Nouvelles Recrues 2/3

En même temps que Martine ouvrait doucement le peignoir, Pascal glissa sa main sur ma poitrine pour me caresser. Presque aussitôt, mon ventre pris feu.
Martine mettait une heure pour ouvrir les pans du peignoir. Laurence s'avança et ouvrit plus rapidement. Martine se retrouva en soutif devant nous. A travers le tissus très fin en tulle, on pouvait apercevoir ses mamelons larges. De plus, sa poitrine débordait un peu de mon soutif et ça lui donnait une poitrine super généreuse. Son ventre n'était pas si gros que ça mais, avec les plis du peignoir, on ne voyait pas la culotte. Sa peau était fine et douce.
Laurence fit glisser le peignoir des épaules de Martine qui retira les manches.
Laurence, sans attendre, passa ses mains sur le ventre de Martine pour remonter vers ses seins. Martine frissonna. Etait-ce dû à la caresse ou à la frousse d'être touchée par une femme ?
Pascal lui dit qu'elle était belle et qu'il avait hâte d'en voir plus.
Pendant que Laurence caressait ses lobes bien rondes, on pouvait voir les tétons se raccourcir avec la pointe des seins se contracter. Martine laissait Laurence faire et mit ses mains derrière son dos pour dégrafer le soutif.
Petit à petit, le soutif perdit le match contre le poids de sa poitrine et Laurence accueilli dans ses mains les deux magnifiques bombes blanches de Martine. N'y tenant plus, Je m'avançais vers Martine et attrapa à mon tour un sein pour le peser et le caresser. Martine se laissait faire et commençait à avoir des contractures. Sa respiration devenait très haletante et elle faisait de petits gémissements très légers.
Pascal s'avança vers elle et l'embrassa sur la joue. Avec un sursaut de hâte, elle tourna la tête pour offrir à Pascal ses lèvres ouvertes. Je regardais Martine embrasser Pascal d'un long baiser langoureux.
Laurence me laissa caresser la poitrine de Martine que je trouvais vraiment magnifique avec ses grosses auréoles. J'attendais le bon moment pour la lécher et enfouir ma tête contre elle.

Laurence fit du rangement dans le tissus autour de Martine. Elle écarta le peignoir et retira le drap autour de ses cuisses. L'espace entre ses jambes lui permis de glisser sa main pour la plaquer contre le tissus de la culotte. Martine se cambra d'un coup et poussa un cri contenu. Elle regarda entre ses cuisses et se pinça les lèvres pendant que Laurence frottait sa main le long de la culotte. Pascal lui demanda si ça allait et Martine, dans un état second, lui répondit en hochant la tête simplement.
Pascal s'approcha d'elle et lui demanda si elle voulait m'embrasser ou Laurence. Martine, avec un effort dû aux caresses en cours sur elle, répondit dans un souffle " non, pas maintenant ! "
Pascal s'approcha de Martine et elle se laissa coucher en arrière sur le lit. Je perdais ses seins mais elle offrit à nos regard ses jambes ouvertes. D'un commun accord, après un coup d'œil, la culotte de Martine fut retirée et elle nous aida en levant ses fesses. Elle était maintenant offerte à nous et sans nous concilier, comme à l'époque où Carole était la troisième luronne, Laurence se pencha vers la petite touffe sombre de Martine et lui embrassa.
Doucement, je relevais les cuisses de Martine pour lui ouvrir le sexe. Elle avait des grosses lèvres ouvertes sur le rose de son vagin. L'éclairage de la pièce donnait un côté brillant à son sexe offert. Les baisers de Laurence sur le bas ventre avaient pour effet de faire bouger le bassin de Martine. Elle oscillait et je pouvais voir son sexe se contracter. Le miens était en feu aussi et je glissais ma main dans ma culotte pour glisser mes doigts en moi tout en me penchant pour sentir le sexe de martine. L'odeur était agréable et le sexe de Martine était vraiment très ouvert avec des grosses lèvres. Je comparais sa vulve avec celles de Carole et Laurence et je trouvais celle de Martine vraiment grosse comme des lèvres bourrées de silicone. Dans une contraction de son sexe, un fil de mouille suinta et commença à couler vers son anus.
