Mon Divorce... Mon Avocat Chéri...
Mon divorce
mon avocat (chéri)
Javais cru que mon mari (aujourdhui mon ex), shabiait à la douceur de Marjana, et métait faite à lidée de faire ménage à trois en étant corrigée de temps à autre, pour garder le droit chemin. Mais, à leur retour de voyage, il répudia ma chérie qui accepta sans rien dire.
Durant une autre semaine, je fus négligée au plus haut point, sans la moindre attention de sa part, alors quil était là, contrairement à son habitude.
Marjana avait repris son service habituel, mais était beaucoup plus triste, moins souriante surtout :
-je ne suis quune poubelle pour son sperme, depuis le début
-cest fini, je crois, non ?
-le mariage, oui, mais je dois sucer et avaler 3 fois par jour au moins, avec ses coups et humiliations
rien de pire, tu sais
-il ne me parle plus depuis votre retour, cest le brouillard total
jattends que ça lui passe
-espérons, mais
demain il part pour 10 jours, jai préparé sa valise
Je devais donc me résigner à une prolongation de mon abstinence, qui na jamais été vraie depuis cette fameuse rétrospective. On va voir, mais ma chérie sera là.
Quelques jours plus tard, je reçois une lettre de répudiation et vais donc voir lavocat que mon médecin mavait recommandé. Jétais certaine, avant de prendre rendez-vous, quune certaine réputation mavait précédée : il lui a certainement parlé de la manière de traiter une femme dont les fesses sont abimées par une correction un peu trop dure. Mais jétais prise dans lengrenage, et mon dossier doit certainement en dire un minimum
et tant que jy passe, autant jouer le jeu. Et puis, arriver à 19 h dans un bureau, cest bien pour des heures sups
La secrétaire qui me reçoit a un sourire assez coquin, qui va bien avec son décolleté un peu trop voyant pour un lieu de travail, à mon gout. Quand elle mintroduit dans son bureau, je remarque sa jupe plissée un peu trop courte pour lampleur de ses fesses, et sa démarche ondulante et presque indécente.
²En posant les cafés, elle annonce quelle doit rentrer parce qu »il » lattend, (IL, cétait son homme, mari, ou amant
)
Elle fait une bise un peu bruyante et mouillée à son boss, qui lui tapote une fesse comme si je nétais pas là, elle me fait un clin dil et disparaît.
Il continue ses explications sur ses prochaines démarches tout en essayant de me rassurer sur lissu de la procédure. Et sinstallant en face de moi, continue à exprimer sa solidarité par le discours dabord, puis en me prenant la main. Là, cest une démarche qui mest plus familière, et dont je vois lissue. Sa main se dessert un peu, et son indexe pénètre entre ma paume et mes doigts, alors que son pouce caresse franchement mon poignet. Je cherche quelque chose à dire, mais je suis déjà certaine que mon médecin ma bien recommandée à ce dernier.
Celui-ci a certainement prévu que jy passe ce soir, et il est bien séduisant, je le désire aussi, mais je me dois dêtre un peu compliquée quand-même. Je retire ma main de son emprise et lui souris en disant :
-jaimerai bien être aussi sure que vous, je me demande si jai raison de me plaindre, ou si je dois accepter mon sort
-TON sort, cest, dêtre très charmante, davoir un si beau corps, de si belles jambes (sa main tombe sur mon genou), une si belle poitrine (que sa main gauche dénude) de mavoir comme avocat, épris de tout cela
(en enlevant le dernier bouton de ma robe)...
-on ne ma jamais fait ça comme ça
humm
Il leva mon bras vers le haut, caressa mon ventre, et membrassa passionnément pendant un long moment, et je lui répondais avec plaisir, debout sur mes talons, mais retenue par des bras forts, et une douceur propre à cet amant. Il maide à retirer les petites manches de ma robe. Il ne la laisse pas tomber à terre, mais la pose délicatement sur le bureau, et se déshabille rapidement joignant ses habits à ma robe.
-je taime et je te veux, beauté, pas toi ?
