite une vue imprenable sur mon sexe sous ma culotte. Cela me gêne. Cette fois, jattends presque 25 minutes. Jai froid et ma peau se couvre de chair de poule. Je sens mes tétons se dressent et pointent dans mon soutien gorge. Je croise les bras pour me protéger. Quand il entre, il sarrête quelques secondes sur le pas de la porte.
- « Tu nas pas froid ? Je vais allumer le radiateur électrique. Il passe près de moi et je sens son regard qui parcoure mon corps simplement habillé de mon slip et de mon soutien gorge. Jai des frissons qui me submergent. Il sarrête sur le côté et je le vois qui regarde mon ventre, descend le long de mes cuisses, jusquaux pieds. Lentement, sans un mot il remonte jusquà ma poitrine que je lui dissimule avec mes mains. Il sattarde sur mon cou, mes cheveux avant daller jusquau radiateur derrière moi. Puis il me dit :
- « Reste comme cela, détends-toi, je vais revenir ».
Il revient dix minutes plus tard. Il va vers une armoire quil ouvre. Il est de dos et je ne vois pas ce quil fait. Quand il revient vers moi, il a un verre à la main.
- « Tiens, bois cela. Cest pour texaminer ». Sans hésiter, javale dun coup le liquide.
- « Allonge-toi maintenant et détends-toi le temps que le cachet fasse son effet. Je reviens ».
Il a à peine quitté la salle que je sens mon corps sengourdir. Très vite je nai plus la force de bouger un bras. Quand il entre dans la salle, je le vois au bout de mes pieds qui me regarde. Puis il vient près de moi et doucement il dit :
- « Ca va Chantal, tu mentends ? Cest pour taider à tout me dire que je tai fait boire ce liquide. Ne tinquiète pas. Dis-moi si tu me comprends ».
- «
».
Jessaye de parler mais aucun son sort de ma bouche ». Je le regarde avec un regard dinterrogation. Ma vue est trouble. Je vois un sourire safficher sur sa face, un sourire de satisfaction. Je le sens quil se saisit dune bretelle de mon soutien gorge et la fait glisser sur mon bras. Le tissu couvre encore mon sein. Je le vois qui se recule et contemple le tableau. Je voudrais me cacher mais mes muscles ne répondent pas. Je ferme mes yeux mais par une petite fente je le regarde, sans plus aucune volonté. A ce moment, je crois encore que tout cela est normal, innocent, quil mexamine.
Il passe de lautre côté et fait glisser lautre bretelle, jusquau coude cette fois, si bien quune infime partie de mon téton doit être découverte. Une fois encore, il séloigne et regarde. Je me laisse faire, sans pouvoir réagir.
Il sapproche encore et cette fois, il abaisse le fin vêtement quil fait glisser sur mon ventre. Cette fois, ma poitrine est nue, exposée à son regard. Je prends peur, jouvre les yeux pour lui demander de cesser. Mais je ne bouge pas laissant mes seins nus. Je suis énervée mais je ne me sens pas la force de réagir. Lentement, sûr de lui, il tourne autour de la table et mexamine des yeux. Je lentends soudain dire :
- « Tu es belle ma belle, vraiment belle à regarder ».
Je comprends quil ma e mais petit à petit ma volonté revient. Je bouge un bras pour cacher ma poitrine. Il saisit mon bras et le repousse fermement. La lucidité revient mais je le laisse faire. Il est autoritaire et me fait peur.
- « Laisse tes bras le long du corps que je puisse texaminer ».
Alors vaincue, je me soumets. Cest certain, il éprouve ma docilité. Il me parle doucement tout en matant toutes les parties de mon corps. Je me laisse faire, vaseuse.
Quand il se met à mes pieds, le médicament ne fait plus aucun effet. Jai recouvré toute ma volonté. Il me prend les pieds et ramène mes jambes sur la poitrine. Je le vois qui regarde mes fesses, les fixe. Il est tout rouge, ses yeux gorgés de sang. Il fait peur tant il est menaçant. Il repose mes jambes, les allonge et quand il se saisit de lélastique de ma culotte, je sais quil va me mettre le cul nu. Et je me surprends à soulever mes fesses pour lui faciliter le geste. Pourquoi ? Sans doutes les paroles de maman me reviennent à lesprit. : « Laisse toi faire, il est notre médecin de famille ». Crédule, naïve ? Je ne sais pas mais en tous cas, je le laisse me déculotter. Il laisse ma culotte à mi cuisse, se recule et regarde, les yeux fixes. Je me sens ridicule, les seins nus, mon soutien gorge glissé sur le ventre et le cul nu, la culotte à mi cuisse. Je ne comprends pas.