N'y tenant plus, j'enfoui mon visage entre ses cuisses et titilla du bout de la langue le clito gonflé de désir. La réaction fut immédiate et Martine se cambra, se crispa, râla longuement et mis ses mains d'un coup sur ma tête et celle de Laurence (enfin, je crois car de ma place, je n'y voyais plus grand chose). La pression de la main de martine sur moi me fit plaquer ma bouche sur son sexe. Tout le goût de cette furie qui se cachait en Martine inonda ma bouche et ma main prit un rythme en moi pour associer au plaisir de la lécher, celui de me masturber.
Je sentis qu'on me retirait la culotte et elle finit juste sur une jambe. Ca ne pouvait être que Laurence qui allait s'occuper de moi. J'écartais mes cuisses et Laurence me força à retirer mes doigts de ma chatte. Presque aussitôt, je sentis les frissons électriques recouvrir ma chatte par les coups de langues de Laurence. Je ne pouvais m'empêcher de trembler de plaisir. Chaque coup de langue sur moi me donnait une vague de plaisir que je m'empressais de rendre à Martine. Dans une longue traversée de l'onde électrique du plaisir me parcouru en partant de ma tête pour descendre jusqu'à mes orteils pour remonter le long de ma colonne vertébrales en irradiant tout mon corps. Je ne pus retenir un gémissement et des secousses incontrôlable de tout mon corps. J'attrapais les hanches de Martine pour me retenir et éviter de lui faire mal avec mes gestes désordonnés. Cette saisie eu l'air de lui faire du bien car elle se mit à gémir de plus en plus fort jusqu'à me rejoindre dans un râle de plaisir long et libérateur. Comme après chaque orgasme, tout mon corps se relâcha d'un coup et j'eu un gros coup de fatigue. Ce double orgasme avec Martine fut le premier de la nuit et je crois me rappeler que chacune de nous a eu 2 ou 3 orgasmes dans cette soirée. Martine était bien libérée et elle s'allongea sur le dos, puis sur le côté avec sa tête posée sur le haut de la cuisse de Pascal. Sans aucune gêne, elle attrapa le sexe de Pascal et commença à l'embrasser et à le lécher.
Laurence me lâcha et alla se placer à genoux près du lit pour être derrière Martine. Je vis Laurence presque se battre avec sa position pour trouver le moyen de voir le sexe de Martine. Quand, enfin, elle trouva le moyen de lui brouter le minou, elle s'accrocha à son bassin et enfoui sa tête derrière les cuisses pour lécher celle qui commençait méchamment à s'échauffer une seconde fois. Effectivement, de ma place, je voyais Martine enfoncer goulûment le sexe de Pascal à pleine bouche et elle alla jusqu'à relever une jambe pour laisser Laurence accéder à son sexe sans trop de problème. A voir Laurence gémir de plaisir en goûtant le jus de Martine, j'eu l'idée de choper le gode vibrant pour faire jouir rapidement Laurence. La sachant très sensible au niveau du vagin, j'allais la faire venir presque d'un coup avec les vibrations de la machine. Il ne fallu pas long pour que je m'occupe de Laurence. Après l'avoir masturber un peu en me régalant de son jus sur mes doigts, je mis l'appareil en route et l'enfonça doucement dans son vagin. Je savais, pour l'avoir fait assez souvent, que l'appareil pouvait être froid au début et, pour cela, il était impératif de le réchauffer à la température corporelle. Quelques passages entre mes cuisses donnèrent à l'appareil la température idéale et une première pénétration lente sans l'appareil en route commença à mettre Laurence dans un état second. A mi-parcours, j'appuyais sur le bouton de marche pour mettre les vibrations en route. Laurence éclata d'un coup avec des petits cris comme un petit oiseau. Elle avait une manière très à elle d'avoir des orgasmes. Le sien était coupé par des minis cris tout aiguës qui ne dérangeaient pas les voisins. Le gode s'enfonça de plus en plus et Laurence ne pu continuer à lécher Martine tellement tout son corps perdait son équilibre. Avec une infinie douceur, je bougeais le gode en elle en le rentrant et le sortant à moitié. Avec ma main sur ses lèvres, je sentais son sexe congestionné et trempé d'excitation.
