Mon Maître À Dit (Partie Vii)

MON MAÎTRE A DIT
(Partie VII)

Le repas avec les trois Maîtres, est devenu la discussion préférée d’Eddy. Il ne tarit pas d’éloges sur la façon dont j’ai été ‘utilisée’, il y a maintenant trois semaines, ni sur le spectacle offert par les deux soumises ce soir là.
« Qu’est qu’ils t’ont mis. Ils t’ont bouché par tous les trous. C’était génial de te voir te tordre de plaisir. Et les deux petites salopes, sur notre canapé ! Hummm ! Que du bonheur ! Tu sais que le lendemain, le cuir sentait encore la mouille de ces putes ? »
Ca ne ressemble pas à mon mari de tenir un tel discourt. Pour moi, il ne s’agit là que de provocation et de dissimulation du mal être qu’il a dut ressentir ce soir là.
J’ai très mauvaise conscience de le voir comme ca, mais pourtant, je continue à voir Sir Jefferson, régulièrement ou presque.
Je fais en sorte qu’Eddy ne le sache pas tout le temps pour ménager sa jalousie, et je suis devenue une experte du mensonge en tous genres.
Shopping, ciné ou restau avec des amies, surcharge de travail, courses urgentes, je me suis inventée tout une palette d’excuses pour pouvoir m’échapper du cercle familial et retrouver mon Maître lorsque celui-ci le désire.
Mais parfois, dissimuler est impossible.
Impossible comme aujourd’hui ou il m’a donné rendez vous dans un parc, pour me remettre quelque chose.
« Assieds-toi, Léna. Tu vas avoir la possibilité de rendre un immense service à ton Maître. Pour cela, tu serras récompensée, bien sur. Regarde le jeune homme sur le banc, là-bas. »
Il me désigne un tout jeune garçon de dix huit ans, environs.
Il est bien habillé, dans le style riche étudiant anglais, petites lunettes rondes, cheveux gominés et une acné sur le point de disparaitre, sous le duvet naissant d’une future barbe brune.
Mais, sous cet aspect d’ado, mal dans sa peau, je détecte un garçon très mignon qui n’a juste besoin que d’un bon dépoussiérage.


Il est plongé dans un livre, format pavé. Près de lui, une valise et un sac à dos.
« Il s’agit de Léopold, mon neveu. Gentil garçon, mais beaucoup trop timide et trop studieux. Les études occupent trop son esprit et il passe à coté de sa jeunesse. »
« Je crois comprendre, Maître. Il est puceau et vous voulez que je m’en occupe. C’est bien ca ? »
« Oui, je te charge de le déniaiser, et pour cela tu a huit jours. Il demeurera chez toi, pendant cette durée. Je lui ai dit que je partais en voyage et que je le confiais à une amie pour qu’il ne se sente pas seul. Voici une enveloppe pour les faux frais. Tu pourras garder ce qu’il restera.»

« Eddy ? Tu es là ? »
« Oui, chérie ! Je suis dans la cuisine ! »
« J’aimerai que tu viennes, j’ai quelqu’un à te présenter ! »
Quelle va être sa réaction quand je vais lui annoncer que ce grand dadet va scouater chez nous, toute une semaine.
« Je te présente Léo, le neveu de… »
Mince ! Sir Jefferson ne m’a pas dit sous quel prénom Léopold le connaissait.
« Jeff ! Mon oncle est Jeff. »
« Harf ! Bien sur ! Son prénom m’a échappé. C’est idiot, non ? Hihihi ! Il va rester avec nous une petite semaine. Ca ne te dérange pas, au moins ? »
Je peux lire dans le regard d’Eddy, qu’il me trouve pathétique.
« Rien à foutre ! Je bosse ! »
Il tourne les talons et retourne à sa cuisine.
Je suis gênée. Il aurait pu faire un effort.
« Hihi ! Ne t’inquiète pas Léo. Il bougonne parce qu’il est un peu fatigué, mais il est très gentil. »
« Ho ! J’ai l’habitude ! Tonton Jeff est pareil ! »
« Ha oui ? Sacré tonton Jeff ! Mon patron est à un congrès, je ne travaille pas cette semaine. Je resterais donc avec toi. Tu vas t’installer dans la chambre de notre fille. Elle est en vacances. Tu y serras bien. Viens, je vais te montrer. »
Je lui indique où ranger ses affaires et je l’aide un peu.
Au fond du sac, qu’elle n’est pas ma surprise d’apercevoir des revues pornographique.

