Chute De Roller 3/4
Louise embrassait et léchait tout ce qui se trouvait autour du sexe de Marielle et quel sexe ! Vraiment merveilleux avec une dilatation de la vulve extraordinaire. Ses grosses lèvres étaient complètement ouvertes et très écartées. Du clitoris jusquà lanus, les lèvres rendait le sexe comme un fruit éclaté. Tous les poils pubiens dune couleur châtain clair étaient assez peu nombreux pour laisser voir le rosé des chairs. Je prenais les cheveux de Louise pour les mettre sur le côté et pouvoir regarder les fesses de Marielle et son sexe. Allongée comme elle était, et quand Louise me laissait voir, le sexe de Marielle était une caverne ouverte prête à recevoir en elle lengin qui pouvait lui apporter le plaisir jusquau fond de son ventre.
Dans un long mouvement pour pénétrer Louise jusquà la garde de mon sexe, je lui proposais de me laisser la place. Sans aucune hésitation, elle posa ses mains autour des hanches de Marielle et avança. En trois mouvements, jétais juste au dessus des fesses de Marielle qui hochait des hanches. Jentendais toujours Elise pousser ses petits cris et jétais attiré par la vue de la chatte offerte de Marielle. En tournant ma tête vers Elise, je la voyais toujours avec ses mains sous le pan de sa robe à sagiter.
Je dois remercier Louise de nêtre pas jalouse envers ses copines car, cest un peu prétentieux de le dire mais elle moffrit ses copines en se décrochant de moi pour aller embrasser Marielle et me laisser la liberté de faire ce que je voulais. Enfin, je crois quelle a fait ça car dès que Louise sécarta de moi, je me suis allongé entre les cuisses de Marielle et jai jouer avec ses lèvres. Ca faisait un bon moment que je ne métais pas trouvé en face dun tel spectacle. Quelques baisers sur lintérieur des cuisses. Sentir lodeur caractéristique du sexe féminin dans tous ses états, les caresses du bout du doigt et le contact humide et tiède des chairs tendues vers le désir et la frustration, les mouvements du bassin de Marielle appelant les caresses et les baisers,
Bref, un environnement féminin que japprécie particulièrement !
En pliant mon index, je caressais doucement les lèvres de Marielle.
Je mattendais à une rebuffade de la part dElise. Et bien non ! Alors que je continuais à caresser de la main la chatte trempée de Marielle, Mon autre main réussi à se glisser le long de la jambe la plus proche dElise et datteindre le champ de bataille. Bon ! Jexagère en parlant de champ de bataille bien sûr mais il y avait du monde.
Je quittais les fesses de Marielle pour mapprocher dElise. Elle était toujours les cuisses écartée sous sa robe. En me retournant, pour ramper vers Elise (et oui ! quand je disais « champ de bataille », je nétais pas loin de la vérité !), Louise me rabroua en me demandant de me mettre sur le dos. Elle avait un plan et je devais le suivre. Maintenant, mettez vous à ma place et tenter de ramper sur le dos !
Pour corser le tout, Louise mattrapa le sexe et elle se lenfila presque dun coup. La chaleur soudaine de son ventre autour de moi me fit une sensation délectrisation sur le bout du gland. Ouah ! super !
En regardant Louise, je ne vis que son dos. Elle sétait mise à califourchon sur moi en me tournant le dos. Physiquement, je devais entrer en elle dans le bon axe surtout quelle était penchée en avant pour soccuper des fesses de Marielle. Un peu loin pour voir ce quil se passait mais jimaginais aisément la scène. Louise se servait de moi pour son affaire et elle était tellement humide que je ne sentais pratiquement pas les frottements de mon sexe en elle. Etonnant comment des positions peuvent être sans le moindre déclenchement de plaisir. Je ne veux pas dire que je navais pas de plaisir à être en elle, bien entendu, mais je ne risquais pas déjaculer en elle car mon gland nétait pas excité par une pression ou un frottement. Pas déjaculation par ce principe mécanique mais avec Elise qui se masturbait presque devant moi, ça allait devenir sympathique.
