Le Fils De Sophie. Deuxième Partie : Jean Jacques Le Fils De Sophie
Le fils de Sophie.
Deuxième partie : Jean Jacques le fils de Sophie
Nous arrivâmes dans lappartement de Sophie vers dix neuf heures. Elle habitait au deuxième étage dun petit immeuble, qui faisait partie dune résidence privée de haut standing. Lappartement était coquet et meublé avec soin. Elle mapprit que lappartement avait été acheté par son ex-mari, le père de Jean Jaques et lavait mis au nom de Sophie. Le divorce avait été conclu à lamiable, sans aucun de ces drames si courants dans les séparations de couples. Elle continuait de voir son ex-mari régulièrement et entretenait avec lui une relation amicale. Il sétait remarié avec une femme plus jeune, avec laquelle il avait eu deux s.
Sophie avait appelé Gigi (cétait comme cela quelle appelait son fils Jean Jacques) au cours de laprès-midi pour lui annoncer quelle ramenait un ami à la maison et pour lui demander de préparer un gentil repas pour trois. Je métonnais un peu de la demande :
- Tu as éduqué ton fils de manière à ce quil prépare à manger pour vous deux ?
- Moi je nai absolument rien fait ! En fait, il aime bien cuisiner de bons petits plats, pour nous bien sûr, mais aussi, et surtout pour son ami ! Tu comprendras dès que tu le verras !
Encore une fois, elle nen dit pas plus sur ce fameux fils - Gigi ou Jean Jacques. Mais dès que nous pénétrâmes dans lappartement et que Gigi vint nous accueillir, jeus toutes les réponses aux questions que je me posais. Au premier abord, jétais incapable de dire si Gigi était un garçon ou une fille ! Nétait labsence de poitrine, jaurais parié quil sagissait dune fille ! Et même dune superbe fille ! Il avait une belle figure, à limage de celle de Sophie, avec de grands yeux bleus, très légèrement maquillés (mais maquillés tout de même !), une grande bouche à demi ouverte, entourée des mêmes lèvres sublimes que celles de sa maman et aucune trace de poil. Soit quil était imberbe, soit plus prosaïquement, que son visage avait été soigneusement épilé.
Il était assez grand - environ un mètre soixante quinze et avait un corps mince qui donnait une très forte impression de souplesse. Mais ce qui le faisait plus ressembler à une fille, cétaient ses hanches larges et son fessier bombé et proéminent. Il marchait en balançant ses hanches, exactement, comme le faisait sa maman. Par contre, sa poitrine semblait plate. Un véritable androgyne ! Il était habillé dun léger tee-shirt rose en coton, qui mettait en évidence sa taille fine et ses épaules larges et rondes. En dessous, il portait un short serré et court qui moulait ses hanches et mettait en valeur ses fesses rondes, proéminentes et bombées.
En nous recevant, il me tendit la main - quil avait longue, dodue et douce - à la manière des dames de la haute aristocratie, comme sil attendait de moi que je lui fasse un baisemain. Voyant ma surprise, il se reprit très vite et me proposa une poignée de main que je lui donnai, en évitant de la serrer trop fortement comme à mon habitude.
- Il est vraiment mignon, ton nouvel ami ! dit-il à Sophie dune petite voix, un peu maniérée. Tu me le prêtes ?
Sophie, qui semblait un peu mal à laise, ne répondit pas à la question. Elle se contenta de me sourire et de demander à son fils quest-ce quil nous avait préparé à manger.
- Un plat traditionnel français : du buf en daube. Tu verras ton ami va se lécher les doigts ! Surtout quil sera accompagné dun excellent vin rouge dun petit cru de Bourgogne ! Allez vous débarbouiller ! Je prépare la table ! Elle sera prête dans un petit quart dheure !
Sophie me montra sa chambre qui sera aussi la mienne pendant tout le temps que je passerai avec elle. Mes bagages étaient déjà là. Lhôtel les y avait envoyés dans la journée. Jallais me rafraichir dans la salle de bain, pendant que Sophie se mettait à laise dans une tenue dintérieur - une espèce de kimono en soie bleue qui mettait encore plus en valeur ses appâts naturels. Elle était super bandante dans cette tenue : elle suggérait plus quelle ne montrait.
- Ne me dis pas que tu ne portes rien en dessous ! lui dis-je en quémandant un baiser.
- Absolument rien ! répondit-elle en membrassant tendrement. Comme cela, je suis sûre que chaque fois que tu me regarderas tu ne penseras quà ça ! Que je suis nue et offerte ! Je veux que tu narrêtes pas de bander ! Même en mangeant !