Je suis surprise de le voir les sortir et les jeter sur le lit, sans même chercher à les dissimuler.
Léo serrait t’il moins niais et timide qu’il veut le faire croire ?
Bien sur, je fais celle qui n’a rien vu et arrange sa pile de tee-shirts dans l’armoire.
Sans doute ne l’a-t-il pas fait exprès, mais le revers de sa main vient d’effleurer mes fesses, de façon appuyée. Dans le doute…je ne relève pas.
« Voilà Léo ! J’espère que ca te conviens ? »
« Ho oui, tata Léna ! C’est parfait ! »
Il me saute au cou comme le ferait un gamin de huit ans. Sauf que là…
Il m’embrasse dans le cou et sur l’épaule. Il se plaque à moi si fort que je sens ma poitrine s’écraser contre son torse.
Déroutée et très gênée, je le repousse gentiment.
« Bon, allons voir ce qu’Eddy nous mijote ! »
Je me retourne pour sortir. Il est là, dans l’encadrement de la porte.
Qu’à t’il vu ? Je l’ignore, mais il boudera toute la soirée.
Après manger, Léo exprime le souhait de prendre une douche. C’est un ado pré-pubère qui entre dans la salle de bain, c’est un Playboy qui en sort.
Plus de lunettes, cheveux encore humides, coiffé avec classe et rasé de près, il passe devant moi, torse nu.
Je ne peux m’empêcher de contempler sa musculature et en particulier ses abdominaux encore ruisselants.
C’est une véritable publicité pour parfum d’homme, qui entre dans la chambre d’Amandine.
« Tu va t’en remettre ? Tu baille devant ce môme ! »
« Eddy ! Enfin ! Ce n’est qu’un gosse, mais reconnais qu’il est joliment bâti ! Tu ne serais pas un peu jaloux, toi ? »
Alors, lorsque nous nous couchons, je me presse contre lui et glisse une main sous les draps.
L’effet ne se fait pas attendre.
« Allez ! Ne fais pas la tête. Il n’est pas méchant ce garçon, et ce n’est que pour une semaine. »
Il se tourne et se couche sur moi.
« Oui, mais tu diras à Sir machin chose, qu’ici ce n’est pas une auberge de jeunesse ! »
« Sir Jefferson, chéri ! Sir jeffer…Haaa ! »
Il vient de me pénétrer d’un coup, sans prévenir.

« Humm ! Tu mouilles bien, salope ! C’est rentré comme dans du beurre ! »
C’est pourtant vrai que je mouille énormément. Qu’est ce qui peut bien m’exciter à ce point ? Pas ce gamin, tout de même ?
« Hooo ! Tais-toi, Eddyy ! Baise-moi ! Baise-moi fort, mon amour ! »
Et c’est ce qu’il fait. Il me pénètre avec ardeur et me fait grimper au rideau.
Je tourne la tête pour mordre le coin de mon oreiller, afin de ne pas crier, lorsque…j’aperçois la silhouette du jeune homme dans l’entrebâillement de la porte.
La honte me monte aux joues, mais je fais celle qui ne l’a pas vu.
« C’est bon, hein ! T’es toute rouge ! Ca donne chaud, hein ! T’aimes ca d’être pilonnée, hein ! Avoue, t’aime ca ! »
« Rhooo ! Tais-toi, mon amour ! Continu ! Ne t’arrête pas ! Vas-y ! Fort ! »
Me savoir épiée, m’excite terriblement. C’est une étrange et délicieuse sensation perverse.
Avec mes pieds, je pousse le drap pour nous dégager.
« Retourne-toi ! Donne-moi ton cul ! »
Je me mets en position de levrette et Eddy plonge dans mon fondement, m’arrachant au passage un cri de plaisir.
Je glisse une main sous mon ventre et je me masturbe le clito comme une hystérique.
Un coup d’œil rapide à la porte, me permets de voir Léo que je devine queue à la main, s’astiquant avec frénésie.
Je suis emportée par un terrible orgasme et Eddy se libère au fond de mes intestins. Nous tombons tout deux, épuisés et heureux. Le membre de mon mari reste encore en moi quelques minutes, avant d’être expulsé par de petites contractions volontaires de mon sphincter.
A la porte, il n’y a plus personne.