- « Je vais texaminer maintenant. Enlève ton soutien gorge et ta culotte et assieds-toi ». Je mexécute sans hésiter. Je suis à poil sur la table dexamen.
Il passe derrière moi, ses mains se glissent sous mes bras, se saisissent de mes seins et commencent à les palper, médicalement au début puis très vite, alors que je sens sa respiration qui saccélère, sa palpation devient rapidement un pelotage sans ménagement. Après quelques minutes de « palpation », il me demande :
- « Retourne-toi et allonge toi sur le ventre » usant dun ton qui ne laisse la place à aucun refus. Il passe à mes pieds et je le sens qui regarde mes fesses. Quand ses mains se posent sur ma peau, je sursaute. Mon sexe est tout proche et cest une zone sensible même pour une jeune fille innocente de presque 16 ans. Je résiste quand elles tentent décarter mes lobes pour découvrir ma raie.
- « Chantal, laisse toi faire, je dois texaminer complètement ». Ces mots mélectrisent et de peur, je me relâche. Mes fesses sont écartelées et je sens un air frais sengouffrer dans ma raie jusque dans mon sexe. Jai honte, ainsi exhibée comme une bête.
- « Je dois vérifier que tu es encore vierge ». Je suis prise de panique. Il me demande de me mettre sur les genoux et je mexécute sans résister.
- « Cambre toi bien que je puise bien te voir ».
Il me prends les fesses, les écarte. Un doigt sinsinue entre mes grandes lèvres puis caresse les chairs tendres de mes petites lèvres. Il les caressent, remonte et se saisit de mon petit bouton. Et là, il commence à le branler dabord doucement et lentement puis de plus en plus vite. Cette caresse toute nouvelle pour moi me procure des sensations inconnues. Je sens le plaisir menvahir et malgré la panique je mabandonne.
- « Laisse toi aller ma belle, tu vas découvrir des sensations de jouissance sans précédent ». En disant ces mots, je sens son doigt qui délicatement pénètre mon sexe. Mais très vite il en ressort pour sans doutes ménager mon hymen. Il le glisse le long de ma raie, remonte, atteint mon petit trou et sans brutalité pénètre mon ventre. Je sais quil ne mexamine plus mais quil joue avec moi. De peur, par obéissance, je me laisse faire. Gardant son doigt dans mon cul, il sempare de mes seins avec son autre main et en branlant le cul, il pelote mes seins. Toutes ces caresses en même temps mamènent rapidement au plaisir et je crie quand je jouis. A bout de souffle, je maffale sur la table.
Quand je tourne mon regard vers lui, je vois quil a sorti sa bite et se branle en matant mon corps nu.
- « Lève-toi et caresse toi les seins pour mexciter ». Je mexécute plus par peur que pour lui faire plaisir.
- « Tourne toi et mets toi à quatre patte que je vois ton cul ». Là aussi jobéis et je mexécute également quand il me demande de mouvrir. Je me penche et le regarde branler son sexe et je suis troublée de le voir aussi gros. Je suis troublée et effrayée en même temps. Soudain, il se met à pousser des petits cris, son visage se crispe et de longs jets de sperme séchappent de son gland rouge et gonflé à éclater. Je reste fixé sur ce sexe qui se libère de son jus et vient s étaler sur le carrelage de la pièce.
Repus, il se rajuste. Il vient vers moi et me dépose une bise sur le front.
- « Merci jolie Chantal. Tu mas donné beaucoup de plaisir. Nous nen dirons rien à tes parents, et si tu le souhaites, on pourra recommencer ce petit jeu qui na pas manqué de te donner du plaisir ».
Alors quil parlait, je me suis rhabillée et jai quitté le cabinet médical sans un mot, avec le sentiment de salissure et de culpabilité. Je me sentais salope, sale et pute. Je ne devais jamais plus retourner le voir.
Si vous voulez voir ce quelle est maintenant
réclamez.
AL
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