Et de fait pendant tout le repas, je navais pensé quà la nudité de Sophie. Nous étions assis face à face, pendant que Gigi soccupait du service et occupait, quand il sasseyait pour manger, la place à la droite de sa maman. Javais pensé un moment que Sophie allait se comporter sagement avec moi devant son fils. Que nenni ! Pendant tout le temps que dura le repas, elle me prenait la main et la portait à sa bouche pour lembrasser. La présence de Gigi ne la gênait nullement. Elle envoyait son pied nu sous la table pour quil vienne me caresser le sexe afin de vérifier quil était toujours en érection. Javais envie de me lever de table et de soulever la belle pour la jeter sur le grand sofa qui se trouvait à lautre bout du salon et la tirer comme une brute, devant son fils. Javais même limpression que cétait ce quelle attendait, tant elle me jetait un regard provocateur et moqueur. Elle ne disait rien, mais son comportement suggérait tout.
Je me retenais pourtant, bloqué par des scrupules dus aux restes de mon éducation traditionnelle. Quand Gigi sabsentait pour aller chercher un nouveau plat ou une nouvelle bouteille de vin, jen profitais pour embrasser Sophie par-dessus la table.
- Arrête de mexciter comme cela ! Tu es entrain de me faire vivre lenfer ! Jai un mal fou à me retenir !
- Ne te retiens pas ! Chiche, saute-moi ici même !
- Devant ton fils ?
- Oui ! Il sait pertinemment pourquoi tu es là ! Pour me tirer comme une bête ! Ce nest pas la première fois que jamène un petit ami à la maison et quil assiste - même de loin - au feu dartifice de nos nuits! Alors faire lamour devant lui ne le gênera pas du tout ! Par contre cest bien la première fois quil flashe sur un de mes petits amis ! Tu as remarqué comment il se comporte avec toi ? Comment il balance son cul ? Tu as vu ses yeux comme ils se voilent quand il te regarde ? Tu as vu son sourire provocateur ? Il a envie de toi !
-
Jétais complètement abasourdi par les révélations de Sophie.
- Je dois être vraiment vieux jeu ! Je ne peux pas mimaginer faire lamour avec toi, devant ton fils ! Surtout en sachant quil souhaite ardemment se trouver à ta place !
- En réalité je ne lai encore jamais fait devant lui ! Mais il y a un début à tout ! Cela me parait tellement érotique ! Profitons quil soit entrain de nous préparer un thé pour aller sur le sofa ! Allez, viens !
Elle se leva ; me tendit la main et me fit lever de table pour mentraîner presque de force vers le sofa qui nous tendait les bras, à lautre bout du salon. Je la suivis en traînant le pas, réellement mal à laise. Elle se jeta sur le sofa, dénoua la ceinture de soie qui fermait le kimono et présenta à mes yeux exorbités toute sa nudité. Elle ne portait vraiment rien en dessous, ni soutien gorge, ni culotte. Elle tendit les bras et mattrapa par les hanches. Elle mattira vers elle de manière à ce que je me trouve debout devant elle. Elle sattaqua immédiatement à mon pantalon quelle dégrafa et descendit, accompagné de mon slip, brusquement sur mes mollets.
Je restais ainsi cul nu et le sexe en érection devant Sophie qui regardait avec des yeux brillant de concupiscence. Elle attrapa mon gourdin, le palpa quelque secondes et lattira vers sa bouche. Elle lavala en entier puis entreprit de me faire une fellation denfer. Mon Dieu que sa bouche était douce, chaude et humide ! Elle me rappelait la séance de la nuit passée. Javais oublié jusquà lexistence de Gigi. Je ne pensais plus quà baiser cette bouche infernale complètement offerte à mes désirs pervers. Je jattrapais les cheveux de Sophie et me mit à les tirer pour mieux enfoncer le monstre dans sa gorge.
Quel spectacle hallucinant ! Pervers et érotique à lextrême ! Jétais au comble du bonheur et de lexcitation ! Je sentais un énorme orgasme arriver avec la force dune rivière en crue. Rien ne pouvait arrêter le torrent qui sannonçait. Je gémissais, ahanait et poussais des petits cris rauques qui donnaient à ma partenaire une idée de lintensité du plaisir que je prenais dans sa bouche. Et puis tout à coup, je poussais un long râle de jouissance et éjaculait dans la gorge de ma mie une tonne de sperme blanc, épais, visqueux et brûlant dont une grande partie resta au fond de sa gorge et quelle avala avec difficulté et lautre partie sortit à lextérieur par la bouche et les narines. Que Sophie était magnifique comme cela, dégoulinante de foutre, par la bouche et les narines et qui essayait difficilement de reprendre son souffle. Elle me regardait avec des yeux qui quémandaient une récompense.
- Tu es merveilleuse ! Tu es incroyable ! La plus merveilleuse des amantes que la vie mait offerte !
- Cest vrai ? répondit-elle dune voix éraillée. Tu as aimé ?
- Oui ! Mille fois oui ! Cest à mon tour de te rendre la pareille ! Allons dans la chambre.
« Et mon thé ? » Cétait la voix de Gigi, dont on avait oublié jusquà lexistence. Il avait dû assister à une grande partie du spectacle. Je remontais vivement mon pantalon sans oser le regarder en face. Sophie par contre, semblait très à laise.
