Gisele11
Le programme du lendemain
me préparer en compagnie de Nadine pour la soirée. Rendue chez elle, ce fut bain, coiffure et maquillage de gala. Elle avait relevé ses cheveux, elle aussi, ce qui lui dégageait magnifiquement aussi, le cou et la nuque. Pour la soirée elle avait choisi un fourreau noir très moulant, sans bretelle et haut fendu sur une cuisse. À part de fabuleux escarpins elle ne mit rien d'autre et en riant me conseilla de faire de même. La soirée ne serait pas une réunion d' de cur, pensait-elle. Vraisemblablement elle en savait plus qu'elle voulait bien en dire et il était certain que nous finirions assez déshabillées. Je n'avais pas de tenue de soirée avec moi, donc elle me prêta de quoi me vêtir enfin plutôt de quoi masquer, du moins partiellement, mes rondeurs. Elle était plus petite et plus menue que moi donc
. Ses vêtements en découvriraient davantage. Ce fut exactement le cas. La seule chose qui puisse m'aller était une robe blanche à bretelle. Bretelles si l'on peut nommer ainsi les cordons qui retenaient un décolleté carré visiblement fait pour mettre en évidence une belle paire de seins plutôt que de la dissimuler. Une fente à l'arrière presque jusqu'aux fesses achevait cette robe qui n'était même pas à la limite de l'indécence, mais plutôt un appel au viol. Rendue encore plus provocante par la différence de taille, jamais je n'avais porté en public une telle chose. Comme elle, je ne mis rien dessous et ma tenue ne fut complétée que par des sandales lacées elles aussi aux talons vertigineux. Bref nous étions superbe toutes les deux et bien décidées à plaire en société. Roger était parti depuis le matin même et allait passer, je suppose quelques accords avec les amis de Nadine. A l'heure prévue, une voiture de luxe vint nous chercher. Cérémonieusement, un chauffeur nous fit monter. Et la voiture se mit silencieusement en marche et quitta la ville. La nuit tomba lentement sur le désert et notre périple dura environ deux heures.
Je distinguais sous des genres de keffieh les plus proches des yeux brillants de convoitises. Je commençais à me dire que notre hôte ne devait pas être du genre égoïste avec les femmes qu'il recevait. Deuxième difficulté, enfin pour moi, manger sans couverts, ni serviette
.
Rachid donna un ordre en arabe et deux des filles allèrent rejoindre Roger et son ami. Une s'écarta et l'autre se mit à danser au son d'une musique locale. Elle roulait de partout, du ventre, des hanches, des seins et de ce fait la température sembla monter et l'ambiance s'alourdit. Rachid caressait la cuisse nue de Nadine et m'avait prise par la taille pour me rapprocher de lui. Tout en continuant sa danse, la fille avait retiré lascivement d'abord le boléro puis un peu après le sarouel translucide. C'est ainsi qu'elle continua à danser sensuelle et provocante. La main de Rachid avait quittée ma taille et m'empaumé un sein qu'il se mit à presser. Je voyais les hommes plus près se toucher au travers de leur vêtement. Rachid donna encore un ordre. La danseuse arrêta de son numéro. Deux hommes se précipitèrent pour la faire s'agenouiller. Puis l'un d'eux s'allongea au sol et docilement la fille vint jusqu'à lui, et s'empala sur son sexe dressé. Elle fit quelques mouvements de danse comme pour bien s'installer sur le piston. Assez brutalement, le deuxième la poussa en avant et vint se poster derrière elle visiblement cherchant l'entrée de ses reins. Il sembla trouver vite et malgré la fougue avec laquelle elle se fit enculer la fille ne broncha pas, l'habitude peut être
.
pendant ce temps, Rachid avait baissé les deux bretelles de ma robe et empoigné les seins qu'il malmenait impatiemment et dont il traitait les tétons avec sévérité. Un peu avant que les deux hommes n'éjaculent, il avait demandé à Nadine de le libérer et elle le branlait avec lenteur.
