J'Aime Les Hommes -5

UNE TOUTE PREMIÈRE FOIS

chapitre cinq

En sortant de chez la madame aux gros lolos (et au gros clitoris, miam miam), je retournais frapper chez le vieux. Je voulais tellement sentir quelle sensation cela faisait d’avoir une grosse queue dans le cul ! Mais j’étais encore déçu. Il n’était toujours pas là. Le vieux salaud devait se payer de la chair fraîche quelque part en ville.
J’eus l’idée alors d’aller frapper chez Jérôme. Finalement, c’était lui que je voulais baiser. J’étais encore innocent mais à deux on pourrait s’instruire. Lui d’ailleurs semblait en connaître pas mal sur la question. Le boulanger lui avait défoncé le cul avec une telle force devant mes yeux que je ne doutais pas de l’expertise de Jérôme sur la question. Il saurait m’introduire à cette pratique.
Malheureusement, Jérôme n’était pas chez lui. Son père se tenait dans le cadrage de la porte pour m’annoncer la nouvelle. Chaque fois que je voyais cet homme, j’étais intimidé. Il faisait partie de l’armée et je fondais toujours devant les uniformes. Mais cette fois-là il était torse nu avec juste une serviette autour de la taille. Ce qui m’étonnait le plus, c’est qu’il portait son béret rouge de para sur la tête et une cravache à la main. Il me regarda intensément de la tête aux pieds. J’allais m’excuser et me retirer mais le père de Jérôme me tira brusquement à l’intérieur de la maison. La porte en se refermant me fit sursauter. J’étais coincé. C’est là que je commençai à prendre peur.
Devant ce colosse aux muscles super développés, j’étais impressionné. Ainsi dans l’entrée de la maison, devant cette montagne de chair, je paraissais encore plus rachitique que je ne l’étais vraiment. Il continua à m’examiner tout en promenant sa cravache sur mon corps. J’étais mort de peur. Puis, tout en se caressant le menton d’un air dubitatif, il m’adressa la parole.
-C’est toi qui travaille à la boulangerie avec mon fils ?
-Oui monsieur.


-Tu as l’air de l’apprécier, mon Jérôme, n’est-ce pas ? Ne dis pas le contraire, mon jeune ami. Je t’ai vu déjà le regarder avec des yeux de midinette. Tu as l’air d’aimer cela les garçons, surtout quand ils ont des muscles comme mon fils. N’est-ce pas ?
J’étais atterré d‘avoir été découvert. Qu’est ce qu’il allait me faire ? J’étais paniqué. Tout le monde savait que les militaires étaient de super machos. Il allait me massacrer. Il continuait à tourner autour de moi comme si il hésitait encore à me frapper. Puis il s’arrêta.
-Pour ce qui est des muscles, on ne peut pas dire que tu en sois pourvu. Tu ressembles plutôt à une fille. Tu as la peau blanche et tendre comme une adolescente. Non ? Tu ne trouves pas ?
Je baissais les yeux tout en rougissant. Ce n’était pas la première fois que l’on me faisait la remarque. Je ne pouvais qu’être d’accord.
-Oui, monsieur.
-Sais-tu ? Je pourrais t’enseigner quelques trucs. C’est moi qui a appris tout ce que mon fils sait. Veux-tu ?
J’étais rassuré. Il allait sans doute me montrer des exercices pour paraître plus musclé comme son fils. Même si je n’y tenais pas vraiment, cela avait l’avantage de me faire pénétrer dans leur intimité. Et je dois avouer que si mon but premier était Jérôme, son père m’impressionnait tout autant.
-Oui monsieur. Merci monsieur.
-Bien mon garçon. Mais si tu veux être mon élève. Il va falloir te conformer à mes règles, toutes mes règles. Et la première, je veux qu’à partir de maintenant, tu ne m’appelles plus monsieur mais maître. D’accord ?
-Oui mons... Euh oui maître.
-Bien. La deuxième règle, c’est que chez moi, tu devras prendre la tenue adéquate : la nudité. Je veux que tu sois dans les meilleures dispositions pour que je puisse observer tes progrès. Allez, déshabille toi. Je vais te donner ta première leçon.
Cela m’inquiéta mais d’un autre côté, je commençais à m’habi à me déculotter assez souvent, ces derniers temps. Et lui-même était presque nu.
Il y avait déjà sur une chaise dans l’entrée des vêtements, ce qui me fit espérer que Jérôme était chez lui. Je me dépêchais de me mettre nu. Le père de Jérôme me fixa un peu plus. Puis avec sa cravache, il tapota mon sexe bandé, ce qui le fit grossir encore plus.
-Tu as bien l’air d’une jeune fille sauf ... Pour ce petit détail. Mon garçon, il va falloir t’apprendre à te contrôler. Je suis ton maître maintenant et j’exige que mes élèves m’obéissent au doigt et à l’œil, même pour ceci. Allez, viens-t-en !
Et il asséna sur mes fesses un petit coup de cravache. Nous suivîmes le couloir de la maison jusqu’à une rallonge à l’arrière où je pus découvrir une salle de musculation avec tous les appareils pour ce genre d’exercice. Mais ce qui m’étonna le plus, c’est qu’il y en avait certains d’entre eux que je ne connaissais pas. Le plus surprenant, c’est que sur l’une de ces nouveautés, une sorte de portique, se tenait un jeune homme de mon âge. Il était nu, tout comme moi. Ses bras étaient attachés au portique par des menottes. Il avait dans la bouche une grosse boule de cuir retenu par une lanière tout autour de la tête. Ses fesses étaient lacérées par des marques rouges. La raie de ses fesses était distendue par un énorme pénis en plastique noir qui dépassait en grosseur tous les échantillons que j’avais pu observer depuis quelques temps. Je restai estomaqué. Je venais de découvrir que le père de Jérôme était le professeur idéal, celui que je recherchai tant pour m’apprendre les joies (enfin je l’espérais) de la sodomie. Il m’asséna sur les fesses un coup de cravache qui me fit rentrer d’un seul coup dans la salle de classes.
-Voilà mon garçon ! Je te présente Yannick, un autre de mes élèves. Comme tu peux le voir, il est un peu plus avancé que toi dans les leçons. Il t’aidera à te perfectionner. Mais n’aie pas peur, tu auras peut-être quelquefois les fesses en sang mais tu deviendras bientôt un expert dans le fourrage de cul.

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