Je réussi à poser ma tête sur lintérieur de la cuisse dElise. Sous le pan de la robe, régnait une odeur très forte de sexe. Nayant pas un cou de girafe, je décidais dapprocher Elise de moi.
Sous cette robe, les bruits étaient aussi invités. Des « Slurp
slurp » à répétition me donnait le rythme à tenir pour contenter Elise. Je pris le gode dans les mains et Elise eut quelques mal à le laisser. Finalement, je me mis à utiliser cet engin pour faire lamour à Elise. Petites lèvres rougies avec une touffe assez rare par rapport à Marielle, Elise grogna quand je sorti lengin avant de le rentrer avec une grande lenteur. Après deux mouvements de la sorte, jen avait marre de ne rien voir, ou presque. Dun mouvement ample, la robe vola et je pus voir enfin le sexe dElise écarté par le gode. En sortant le bout de plastique, le vagin restait ouvert et les lèvres roses et vraiment trempées luisaient à la lumière de la chambre. De nombreux fil de cyprine encadraient son sexe et coulaient, pour certains, vers son anus. Je jouais à enfoncer le gode en le tournant doucement pour créer des frottements vaginaux et créer des plaisirs à Elise. En retirant le gode, je me permis de déposer un baiser pile entre les lèvres, sur les petites lèvres et lentrée du vagin, là où les chairs sont dune extrême sensibilité. Elise poussa un son roque comme un grognement de fauve. Décidément, toutes ces femmes étaient des tigresses ! Au fur et à mesure, Elise me laissa tout loisir à la masturber et à la défoncer (terme très méchant et loin des actions que je faisais) avec le gode.
Pendant ce temps, Louise continuait à me faire glisser en elle. Dun coup, Elise se redressa et ma tête tomba sur le lit. Je la regardais faire en mattendant à en prendre une. Sans comprendre pourquoi car javais été doux depuis le début, Elise, se mit à genoux et retira sa robe. Elle retira, ou plutôt, fit voler son soutif pour libérer deux petits seins tout mignon. Loin dêtre au niveau des poitrines de Louise et de Marielle que jespérais voir et toucher bientôt, elle était quand même assez mignonne. Toujours sans un mot, Elise me chevaucha le visage et plaça son sexe au dessus de mon visage. Sans mot, je réussi à comprendre que ma prochaine occupation serait de la lécher, ce que je fis avec plaisir. Je la trouvais un peu brusque dans ses manières et elle avait une drôle de tendance à chercher à m avec sa chatte. Je dus prendre ses fesses dans les mains pour contrôler ses mouvements pour ne pas mourir par en léchant un sexe féminin. Je pense que sur ma pierre tombale, cela aurait fait tâche à côté de « pour mon mari bien-aimé » et de « A ma tata préférée », davoir un « Etouffé par une vulve baveuse ».
Tellement occupé à lécher Elise et, de temps en temps, à lui enfoncer le gode que je gardais à porter, je me suis pas aperçu que Louise mavait libérer le sexe. Cest en écoutant les bruits de la chambre que je compris que Marielle et Louise devaient soccuper entre elles. Elise était bouillante et je pensais bien que jallais pouvoir entrer en elle avec autre chose que mes doigts, ma langue ou son gode. Une main mattrapa le sexe et commença à jouer avec. La tête dans le sexe dElise, je laissais faire sans maîtriser quoi que ce soit. Contre toute attente, Elise leva une jambe pour me libérer. Ouf ! je respirais librement !