Quand les deux hommes se furent satisfaits de leur compagne, elle s'éclipsa, l'autre refit son apparition et la musique reprit. Nous eûmes droit encore une fois à ce spectacle mi danse du ventre mi striptease façon mille et une nuits. Je ne pus voir la fin et l'assaut de deux nouveaux hommes que du coin de l'il car Rachid m'avait prise par la nuque et courbée devant lui pour que je lui administre une fellation. Je le fis de bon cur malgré un peu honte de pratiquer cela devant tout ce monde. Ayant baissé le bustier du fourreau de Nadine, Rachid imposait à ses roberts le même (mauvais) traitement qu'il avait infligé aux miens. Une fois les hommes soulagés, la danseuse put se retirer. Moi aussi, puisque Rachid avait ordonné à Nadine de prendre ma place pour le téter à son tour. La première danseuse revint, nue cette fois, et au lieu de se remettre à danser, elle se dirigea vers moi et me tendis la main, comme pour m'inciter à me lever. Je remontais vite mes bretelles et ayant remis mes lolos en place, je la suivis. Elle me fit venir, comme elle tout à l'heure au centre de la tente, face à Rachid. Elle se plaça derrière moi, me prit les mains et me maintint les bras écartés. Je la sentis se coller contre moi et imprimer à ses hanches et son ventre les ondulations du sa danse de tout à l'heure. Pressée contre moi elle m'invitait à suivre son rythme et à l'imiter. Étonnée tout d'abord, je me prêtais au jeu. Amusée de voir les yeux brillant des hommes autour de moi. Amusée, je le fus tout d'abord, puis petit à petit ce fut une double sensation d'appréhension et d'excitation qui s'empara de moi. Elle alla en grandissant eu fur et à mesure que la dans se faisait de plus en plus sensuelle et je n'avais qu'une interrogation.
"Commencez ! Cinq coups chacun" dit Rachid
Un homme, tout aussi nu que ses compagnons, lève lentement le bras et cingla le dos de ma compagne. Nadine gémit sous le coup qu'elle ne put éviter. Son sursaut ravit l'assemblée
Il attendit quelques secondes, puis brandit à nouveau la corde et l'abattit violemment sur les fesses tendres. Le claquement fit passer une sorte de frisson dans mon corps brûlant. Les autres hommes ricanèrent, les yeux luisant d'une cruelle concupiscence.
Un troisième coup frappa les cuisses de Nadine ; un quatrième, puis un cinquième, sa croupe sublime.
"A moi, dit le plus grand. Quel cul !"
Bien campé sur ses jambes, il fouetta rudement le dos et les fesses de la jeune femme. A chaque claquement, son corps tressauta ; enfin, au dernier coup, elle poussa une plainte. Satisfait de le lui avoir arraché, l'homme tendit la corde à un troisième, dont la verge était dressée.
Ses deux tortionnaires s'avancèrent l'un devant elle et l'autre derrière. Le premier lui levant une jambe s'introduisit dans son sexe. Je la vis faire un effort sur ses bras pour se décoller du sol et entourer le bassin de l'homme de ses jambes. L'homme la saisit par les fesses et les lui écarta dans un invite muette pour son compère qui n'hésita pas une seconde et lui viola le fondement la faisant gémir. Tel deux animaux en rut ils la besognèrent farouchement. Ses plaintes changèrent de tonalité pour passer de la douleur aux râles de plaisir. Je ne pus saisir si elle avait atteint l'orgasme lorsque els deux hommes se retirèrent d'elle pour la laisser de nouveau dans sa situation inconfortable. Le troisième homme se prépara. Il cingla les cuisses nues, le derrière déjà rougi, le dos strié. Lorsqu'il en eut fini, il s'avança vers Nadine, l'il fou. Sa poitrine se soulevait à un rythme peu commun. De la main droite, il entretint sans vergogne l'excitation de sa verge, qu'il brandit sous les yeux de la belle martyrisée. Il lui annonça qu'il allait la baiser. Quand la verge brûlante pénétra en son ventre, elle noua d'instinct ses cuisses autour de ses hanches augmentant la pénétration; lorsqu'il s'agita, ses ongles griffant son dos, à chaque coup de reins du jeune homme, elle poussait un petit cri...
Presque aussitôt, homme atteignit l'apogée de sa coupable entreprise en rugissant
"Je te baise, je te baise !"
Le quatrième homme s'empara de la corde, mais ne se résout pas encore à fouetter Nadine exténuée, haletante, le corps tendu. Le spectacle de Nadine furieusement fustigée auparavant puis besognée, sembla le fasciner. Puis il se décida, la contourna et se fut son pubis et le devant de ses cuisses qui subirent à leur tour le châtiment prévu. Sans attendre, il revint derrière elle et brusquement s'accola a elle, lui ouvrit les fesses et tenta de s'y introduire. D'un seul élan, son membre volumineux, noueux, disparut à moitié dans le fondement de Nadine en extase dont le cri me surprit. Le membre fougueux la fouilla, sans qu'elle puisse retenir aucunement ses soupirs, ses halètements, les petites saccades de son bassin, les contractions de ses fesses pétries par les mains de son possesseur. Tout aussi vaillant que les autre, l'homme qui la sodomisait furieusement ressortit de sa croupe et décida pour tenir plus longtemps, de se priver de plaisir. Il prit le tabouret et y grimpa se trouvant peu ou prou à la hauteur de la bouche de Nadine ou il s'enfonça et finit par y éjaculer.
