Jambes Bronzées

Ce n'était pas hasard, dans la salle d'attente du cabinet médical que nous avons bavardé. Nous pouvions le faire sans trop nous presser: le temps s'écoulait ainsi plus vite. Je l'avais repéré dès son arrivée: d'abord ses jambes bronzées. Le reste est venu plus tard. En cette fin de printemps, la météo défavorable ne lui aurait pas permise d'avoir une telle couleur. Nous avons discuté de nos médecins que nous attendions. Je reluquais sans arrêt jambes. Elle remontait plus haut sa jupe.
- Je le fais simplement pour que vous regardez mieux.
- Moi ? Je ne regardais rien de particulier, simplement de jolies choses.
- C'est ça, mes jambes !
- Oui, j'avoue.
Nous avons éclaté de rire.
Un peu après, nous sommes allés consulter nos médecins. Le plus étrange c'est que nous sommes sortis ensemble. Nous en avons sourit. J'étais en voiture, elle à pied. Je lui proposais de l'accompagner à la pharmacie et chez elle si elle le voulait. Justement elle le voulait. Elle s'assoit sa jupe plus relevée que dans la salle d'attente. Elle me montre la moitié de ses cuisses.
C'est en revenant de la pharmacie que la chance tourne. Toujours les jambes bien exposées, je ne peux m'empêcher d'y poser une main. Elle prend ma main pour la monter plus haut que là où je l'avais mise. Tant mieux, je poursuis mon mouvement montant. Comme nous sommes en ville et qu'il y a de la circulation je ne peux trop satisfaire mes besoins immédiats. Je laisse ma main à la lisière de sa culotte. Enfin pour moi nous arrivons chez elle. Je bande pas mal. Je ne sais si elle s'en aperçoit. En tout cas j'en suis gêné. D'autant plus gêné qu'elle m'invite à venir chez elle. Elle passe devant moi en montant: je peux lui voir tout le galbe des jambes ainsi que sa culotte. Elle a du le faire exprès. Moi aussi: la politesse veut qu'un homme passe devant en montant un escalier. En attendant je me rince l'œil. Elle habite au troisième: je ne me lasse pas de regarder.

Enfin elle ouvre sa porte, me fait entrer. Elle me guide vers un séjour où elle me fait asseoir sur un fauteuil. Elle se contente du divan. Elle babille sans arrêt de choses sans importances qui n'ont rien à voir à ma présence chez elle. Pourtant c'est bien elle qui m'a cherché. Je regarde toujours ses jambes. Elle ne peut pas ne pas le voir: c'est-ce que je pense.
Elle me détaille:
- Vous m'êtes très sympathique.
- Merci, vous aussi.
- Vous me désirez, n'est pas ?
Pourquoi nier.
- Oui je vous désire depuis le premier instant.
- Tant mieux, pour moi c'est pareil. Pour me faire désirer encore plus je vous invite à venir voir pourquoi je suis bronzée.
Elle pend ma main et me guide vers une immense salle de bain. Outre les instruments habituels d'une salle de bain elle y possède une drôle de machine: un couvercle fermé en verre avec des rampes d'éclairage le tout sur un genre de matelas.
- Voilà ma machine: c'est là que tous les matins, avant une douche, je suis, nue, pour bronzer pas longtemps, sinon c'est mauvais.
- Vous êtes donc totalement bronzée.
- Oui, je préfère être ainsi à cause des marque que je n'aime pas, surtout sur les plages que je fréquente.
- Vous fréquentez des plages naturistes ?
- Oui, souvent, par vous ?
- Moi, non. A dire vrai-je n'aime pas tellement les plages, il y a trop de monde.
Elle me remmène au séjour. Nous reprenons nos places. Cette fois comme elle me la déjà dit, nous avons envie l'un de l'autre. Je vais m'asseoir à ses cotés. Elle tend ses lèvres que je cueille au passage. Nos langues se touchent sans arrêt un bon moment jusqu'au moment où il nous faut respirer un peu. Je lui remet ma main à l'endroit qu'elle n'aurait pas du quitter. Cette fois je ne vais pas m'arrêter. Je suis au bord de sa culotte. Elle écarte les cuisses pour me laisser faire ma besogne de mâle. Je passe sous les élastiques. Elle est trempée, à tel pont que je sens sa cyprine jusque vers son petit trou. Je ne réfléchis pas: j'y met un doigt. Je peux en entrer une grande partie sans qu'elle me demande de partir. Je lui branle l'anus un moment, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle jouit tellement fort qu'elle mordille la langue.
- Je voudrai te sucer. Tu aimes ça ?
- Qu'elle femme n'aime pas avoir une langue sur son bouton ?
