Sandrine (2)

CHAPITRE 2: (Apprentissage…)

La nuit fut difficile pour notre jeune femme, car elle n’arrêtait pas de penser à ce qui s’était passé. Elle était partagée entre deux sentiments contradictoires, d’un côté la honte d’être aller aussi loin, et de l’autre l’envie de découvrir un peu plus.
Comment réagirait Nicole, si elle savait, qu’au lieu d’avoir pris une leçon d’équitation avec Madame Barnabé, qu’à la place, elle avait pris un autre cours?… très agréable… intense… jouissif.
Petit à petit le sommeil vint.
Au matin, Nicole réveilla notre jeune femme, elle s’assit sur le lit, lui présenta le petit déjeuner et demandait:
- « Alors, ça va mieux? Hier tu semblais être dans tous tes états… »
- «  Oui, merci, ça va mieux Nicole, j’étais très fatiguée, je ne pensais pas que c’était aussi difficile, aurais-je une autre leçon d’équitation aujourd’hui? »
- «  Oui, ainsi que tous les autres jours de la semaine, car tu dois te présenter à un concours! Je compte sur toi, pour que tu sois la première».
Sandrine, était encore partagée par ses deux sentiments, quand elle sentit monter en elle la chaleur de la veille entre ses entre jambes. Sa chatte et le bas du ventre étaient en feu.

Elle était profondément troublée et gênée, dans cet état elle rejoignait les écuries, madame Barnabé ainsi que le jeune homme, l’attendaient de pieds fermes.
- « Allez ma jolie petite chatte, rejoints nous vite, aujourd’hui nous allons attaquer la deuxième leçon! » dit Barnabé.
- A peine avait-elle dit ça, qu’elle déshabilla entièrement notre jeune femme, elle avait des cheveux blonds, des yeux bleux, de jolis seins bien fermes et ronds en forme de pommes, un petit cul très mignon, et une toison de la même couleur que ces cheveux, laissant apparaître ces lèvres vierges.
«  Aujourd’hui, ma puce, tu vas t’occuper, de ma chatte avec ta langue, tu vas me rendre le plaisir que je t’ai donné hier, avec la mienne.

Ton ami quant à lui, il va te faire la même chose, cette fois ce sera un homme qui va te le faire ».
Jacques ne se fit pas attendre, il courba Sandrine vers l’avant, et passa en se courbant sous les cuisses de notre jeune femme.
- « Oh! Mais c’est qu’elle mouille la coquine, qu’elle jolie chatte elle a » dit Jacques.
Soudain, il glissa sa langue à l’intérieur de ses lèvres, et lui titilla le jeune bouton. L’effet ne se fit pas attendre, Sandrine jouissait plus librement qu’hier. Madame Barnabé présenta son con et se fit lécher à son tour.
Notre jeune femme fit pour la première fois de sa vie, un cunnilingus, il y avait un goût subtil sur sa langue et son palais .
Madame Barnabé guida notre jeune femme à lui procurer du plaisir, effectivement quelques instants plus tard avec ses conseils avisés, elle commençait à jouir aussi, son clitoris prit de l’ampleur.
- «  Tu est une bonne élève Sandrine, tu apprends vite, c’est bien! Tu sais donner du plaisir à une femme maintenant, Jacques comment trouves-tu sa chatte? »
- « Elle mouille comme une folle, sa chatte est trop bonne! »
- «  Je vais m’occuper de sa moule alors! Toi Jacques, présente lui ta queue devant sa bouche, qu’elle la goutte un peu».
Barnabé se mit à la place de Jacques, courbé sous Sandrine, et fit à notre jeune femme un cunnilingus avec sa langue et chatouilla avec ses doigts l’entrée de ses lèvres et du vagin, ainsi que celle de son petit cul.
- « Je vois que tu apprécies cela, petite coquine… attention, je vais rentrer un doigt dans ta moule, si tu as mal dis le moi! » A peine l’avait elle dit, que son index rentra à l’intérieur, et se mit à la branler d‘abord doucement, puis de plus en plus vite.
Elle perdit la tête, la jouissance était à son paroxysme. Elle eut un orgasme foudroyant, son premier.
Jacques quant à lui, dégrafait son pantalon, et commençait à rentrer son sexe dans la bouche de notre jeune femme. Elle sentait le sexe chaud se durcir, entre ses lèvres et son palais. Sa queue lui prenait toute la bouche, elle commençait à avoir mal aux mâchoires, mais elle s’appliquait de son mieux.
Ce fut sa première fellation guidée par Jacques, quand, Madame Barnabé pendant un moment d’inattention de son élève rentra un deuxième doigts dans sa fente, pour la branler encore plus fort.
Sandrine eut un deuxième orgasme, quand elle sentit en même temps le goût du sperme de Jacques qui se déversait par saccade dans sa bouche, elle n’eut d’autre choix que de tout avaler, tellement le sexe de Jacques était imposant.
Fatigués, Jacques, Barnabé et notre jeune femme, s’écroula sur le foin.
- « Alors Sandrine, qu’as-tu pensé de ta deuxième leçon? » disait Barnabé
- « Je ne savais pas qu’ils existaient des choses aussi bonnes… c’était intense, et j’ai été foudroyée à plusieurs reprises ».
- «  Ce fut tes premiers orgasmes! C’est très bien,tu deviens une vraie femme petit à petit. Tu as même dégusté le goût spécial du sperme de notre garçon, alors verdict? »
- «  C’était visqueux, et chaud, je n’ai pas beaucoup aimé le goût en fait! Mais j’ai aimé par contre tout le reste! »
- « Alors demain, on attaque la troisième leçon? » disait Barnabé
- «  D’accord! » disait-elle.