4- J'Aime Les Hommes
UNE TOUTE PREMIÈRE FOIS
chapitre quatre
En sortant du bureau de lagent, javais encore le goût de son sperme dans la bouche. Je passais la langue sur mes lèvres. Les vieux, en me voyant faire, comprirent que javais fait la job. Ils en furent encore plus dépités.
Je traversais le stationnement du centre commercial pour aller frapper à la porte de mon professeur de la veille. Jétais tellement excité en pensant quil allait me foutre son gros bâton dans le derrière que jeus une trique denfer dans mes culottes.
Je restais plusieurs minutes à la porte mais le vieux ne répondit pas.
Ce fut sa voisine qui attira mon attention par-dessus leur clôture commune. Un méchant pétard dans la trentaine dont les lolos débordaient généreusement dune petite robe à fleur. Jen bavais denvie parce que ma sexualité nétait pas encore bien définie et jaurais bien aimé tâter des nichons avant daller plus avant dans le défonçage de mon ti trou du cul. Un vagin, ça ressemblait à quoi ? Jétais aussi pas mal curieux de cela. Je lui lançais donc mon meilleur sourire (celui qui faisait craquer mes tantes à tout coup). Elle en fut stimulée
-Tu viens voir ton oncle ? Il est sorti pour la journée. Il va tous les jours à la pêche, je crois. Il pêche juste des petits poissons mais il a lair daimer cela. Des fois il men donne. Je les fais frire sur ma poêle . Si tu veux lattendre chez moi, jai une petite gâterie dans mon fourneau. Tu pourras y goûter tant que tu veux avec un bon verre de lait.
Jhésitai pas une seconde et je sautai la clôture pour la rejoindre. Sa maison était une vraie maison de poupées avec des coussins brodés de roses partout, des bibelots de marquis et marquise partout. La maison de rêves de Barbie. Jallais pour un moment être le Ken de la madame aux nichons généreux. Elle vint sasseoir tout près de moi sur le sofa. Javais la paire de gros machins à quelques centimètres de mon regard.
-Ils te plaisent mes tétons. Tu veux les tâter ?Tu veux y goûter ? Sois pas gêné. Cest fait pour cela.
Et sans même hésiter elle fit glisser les bretelles de sa robe. Un vrai miracle. De vrais nichons, gros mais qui se tenaient tellement droits que le bout des seins piquaient vers le haut. Je sautais sur la marchandise offerte. Jy plongeai le visage. Comme cétait doux, comme cétait bon. Jétais devenu fou de désir. Je suçai les aréoles comme si je mattendais à en voir sortir du lait. Un vrai bébé mais qui aurait eu la trique. Javais la queue tellement droite que la madame sen aperçut à travers mon pantalon. Elle y posa la main, ce qui me donna lidée den faire de même. Mais jeus toute une surprise.
Je savais que les madames avaient un clitoris mais là son clitoris dépassait de loin les normes usuelles. La madame avait une queue comme un monsieur et qui avait peu à envier des dernières découvertes que javais faites dernièrement.
-Tu veux goùter à ma petite gâterie, mon chérie ? Si tu la manges toute, elle va te donner un bon verre de lait aussi bon que celui de mon voisin. Je le sais. Jy goûté moi-aussi.
La petite gâterie dans le fourneau nétait pas celle à laquelle je mattendais. Mais parfois il faut faire contre mauvaise fortune bon coeur. Je mattelais donc à la tâche. Et cest vrai quelle était bonne, quelle était douce cette ... Enfin ce gros clitoris !. Moi qui la veille ne savait pas que la fellation existait. Jétais devenu lexpert en la matière. Je te bavais là-dessus, je jouais sur le frein du gland. Je titillais le méat. Je mangeai goûleusement les grosses couilles (une madame avec des couilles Cétait le bonheur. ) Quand à force dexcitation, elle gicla dans le fond de ma gorge son lait, jen reçus toute une tasse.
Mais jétais frustré . Ma rondelle était vierge. Qui allait me défoncer le cul ? Je nen pouvais plus. Il fallait que je parte à la recherche de mon initiateur.
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