Il ne faut pas répéter de telle proposition. Je la fais lever pour la déshabiller. A part ses jambes que je connais déjà, je découvre une déesse: seins, fesses, hanches, ventre. Seule un rasage du sexe me déplait totalement. J'aime les femmes naturelles. C'est plus sensuel, moins gynécologique.
Elle ne se laisse pas faire facilement: elle me met nu également.
Je la fait s'asseoir à nouveau: elle écarte déjà les jambes devant me tête qui vient entre ses cuisses. Je lèche l'intérieur des jambes jusqu'à son sexe. Je passe une langue rapide sur l'anus pour vite fait la poser sur le clitoris. Je ne fais qu'effleurer son petit bouton. Je le suce avec mes lèvres: elle frémis de sensualité:
- Oui, comme ça, n'arrête pas. Tu suces bien, continue, encore, encore, continues.
Je ne peux répondre, ayant la bouche occupée par son sexe. Je fais ce qu'elle veut. Elle jouis plusieurs fois. Je me relève pour prendre une position plus normale. Ma bite est à portée de sa bouche. Elle la prend avec sa main, la branle un peu, ouvre sa bouche, me goûte un peu: avant d'aller plus loin:
- Tu as un goût qui me plaît. Je pense que ton sperme a aussi bon goût. Je vais me régaler.
- Ton con a aussi bon goût. J'en ai plein la bouche encore.
- Garde le, pour échanger tout à l'heure.
Elle ne parle plus parce qu'elle me mange la bite à sa façon. Toute sa bouche y participe: sa langue, bien sur, ses lèvres, son palais, ses joues et sa glotte. C'est une fellation totale. Totale est jouissive. Je ne tiens pas longtemps à ce régime. J'éclate dans sa bouche. Elle continue à sucer ma queue jusqu'à la dernière goutte.
Nous nous embrassons, par besoin et par gourmandise: nous pouvons échanger les goûts de nos sexes. Le mélange de nos secrétions est délicieusement érotique. C'est sans doute pour ça que je continue à bander. Elle me branle encore
- J'aime branler un homme, c'est toute sa vie que je tiens dans ma main.
- J'aime branler une femme, j'aime trop une chatte pour lui faire du mal et en plus j'aime les moules
- Que tu es bête. Baise moi plutôt.
- Je croyais que te voulais que je t'encule ?
- Oui, à la fin, et on a pas terminé.
C'est une vrai volcan cette fille. Je ne peux m'empêcher de lui demander si quand elle est naturiste elle baise autant:
- Plus que tu ne peux le croire: j'adore me faire mettre partout et par tous. D'ailleurs tu pourrai venir avec moi pour voir comment je fais.
- Et je me branlerai en te regardant faire !
- Pourquoi pas. C'est beau un homme qui se tape une queue.
- Viens sur moi en attendant que je te la mette dans son nid. Je l'attire sur moi qui reste assis. D'elle même elle prend la meilleure des position pour se faire mettre; elle me tourne le dos, prend ma bite la dirige vers son entrée et s'y empale. Je sens qu'en plus de ma bite elle se branle également. C'est excitant de baiser une fille qui se masturbe. Comme prévu elle jouit encore vite. Elle reste avec ma bite dans son con. Elle recommence les allers et venues. Sa main est à nouveau sur le clitoris. Elle se branle sans arrêt. Elle jouit, je suis sut le point d'en faire autant: elle se retire.
Cette fois je la mets à genoux sur le sol, le corps couché sur la divan. Sans que je ne lui demande quoique ce soit, elle se mouille l'anus, écarte ses fesses:
- Vas- y mets moi là au cul.
- J'ai envie de t'enculer.
Nous nous taisons. Cette fois il s'agit de la faire jouir comme elle préfère. Je la lui mets sans préparation aucune. Elle ne se plaint pas du tout, au contraire:
- Vas-y, mets moi la fort, plus fort, encore plus fort. Encule moi comme une chienne. Mets moi la à fond. Je veux sentir les poils de ta bite contre mes fesse. Oui, Oui, encore. Ne jouis pas. Je jouis. Continue, vas et viens dans mon cul. C'est bon. Encore plus profond. Je jouis. Continue, ne t'arrête pas. Oui, c'est bon, je jouis. A force de l'entendre commenter et ses désirs est ses jouissances, je ne peux me retenir: je suis tout au fond de son cul quand je jouis.
Je sors d'elle lentement. Il me semble que ça fait comme un "ploc". Je reste sur elle avant de me relever. Elle le fait lentement. Elle m'embrasse profondément à nouveau juste avant de me dire merci. Merci de m'avoir si bien faite jouir.
Tu reviens demain, on pourrai baiser ensemble tant que tu veux.
C'est ce que nous faisons depuis plus d'un an.