Profitant de ce repos, dû au déplacement du docteur, je traine un peu au lit et ne me lève que vers dix heures. Eddy lui, doit déjà être au volant de son camion.
Je saute sous la douche et me détends sous la pluie chaude. Mais, rapidement, au travers du rideau, je distingue une tête qui passe à la porte.
Je ne comprends pas.
J’ai pourtant tourné le verrou.
Je ne sais quelles attitudes adopter. Me fâcher ? Ignorer ? Ou provoquer comme hier soir ?
Je choisie l’ignorance et finie ma douche sans me soucier du petit voyeur.
Lorsque je coupe l’eau, je vois la tête disparaitre et la porte se refermer.
Je me sèche, me maquille rapidement et je sors de la salle de bain, sans oublier de vérifier la porte.
Le petit saligaud à posé un scotch. Ce qui empêche la serrure de fonctionner correctement.
Décidément, l’analyse de Sir Jefferson, tombe à l’eau, définitivement. Léo n’est ni niais, ni timide. J’en suis sure.
Je décide d’ignorer ce petit vicieux et je vais à la cuisine déjeuner.
Perdue dans mes pensées, je ne l’entends pas arriver.
« J’ai entendu tonton Eddy t’appeler Cathy ! Je croyais que c’était Léna ? »
Surprise, je renverse la moitié de mon petit déjeuner.
« Léooo ! Tu m’a fais peur. Préviens quand tu arrive ! Eddy n’aime pas Léna. Voilà pourquoi il m’appelle Cathy. Satisfait ? »
Je me lève pour entamer la vaisselle de la veille. Lorsque je suis à la maison, je garde cette corvée pour le lendemain.
Léo s’assoit sur le plan de travail près de levier.
« Mouai, satisfait. Pourquoi tonton n’aime pas Léna ? C’est joli Léna ! »
« Ho ! Léo ! Tu m’ennuie, là ! Et cesse de nous appeler tonton et tata ! Nous ne sommes pas de ta famille que je sache ! »
« Mince, t’a raison. Excuse-moi Cathy Léna. »
« Cathy ! Ca ira très bien ! »
« Ok ! Ben dis dont, Cathy, qu’est ce que Eddy t’a mis hier soir ! Whouaaa ! »
Je lui balance une baffe, mais il arrête ma main.
« Allons, allons ! Que dirait Jeff s’il apprenait que tu claque son gentil neveu ? »
« Tu es immonde Léo et manipulateur ! Tu me dégoute. »
« Tu ne pensais pas ca hier soir, quand tu a viré les draps. N’est ce pas ? »
« C’était un moment de faiblesse et je le regrette fortement ! »
« Regarde, tu t’es salie ! »
Effectivement, une tache brune orne le bas de mon peignoir blanc.
Je prends un essuie-tout que je mouille et je frotte la tache.
Ainsi penchée, mon peignoir baille. Si moi, je n’y prête pas attention, il n’en est pas de même pour le garnement qui y plonge une main pour m’attr un sein.
« Humm ! Ils sont comme je les aime ! Pas trop gros et fermes. »
« Enlève ta paluche de là ! »
Je me dégage de son bras avec mon coude.
« Je crois que je vais appeler Jeff et lui dire que tu es incorrecte. »
« Ca te fais quoi, de l’appeler Jeff ? Léna ! »
« Quoi ? Qu’est ce que tu racontes ? Je ne vois pas ce que tu veux dire ! »
« Mais si ! Tu vois très bien, belle petite soumise ! Tu as vu ta porte de salle de bain ? J’ai fais la même au bureau de ton Sir Jefferson, et j’ai tout découvert sur ses petits jeux. »
Je rougie et j’ai du mal à cacher que mes mains tremblent.
« Tu sais qu’il note tout ? Je sais tout ce qu’il y a à savoir sur toi. Jusqu’à la datte de tes ennuis mensuels. »