Son supplice apparemment terminé, on délia la Nadine, assez éprouvée par ce qu'elle vient de subir. Tandis qu'elle se massait les poignets, on lui présente un verre de thé à la menthe. Elle en boit quelques gorgées, puis. titubante, vient s'allonger auprès de Rachid et de moi.
"Tu as mal ?" demandais-je
"C'est assez cuisant
." Convint-elle, mais c'est si excitant
.
Troublée, je réfléchis à ces étranges paroles, et me demandais comment on pouvait tirer du plaisir de la souffrance physique. Cela pouvait, à limite, rejoindre, pensais-je, celui que l'on prend à s'abaisser. à se livrer bestialement à toutes les licences en compagnie d'hommes exigeant et vicieux dont on ne sait rien. Un plaisir que je dois moi-même avouer éprouver.
Près de nous Rachid et des hommes se concertèrent. Rachid, enfin, invite Nadine à s'approcher. Il lui murmure quelques mots à l'oreille, puis jeta un regard vers moi, ainsi que ses compagnons. Un frémissement parut les animer
"Je... je ne sais pas..." dit Nadine.
L'un des hommes, alors, vint se poster devant moi et me saisit les poignets prestement. Je tentais de me débattre, comprenant alors le sort qui m'attendais.
"Non, pas ça ! Je ne veux pas !"
Ma frayeur ne fit que fortifier la résolution des hommes. Malgré mes hurlements, on m'attacha, puis on me traîna au centre de la pièce.
"Pas la peine de crier, on n'entend rien dans le désert !"dit Roger.
Cependant, je continuais de protester, d'implorer mes bourreaux.
"Nadine , aides-moi !"criais-je.
"Allons, allons
. tentes cette expérience. Tu aimes jouer les salopes
assumes
."
"Aaahh ! Ce n'est pas possible ! Non !..."
Malgré ma terreur on m'attacha à l'anneau tout comme Nadine et peut-être a cause de mes cris on me tira les bras et sans douceur on tendit la corde. Sans défense, je haletais de frayeur et cessais d'implorer pour un temps ceux dont je savais qu'ils ne m'épargnerait pas.
"Elle se régalais de te voir fouettée, dit Rachid à Nadine. Elle va comprendre !"
"Nooooooon !" hurlais-je.
Déjà, l'un des hommes s'est emparé de la corde huilée et s'est placé derrière moi. Cinq autres faisant cercle autour de moi. Il grogna :
"Quel beau cul !"
Il se mit à me pétrir outrageusement les globes ronds et tendres de ma croupe, dont les courbes ne pouvaient qu'attiser les désirs les plus dépravés.
Et là je fis une erreur. Au lieu d'accepter mon sort et de subir les mêmes sévices que Nadine avant moi, je me rebellais encore et d'une ruade, je réussis à frapper un des hommes. En fait, il prit mon pied dans le bas ventre et se plia en deux de douleur. A bout de quelques instants il se releva et vint vers moi l'air mauvais. Rachid l'arrêta et lui donna, me sembla-t-il, ses directives. Nadine tint me faire la traduction. Je pense qu'elle prit un malin plaisir à me dire :
"Il passera en dernier
après que les autres se soient bien occupés de toi
. Rachid lui a dit qu'il pourrait te punir aussi sévèrement qu'il le voudrait
. M'est avis que tu vas déguster ma belle !"
Déjà le calcul était simple, ils étaient six. Donc six fois cinq
trente
si le même régime que celui de Nadine m'était infligé
plus un bonus à celui que j'avais bêtement frappé
Aïe, aïe, aïe
me pauvres fesses
et puis, et puis
il y aurait leurs pénétrations et j'aime mieux vous dire que déjà tout à l'heure, j'avais trouvé qu'il y allaient fort, pour Nadine, cela avait été aussi très chaud; alors pour moi
.
Ils commencèrent par enfoncer deux piquets dans le sol à un bon mètre de mes pieds. Avant que je ne puisse faire aucun geste, ils se saisirent de mes jambes et me passèrent des cordes autour des chevilles. Ils n'eurent plus qu'à tirer sur les cordes et mes cuisses furent impitoyablement écartées. Pour me maintenir dans cette position de Y renversé, dès qu'ils jugèrent l'écartement de mes cuisses suffisant ils attachèrent les cordes aux piquets. Je me sentais ainsi encore plus vulnérable et je me maudis de ma sottise. Je n'avais pas fini
.