- Nous le prendrons dans la chambre ! Nous en avons besoin pour nous revigorer. Merci chéri. Je moccupe de prendre le plateau dans la chambre et de le servir ! Bonne nuit mon chéri !
Et sans autre forme de procès, elle prit le plateau contenant la théière et les verres et me précéda dans la chambre. Je me retournai pour regarder Gigi. Il avait un petit sourire triste en me regardant, me tourna le dos et repartit en dandinant des hanches vers la cuisine. Je rejoignis Sophie dans la chambre. Elle était assise sur le rebord du grand lit et me tendit les bras pour que je la rejoigne. Elle avait enlevé son kimono quelle avait jeté par terre et était restée toute nue.
- Que comptes-tu me faire pour me donner autant de jouissance que moi je ten ai donné tout à lheure. Menculer ? Me prendre en levrette ? Les deux ?
- Je suis tenté de te répondre les deux ! Comme hier, mais cette fois-ci en levrette ! Jai envie de te remplir à tour de rôle ton cul et ton vagin, jusquà ce que tu jouisses comme une folle ! Mais pas cette nuit. Cette nuit cest toi qui vas chevaucher mon membre et mener la danse à ton rythme. Je te ramonerais en même temps ton cul avec deux ou trois doigts pour que tu te sentes pénétrée par devant et par derrière ! Tu verras ce sera divin !
Sophie accepta immédiatement ma proposition. Elle me fit allonger sur le dos et vint positionner sa chatte dégoulinante de mouille sur mon membre dressé comme un mât, avant de semmancher dessus. Elle sappuya sur mes muscles abdominaux et entreprit de relever et descendre ses hanches de manière à réaliser un va-et-vient démentiel. Elle poussait à chaque fois des petits cris qui devenaient de plus en plus sonores au fur et à mesure que lintensité du plaisir quelle ressentait, grandissait. Pour lui donner encore plus de plaisir je farfouillai dans la raie de ses fesses à la recherche du trou de son cul. Jy enfonçai, sans même les lubrifier, deux doigts qui entreprirent un deuxième mouvement de va-et-vient.
La sensation dêtre doublement pénétrée plut énormément à Sophie dont les cris et gémissement doublèrent dintensité.
- Cest bon comme cela ! Jai les deux trous remplis ! Cest merveilleux ! Continue avec tes doigts ! Enfonce les encore plus ! Cest super ! Je vais mourir de plaisir ! Encore plus vite ! Plus profond !
Sophie parlait, criait, bavait ! Elle était dans son plaisir ! Dans sa jouissance ! Elle montait et descendait ses hanches à un rythme de plus en plus rapide. Je sentais quelle fatiguait et quil fallait que je prenne la relève. De ma main libre je lui fis comprendre de garder ses hanches relevées de manière à me permettre deffec moi-même les mouvements de va-et-vient. Elle releva donc les hanches et resta ainsi. Jentrepris de la pilonner ainsi par des forts mouvements montant et descendant de mes hanches de plus en plus puissants et de plus en plus rapides.
Jajustai le rythme des allers-retours de mes doigts dans son cul à celui du va-et-vient de mon sexe dans sa chatte. Mes doigts et mon sexe se rencontraient à travers les parois de son cul et de son vagin, accroissant dautant la sensation de plaisir qui nous étreignait. Elle narrêtait pas de crier quelle adorait être baisée comme cela ! Quelle aimait jouir très fort ! Quelle allait jouir très fort ! Quelle aimait que je la pine en force ! Sa respiration devenait de plus en plus rapide et de plus en plus saccadée. Elle bavait des litres de salive à travers ses lèvres entrouvertes. Salive qui venait se répandre sur ma poitrine. Ses yeux se voilaient de plus en plus, annonçant larrivée dune très forte jouissance. Ses lèvres commençaient à sétirer et se vider de leur sang ; elles devenaient de plus en plus pâles et figées. Dun coup, je la vis se tendre comme un arc, aspirer une forte goulée dair et exploser dans un énorme orgasme en forme de feu dartifice.
- Je jouis ! Je jouis ! Je jouiiiiiiiiis ! Ahhhhhhhh !
Et elle relâcha tous ses muscles et saffaissa sur moi. Sa tête vint se poser au creux de mon épaule et tenta de reprendre sa respiration. Mon sexe était toujours planté à lintérieur de son vagin. Il était encore en érection. Je restais en elle, en bougeant très lentement les hanches de manière à garder lexcitation et à maintenir lérection. Javais lintention de faire encore jouir Sophie en lenculant, dès quelle sera un peu reposée. Au bout de quelques minutes, elle prit conscience de la présence de ma queue dans son vagin et surtout, comprit quil était toujours dattaque.
- Tu bandes toujours ?
- Oui ? Il veut tenculer pour te faire jouir encore une fois ! Tu veux ?