Dans le même temps, Pascal retira son sexe de la bouche de Martine et se plaça derrière elle en retournant Martine. Elle lui présenta sa croupe et il s'enfonça en elle. Je voyais la main de Martine se mettre devant son sexe pour guider celui de Pascal. Pascal allait lentement, sûrement pour ne pas exploser de suite. A chaque coup de rein, je voyais les seins de Martine onduler et elle me faisait envie avec ses belles loches bien rondes. Je retirais le gode et l'arrêtais. Laurence se retourna et me remercia du plaisir. Je lui montrais Martine avec ses seins ballottant et sa main sur le sexe. Laurence me dit : " Je vais la regarder se faire défoncer ! ". Laurence avait une fâcheuse habitude de devenir grossière dans les forts moments d'excitation. De toute façon, moi, je voulais jouer avec la poitrine de Martine.
Laurence s'allongea en face du sexe de martine et lui releva la cuisse pour regarder Pascal se glisser en elle. Comme à son habitude, elle caressa les sexes et les embrassa à tour de rôle en fonction des possibilités.
Martine fermait les yeux et prenait un réel plaisir avec la pénétration et les baisers de Laurence. Profitant de ses yeux fermés, je glissais ma main sur mon sexe pour récupérer de ma mouille et en souiller les seins de Martine. En temps normal, j'aurais pris ses seins pour me masturber avec mais ne connaissant pas Martine et ses limites, je m'arrangeais comme je pouvais.
Ensuite, j'ai pris mon pied en lui caressant les seins, les embrassant, les malaxant et en frottant ma poitrine contre la sienne. Quand Martine atteignit un orgasme, j'étais aux première loges et j'eu le plaisir de voir les ondes de plaisirs la parcourir et faire jouer son corps en entier. Pascal avait éjaculé depuis un moment mais l'excitation le gardait en forme et il continuait à faire ses mouvements au fond de Martine.
Dans cette position, je fis un gros baiser à Martine qui le reçu sans trop de problème. Laurence me rejoignit et l'embrassa aussi à pleine bouche.
Pascal s'agitait au fond du ventre de Martine pendant que Laurence et moi faisions nos expériences avec elle. Les mains de Pascal pelotaient les seins de Martine et, à tour de rôle, nos mamelles furent léchées et tétées par la petite bouche de Martine. Elle léchait bien et ne faisait pas de problème pour nous embrasser et nous lécher. Elle allait peut-être devenir celle qui allait partager nos frasques. Laurence lui demanda de nous caresser toutes les deux. Martine se plaça pour pouvoir nous mettre les mains sur notre féminité et nous caresser. Elle était un peu gourde mais les mouvements de sa main sur moi me fit un grand bien. Laurence la motivait en lui disant où mettre ses doigts et quels mouvements faire. Martine ne se débrouillait pas trop mal à mon goût, ces caresses étaient douces et habiles. Dès que Laurence lui demanda de la lécher, Martine dit non sans hésiter. Plusieurs tentatives de sa part et de la mienne eurent le même résultat. Martine n'était pas lesbienne et elle ne le deviendrai pas. Par contre, elle se donnait à Pascal comme une petite folle et son cul bougeait en rythme des coups de boutoir au fond d'elle.
En sueur, Martine finit allongée de tout son long avec Pascal derrière elle à la caresser. Laurence s'était réfugiée près de Pascal et ne le quittait pas de son amour et de ses caresses. Elle finit par avoir Pascal pour elle quand il se retourna et s'enfonça en elle dans une danse serpentine en face à face.
Quand à moi, j'avais rejoins Martine et nous nous embrassions en nous caressant. Nos poitrines se frottaient l'une contre l'autre et j'appréciais ses gros seins contre les miens. Son ventre ne me gênait pas outre mesure. En sourdine, je lui demandais si elle voulait tester avec un gode double. A ma surprise, elle accepta et en quelques mouvements, le long gode s'enfila dans nos sexes. Assises en face à face, le gode en nous, nous nous sommes embrassées et frottées longuement pendant que Laurence et Pascal gémissaient de plaisir.
Je ne sais pas si Laurence a été rempli par Pascal mais ils se sont endormi tous les deux enlacés dans le sommeil réparateur.