Le premier se prépara, il fit quelques pas en arrière et frappa une première fois mon postérieur. Je poussais un cri qui ravit tout le monde; une strie rouge venait certainement de blesser la blancheur de ma peau. Puis l'homme me fouetta à quatre reprises, et sans douceur sur les fesses bientôt rougies.
Tandis qu'il céda la place à l'un de ses compagnons, son sexe dressé battait outrageusement devant moi. Les deux hommes me sodomisèrent à tour de rôle ensuite.
Un autre flagellant succèda au deuxième. Je ne criais plus, mais tressautais à chaque coup de corde. Ma tête retombait sur sa poitrine, mes seins dansaient lascivement au rythme de mes soubresauts.
"Pitié, assez ! "... Gémis-je
De la pitié
il était évident qu'elle me serait refusée. Le troisième donna sa corde au quatrième puis vint se placer contre mon dos et utilisa le même trou que les autres avant lui. L'homme à la corde fut prit d'une inspiration démoniaque. Pendant que j'étais emmanchée, il me fustigea le ventre et l'avant des cuisses me forçant à m'empaler au delà de la mesure sur mon enculeur. Je me remis à crier
. Juste avant qu'il ne me prenne par devant. Les deux hommes me sandwichèrent sans retenue et jutèrent dans mes orifices distendus.
Enfin, l'avant dernier de mes bourreaux s'approcha de moi et pinça rudement mes tétons, me faisant crier. Il gifla mes seins puis m'ouvrit les cuisses et se met à me masturber tout debout. Je gémis, ne pouvant résister à l'enivrante caresse et au feu qui ne tarda pas à ravager mon ventre.
"Cette salope va jouir ! "s'écria l'homme dont les doigts épais me fouillaient profondément et dont je sus par la suite qu'il était le frère de celui que j'avais blessé.
"Dis-nous que tu es une pute !" ajouta-t-il.
Comme j'hésitais, il me claqua violemment ses fesses, puis me gifla.
"Oui... je suis une pute... "Bafouillais-je.
Tandis qu'il me branlait, je jouis violemment. Mes seins, mon ventre, mon sexe en feu ne savaient plus répondre à la retenue de la situation. Il continua et je connus un autre orgasme, plus sourd, plus long.... Aussitôt l'homme me délaissa cyniquement pour venir enfin se camper derrière moi. Au lieu de pénétration à laquelle je m'attendais je connus à nouveau la douleur cuisante de la flagellation. A cinq reprises, la corde vint cingler mon derrière nu, dont les globes se crispaient à chaque claquement, puis se relâchaient avant le coup suivant. Je râlais, sanglotais, mais m'imaginais en avoir bientôt terminé. Il me prit par devant, puis d'un coup se retira, me laissant vide et interloquée. Il y eut un conciliabule entre lui et son frère qui finalement semblait bien remis puisqu'il bandait comme un âne de me voir punie ainsi. Il lui passa la corde et je le vis se placer devant moi, non plus derrière. Je suivis son regard sur moi et ayant deviné ses intentions m'écriais :
" Non, ! Pas ça !"
L'autre éclata de rire, leva le bras, brandit la corde et me dit quelques mots d'une langue que je ne pus comprendre. mais dont je devinais l'obscénité. D'un seul coup il fouetta mes gros seins offerts, sans trop de violence Je poussais un hurlement. Alors, l'homme me cingla à veau, au ventre, puis seins, par trois fois. A chaque sifflement, suivait le claquement de la corde sur ma peau nue. Je poussais un cri rauque implore la pitié.
"Non, je vous en prie ! Pas les seins !"
Ces plaintes ne firent qu'attiser l'ardeur de mes bourreaux. Le numéro cinq qui n'avait encore pas jouis de moi se posta derrière moi et me pétrit la croupe, en écartant mes globes pulpeux.
Derrière moi, l'homme pointa sa verge tendue entre mes fesses. Je ne pus le voir me pénétrer, mais je poussais un petit cri, tressaillis et gémis quand il m'encula sans ménagement. Une nouvelle gifle s'abattit sur mes seins, tandis que l'autre me sodomisait tout debout, me maintenant fermement au ventre. L'autre ne cessa pas de me flageller ni le bas ventre, ni la poitrine, mais de temps en temps s'amusa à me gifler les seins.
"Aahh !... assez ! assez ! Libérez-moi !"
Cela ne les fit que ricaner sadiquement.