- Oui !
Je fis sortir mon membre de son vagin, la retournai sur le ventre et la fis mettre à quatre pattes sur le lit, la tête enfoncée dans le traversin. Elle me présentait ainsi son magnifique fessier. Javais une superbe vue sur son anus palpitant et sur sa chatte dégoulinante de mouille. Je ne cherchais même pas à mouiller son anus. Mon sexe qui venait de sortir de son vagin était encore bien lubrifié. Je me positionnais donc derrière elle et lui enfonçait la queue dune seule poussée au plus profond de son boyau. Elle eut un petit cri - de plaisir ou de douleur et se mit à bouger ses hanches pour minciter à la tirer en force.
- Cest bon ! Plus fort ! Plus vite ! Défonce-moi le cul ! Enfonce-le plus loin ! Fais rentrer tes couilles ! Cest bon ! Fais-moi mal ! Jaime être enculée en force. Je voudrai être enculée par un zob aussi gros que celui dun âne ! Encore ! Encore ! Encore ! Ne tarrête pas ! Je vais jouir ! Remplis mon cul de sperme !
Je narrivais plus à retenir la jouissance qui arrivait. Je sentais que je nallais pas tarder à éjaculer. Jaccélérai le mouvement de va-et-vient de mon sexe dans son cul. Je pilonnais son anus comme une brute en ahanant comme un bûcheron. Je sortais totalement mon sexe de son cul et repartais immédiatement à lintérieur dune forte poussée de mes hanches. Je criais quelle était bonne ! Quelle avait un cul denfer ! Que jadorais enculer les femmes ! Quelle avait le plus beau cul de toutes celles que javais baisées !
Sophie partit subitement dans un orgasme aussi énorme que le précédent, en hurlant que cétait merveilleux de jouir par le cul ! Jeus moi aussi un énorme orgasme qui me fit décharger tout ce qui me restait de sperme dans le cul de ma belle. La plus grosse partie de mon foutre ressortit expulsé par les va-et-vient de mon sexe qui continuèrent longtemps après que Sophie se soit affaissée sur le lit. Jétais aux anges. Sophie aussi. Nous restâmes quelques minutes ainsi : Sophie allongée sur le ventre et moi sur son dos, le sexe ramolli, encore enfoncé dans son cul.
Nous nous levâmes pour aller prendre une douche bien chaude, bûmes chacun une tasse du thé préparé par Gigi, parlâmes de choses et dautres sans importance et nous endormîmes heureux et repus. Sophie se réveilla très tôt le matin pour aller au travail. Elle faisait attention à ne pas me réveiller. Je ne dormais pas ; je regardais ma belle saffairer dans la chambre à la lumière blafarde dune veilleuse. Je la voyais assise, toujours toute nue, en face de la coiffeuse pour se coiffer et se maquiller. Je la vis qui farfouillait dans la garde robe à la recherche de ce quelle allait mettre. Je la vis qui allait enfiler sa petite culotte.
- Non nenfile pas ta culotte ! Viens, nous allons faire lamour !
- Tu es fou ! Il faut que je sois en forme pour travailler ! Rendors-toi, il est encore très tôt ! Quand je reviendrai ce soir, nous baiserons comme des bêtes ! Enfin si Gigi ne te suce pas toute ton énergie.
Elle continua de shabiller en me jetant de temps en temps un regard affectueux et tendre. Elle vint me donner un petit baiser sur le coin des lèvres, résista à ma tentative de lattirer vers moi et de lallonger sur le lit, et partit en me disant :
- Soyez sages ! Je serai là vers dix-huit heures !
Je me rendormis presque immédiatement après le départ de Sophie. Je fus réveillé par la sensation que quelquun soulevait le drap qui me couvrait et venait sallonger à mes côtés. Jétais encore à moitié endormi ; je ne me rendais pas très bien compte de ce qui se passait. Je sentais une présence à mes côtés mais je nétais pas complètement réveillé pour réaliser ce qui était entrain de se tramer. Je sentis une main dune douceur infinie caresser ma poitrine, puis descendre insensiblement vers mon ventre et mon bas ventre. Elle arriva sur mon sexe qui était au repos et alla le titiller. La chaleur qui irradiait de cette main et sa douceur, réveillèrent le monstre qui commençait à bander. La main le prit totalement et se mit à le caresser jusquà ce quil atteigne les dimensions maximales de son érection et devienne dur comme de la pierre. Je nosais toujours pas ouvrir les yeux pour confirmer ce que je commençais à deviner. Je métais rappelé les paroles de Sophie avant de partir et comprit ce qui était entrain de se passer.