Martine apprécia notre échange. Seules toutes les deux, je lui demandais si j'avais une chance de la voir devenir une vrai bi-sexuelle avec la chance de pouvoir se faire des câlins plus directs. Elle fit non de la tête et m'expliqua que les caresses étaient très bonnes mais qu'elle ne se voyait absolument pas s'occuper de nos minous comme nous le faisions. Je tentais de lui expliquer tous les plaisirs à avoir avec le regard, les odeurs, les goûts et les capacités de donner du plaisir très intensément mais Martine resta sur sa position. Habituée à voir les moyens de discussion et d'ouverture avec mon travail, j'eu la désagréable impression que le sujet était impossible à atteindre. Martine n'allait pas être la remplaçante de Carole et c'était dommage car elle était superbe et douce.
Pour tenter quand même de la rallier aux plaisirs féminins, je pris le gode en main et tentais une pénétration coup à coup, c'est à dire que le gode allait taper dans le fond de son vagin en sortant du main pour entrer dans le fond du miens en sortant de celui de martine. Avec Laurence, ça a le don de nous faire venir à l'orgasme très rapidement. Martine n'apprécia pas ce système et je du m'arrêter.
Je lui proposais de lui faire essayer le gode vibrant mais elle préféra dormir. Elle accepta quand même que je dorme contre sa poitrine avec quelques baisers sur ses tétons le temps que tout le monde partent dans les bras de Morphée.
Le lendemain, Martine parti après le petit déjeuner. Laurence et Pascal tentèrent encore une fois de la rallier à notre groupe mais elle refusa de s'adonner au côté lesbien pur. Elle nous embrassa quand même chacun sur la bouche et elle nous recontacterai si elle avait besoin de retrouver autant de plaisir.
Quand Martine quitta l'appart, la voisine nous regarda avec un drôle de regard. Cela faisait plusieurs fois qu'elle nous espionnait, j'en étais sûre. Avec Carole, Laurence et Pascal, nous évitions de nous bécoter à l'extérieur de notre demeure. Malgré cette attention, les voisins pouvaient trouver bizarre qu'un homme vive avec trois femmes. De plus, dans un appartement, il est difficile de masquer tous les bruits de la vie, et pour nous, nous avions de drôles de bruits de la vie... la nuit ! Bref, la voisine nous matait... très bien... elle avait une occupation comme une autre !
La conclusion du passage de Martine nous jeta un léger problème car, sans y faire attention, nous avions oublié des vérifications essentielles comme le SIDA et toutes les complications possibles. Nous avions invité Martine chez nous alors que nous voulions garder notre jardin le plus secret possible.
Et si nous avions affaire à une tarée, ou une personne malveillante, avec des relations bizarres. Il était encore possible que des gens nous harcèlent et nous posent nombres de problèmes avec le voisinage, la famille ou le travail. Bref, nous avions commis quelques graves erreurs que nous nous devions de ne plus jamais reproduire.
Dans la suite, Martine revint de temps en temps, toujours enceinte avec un ventre de plus en plus énorme. Elle avait trouvé, en nous, un moyen de calmer ses ardeurs sexuelles augmentées de façon efficace par les doses d'hormones qu'elle avait en elle. Jamais elle ne changea d'avis sur le lesbianisme et c'est bien dommage car c'était une vrai bombe et j'avais appris à apprécier son corps. En plus, elle était gentille et douce. Quand nous lui avons parlé du SIDA, elle nous trouva aussitôt l'attestation qu'elle avait faite dès le début de sa grossesse. Elle ne s'en offusqua pas et trouva même cela normal. Elle aussi y avait pensé tardivement et elle apprécia notre franchise et... nos constats médicaux attestant de notre bonne santé. Dès que Martine accoucha, elle retourna vivre chez ses parents et tout son temps fut consacré à son petiot. Elle repris contact mais c'était pour nous raconter les péripéties avec son . Dès qu'elle fut mère, le sexe passa en second plan comme si elle n'avait plus d'hormone et que la présence de son gamin l'avait recentrée complètement sur ce point. Laurence avait les boules mais nous n'avions pas dit notre dernier mot. A tous les trois, malgré l'enquête régulière de notre chère voisine qui épiait chacun de nos gestes, nous étions en recherche sur des sites de rencontre et des forum Internet.

Sans vouloir critiquer... il y a du ménage à faire et un nombre effrayant de tordus, de menteur qui se font passer pour des femmes. Pascal avait le nez pour les repérer et nous faisions le ménage dans les relations pour sortir du lot ce qui ressemblait à la crème.
