Retour À La Maison
Je rentre du travail, fatiguée et énervée, ces abrutis au boulot ne sont pas capable de simplement faire ce qu'on leur demande, mais je sais, une fois la porte passée, que si au boulot je suis le chef, ici, je ne suis pas le maître, je ne suis qu'une soumise...
Je m'aperçois que tu n'es pas arrivé, alors je fonce me changer, je sais ce qui te fait plaisir, je sais ce qui t'excite et ce que tu exigeras sûrement de moi..
Je prépare un petit dîner aux chandelles, me maquille discrètement mais de manière très sensuelle et décide de porter une robe boutonnée sur le devant, très courte, le décolleté laissant apparaître mon soutien gorge noir.. Je passe un petit string assorti...
Et je t'attends, prête à satisfaire le moindre de tes caprices..
... tu arrives, de très mauvaise humeur. J'essaye de t'entraîner dans un petit jeu romantique, mais apparemment, tu n'as pas passé une bonne journée.
Tu m'appelles... chienne, viens m'aider à enlever mes chaussures..
J'arrive, en espérant que tu verras les efforts que j'ai fait pour te chauffer le sang.. te retourner et te faire brûler de désir pour moi.
Tu me détailles des pieds à la tête, avec un petit sourire appréciateur, j'en déduis que ma tenue te plaît, à moins que tu ne sois en train de t'imaginer me l'arrachant..
"T'as envie de ma bite, c'est pour ça que tu fais ta petite pute ??" "Oui maître, mais je suis à tes ordres, fait de moi ce qu'il te plaira.."
"Oh, mais je sais très bien ce que je vais faire de toi, ma belle salope.. tu vas me servir de vitrine.." "De vitrine??"
Je suis en train de mouiller, mes seins pointent dangereusement, et mes entrailles se contractent à la pensée de ce que tu vas me faire subir..
"Tu voulais te faire défoncer, tu fais ta petite coquine et ta soumise mais en fait t'es qu'une petite bourgeoise qui aime se faire peur avec des mots.. t'aime que je te traite de pute, mais t'es loin d'en avoir le gabarit ma petite.
"Va dans le bureau et attends moi.."
J'obéis, me demandant ce qui m'attends, je suis de plus en plus excitée mais la crainte m'enserre le cur, j'ai vu ce soir, dans tes yeux, une lueur dangereuse..
J'ai presque froid, les pieds nus sur le carrelage froid, je me sens vulnérable et comme exposée..
Ce que j'ignore, c'est que tu as démarré à distance la webcam et décidé de me faire passé un sale quart d'heure. Tu es allé sur de nombreux sites, et tu as annoncé l'humiliation d'une jolie petite chienne..
Tu entres dans la chambre..
"Regarde l'ordinateur, ce soir, tu vas te donner en spectacle, et sache que de très nombreux yeux sont braqués sur toi, ma petite pute de femme..
Ils verront tous, ce que c'est que du dressage.. Ils t'entendent, savent que tu sais être observée.. alors vient me sucer.. et applique toi.."
"Mais chéri..." "Y a pas de chéri ce soir, juste un maître qui expose son trophée.. alors maintenant ne parle plus, les gens sont pas là pour ça"
"Bien maître"
Je te suce, je m'applique bien, en espérant que lorsque tu auras pris ton plaisir, ce jeu qui m'excite et me terrifie, prendra fin..
Mais tu m'interromps, tu ne me feras pas ce plaisir.. ce soir, tu as décidé que ce serait long..
"Déshabille toi ! Lentement, fais bien voir à tout le monde ce que j'ai dans mon lit....
Montre bien tes seins, touche toi, oui comme ça.." Et tu viens derrière moi, tu caresses mon corps qui se dévoile peu à peu..
"Fais voir ta fente.. ton petit bouton d'or.. Tu sais que t'es une affaire toi ! C'est bien, continue, fais voir ton petit cul de grosse cochonne.."
Tu commences à me tripoter.. je te sens tout dur contre moi... tu files à la cuisine et reviens avec un concombre..
"Oui, ça te rappelles des souvenirs, tu aimes les gros légumes.. je veux que tout le monde puisse voir ce que t'es capable d'encaisser...."
Tu me menottes (apparemment, tu avais tout prévu, les menottes étaient sur une pile de dossier).
Maintenant, je vais te baiser devant tout le monde, te faire jouir et tirer un max de plaisir de toi.. t'es à moi, je vais te pilonner jusqu'à te faire mal.."
Tu me pousses contre la malle en bois, me retourne comme une crêpe et relève mon cul... tu me prends en une fois et je me sens déjà au bord de l'explosion, mon corps tout entier semble plein de toi, mes seins sont tendus à l'extrême et sont douloureux.. tu me donne de grandes claques sur mes cuisses qui rougissent, je gémis sous tes coups de boutoirs et je suis prête de hurler..
Tu tournes mon visage vers la webcam..
"Je veux qu'ils te voient jouir, qu'ils sachent qu'elle esclave sexuelle et quelle perverse tu es... Tu ne penses que par ta chatte, tu mouilles dès que je t'effleure.."
Tu continues à me prendre, tu éclates tout à coup au moment où je jouis, pleine de toi.. tu m'as prise comme un hussard, sans protection.. et je sens ta sève s'échapper de ma caverne.. tu veux qu'on le voit.. puis tu débranches d'un seul coup la webcam, alors que pleine de toi, je savoures ce plaisir d'embrasser ton corps mille et une fois...
Tu me prends dans tes bras, je sens le feu qui couve encore sous ta peau et dans tes si beaux yeux.. La folie a fait place à cette tendresse forte et cet amour si fort entre nous qui nous enveloppe.
Tu me prends dans tes bras et je sais que dans l'intimité de notre chambre tu vas faire l'amour à ta femme.. comme jamais..
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