Une Pénétration Éreintante
L'autre jour aux bains, je me retrouve seul dans le sauna avec un type, la cinquantaine, assez corpulent mais pas gros, avec de jolis poils soignés sur tout le torse, le ventre et les jambes. Il est assis sur la banquette au-dessus de moi. Comme il me regarde, je m'approche et commence à lui caresser les pieds, les jambes, les cuisses.
Il se met à bander petit à petit. Alors que je commence à lui embrasser l'intérieur des cuisses, le ventre, le torse, sa queue se dresse bien droite. Elle est très belle, avec son gland circoncis bien rond, mais elle est plus grosse que je ne l'avais d'abord pensé quand je l'avais vu pendre de façon si attirante entre ses cuisses
Je l'ai rejoint sur sa banquette, on se roule des pelles fébriles, on se caresse, et très vite, un puis deux ou trois de ses doigts se glissent dans mon petit cul. On se rend dans une cabine, doigts, gel, capote, et me voilà à 4 pattes sur la double banquette avec sa queue qui commence à me pénétrer.
Elle est effectivement plus grosse que ce que j'aime d'habitude. Pas beaucoup, mais suffisamment pour que ça me fasse un peu mal et que je ne parvienne pas à m'habi tout à fait à sa présence importune en moi. Mais il ne me laisse pas protester, et appuyant sur mon dos et mes épaules, il me force à me coucher sur mon ventre et s'affale sur moi comme sur une gonzesse.
Couché sur moi, il vient m'écraser de presque tout son poids à chaque coup de queue. Je ne sais pas si c'est la pénétration de sa queue trop grosse ou le poids de son corps sur moi, mais à chacun de ces assauts je ne peux m'empêcher de lâcher un « hhan ! » sonore, mi-plainte mi-surprise, comme certains joueurs de tennis chaque fois qu'ils frappent la balle avec le maximum de leurs forces.
Ces petites protestations involontaires qu'il m'arrache à chacune de ses charges ont l'air de beaucoup l'exciter car je sens bien que sa queue devient de plus en plus dure, de plus en plus envahissante, et qu'il s'affale sur moi avec encore plus de lourdeur, accompagnant mes cris d'un long soupir de satisfaction : « hhhhhâââh ! ».
Au bout de 5 minutes environ, je n'en peux plus ! Je suis couvert de sueur, la mienne et la sienne mélangées. Les intrusions brutales et sans gêne de sa queue me font mal, et son poids m'empêche presque de respirer. Quand dans une ultime série de spasmes encore plus incontrôlables il finit par jouir vigoureusement en moi, j'ai l'impression d'être cassé, écrasé, écartelé, ravagé.
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