Deux contacts avaient l'air intéressant. Une fille de Paris même et une mère de famille en manque terrible de sexe.
La fille s'appelait Marielle, elle avait 18 ans tout juste, brune à forte poitrine (très bien pour ce qu'on cherchait !), un peu boulotte, elle voulait essayer un maximum de chose dans le domaine du sexe avant de décider de l'orientation de sa vie. D'après les contacts, elle semblait en phase avec nous. Elle accepta un premier rendez-vous dans un café parisien pour faire connaissance entre filles.
A peu près dans le même temps, Isabelle, la mère de famille nous relançait pour faire notre connaissance. Elle avait l'air accrochée et Pascal commençait à être sur ces gardes. Elle avait deux s et un mari militaire en mission dans les pays lointains. D'après ses dires, elle se faisait gravement chier seule avec ses marmots dans sa vie en caserne avec tous les collègues de son mari qui jouaient les chaperons. Lorsque son mari rentrait de mission, elle se faisait prendre tous les jours pour que son mari se décharge de son manque, et puis, il repartait pour 3 à 4 mois dans un désert quelconque à faire la guerre.
Pascal la rencontra dans un magasin de Paris et il nous fit rire en racontant la rencontre car cela ressemblait à un film d'espionnage. Ils avaient passé un long moment à se croiser dans les rayons avant de sortir par une petite sortie et se retrouver dans un café après un voyage en métro. Pascal nous décrit la nana comme intéressante physiquement mais légèrement détraquée psychologiquement. Ils avaient réussi à parler dans le parc du Luxembourg et elle semblait prête à toutes les perversions. Quand Pascal lui avait décrit rapidement comment nous étions avec Laurence, elle avait presque eut un orgasme assise sur le banc public. Elle était prête à tout, lécher, sucer, avaler, s'offrir complète, jouer avec les outils, se montrer, se déguiser, faire l'esclave, la sodomie, etc. Pascal avait même eut droit à un œil dans son soutif pour voir ses auréoles et un rapide coup d'œil sur sa culotte et sa toison. Pascal était mort de rire en nous racontant son entrevue. Par contre, sur le sérieux de la personne, c'était une autre histoire et cela se révéla vrai. Sans que Pascal ne s'en aperçoive, elle l'avait suivi jusqu'à l'appart. Nous avions commencé à avoir des drôles de mot dans la boite aux lettres ou glisser sous la porte d'entrée. Le plus drôle la dedans, c'est que notre charmante voisine nous protégea. Elle appela à deux reprise les flics pour qu'ils viennent faire en sorte qu'une personne bizarre rodant dans les couloirs de l'immeuble soit sortie. C'est à cette époque que Bouchera, notre voisine, commença à avoir des relations avec nous. Elle nous aida beaucoup dans cette situation et nous lui devons toute notre tranquillité retrouvée. Je vous passe les détails mais la femme mariée avec deux s et un mari militaire était tout simplement une pure et grande nympho avec toutes les tares pour faire chier la vie de celui ou ceux qui osaient s'en approcher. Nous avons eu une belle période de stress avec police, dépôt de plainte, remontrance des flics sur notre recherche de sensations fortes et tout le toutime ! Bouchera nous aida avec sa surveillance continue et, finalement, avoir une voisine qui surveille, ça a du bon. A l'époque, Bouchera travaillait dans une usine de biscuit avec des horaires la laissant libre la journée. La folle fut internée pour la énième fois d'après les flics et cela nous calma sur les rencontre sur le net.