Jétais maintenant entrain de bander comme un âne. Je gardais les yeux fermés pour ne pas me sentir obligé de réagir, de protester ou de refuser ce qui devait fatalement arriver. Je sentais une tête sengouffrer sous le drap et un souffle chaud me couvrir la poitrine, suivi de lèvres et dune langue qui se promenait sur elle avec une telle douceur que jespérais que cela allait durer longtemps. Et puis elle descendit, doucement, mais irrésistiblement, vers mon bas ventre créant en moi une attente douloureuse : jattendais avec impatience quelle atteigne mon sexe, qui frémissait de désir. La bouche atteignit le pubis puis alla soccuper du gland de mon engin, toujours tenu par la mystérieuse main. La pointe dune langue vint le titiller et lexciter. Jattendais presque impatiemment, le moment où la bouche souvrira pour gober le gland, puis tout le manche.
La langue continua un long moment à titiller le gland, à le lécher et lembraser. Elle y mettait énormément de douceur. Les lèvres se promenaient lentement tout le long de la hampe, arrivaient jusquaux couilles, quelles embrassaient, puis remontaient jusquà la pointe du gland. De temps en temps, la manuvre sarrêtait et la tête séloignait ; javais le sentiment quil sagissait pour lintrus de regarder et admirer lengin. Au cours de ces périodes, je sentais la main semparer fermement de lengin, pour après, le caresser avec plus de douceur. Cétait comme sil était en adoration devant lui et quil en attendait des miracles. Miracles de jouissance, certainement.
Et puis le moment que jattendais avec impatience, arriva ; la bouche souvrit très largement et engloutit lengin. La tête sabaissa progressivement faisant pénétrer le gland, suivi du reste du sexe, jusquau fond de la gorge. Elle se figea un instant, avant de faire le chemin inverse, jusquà ramener le gland au niveau des lèvres. Et ainsi de suite, avec un rythme de plus en plus rapide. La main accompagnait le mouvement de la bouche sur mon sexe : elle réalisait une espèce de masturbation parallèle à la fellation. Dieux ce que cette bouche était chaude, visqueuse et douce ! Comme un vagin ! Dieu ce que la main ajoutait de lintensité à la forte excitation qui menveloppait !
Je ny tins plus. Jenvoyai au loin le drap qui me couvrait et qui cachait la personne qui était entrain de me faire tant de bien. Je découvris la tête blonde de Gigi et sa grande bouche qui sescrimait sur mon engin. Il leva les yeux pour me regarder, et sans se démonter, continua lopération. Je voyais mon immense sexe entrer et sortir de sa bouche, sa main qui allait et venait sur la hampe, au fur et à mesure quelle entrait et sortait dentre ses lèvres. Je le voyais qui accélérait le mouvement de sa tête et de sa main. Je lui pris la tête à deux mains, presque brutalement, pour faire pénétrer le manche bien au-delà de la glotte. Il eut immédiatement envie de vomir, ce qui indiquait quil navait pas lhabitude de sucer un sexe aussi long, et surtout, qui exigeait daller aussi loin dans sa gorge.
Il faut dire que, dans létat de surexcitation dans lequel jétais, il métait bien indifférent que Gigi souffrît et quil eut envie de vomir. « Il na quà vomir ! », me dis-je égoïstement. Et je continuais à obliger Gigi à recevoir mon vit au fond de sa gorge. Ny tenant plus, il retira sa tête pour respirer et cracher sur mon sexe une salive épaisse et visqueuse. Jattendis un quart de seconde et obligeai la tête, en tirant brutalement sur ses cheveux, à repartir à lassaut du monstre. Gigi ne résista pas et laissa encore une fois le sexe aller et venir dans sa bouche, depuis ses lèvres jusquau delà de la glotte, et retour. Avec mes mains qui agrippaient les cheveux, je forçai la tête à aller de plus en plus rapidement. Par deux fois, il dut sarrêter et faire sortir lengin pour respirer et empêcher les vomissements.
Et puis, ce qui devait arriver, arriva: jexplosai, en poussant un énorme râle de plaisir, et un torrent de sperme épais et brûlant arriva en plusieurs giclées, dont les deux premières allèrent mourir au fond de la gorge et les autres remplir sa bouche. Gigi avala la totalité, ne laissant que quelques goutes dégouliner dentre ses lèvres. Il leva la tête, pour me lancer un regard interrogatif sur le jugement que je portais sur sa performance.
- Je suce bien ? Comme maman ?
Je ne répondis pas, un peu gêné par la situation. Je navais pas lhabitude de faire lamour avec des garçons. Je navais pas datomes crochus avec lhomosexualité, ni avec la bisexualité, dailleurs. Je navais pas programmé la séance de fellation qui venait de se dérouler. Mais javais trouvé cela tellement délicieux !
Gigi qui semblait comprendre le dilemme qui manimait, ninsista pas. Il vint sallonger contre moi et repris de me caresser et embrasser la poitrine, le ventre et le bas-ventre. Mon sexe qui avait un moment ramolli sétait remis à gonfler sous leffet des caresses et du souffle chaud. Cela sembla décupler le désir de Gigi qui reprit lengin dans sa main pour mieux ladmirer et lui appliquer des baisers et caresses denfer. Il le regardait avec gourmandise, grossir dans sa main pour atteindre des dimensions monumentales. Brusquement, il le lâcha, se retourna et me présenta son dos :
- Caresse-moi les fesses ! ordonna-t-il.
