L'Auto-Stoppeuse

L'auto-stoppeuse

Je suis toujours célibataire je n'ai que 30 ans donc ya pas le feu.
J'ai bien eu des aventures mais que passagères, et c'est très bien ainsi.
Il me prend subitement l'envie irrésistible d'essayer autre chose, que draguer dans les bar ou les discos...

C'est plus fort que moi, je dois suivre mon instinct. Et en cette journée radieuse d'été, mon instinct me pousse vers une jeune fille sur le bat-côté de la route. Elle semble toute fraiche, et toute innocente, elle fait de l'auto-stop pour sortir de la ville. L'espace d'un regard, je ne sais pas ce qui me prend, mais je pile au dernier moment, elle doit courir pour me rattr. Je recule, normalement, je ne prends jamais personne par peur de me faire agresser !

Où va-t-elle ? Pas très loin en fait, à la ville d'à côté retrouver des amis. Elle est penchée sur moi et je détaille à loisir ses traits fins sa jeunesse. Elle sort à peine du ventre de sa mère et paraît immature. Et pourtant elle doit avoir 20 ans pas plus. Je lui fais un large sourire et l'invite à monter. Je la croque du regard en l'observant s'installer ce qui a pour effet de la faire rougir.

Elle est trop craquante cette petite jeunette, j'ai vraiment envie de m'envoyer en l'air avec elle. Je suis habillé tenu de sport, chemise largement entrouvert le torse bien velu. Ma passagère, a la poitrine gonflée, tout ce qu'il faut pour attirer le regard d'un homme et je ne m'en prive pas. Mon regard remonte presque jusqu'en haut de ses cuisses. Je la vois en train d'essayer de deviner mes intentions.

Elle est là près de moi sans bouger et sans dire un mot, je la déshabiller du regard. J'ai envie, de plus en plus envie, d'elle je n'en peux plus d'attendre, je décide de passer à l'attaque.

- Cela vous est déjà arrivé d'avoir des rapports amoureux en faisant du stop ?

Je tourne la tête vers elle, elle devient si rouge que j'ai l'impression qu'elle va éclater.

Elle ne parvient pas à répondre alors j'enchaîne.
- Moi ça m'est déjà ! Des auto-stoppeuse pas farouche me laisse mettre les mains sur leurs cuisses ou sur leurs seins et en profitent de ce que je suis en train de conduire pour me tripoter dans la culotte.

J'ai carrément l'impression qu'elle va s' ou alors sauter de la voiture.

Je lui dit pour la rassurer :

- Je n'aime pas trop que l'on essaie d'r de moi ainsi mais vous c'est différent, vous êtes très mignonne et je crois que, si vous aviez envie de me toucher, je me laisserais faire...

La pauvre, elle est complètement pétrifié dans son coin, il n'ose plus bouger. Alors j'arrête la voiture sur une petite aire déserte et me tourne vers elle. Je dégrafe ma ceinture, me soulève, me penche vers elle et pose mes lèvres sur les siennes.

- Je ne te plais pas ?

- Oh si, beaucoup.

Alors je lui donne à nouveau un baiser sur la bouche. elle se décrispe un peu et nos bouches se soudent, nos langues enlacées. Mes mains se posent sur elle, une même qui glisse sous sa jupe et caresse ses fesses sur son slip. Tout en continuant à l'embrasser, je pénètre sous sa culotte et caresse son pubis puis glisse le long de sa fente en cherchant à l'ouvrir. J'écarte bientôt ses lèvres, j'écarte ses cuisses mieux la fouillée, et finit par trouver son gros bouton qui se met à gonfler sous mes caresses. Je masturbe son clitoris lentement, doucement, elle a le bas ventre en feu, elle se cambre sous mes caresses.

Je m'arrête pour dégrafer son chemiser et baisser son soutien gorge. Je palpe ses seins, les pétrit, et en fait durcir les pointes avant de les sucer avidement. Je suis aux anges, et elle semble apprécier la façon dont je m'occupe d'elle. Tandis que je m'occupe de sa poitrine, je suis à califourchon sur elle, qui doit sentir durcir mon sexe.

Je me frotte à elle pour l'exciter encore plus. Elle me soulève légèrement pour dégrafer ma braguette et sortir mon engin ce qu'elle parviens à faire sans mal.
Elle saisies alors mon manche dans une main et entreprends de le branler doucement. De mon côté je roule sa jupe sur son ventre, écarte sa culotte et recommence à la masturber.

Nous nous branlons ensemble un certain temps, nous avons envie l'un et l'autre d'aller plus loin. Du coup j'ouvre la portière, elle sors et se mets à genoux devant moi. Elle peux plus facilement prendre son sexe dans sa bouche. Sa langue parcourt tout d'abord ma longue queue. Parfois elle aspire mes couilles. Cette belle bite l'excite. Elle l'engloutis bientôt toute entière, goulûment, jusqu'au fond de sa gorge.

Nous sortons de la voiture, je la fait s'allonger dans l'herbe, enlève sa culotte et pose ma bouche entre sa cuisse A mon tour de la dévorer, d'enfoncer ma langue, de déguster et d'aspirer son clitoris...

Puis je baisse mon pantalon et mon slip et, sans plus attendre, je pénètre son intimité au plus profond. Je sens mon dard brûlant glisser en elle comme une épée. Elle est écartelée, j'adore cela.

Nous jouissons tous les deux à même le sol comme des bêtes. Nous nous rhabillons sans trop rien dire et nous repartons. Je la dépose à la ville voisine et pars faire les courses. Je parle à des connaissances, il me vient à penser que mon auto-stoppeuse est une cochonne.

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