La honte est très vite remplacée par un énorme sentiment d’humiliation et des larmes me montent aux yeux.
« Arrête ca Léo ! Je t’en supplie ! Arrête et dis-moi ce que tu veux ! »
« Tu n’a pas une petite idée, Léna ? Je te veux toi, dans un premier temps et ensuite que tu face en sorte que mon oncle m’accepte disons…comme Maître adjoint ? »
« Tu n’es qu’un gamin ! Je pourrais presque être ta mère ! »
« Presque ! Presque seulement ! Et ne dit on pas que c’est dans les vieux… »
« ARRETE ! »
« T’en a pas mare de te taper des reliques ? Tu ne rêve jamais de bouffer un bâton tout frais et pas ridé ? Comme celui-ci, par exemple ? »
Il a sorti sa queue et je dois bien reconnaitre que je n’imaginais pas qu’il soit si bien outillé. Il bande fort et ses couilles semblent gonflées de désir.
« Arrête Léo ! Ce n’est pas la question…tu me gênes, là ! »
« Donne ta main ! Palpe-la ! »
« Surement pas. Ce soir je rapporte ton comportement à Eddy ! »
« Tu n’en feras rien et tu le sais. Tu crève d’envie de la prendre dans tes mains, de me sucer, peut être même ! Pas vrais ? »
Mon cœur bat la chamade et la chaleur qui m’envahie n’est pas de nature extérieure.
Je me rends à l’évidence. Je suis excitée et j’ai envi de ce garçon.
« Petit con ! »
Je ne trouve rien d’autre à dire et je saute sur son sexe dressé.
C’est vrais qu’elle est belle, jeune, dure. Je la presse dans ma main et lui applique un mouvement lent de vas et vient.
Sans les voir, je sens les artères et les veines gonflées de sang, sous ma paume. Mon pouce caresse doucement le gland, et lorsque celui-ci devient humide, je ne me contiens plus.
« Ouiiii, tata Léna ! Voilà ! C’est bien ! Suce-moi bien ! Alors, elle n’est pas bonne ma bite ? Hein, tata ! »
Ca aussi c’est vrais. Elle est bonne et douce. Je lèche et aspire le gland puis je le suce entier sans retenues.
Parfois, je délaisse le pieu pour déguster les deux gros testicules. Je les gobe ou les mordille, puis reviens au totem dressé.
Soudain, il saute du plan de travail. Il me tourne et me penche sur la table de la cuisine.
Ma robe de chambre relevée, il se plante en moi, pour mon plus grand plaisir.
Il alterne avec délice rapidité et lenteur. Ce type n’est pas un débutant. Il est à l’écoute de mon corps, de ma respiration et très vite, il me monte à l’orgasme.
« Ho ouiii ! Baise moiii ! Jouis maintenant ! Avec moiii ! »
Mais il sait se contrôler et n’en fait rien, malgré mes suppliques.
Il me fait jouir encore deux fois de suite et après m’avoir mise à genoux, il se libère enfin dans ma bouche et sur mon visage. Je n’ai jamais rencontré quantité de foutre aussi importante.
Je suis aux anges et me régale de son jus chaud.
Durand la journée, il me baisera encore deux fois.
Le soir venu, me coller une main aux fesses ou caresser mes seins, ou encore m’embrasser dès qu’Eddy a le dos tourné, devient son jeu favori.
Une fois au lit, je bénie Sir Jefferson de ne pas m’autoriser à coucher avec Eddy, plus d’une fois par semaines. Je suis épuisée.
Les jours suivant ressemblent au premier et je me fais prendre dès qu’il en ressent le besoin ou l’envie.
