Première Sodomie
- J'aime quand tu me tiens la bite, m'a dit mon mari !
Je devais bien lui dire quelque chose d'agréable en retour :
- Moi, j'aime bien que tu me touches la poitrine !
C'était vrai. Depuis qu'on faisait l'amour en levrette, j'aimais bien qu'on fasse une pause et qu'il me touche les seins, qu'il m'en pince les mamelons et même me les tortille jusqu'à m'en faire mal. J'ai ajouté que j'aimais bien le sucer. Ça faisait à peine trois mois que nous étions mariés et la catastrophe du début s'était transformée en merveilleuse union. Comme je n'avais pas voulu qu'on répète avant le mariage, j'avais douté des capacités de mon mari à me satisfaire mais ça s'était amélioré. Il prenait la plupart du temps le dessus et je n'avais plus qu'à me laisser faire.
J'avais tant rêvé qu'il me prenne, qu'un homme et pourquoi pas un mari, me prenne sans me demander mon avis.
- Je voudrais t'enculer, a ajouté mon mari !
Je suis restée sans répondre. Je me suis mis à penser que je m'étais trompée du tout au tout et que j'étais tombée sur un pervers. Mais j'étais déjà enceinte et je ne me voyais pas divorcer et rester seule avec un .
- Je t'aime et c'est pour ça que je veux t'enculer, a insister mon mari ! C'est pour te prouver mon amour !
J'ai aussi pensé que mon mari voulait faire de moi sa putain ou peut-être une putain parmi d'autres et capable de pratiquer ça, la sodomie.
- Tu ne te souviens pas, lors de notre nuit de noces, a continué mon mari, je m'étais trompé, j'avais enfoncé le bout de ma bite dans ton anus et quand je m'en suis aperçu, je te l'ai dit et tu m'as dit que tu ne comprenais pas ce que je te disais et tu m'as dit de continuer mais j'ai refusé...
Je m'en souvenais et d'ailleurs, comment aurais-je pu faire la différence ? Ma seule expérience c'était mes masturbations. Je m'étais bien enfoncé un crayon dans l'anus mais je n'étais pas allé plus loin...
- Je ne veux pas te faire mal, a continué mon mari.
Il était couché dans mon dos et je sentais son pénis allongé dans la raie de mes fesses. Il était dur et agité de petites secousses.
- Tu veux bien, insista mon mari ?
Je lui ai répondu que ça me dégoûtait et il m'a dit qu'il ne me ferait pas mal puis il s'est reculé et s'est enfoncé dans mon vagin.
- Tu préfères ça, m'a dit mon mari et tout en me prenant il me caressait la poitrine et j'ai fini par m'exciter.
J'aimais bien lui mettre un mamelon dans la bouche et lui demander de m'avaler le sein jusqu'à en . Il me pelotait les seins. J'avais des aréoles horribles à mon goût, immenses et sombres à cause de mon état et lui les aimait et il a fini par me les faire aimer. Il s'impatientait aussi de savoir si j'avais du lait et j'arrivais parfois à en faire sortir une goutte d'un liquide blanchâtre pas encore du lait. "Tu me promets, me disait-il, de me faire goûter ?" Je lui avais promis et j'ai tenu ma promesse.
- Je sais très bien que tu vas aimer ça, a insisté mon mari !
- Quoi ?
- Que je t'encule !
- Tu n'as pas honte, lui ai-je rétorqué !
- Non, a fait mon mari !
Il a sorti sa bite de mon vagin et me l'a enfoncé dans l'anus, sans que je n'aie la force de m'y opposer. C'était une autre sensation, toute autre que quand mon mari m'avait pénétré le vagin pour la première fois. Il s'enfonçait dans mon anus et c'était agréable. Mon orifice anal se dilatait et laissait passer son membre et je fus bientôt entièrement pénétrée, mes fesses collées au ventre de mon mari.
- Tu vois bien que tu aimes, m'a-t-il fait ! Tu te voilais la face !
Il s'est mis à me limer mais je sentais bien que ce n'était pas la même chose que par l'autre orifice. La semence m'a envahie et mon mari s'est retiré.
- Tu vois, insista-t-il encore, je ne t'ai pas fait mal et tu as aimé !
Je lui ai répondu qu'il avait fait de moi une putain et qu'une honnête femme ne ferait pas ça.
Hélène
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!