Jétais un peu gêné. Je navais pas lhabitude de caresser des garçons. Et même si le cul de Gigi navait rien à avoir avec celui dun garçon ordinaire, jeus du mal à pousser ma main vers les fesses offertes sous le petit short qui les protégeait. Sentant mes hésitations, il prit lui-même ma main et lemmena sur ses hanches et se mit à caresser avec tour à tour sa fesse droite puis sa fesse gauche en mordonnant ensuite de continuer tout seul. Je mexécutais un peu à contre cur et, petit à petit, pris goût à ce cul si ferme.
- Enlève-moi le short ! dit-il en se déhanchant pour me faciliter lopération.
Je lui enlevais le short et me trouvais en face dune paire de fesses super bandantes : blanches, fermes et douces. La raie était légèrement plus sombre et laissait entrevoir la rondelle grise et palpitante de lanus. Je ne me posais plus aucune question. Cette rondelle mattirait comme un aimant et depuis ce moment là, mon seul objectif était den prendre possession et de la défoncer avec force. Je fis allonger Gigi sur le ventre pour mieux le voir et avoir plus facilement accès à son dos et à ses fesses. Je me mis à lui caresser et embrasser le dos, les épaules le haut des hanches, avant de mattaquer à ses fesses.
Je promenai mes lèvres et ma langue sur lune et lautre des fesses tout en promenant les doigts de ma main le long de la fente. De temps en temps, je marrêtai sur lanus pour le tâter et y introduire un doigt. Gigi, qui déjà aimait mes baisers et mes caresses, et me le montrait en gémissant doucement et en tortillant ses hanches, se figeait à chaque fois que japprochais un doigt de son anus. Comme sil attendait que je lenfonce à lintérieur.
- Enfonce-le ! disait-il, chaque fois quil sentait mon doigt sapprocher.
Chaque fois que je len éloignai, il poussait un soupir de protestation, avant de se remettre à gémir et à tortiller son cul sous mes baisers et caresses. Puis je me décidais à mattaquer à lanus. Je crachai sur mes doigts et enduisis la rondelle de salive pour la lubrifier. Je tâtai lendroit pour en tester la résistance et dun coup enfonçai deux doigts. Gigi poussa un petit cri de douleur, mais ne fit rien pour marrêter. Les deux doigts dans le cul, je forçais les hanches à se relever au maximum et à obliger le garçon à se mettre à quatre pattes. Il ne se fit pas prier. Il sentait que le moment de vérité arrivait; le moment où il allait accueillir limmense sexe qui le faisait fantasmer.
A quatre pattes, javais le loisir davoir sous les yeux le superbe cul de Gigi, complètement offert à ma concupiscence. En dessous de la rondelle, je pouvais apercevoir les couilles et le minuscule sexe du garçon. La nature lavait pourvu dun tout petit sexe. Mais ce petit sexe était en érection ! Preuve de létat de très forte excitation dans laquelle il était.
Je continuais de bander comme un âne ! Je voulais, sans plus attendre, prendre possession du superbe cul de Gigi. Je voulais le tirer en force ! Je voulais lui faire mal ! Je voulais quil se rappelle toute sa vie de cet immense zob qui lui avait rempli le ventre ! Je crachai une nouvelle fois dans ma main et enduisit lanus de salive. Sans plus attendre, je me plaçai derrière les fesses offertes, positionnai le gland à lentrée de lanus et dune forte poussée de mes hanches, introduisis toute la queue à lintérieur, jusquà ce que mes couilles cognent contre les fesses. Il poussa un énorme cri de douleur.
Gigi nétait pas vierge ; mais son cul ne semblait pas avoir reçu de sexes de bonnes dimensions. Le mien lui fit très mal ; il avait du mal à aller et venir à lintérieur de létroit boyau. Ce nen était que meilleur ! Quelle magnifique sensation moffrait ce cul aussi étroit et aussi serré sur mon sexe ! Jentrepris de piner Gigi avec force, sans me soucier de ses cris de douleur. Je savais quau bout dun moment, le temps dune meilleure lubrification, la douleur se transformera en plaisir. Très rapidement, Gigi se mit à pousser de petits cris de plaisir, chaque fois que mon sexe le pénétrait jusquau fond. Le petit cri se transforma très vite en un très fort gémissement rauque, de plus en plus court et de plus en plus rapide.
Gigi ne sappartenait plus ! Il était tout à son plaisir et à sa jouissance ! Il gigotait de plus en plus fort; balançait sa tête dans tous les sens; bavait des tonnes de salive et prononçait dune voix rauque, parvenant du fond de ses tripes, des mots incompréhensibles
- Bon ! Bon ! Encore ! Grand zob ! Jouir ! Ahhhhh ! Jouiiiiir ! Michel !
