Comme Un Ouragan
J'étais sur la plage et il n'y avait pas grand monde. Mais il y avait à une dizaine de mètres de moi un type que je ne pouvais m'empêcher de regarder. Il devait avoir dans les 47-48 ans, était très grand, et avait un torse impressionnant, des muscles lourds comme ceux que les sculpteurs grecs faisaient à Neptune ou à Zeus. Ses épaules, ses mains, ses pieds, tout était surdimensionné, et je ne pouvais m'empêcher d'imaginer son pénis
Malgré mes lunettes de soleil, je crois qu'il remarqua que je le reluquais. Gêné, je me mis sur le ventre et tournai la tête, mais en prenant tout de même soin de bien cambrer mon cul rebondi.
Après dix minutes sur le ventre, je me retournais et malgré moi mon premier regard fut dans sa direction. Il était toujours là, et je crois bien que c'est lui qui me reluquait à présent.
Il y avait derrière la plage une espèce de zone un peu buissonneuse, avec aussi des pins. Ensuite, pour quitter la plage, il fallait remonter les falaises : pour ça, il y avait plusieurs petits chemins tortueux tracés par les passages répétés des visiteurs. Mais si on longeait un peu les falaises sans monter, on arrivait dans une zone un peu vague, délimitée au bout par une palissade en planches de bois. Je me levai et commençai à marcher dans cette direction avec lenteur et ostentation.
Arrivé près de la palissade, je n'eus pas besoin d'attendre très longtemps : je l'aperçus par dessus un taillis qui regardait ma déambulation inutile. Il me fixa dans les yeux, et après un bref échange de regards très explicite, il s'approche résolument de moi. Il portait à présent une serviette nouée autour de la taille, mais très bas : je voyais les poils de son pubis dépasser au dessus de la serviette et j'en restais tout fasciné, tout étourdi.
Il s'arrête devant moi et de la main sur mon épaule m'invite à me mettre à genoux. Je commence par lui embrasser le ventre : c'est délicieux. Je respire longuement l'odeur de sa sueur dans ses poils, tout en lui caressant les mollets, les cuisses.
À force de fourrager avec mon visage dans les poils de son pubis, sa serviette finit par tomber. Sa bite est comme lui : épaisse, vigoureuse et lourde. Je fais coulisser sa peau avec mes mains et ma bouche : elle glisse amplement sur une tige dure et filetée comme un boulon. Je sens des grosses veines qui roulent sous la peau mobile. Le gland, une fois décalotté, est si proéminent que je suis choqué par l'obscénité de cette anatomie.
Mais il n'a pas envie de se faire sucer : son excitation ressemble à un rut animal, et il me saisit pour me relever et me plaque de tout son corps contre la palissade. Blang ! Il m'emprisonne avec ses jambes et ses bras et commence à aplatir son ventre contre moi dans des coups de reins vigoureux. Je sens sa bite toute dure contre mon flanc.
Il commence à me baiser comme ça : sans pénétration, en m'aplatissant fermement contre la palissade et en collant sa bite à ma peau. Il commence à souffler de façon presque inquiétante. Ses cuisses et ses épaules m'enserrent comme des étaux, ses assauts ressemblent à des coups de poing !
Ses mains robustes se cramponnent avec force à ma chair : au sein, à la cuisse ou au cul. Mon maillot de bain est complètement en désordre, à moitié baissé. D'ailleurs, je ne sais pas trop dans quelle position instable je suis moi-même : je suis juste cloué à la palissade par sa chair musculeuse déchaînée.
Au moment où il jouit, ses muscles se tétanisent, et il me serre encore plus fort. Il me mord l'épaule en poussant une espèce de feulement profond, ses cuisses et son ventre se collent à fond contre moi. Ses mains herculéennes m'empoignent à plein : de celle qui m'agrippe par le cul je sens un ou deux doigts me pénétrer l'anus pour me saisir. Son torse me heurte comme un bélier : ça me fait cogner contre la palissade avec un bruit de taureau qui veut défoncer son box ! Je subis cet ultime assaut avec une délectation totale, malgré la brutalité qui me laissera sûrement des bleus.
Son pénis se liquéfie sur moi, se répand en un jus chaud et visqueux.
Bien qu'il n'y en ait que quelques millilitres, en nous dégageant, j'en ai rapidement un peu partout : dans les poils, sur le torse, les cuisses, les bras, dans le cou, sur le visage
Ça sent fort et ça colle : je me sens tout maculé par sa virilité.
Pendant qu'il s'éloigne vers la mer, je retourne sur la plage et me couche à même le sable chaud. J'adore me reposer comme ça : les hématomes endoloris s'apaisent lentement et les traces humides et collantes de cette saillie bestiale sèchent au soleil. Quand je le vois revenir de son bain, sa grande stature, sa peau mouillée au soleil, j'ai tellement envie de lui que j'entends mon cur faire boum-boum-boum dans ma poitrine.
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