A ma grande honte, je ne pus me cacher le trouble pervers qui, lentement, m'envahissait. Flagellée nue par ces être frustres, dans ce lieu hors du monde fut une inconcevable révélation. Je sentis monter en mon ventre une chaleur torride, insoutenable ; prise d'un sentiment étrange, inconnu, sans plus me dissimuler le noir plaisir que j'y puisais.
Mon calvaire cessa, enfin c'est du moins ce que je croyais, puisque l'homme qui me torturait les seins prit la place de l'autre et se vida dans mon cul et que l'autre venant d'en sortir, prit le tabouret y grimpa et vint me jouir dans la bouche en m'ayant prévenu à l'avance.
"Si tu me mords, je te coupe le bout des seins"
Je restais ainsi un moment, exposée aux regard. Ce fut Nadine qui le rompit :
"Ce spectacle m'excite. Donnez-moi cette corde que je la fouette à mon tour !" dit-elle en se redressant
Je ne pus réaliser pareille perversion et sursautais :
"Non ! Ce n'est pas possible..., je t'en supplie ! Je brûle !"
"Bien sûr ma chérie. Mais je ne vais pas me priver de maltraiter une aussi belle salope que toi ! Allons, préparez-toi à souffrir encore !
Elle passa devant moi et me prenant par les cheveux me roula une pelle insensée, puis elle me contourna. Résignée devant un sort que je sais inéluctable, je fermais les yeux, baissais la tète avec résignation et la redresse brusquement comme si une décharge électrique m'avait frappée.
Nadine vient de massener le premier coup cinglant. Dès lors, je ne crierais plus, ne supplierais plus. Mes lèvres exhalent de simples soupirs, quelques gémissements pathétiques, fort excitants pour d'aussi pervers instincts que ceux de ma tortionnaire.
Nadine me fouetta, à quinze reprises, claquant à plaisir mes fesses cramoisies, cinglant vertement mon dos, mes cuisses, sacharnant sur mes seins et vicieusement mon entrejambe sous lil vivement échauffé des hommes ; esclaves de leurs instincts animaux, qui sétaient saisis des danseuses et leurs faisaient subir leurs plus vibrants outrages.
A présent, les coups cruels que je ne pouvais éviter me brûlaient d'une chaleur intense, douloureuse, peu soutenable, équivoque. Je ne réalisai pas immédiatement la fin de mon supplice.
Ce n'est que lorsqu'on me délia, puis que l'on m'allongea sur les tapis que je pris conscience de mon répit.
"Souffres-tu, ma chérie ?" s'enquit Nadine avec douceur.
"Oui... la peau me cuit... C'est très mal ce que l'on m'a fait... surtout toi !"
"Ce serait trop long de t'expliquer le plaisir qu'on en retire. Je suis une femme étrange. J'aime infiniment fouetter, mais je demande aussi les traitements les plus rudes. Le plaisir qu'on a de me battre n'a d'égal que celui de me voir fouetter d'autres femmes.... Et puis et puis
tu te plaints mais ils n'ont pas utilisé sa cravache
. Ils ne t'ont pas non plus suspendue par les pieds jambes écartées pour s'occuper de ton entre cuisse
tiens ! J'aurais dû leur souffler
."
Finalement, je l'avais échappé belle. Un peu délaissée, brisée, épuisée, je m'endormis et pris à peine conscience que plus tard, on me porta en qu'une voiture se mit en route. C'est dans celle là que je repris conscience avec Roger et Nadine pour compagnon de voyage en plus du conducteur.
Le lendemain départ pour le retour. Mes amis se firent leurs adieux et un peu après l'avion décolla.
C'est pendant ce vol de retour que, patatras
, mon monde se fissura. Tout naturellement Roger me fit savoir que j'avais tapé dans l'il de Rachid et qu'il comptait, après une période de formation par ses amis russes me mettre à la disposition de celui-ci pour que moi aussi je "travaille" pour lui et que je participe à des soirées comme celle qui venait de se dérouler puisque parait-il Rachid était très désireux de me faire endurer des sévices dont il était friand, lui et ses amis
. En fait Roger me confia qu'il pensait m'échanger contre Nadine. Il me précisa qu'il était inutile de regimber et que ses amis sauraient "m'assouplir" le caractère et que mon intérêt serait de filer doux si je préférais uvrer au chaud plutôt qu'à la sortie de l'autoroute. Je tentais bien de le supplier de ne pas mettre ses noirs desseins à exécution. Cela ne le fit que rire et soupirer "que je m'y ferais
comme les autres
."
C'est donc mourante que je sortis de l'aérogare. Philippe m'attendait. Je pense qu'il nota tout de suite que quelque chose venait de se passer. Les deux hommes se saluèrent donc froidement.
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