Départ En Week-End
Mon maître et moi partions pour une escapade romantique. Nous avions pris le train, en première classe, jignorais où nous allions exactement, dans quelle ville, et cétait mon maître qui avait préparé les bagages. Je savais que la taille de la valise ne signifiait rien : il y avait certainement plus de jouets en tous genres que de vêtements pour moi, à lintérieur. Nous partions quatre jours, et pour ce que jen savais, javais sur moi les seuls vêtements que je verrais. Cétait aussi mon maître qui les avait choisis. Un uniforme décolière
Ce qui est dautant plus voyant en France quaucune école ne pratique le port de luniforme, à ma connaissance. Au moins pas celui-là. Et je nai plus lâge daller à lécole, de toute façon. Sur moi, les gens sentent généralement que cest plutôt une histoire de fétichisme. Luniforme était complet, couettes comprises, mais bien sûr pas de sous-vêtements. Des bas (sous les chaussettes montantes) et un porte-jarretelles, mon rosebud habituel, mon collier de cuir, et des chaussures à talons. Heureusement, la jupe marrivait juste au-dessus du genou, on ne voyait pas le haut de mes bas.
Nous étions assis côte à côte, et le train était peu occupé, surtout en première. Il y avait un couple dâge moyen quelques rangées plus loin, de lautre côté du wagon, face à nous. En fait, je ne voyais que le mari, et encore. Je voyais aussi le dessus de quelques têtes, çà et là. Une vingtaine de personnes en tout, je dirais. Jétais assise près de la fenêtre, et mon maître du côté couloir. Au bout dun moment, il me murmura :
Je mennuie. Remonte ta jupe et branle-toi.
Je rougis, lançais un coup dil à lhomme que je voyais, mais il était absorbé par son journal. Jobéis immédiatement. Je remontai ma jupe et glissai un doigt dans ma chatte, puis un deuxième, le plus vite possible, pour commencer à me masturber. Je risquai assez peu de me faire surprendre, et cela me permit de me laisser aller.
Ne jouis pas, dit-il. Continue, mais ouvre les yeux.
Je le fis. Et remarquai que lhomme que japercevais entre les dossiers me jetait parfois des coups dil discrets.
Continue, et regarde-le dans les yeux quand tu peux.
Je continuais de faire rentrer et sortir mes doigts de ma chatte, de plus en plus excitée, et croisais une ou deux fois le regard de lhomme. Il se détournait généralement aussitôt, mais finissait toujours par me regarder à nouveau.
Sa femme se leva. Mon maître me fit arrêter et me dit de me rhabiller. Elle partit dans la direction du wagon restaurant, à quatre voitures de la nôtre. Dès quelle nous eut dépassés, mon maître me murmura :
Va le voir. Propose-lui de le sucer dans les toilettes. Sil refuse, trouve quelquun qui acceptera. Et fais-le éjaculer sur ton visage et ton chemisier.
La honte me brûlait déjà le visage. Mon maître mavait habituée, peu à peu, à moffrir à dautres hommes, à aller les voir pour leur proposer mon corps, mais jusquà maintenant, il ne sétait agi que de caresses. Une pipe
ça allait beaucoup plus loin. Effrayée, je me levai et allai rejoindre lhomme.
Excusez-moi, dis-je à voix basse, jai remarqué que vous me regardiez ?
Ah bon ? Oh, pardon. Je ne voulais pas être indiscret.
Non, au contraire, mentendis-je répondre. Cétait ce que je voulais. Vous pourriez maccompagner ? Jaimerais vous sucer dans un endroit discret.
Pardon ? Oh, euh
non, non, enfin
ma femme va revenir, elle va se demander où je suis.
Je vous ferai jouir très vite, je vous promets. Jai lhabitude.
Non, mademoiselle, je
non, je ne peux pas.
Daccord. Merci, monsieur.
Je me redressais. Et maintenant, il fallait que je trouve quelquun dautre. Je regardais autour de moi. Mon maître me suivait du regard.
Je peux vous aider ? demanda-t-il.
Peut-être. Je cherche quelquun à sucer. Vous pouvez maider ?
Cest une blague ?
Non, pas du tout. Jai vraiment envie, là. On peut aller dans un endroit calme, genre les toilettes.
Euh
OK.