Il me rejoint au lit dès le départ d’Eddy, ou il me rejoint sous la douche, dans une salle de bain dont la porte reste désormais, volontairement ouverte.
A chaque fois, il me pousse dans mes retranchements et m’oblige à extérioriser mes cris de plaisirs. Avec lui, je ne crie plus, je hurle.
Le dernier soir, sous un prétexte bidon, il s’assoit près de moi pour manger.
Sous les yeux crédules de mon mari, il me caresse sous la table durant tout le repas et au coucher, il n’hésite pas à m’enlacer et à m’embrasser goulument dans le couloir, au risque de se faire surprendre.
Le pire, c’est que ca me plais. Il m’a transmit l’insouciance de sa jeunesse.
Belle semaine que celle-ci. Ce petit con, risque de me manquer.
Trois heures du matin.
« Psssst ! Pssssst ! »
J’ouvre un œil et j’aperçois Léo qui passe sa tête à la porte.
Le pauvre fou ! Si Eddy se réveille…
Je chuchote.
« Vaaaa t’ennn ! »
« Nonnnn ! viennnns ! »
« Pffff ! T’esss fouuuu ! »
Je me lève doucement et à pas de velours, je le rejoins dans le couloir. Il est nu.
« Tu es fou ! Eddy pourrait ce réveiller ! »
« Oui, je sais, mais j’ai trop envie de toi, Léna ! »
« Mais enfin, Léo ! Nous avons fait au moins trente fois l’amour en cinq jours ! Comment peux-tu avoir encore envie de moi ? »
« Non, Léna ! Je t’ai baisé, trente fois, mais je ne t’ai pas fait l’amour. Mais là, maintenant, ici, j’ai envie de t’aimer. J’ai envie que tu m’aimes. »
Il est touchant et semble sincère. Comment résister à un aveu si romantique ?
Il m’enlace et m’embrasse dans le cou.
« Et Eddy…Si Eddy… »
« Oublie ! Aime-moi, tata chérie ! »
Je me laisse glisser doucement le long du mur et c’est à même le lino froid du couloir qu’il remonte ma nuisette.
Il est vrais que cette fois il est doux et caressant, voir prévenant. Il me fait l’amour comme jamais on ne me l’a fait.
Je voyage dans des nuages de voluptés et je crois bien l’avoir mordu pour ne pas hurler.
Je pleure. Je pleure de bonheur. Je pleure de plaisir. Peut être aussi à l’idée de perdre ce délicieux amant.
Entre deux larmes, dans le flou de mes yeux mouillés, il me semble distinguer Eddy, à la porte de notre chambre. Mais il disparait très vite.
Je ne saurais jamais si c’était bien lui ou mon imagination qui m’a joué un mauvais tour.

« Bonjour Maître. »
« Bonjour Léna. Alors ! As tu remplie ta mission ? »
Bien sur, je ne dirais rien du secret de Léo.
« Oui, Maître. Je crois pouvoir affirmer que Léo, maintenant, connait bien les femmes et les techniques de l’amour. De plus, il a fait un gros travail sur lui-même et a presque réglé ses problèmes de timidités. Je me demande même, s’il ne ferait pas un bon Maître ! »
« Parfait, mais c’est à moi de juger ce qu’il peut être ou non ! Comme promis tu serras récompensée pour cela. Communique-moi tes dates de vacances au plus vite. »
C’est le cœur serré que je vois partir mon petit Léo.
Eddy, me prend dans ses bras.
« Ne sois pas triste. Je suis sur que tu le reverras un jour ou l’autre. Tu me semble fatiguée, vas te reposer, je vais faire la popote. »
Mon sixième sens féminin, me dit que c’est bien Eddy que j’ai cru voir cette nuit.
« Tu es un homme exceptionnel ! Je t’aime mon chéri ! »

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