Mon Nouveau Club
Je fréquente ce club de natation depuis peu. Je ne connais pas encore parfaitement les us et coutumes. Il s'agit d'un endroit mixte où nous pouvons barboter tranquillement. Comme tout le monde je suis dans l'eau la plus part du temps. Au bout de la deuxième fois je remarque que des couples se forment volontiers. Au début je pense qu'il s'agit de copains.
D'un cotés, c'est vrai: ce sont des copains, particuliers, mais des copains. Ils se regroupent toujours avec une fille toujours jolie et sexy. Je ne tarde pas à comprendre ce qui se passe: les prémices d'un genre particulier de partouze.
Ils y a autant d'hommes que de femmes, la plus part des femmes sont très aguichantes.
Je devine enfin que ce ne sont pas les hommes qui choisissent. Vient vers moi une jeune femme bien fichue, plutôt dénudée, ce qui est normal avec un mini bikini.
- Bonjour, tu me plais.
- Bonjour, toi aussi.
- Si tu veux on pourrait aller dans les douches, j'aime bien cet endroit.
Nous voilà parti pour les douches. Je me doute de ce que nous allons y faire. Je suis cette naïade plutôt délurée. Vus de dos, je remarque ses fesses et ses hanches. Elle se retourne, me tend la main comme pour me guider. En réalité, elle m'embrasse. Je réponds à son baiser. Que sa langue est agréable dans ma bouche. Je profite de l'occasion pour lui mettre une main aux fesses. J'ai du mettre le feux quelque part: elle pend ma main la fait ripper vers ses hanches, me sourit:
- Tout à l'heure, nous avons un peu de temps devant nous.
- C'est vrai, embrasse moi encore.
Nos lèvres sont à nouveau réunies dans un baisser digne des meilleurs films X. Je sens ses seins contre moi: ils sont durs. Enfin la porte des douches. L'eau chaude coule encore. Je remarque qu'un couple s'active pas loin de l'entrée. La femme est mure, je le vois à ses seins un peu tombant, les reste est plutôt sexy. Elle est couchée sur un homme de mon, âge.
- Oui, J'aime ça, Mets m'en encore plus.
- Tu ne veux pas que je t'encule ?
- Pas maintenant, après.
Enfin elle agit: elle prend ma bite dans une main, me masturbe sans me faire jouir. Je regarde sa main aller et venir sur ma tige: elle sait bien branler.
- Tu ne veux pas que je te suce ?
- Pas encore, fini de me faire jouir en me branlant le cul, j'adore.
- Non, je vais le faire en te branlant là où tu veux.
Je n'attends pas de réponse: je m'accroupis devant elle, je sort ma langue et trouve pratiquement aussitôt son bijou. Ma langue ne se lasse pas de lécher. J'ai encore une main libre. Je la lui mets dans le vagin à la recherche de son endroit le plus sensible. Que je trouve: c'est un peu plus rugueux que le reste, pas grand. Je ne frotte pas très fort dessus. Elle se cabre devant mes caresses. : Elle jouit en lâchant une grande quantité de liquide: je suis tombé sur une femme fontaine: on dirait qu'elle urine tellement il y a de cyprine qui part.
Sa jouissance terminée, elle s'occupe de moi, à sa façon: nous nous couchons.
Enfin elle arrête.
- Tu m'as bien baisée.
- Toi aussi tu baises bien.
- C'est pas pareil, j'aime trop jouir.
- En attendant je ne t'ai pas enculée.
- Patience: je vais te faire bander et je t'assure que tu aimeras mon cul.
Elle me reprend en main, me fait à nouveau bander. Je crois, c'est sans doute une impression, que ma bite en plus grosse. Elle me recouche sur le dos, toujours sous la douche. Elle vient sur moi, se pose encore sur ma pine avant de se la mettre au cul. Au début, j'ai peur qu'elle se fasse mal. Pourtant son cul doit servir souvent: il s'ouvre comme son vagin. Elle la met à fond avant de commencer les vas et viens toujours avec des commentaires. Je la sens jouir: c'est drôlement excitant de sentir le sphincter de son cul se fermer et s'ouvrir à chaque orgasme, et il y en a beaucoup. Quand elle me sort d'elle mon sperme coule entre ses jambes: pas grave: la douche lui sert pour se laver.
- Demain nous ferons une partouze avec les autres dans l'eau.
- Tu aimes les partouze ?
- Bien sur, qu'est-ce que tu crois, que je passe ma vie à me branler.
- Non, bien sur. Tu ne veut pas le faire devant moi ?
- Devant toi, pourquoi pas, j'aime me branler devant les autres, même en pleine rue.
- En pleine rue, tu n'est pas capable de l'avoir fait.
- Si, je te raconte: j'étais avec une de mes copine, je ne t'ai pas dis: j'aime aussi les filles. Donc nous nous promenions et nous nous sommes assises sur un banc. Je ne sais trop j'ai eu envie d'elle, c'est pourquoi je lui ai mis la main là où il ne fallait pas: sur son sexe. Nous en étions très excitées. Nous ne pouvions pas nous faire l'amour, alors, nous avons chacune ouvert nos jambes, passé les mains par-dessous, et là sans honte nous sommes chacune branlée: c'était drôlement excitant, surtout qu'un petit vieux, juste ne face nous regardait. Il n'en a pas perdu une miette. Je ne sais même pas s'il ne s'est pas branlé lui aussi. Il pouvait le faire.
Je ne regrette pas de m'être inscrit à ce club !
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