Je ne comprenais pas ce quil disait. Ni pourquoi il appelait Michel. Ni qui pouvait bien être ce Michel. Mais mon Dieu ce que ce cul était délicieux ! Je sentais que Gigi était sur le point davoir une énorme jouissance. Je le sentais qui se crispait sous moi ; que tout son corps était tendu et en attente de lorgasme qui arrivait de très loin et qui dégringolait à toute vitesse pour se loger dans son bas ventre. Il eut un énorme râle et hurla quil jouissait ! Quil jouissait très fort ! Il prit son petit sexe dans une main et accompagna la jouissance qui arrivait par une masturbation qui fit sortir tout le sperme que lexcitation avait emmagasiné dans ses couilles. Exténué, il saffaissa sur le lit, mentrainant avec lui. Mon sexe, toujours avec son énorme érection, était toujours enfoncé dans son cul.
Je continuais à aller et venir en lui, pour maintenir lérection et surtout réveiller le désir de Gigi. Je voulais quil jouisse encore une deuxième fois. Jallais et venais lentement en lui, réveillant petit à petit son excitation. Au bout de quelques allers-retours, je sentis les hanches de mon partenaire se mettre à bouger pour suivre le rythme de mes coups de reins. Sans même que je lui dise quoi que ce soit, il se remit en positon de levrette pour permettre à mon piston de le pilonner en force. Je ne me fis pas prier pour le tirer comme un dératé, en ahanant à chaque coup de boutoir. Cette fois-ci nous jouîmes ensemble ; une superbe jouissance qui nous vida tous les deux. Jéjaculai une incroyable quantité de sperme dans le cul de Gigi, qui ressortit en totalité, sous les va-et-vient de mon sexe. Gigi lui-même éjacula ce qui lui restait de sperme.
Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes, lui allongé sur le ventre et moi sur son dos. Ce fut lui qui le premier reprit conscience. Il me fit descendre de son dos, se retourna, menvoya un sourire lumineux et membrassa sur la bouche. Un petit baiser plein de tendresse.
- Je savais quavec toi, ce serait différent quavec Michel !
- Qui est Michel ?
- Mon petit ami ! Mon amoureux ! Mon mari, si tu veux ! Nous sommes ensemble depuis trois ans et nous nous aimons. Mais même sil est beau, même sil me donne beaucoup de plaisir au lit, il na pas les mêmes capacités que toi pour me faire grimper aux rideaux. Je vais dailleurs te le présenter tout à lheure.
Nous nous reposâmes un long moment, puis Gigi se leva du lit et alla nous préparer un copieux petit déjeuner que nous prîmes au lit. Gigi était vraiment du genre tendre et aimant. Il ne voulut pas quitter mes bras de toute la matinée. Je le fis parler de lui et de son homosexualité. Il avouait sans fausse honte quil sétait toujours considéré comme une fille. Tout en lui était féminin. A lexception du petit sexe de garçon quil avait, rien nindiquait quil nétait pas une fille.
- Dailleurs dès que cela sera possible, je ferai ce quil faut pour devenir une vraie femme.
- Une opération ?
- Oui ! Une opération. Dailleurs on en parle souvent avec Michel qui me soutient totalement. Même maman ne sy oppose pas.
Vers midi, on sonna à la porte. Gigi se leva dun bond et alla ouvrir.
- Je te présente Michel, mon ami !
Michel était un jeune homme qui semblait avoir vingt cinq ans. Il était assez grand, pâle, avec des cheveux châtains très clairs. Il était svelte, la taille fine et les hanches étroites. Il avait les traits fins, de grands yeux noisette et une grande bouche gourmande. Il était souriant et semblait très sympathique.
- Chéri, je te présente Rafik, lami de maman dont je tai parlé. Cest une vraie bête au lit. Il est monté comme un âne ! Jaimerai que tu voies ça ! Montre-lui !
- Eh ! On nest pas au cirque ! Je ne montre pas mes bijoux de famille, comme cela à la commande et au premier venu !
- Allez ne fait pas ton chichi ! Approche, je vais moi-même le lui monter. Ah il est au repos ! Attends tu vas voir comme je vais le réveiller. Chéri, viens maider !
Michel se rapprocha de nous, les yeux écarquillés devant les dimensions, au repos, de mon gourdin. Gigi le prit dans sa main droite et commença à le caresser. Il rapprocha sa tête de mon bas ventre, sorti sa langue et se mit à titiller le gland et à le lécher. Je sentais lexcitation arriver et mon sexe se mettre à gonfler. Je regardai Michel qui suivait avec attention le monstre qui prenait des proportions immenses. Je voyais ses yeux qui brillaient et ses narines qui palpitaient. Il semblait émerveillé par ce quil voyait. Quand lengin avait atteint son maximum de dilatation, Gigi appela son ami pour quil prenne sa place. Michel ne se fit pas prier : il se mit à genoux devant moi et tendit précautionneusement sa main pour attr lengin. Cétait comme sil en avait peur.