-oh, oouiii
Il me prend par les aisselles et me pose sur le bureau et membrasse à nouveau en caressant mon dos avant de sattarder sur mes seins quil malaxe assez longtemps comme dans mes fantasmes les plus doux, en me murmurant des petits dictons dont je navais jamais saisi le coté érotique. A la force de mes gémissements, il glissa un doigt près de mon sexe pour découvrir mon humidité, y dépose une touffe de papier mouchoir et membrasse encore alors que jaurais crié mon orgasme.
Puis, en déposant des petites bises sur mon cou, en mordillant ma nuque, me dit encore que je suis un amour, que je suis douce, quil ne me laissera jamais
etc
mes seins sont durs comme jamais, mes tétons sont érigés, il les taquine de ses doigts, de sa langue puis les suce lun après lautre avant que je ne sente ses mains caresser mon abdomen. Cest alors que mon corps se cambre, et je me sens vibrer et rejeter ma tête en arrière, retenue par le bras de mon amant qui dépose un coussin juste avant de la déposer dessus.
-tu es bien, chérie, laisse toi mener, je te conduis au plaisir le plus fort
-oui, je taime mon ange, prends-moi stp, ohhhh
-apprécie ce que tu ressens, ma belle, apprécie
Alors que jétais impatiente de sentir sa pénétration, mes cuisses tremblaient et mon bassin se surélevait alors quil continua à masser mon ventre en sapprochant lentement de mon minou.
Puis sa tête se baisse sur mon sexe alors que ses deux mains caressent les racines de mes cuisses en me les écartant encore plus. Puis il déposa ses lèvres sur mon pubis épilé dont il suce la peau comme il le ferait pour y laisser une marque, un suçon. (ce que je verrais dans la soirée). Quand il lâche sa succion, il me caresse avec son indexe et relève la tête en me regardant au fond des yeux un instant et me dit :
-jadore les femmes bien épilées, les bébés femmes
tu es si belle, si je ne peux te faire jouir toute ta vie, je veux te donner la jouissance de ta vie
alors apprécie ma belle
-oh oui, cest déjà fait mon ange
-tu nas pas tout vu ma belle
Il ramène sa tête sur mon pubis pour y déposer sa joue un moment, écartant mes grandes lèvres de ses pouces, et voilà que sa langue touche mon clito quil lèche un peu avant de le sucer tout en le mordillant.
Il pose alors son torse sur ma poitrine et me dit :
-jouis et détend-toi beauté, tu peux être tranquille, on ne tentend pas ici, crie ton plaisir comme tu veux, je taime et suis fier des toi ma belle
-mais tu nas pas joui, jai honte chéri
-mais si, ta jouissance est aussi la mienne
et cest pas fini, tu vas voir
détend-toi bien
Ce soir, cest ton cadeau de bienvenue
Il me masse un moment les épaules et les hanches, me remet assise et me masse le dos tout en me faisant des bises sur tout le corps. En marquant un nouveau suçon à la racine de mon cou, il me masse longuement les reins et me dit :
-prête pour la suite, beauté ?
-oh oui, partante si tu memmènes, où tu voudras mon prince
Me prenant dans ses bras, il me remet debout devant lui, mattire contre son corps, et je sens son membre sur mon ventre. Jen estime la taille largement supérieure à celle du dernier visiteur de mes entrailles : celui du docteur.
Me prenant par les fesses, il me lève un peu et je sens ce membre glisser entre mes jambes, et atteindre ma fente arrière. Mon amant me prend par les fesses en reculant un peu son bassin. Je sens alors son gland à lentrée de mon gouffre sintroduire doucement, profitant de lhumidité des parois.
Je maccroche au cou de mon amant qui me laisse progressivement glisser sur ce membre qui me pénètre complètement, qui me bourre les entrailles. Mes jambes entourent ce corps et jentame un mouvement dascension et de chutes qui font aller et venir en moi ce chibre source de mon plaisir, et de celui qui men a déjà tant donné. Voulant donner du plaisir à mon amant, jaccélère la cadence de mon coulissage, dabord volontairement, puis dans une inconscience follement éperdue.
