Expériences Dans Un Cinéma

Je viens d’avoir 18 ans. Depuis des années, je passes devant un cinéma porno sans pouvoir y entrer. Aujourd’hui, je saute le pas. J’entre dans la salle, tout est noir sauf l’écran. Une femme est à quatre pattes. Elle suce une bite pendant qu’une autre la baise. Je me suis rapproché d’un siège, mais il était occupé. Le gars qui était assis baissa le siège d’à côté et se relevant un peu, me laissa passer. Quand je m’assied, le gars avait laissé sa main sur le fauteuil. Je sentis que sa main avait exploré mes formes.
- Oh ! Pardon, fit-il en enlevant sa main.
Je suis resté, le regard planté sur l’écran. Je sentais celui du mec sur moi. Lui, voyait que j’étais obsédé par le spectacle du film. De temps en temps, il jetait un œil vers ma braguette. Quand il vit que je bandais, il posa sa main sur la bosse. J’essayais d’ enlever sa main mais il commença à me caresser et, le plaisir aidant, je le laissais faire. Il descendit la fermeture de ma braguette et y plongea la main. Elle était brûlante. Il la glissa dans le slip et s’empara de mon sexe. Il le caressa et constata qu’il se raidissait. Alors, il défit la ceinture du pantalon. Il saisit les bords de mon slip et le fit glisser sur mes cuisses. Il se pencha vers moi et prit mon sexe entre ses lèvres. Sa bouche était humide et chaude. Ses lèvres glissait le long de mon sexe, sa langue s’attardant autour du gland. Mon sexe était tendu comme jamais. Il passa une main derrière moi et poussant sur mes fesses, il me fit glisser au bord du siège. Il écarta mes cuisses et, se relevant, il me branla jusqu’à l’éjaculation. Les jets furent puissants. Je m’étais déjà branlé, mais jamais je n’avais senti de sensation aussi forte. Quand ce fut fini, il me chuchota dans l’oreille :
-Ca t’a plu ?
-Oui…lâchais-je, dans un souffle.
-Viens avec moi, derrière, on va aller plus loin…
Il se leva et, mi apeuré, mi rassasié, je m'enfuis du cinéma.


Trois semaines plus tard, j’y suis retourné. Je me suis assis et….rien. J’ai regardé au fond de la salle mais il faisait trop noir et je ne voyais rien. Au bout d’une heure, je me suis décidé et me suis levé.
Arrivé au fond de la salle, j’ai vu des mecs adossés au mur et d’autres debout derrière les dossiers des fauteuils du dernier rang. Les gars contre le mur me semblant plus rassurant, je me suis joint à eux.
Quelques minutes plus tard, un mec vint se placer à côté de moi. Il frôla mon genou avec le sien. Sans réaction de ma part, il colla toute sa jambe. Toujours rien. Il tenta alors de poser sa main sur ma cuisse et comme je le laissais faire, il en caressa l’intérieur , doucement, en remontant de plus en plus loin, jusqu’à atteindre l’entrejambe. Il caressa mon sexe à travers le tissu et je le sentais qui grossissait et durcissait. Il défit la ceinture de mon pantalon et extirpa mon sexe du slip. Il m’a branlé deux fois de suite. La première fois, j’ai éjaculé dans main et il s’est servi de mon sperme pour me branler une deuxième fois. Cette fois, ce fut plus long mais le plaisir fut plus intense. De sa main gauche, il baissa mon pantalon et mon slip. Je sentais le froid du mur sur mes fesses. Il passa sa main sur elles et m’enduit la raie de ma semence. Un doigt remonta de mes couilles jusqu’au trou dans lequel il s’enfonça. J’eus immédiatement une nouvelle éjaculation. Il est parti comme il était venu.
Reprenant mon souffle, je me rhabillais. Devant moi, je voyais les gens debout derrière les fauteuils. J’en distinguais d’autres qui étaient baissés devant eux et les suçaient. Fatigué, je suis parti en me promettant de revenir.
Le dimanche suivant, j’étais derrière les fauteuils. Il ne fallut pas longtemps pour que je sois entrepris. Les méthodes d’approche étaient les mêmes. Caresses furtives puis appuyées.
Zones d’attaques de plus en plus précises. Quand mon client eut mis au jour l’objet de son désir, il s'assit par terre et le prit dans sa bouche.
Il mit ses mains sur mes fesses et imprima le rythme sur lequel mon sexe glissa entre ses lèvres. Quand j’éjaculai, il prit mon sperme dans sa bouche et le recracha par terre. Satisfait, il se releva, glissa à mon oreille :
T’as une belle bite !
Et il est parti.
Je suis retourné contre le mur pour observer une autre scène. Un mec en blanc était debout comme moi tout à l’heure. Un autre était derrière lui et tenait sa bite à la main. Le premier baissa son pantalon et je vis son cul, nu. Il se pencha en avant, ses mains écartant ses fesses. Le deuxième posa sa queue sur le trou du premier et s’enfonça dans son cul. Le premier posa ses mains par terre tandis que le deuxième le saisissait par les hanches. Il se mit à le ramoner, de plus en plus vite, lui arrachant des gémissements de plaisir. Une formidable érection m’assaillit quand je m’imaginai courbé comme lui.
J’ai attendu longtemps avant d’oser. Nombre de mes tentatives ont échoué. Le premier qui a essayé, s’est approché de moi. Il a effleuré mon cul à travers le mince tissu de mon pantalon. La caresse se fit plus ferme. Alors, il posa sa main sur mon sexe. Comme il ne rencontrait pas de résistance, il défit ma ceinture. Il se colla contre moi et saisissant les jambes de mon pantalon et le descendit millimètre par millimètre. Il fit de même avec le slip et posa ses mains sur mes fesses nues. Il enfonça un doigt dans mon cul. Pris de panique, j’ai retiré son doigt, remonté mon pantalon et suis allé m’asseoir. J’ai attendu, en sueur, de me calmer avant d’y retourner.
Accoudé au dossier d’un fauteuil,j’entendais les hommes passer derrière moi, sans jamais s’arrêter. Puis, un jour, j’ai eu une idée. Un homme passa derrière moi, dans un sens puis dans l’autre. Quand il repassa à nouveau, j’ai rejeté mon cul en arrière et je l’ai touché. Quand il passa à nouveau, je sentis que cette fois sa main explora mes rondeurs. Au passage suivant, il se colla à mes fesses.
Je sentais sa queue raide contre mon cul. D’un geste assuré, il posa sa main sur mon sexe. Il constata que j’étais en érection. Il dégrafa ma ceinture, s’empara du pantalon et du slip et les baissa à mi cuisses. J’espérais que tout le monde voyait la blancheur de mon cul. Je voulais que tout le monde me voit une bite dans le cul. Le gars prit ma main et y glissa sa grosse bite enserrée dans une capote. J’ai compris ce qu’il voulait. J’ai posé le gros gland sur mon trou et d’un coup de reins, il m’a enculé. C’était la première de nombreuses autres fois. Depuis, j’ai fréquenté d’autres lieux, mais mon préféré, c’est le cinéma. La douce angoisse de l’approche. Faire ça en public et sans connaître le partenaire. C’est le pied !

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