Il se mit à le caresser doucement avec les encouragements de Gigi.
- Vas-y, branle-le ! Oui comme ça ! Embrasse-le ! Il adore être embrassé et léché ! Descends jusquaux couilles ! Suce-le !
Michel ouvrit son immense bouche et goba le gland, quil enroula avec sa langue. Il avait une bouche très chaude et très douce. Et il savait sy prendre pour sucer et donner du plaisir. Je sentais que jallais prendre beaucoup de plaisir dans cette bouche. Jattrapais la tête pour la forcer à adopter le rythme qui me convenait et, surtout, pour lobliger à faire pénétrer lengin jusquau fond de sa gorge. Il avait du mal à le faire au début; puis petit à petit, il shabitua à lengin. Je me dis que cétait le moment pour lui appliquer la de la baise buccale.
Je regardais Gigi, qui était à genoux à côté de son ami et lui caressait les fesses; je lui lançai un regard et un sourire interrogateurs, pour lui indiquer que jallais baiser la bouche de son ami et voir sil ny voyait pas dinconvénient. Il me rendit le sourire, que je pris pour un accord, se plaça derrière Michel et se mit à lui dégrafer le pantalon, quil fit descendre sur ses cuisses, dénudant le cul de son ami. Il lui souleva les hanches pour le mettre en position doffrir son cul à sa bouche et à ses baisers. Ce faisant, il mobligea moi-même à me mettre à genoux, pour garder mon sexe au niveau de la bouche de Michel. Et cest comme cela que je mis à pilonner sans vergogne la bouche de mon partenaire, pendant que son amis lui léchait lanus, mouillait lanneau et introduisit deux doigts pour le masturber.
Je ne savais pas si Michel prenait du plaisir à se faire pilonner par mon gros engin et si la masturbation de son cul lui apportait quelque chose. Ce que je savais, cétait que moi je prenais un plaisir fou à baiser cette bouche. Jy allais en force, ne marrêtant une fraction de seconde que quand je le sentais sur le point de vomir, pour reprendre immédiatement après. De temps en temps je le voyais qui levait des yeux larmoyants peut-être pour me supplier darrêter le pilonnage et jétais encore plus excité en voyant ses narines couler comme des fontaines et les commissures de ses lèvres laisser passer des litres de salive. Je me comportais comme un vrai sadique ; jadorais le spectacle du garçon qui souffrait, mais qui résistait courageusement pour ne pas me décevoir et décevoir son petit ami. Cela dura, me semblait-il, une éternité, jusquau moment où ny tenant plus je lâchais tout le sperme qui me restait après les coïts répétés que javais eu avec Gigi, pendant la matinée.
Michel reçut une partie dans sa gorge, quil avala sans peine et garda une autre partie dans sa bouche. Il laissa mon manche rassasié sortir de la cavité buccale et se retourna pour faire face à son ami - lequel entre-temps avait arrêté la masturbation du cul de Michel pour lembrasser et lui offrir une partie du sperme quil avait gardé. Tous les deux avalèrent, en riant, le foutre et sembrassèrent passionnément. Ils se laissèrent emporter par leur passion lun pour lautre, comme si je nexistais pas. Ils sembrassèrent, se caressèrent, se dénudèrent, se masturbèrent mutuellement et
Michel encula Gigi avec douceur, devant moi, comme pour me faire comprendre que, malgré tout, cétait lui qui restait son maître. Ils prirent beaucoup de plaisir et jouirent en même temps.
- Il ta vraiment élargi lanus avec son gros engin, dit Michel. Le mien, maintenant, nage à lintérieur. Mais tu restes encore un superbe coup !
- Tu verras quand il tenculeras toi aussi, la force de son engin ! Quand tu y goutteras, tu ne pourras plus ten passer !
Je restais chez cette famille si particulière, toute la semaine, presque sans sortir, si ce nest une seule fois pour aller, Sophie et moi, manger dehors, en amoureux. Jétais traité comme un coq en pâte : la journée par Gigi et Michel et le soir, par Sophie avec laquelle je passais toutes les nuits. Je ne sais pas comment javais pu rester en forme, avec un tel traitement : je me sentais obligé de faire lamour cinq ou six fois par jour, pour satisfaire les besoins tyranniques de Sophie et ceux de son fils et de lami de ce dernier. Parce que même Michel, qui avait essayé mon engin et y avait pris goût, réclamait sa part. Il est vrai que jétais jeune et plein dénergie ; que je navais pas besoin dun long moment pour me régénérer mes forces. Mais au bout de la semaine, jétais sur les rotules ; fatigué, mais heureux !
Je ne retrouvais plus jamais des personnages comme Sophie, Gigi et Michel. Jai encore de temps en temps de leurs nouvelles, mais ne les revis plus.
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