Nous nous levâmes tous les deux. Je vis mon maître me jeter un coup dil, puis faire semblant de dormir. Je menais lhomme vers les toilettes. Quelquun nous vit y entrer, et me regarda avec un air de surprise amusant.
On navait pas beaucoup de place, à deux, mais il faudrait que ça suffise. Je massis sur les toilettes et commençai à ouvrir sa braguette. Il hésitait entre lexcitation et la nervosité, parce quil ne bandait pas tout à fait. Mais ça venait, et je commençai à la lécher, des couilles jusquau gland. Cela marcha à merveille. En pensant à mon maître et à ce nouveau tabou quil me faisait dépasser, je refermai les lèvres autour de ce sexe.
Je le suçai du mieux possible, mais il était trop court pour vraiment arriver dans ma gorge. Bien large, pourtant, et je le serrai le plus fort possible avec mes lèvres. Après un moment, il voulut me toucher les seins, et défit un mon chemisier pour me pincer un téton.
Je finissais par me prendre au jeu, par mexciter. Javais envie de satisfaire mon maître, de toutes les façons quil imaginerait, et je suçai cet homme comme si mon maître avait été en train de nous regarder. Mais il finit par me dire avec un grognement :
Laisse tomber. Je rentre de chez ma copine, je crois quelle ma tout pris.
Jétais déçue, et un peu contrariée. Mon maître mavait dit de trouver quelquun pour me jouir dessus. Cétait bien ma chance de devoir sucer deux hommes pour ma première fois.
Lhomme referma sa braguette et ouvrit la porte avant que je puisse refermer mon chemisier.
Eh bien, à votre tour, sil vous plaît, monsieur.
Toujours surpris, il entra et verrouilla la porte derrière lui. Je me retrouvai presque aussitôt avec son sexe sous le nez. Celui-là était assez long pour que je le prenne dans la gorge, et je commençais à avoir hâte de retrouver mon maître pour le satisfaire. Je suçai donc ce deuxième homme aussi bien et aussi vite que je le pouvais. Quand sa respiration saccéléra, je sortis sa queue de ma bouche pour le branler devant moi, tout en le regardant dans les yeux et en me caressant le sein de lautre main.
Il jouit, et javais eu raison lui avait des réserves. Quand la première giclée de sperme me tomba sur le visage, je refermai mon chemisier dune main, pour tout recevoir. Je men servis même pour lui essuyer le gland. Puis je me levais.
La vache, merci ! dit-il.
Merci à vous, plutôt. Jen avais vraiment besoin, répondis-je.
Il me tendit quelques feuilles de papier toilette, mais je refusais. Il insista :
Mais, euh, ten as partout. Sur les joues, le menton
Cest exactement ce que je voulais.
Puis je passais devant lui et sortis. Je retournais masseoir. Mon maître faisait encore semblant de dormir. Quand je passai devant lui pour masseoir, je vis que la femme de ma première « cible » était revenue. Son mari me regarda, et je le vis écarquiller les yeux. Avec un sourire et un haussement dépaules, je me rassis. Alors, mon maître fit semblant de se réveiller.
Chérie, tout va bien ? demanda-t-il ?
Oui, oui. Je reviens des toilettes.
Mais
Quest-ce que tu as sur le visage ? Oh mon dieu ! dit-il assez fort. Salope. Tu es allée sucer un mec, hein ? Encore un ? Mais regarde-toi, tu en as plein le chemisier, plein la tronche ! Tu pues le sperme, salope ! Tu pourrais au moins tessuyer.
Mon maître me fit signe daller vers les toilettes, et me murmura au passage :
Va tessuyer le visage sur ton chemisier, sans fermer la porte.
Jétais pivoine, mais jobéis. Je me relevai, et sentis tous les regards sur moi. Les jambes tremblantes, je retournais aux toilettes, accompagnée de quelques remarques discrètes, peu flatteuses. Jentendis même une femme dire :
Quelle pute. Je ne vois pas comment il peut supporter ça.
Je soupirais intérieurement. Si elle savait.
Quand je revins, mon visage était sec, mais mon chemisier trempé, et javais les tétons très durs, après mêtre mise à moitié nue dans les toilettes. Je me rassis, mon maître releva ma jupe et me caressa le clito jusquà me faire jouir, les dents serrées pour ne pas crier.
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