Mon amant membrasse à nouveau avec fougue pendant que son membre me quitte sous leffet de nos deux jus de plaisir mélangés.
Je maffale alors sous ses pieds, et tombe sur le côté, les genoux pliés. Il se place derrière mon dos et machève avec de douces paroles avant de reprendre mes seins et mes fesses
A chacune de ses caresses, je ronronne comme un chat endormi. Comblée et fatiguée, je somnole un instant avant dêtre réveillée par une douce sensation de bien-être. Recueillant des goutes qui ruisselle de mon vagin, mon amant était entrain de lubrifier mon anus. Je le laisse faire sans broncher, mais quand son majeur me pénètre, jexprime mon accord et mon plaisir.
Après quelques allers et venues, je me relève un peu et prend le bout du membre en bouche, sans pouvoir labsorber totalement. Je le sens durcir et sépaissir, pendant que le doigt continue ses mouvements dans mon anus. Puis mon amant me prend doucement par le cou pour me retirer ma glace chaude :
-je veux te prendre par ton petit trou, tu permets ?
-oui mon ange, suis tout à toi dis-je en me mettant à quatre pattes, en lui clignant de lil.
Il se met à genoux derrière moi, mes genoux sont écartés par les siens, et je sens son chibre sur le bas de mon dos, alors que ses bourses sont voisines de mon anus. Ses mains agrippent mes hanches et écartent mes fesses, et place son gland à lentrée de mon anus. Je recule un peu et je le sens me pénétrer doucement, et suis un peu surprise par ce calibre que jai rarement rencontré sans un minimum de douleur. Mais le fait que je sois bien lubrifiée et la lenteur de la pénétration, font que je suis surprise de sentir ses boules contre mon bas ventre.
Ses vas et viens sont dabord lents et courts, avant de gagner très progressivement en rythme et en amplitude. Parallèlement, ses mains me caressent partout, lextérieur de mes cuisses, mes hanches, mon dos et mon ventre. En se pliant vers lavant, il peut sucer mon épaule et sempare de mes seins quil doucement, alors que son coulissage est au plus fort.
Ce double traitement me procure un immense plaisir que je ne peux mempêcher de crier violemment menant mon amant à une jouissance que nous partageons dans un ronronnement alors que ses lèvres terminent de me marquer.
Quand il quitte mon cul, je me relève et sens couler le sperme sur mes cuisses, il prend des mouchoirs en papier et me sèche mes deux trous.
-Non, tu ne va pas faire ça toi-même, arrête, je vais le faire à la maison
-mais on va dabord diner dehors, ok
-je peux me rincer un peu ?
-si tu veux, tu as des serviettes aux toilettes
-non, donne moi les mouchoirs stp, faut pas quon les retrouve demain
-si tu parles de Nora, elle a déjà compris
-quoi ?
-que je ne suis pas un ange
Je vais aux toilettes pour rincer et en profite pour jeter un coup dil au miroir, mes épaules sont marquées de suçons comme si javais été battue, mais celui sur pubis est plus arrondi.
-si mon mari voyait ça
-tu peux déjà dire ton ex
cest fini
Il était déjà rhabillé et tenait délicatement ma robe. En la portant, je me retrouve dans ses bras, mais son baiser est rapide, et il me dit :
-si je tembrase, je vais tavaler
-avale-moi, mon ange, dis-je en offrant mes lèvres
-non, je tiens à toi pour longtemps. On va manger
Nous quittons le bureau, et sagement, nous allons dans sa voiture où il me dit :
-texcite pas trop, on va dans un resto, alors ne mouille pas trop ta robe stp chérie
retiens-toi pour la suite
Je pose ma tête sur son épaule en essayant de rester calme alors quen conduisant il se met à parler de mon dossier de divorce, de la démarche à suivre, en me posant quelques questions.
En arrivant au resto, il ouvre ma portière de manière galante, puis me tend le bras pour me mener à lintérieur.
A SUIVRE
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