Il y avait aussi Marielle, la belle Marielle... Comment vous dire... Elle était gentille, belle, appétissante et agréable. Laurence et moi l'a trouvions superbe mais il y avait quelque chose qui clochait. Nous ne savions pas quoi mais ça coinçait. Avant d'aller plus loin avec elle, Pascal l'a rencontra pour faire connaissance. Pour lui, elle semblait normale. Il y avait bien sûr des petits détails mais rien de bizarre. Nous n'avions pas encore nos problèmes avec l'autre tarée et notre confiance était assez " open ". Tout en continuant nos visites sur les forums de cul, nous commencions à nous faire des plans avec Marielle. Il fallait juste mettre au point où aurait lieu la première rencontre et nous allions passer le pas. C'est Zigoto92 qui nous donna une drôle d'information sur le forum. Marielle était un mec ! Impossible tellement cette nana était belle mais toutes les petites sirènes dans la tête de Laurence et la mienne se mirent à siffler à pleine puissance. Notre intuition féminine avait senti une erreur et elle était peut-être en train de se faire jour. Bien qu'incroyable comme information, un dialogue avec Zigoto92 nous mis en relation avec d'autres personnes qui avaient eu des rapports très hot avec elle/lui. Elle/Il était connu dans le milieu des transsexuels comme étant un super coup. Comment vous dire notre état d'esprit à cette nouvelle... Nous étions abattus.
Ensuite, les problèmes commencèrent avec la folle. Pendant près d'un an, ça a été le bordel. Au début, il a eu la naissance du petit de Martine mais ensuite, la galère constamment. A tous les trois, Laurence, Pascal et moi, nous étions soudés et cela nous a vraiment sauvé. Notre recherche de troisième larron s'arrêta même si nous continuions à nous balader sur les sites de cul. Nous avions trouver un nouveau jeu dans les photos et la vidéo. Sur un gros disque dur, nous avions stocké les films et les photos qui nous plaisaient le plus. Ensuite, nous nous mettions en condition pour reproduire les scènes ou les poses. C'était excitant et ça nous sortait de nos problèmes.
La voisine, Bouchera, tapait de temps en temps à notre porte pour savoir si nous allions bien avec nos problèmes. Elle était sympa sous ses airs de pauvre magrébine timide. Sans être raciste, nous ne cherchions pas de personne de cette origine pour éviter des relations avec les mœurs différentes, les religions, les risques de collision de pensées. Nous savions que nous avions une vie dépravée pour certains et nous n'allions pas risquer d'ajouter à cela une relation inter-raciale. Un jour, en regardant des photos de sexe entre une fille blanche et une noire, Pascal demanda à Laurence si ça lui plairait d'essayer. Je me rappelle, qu'avant qu'elle ne réponde, il ajouta " Un peu comme avec Bouchera ! ". Sur le coup, ça déclencha un bon fou-rire mais, quand je pus être dans le calme, je réfléchissais à sa remarque. Bouchera était une femme seule depuis un bon moment, elle était sympa et semblait cacher sous ses chandails à la noix de beaux atouts. Bouchera était Marocaine avec la peau sombre, pas très grande mais fine de corps, c'était difficile de la cerner toujours dans ses vêtements de grand-mère. Sous ses airs timide, elle avait des idées bien arrêtées et elle gérait sa vie sans heurt. On ne lui connaissait pas de mec et elle recevait très peu. Je me demandais si elle avait une famille en France car elle donnait vraiment l'idée de vivre une vie isolée. De temps en temps, elle nous apportait des desserts confectionnés par elle en nous vantant la force qu'ils pouvaient nous apporter. Avec la quantité de sucre dedans, cela ne m'étonnait pas le moins du monde !
Voilà pour cette période, rien de bien nouveau avec notre vie à trois, le soutien de la voisine et des week-ends éloignés de Paris pour respirer de l'air pur et nous sortir des vicissitudes quotidiennes.
Quand nous eûmes la certitude que la folle ne risquait plus de venir nous emmerder, le printemps arriva en même temps. Nous avions fait une croix sur la recherche d'une nouvelle fille, cela comportait beaucoup trop de risque et nous avions appris la leçon. Dans cet élan de bien-être et aussi grâce aux soldes, Laurence m'emmena acheter quelques nouvelles lingeries histoire de renouveler l'habillage de nos rendez-vous coquins avec notre homme. Je vous passerai la petite aventure de la vendeuse qui ma tripoter les seins sous l'excuse de vérifier le galbe et le poids de ma poitrine !!! Laurence était avec moi dans la cabine et elle n'en revenait pas ! Bon... pas désagréable mais la vendeuse ressemblait à une vrai pouf et excepter ses grands airs, rien ne m'attirait vers elle. Comme quoi ! Quand on cherche, on trouve des erreurs et quand on ne cherche pas, ce sont les erreurs qui nous trouvent ! Ca vaut un bon devoir de philo !!!

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