Pendant son mouvement, je voyais sa chatte complète et écartée. Elle navait aucune pudeur extrême et me montrait toute sa féminité sans peur. Ensuite, elle recula et se plaça au dessus de mon sexe. En levant la tête, je vis quelle était la responsable des caresses sur moi. Elle se plaça juste au dessus de ma tige tendue et prisonnière de ses mains puis commença à me faire glisser le long de sa fente. Les seuls mots, qui me sont venu à ce moment là, sont « Oh ! putain ! » car javais le gland dans une sensibilité extrême et je sentais que jallais éjaculer dans la demi-seconde qui suivait. Avec un grand effort, je réussis à me contenir. Pô simple mais efficace, je me suis mis à penser aux impôts, un cassoulet, de la merde, bref, à plein de trucs qui pouvait me couper lenvie dasperger les lèvres qui mencadraient. Quand Elise se décida à me diriger en elle, la sensation était encore très présente et je dis à Elise que jallais éjaculer et quelle devais arrêter. A ce moment là, soit elle à joué à la sourde, soit elle ma testé. Elle a recommencer ses caresses le long de son vagin avec mon gland. Toutes les images du monde ne maurait pas aidé. Jai explosé dun jet sur Elise qui samusa à récupérer le sperme et se mouiller la chatte avec. En trois à quatre spasmes, javais vidé la cartouchière. Elise, ne voyant plus rien sortir de mon sexe, se décida à me faire entrer en elle. Loin dêtre dans la phase « débandage », je suis resté dur en elle. Elle avait un gode en chair et sans os en elle.
Entre les deux nanas à côté de moi qui se faisaient un joli 69 et Elise qui me chevauchait telle une amazone, javais droit à un concert de grognements et de gémissements. Joli concert ! Après un long moment dans cette configuration, Louise et Marielle arrêtèrent et regardèrent Elise me faire lamour. Oui ! Quand on est allongé sur le dos et quune femme joue les rodéos sur votre sexe, il faut arrêter de dire que vous faite lamour à une femme. Cest le contraire !
Maintenant, pourquoi Elise, pourtant du style lesbienne assurée et contre tout possession par un homme, sest laissée prendre au jeu hétéro ? Sur le coup, jen avais rien à foutre
Je prenais le plaisir comme il se présentait et je dois bien avouer quil était assez génial. Les filles étaient parti dans un délire digne des plus beau film de cul et jétais linstrument de leurs plaisirs. Javais bien quelques concurrents comme le gode dElise mais je ne me plaignais absolument pas de mon rôle. Maintenant que toute cette aventure est terminée et avec du recul, je me demande si dans chaque femme lesbienne, il ny a pas un côté refoulé qui recherche les rapports hétéros. Au vu de ma très petite expérience dans ce genre de rapport, il est difficile de généralisé. Pour ce que je connais, Elise a pris son pied avec moi. Marielle, la plus âgée et donc, pour moi, la plus accrochée à son statut de lesbienne, a aussi pris son pied. Il y avait bien Louise mais je la soupçonne dêtre une bi-sexuelle qui se cache son statut
Louise a un caractère à chier ! Si ! Si ! Quand elle décide un truc, cest clair quon ne lui fera pas changer davis
Sauf, si cest elle qui décide. Dans un moment de faiblesse, je pense quelle pourrait me dire quelle na jamais voulu de mec pour une multitudes dexcuses plus ou moins valable. Je ne vais pas commencer à lister toutes les excuses sinon, plusieurs lecteurs vont se jeter du haut du pont ! Certains seraient recevable au vu des gros cons qui prennent les femmes pour de la viande. Dautres seraient limites avec une généralité un peu facile, un peu comme le genre de réflexion « La femme au fourneau » ou « les blondes ont un cerveau moins lourd », bref, toutes ces réflexions bien trop facile et bien trop rapide à dire. Les faibles desprit et les pôvres bougres qui ne vivent quà travers les dires des autres se reconnaîtrons mais navouerons jamais.
Donc, pour en revenir à cette journée extraordinaire, jétais tranquillement allongé sur le dos avec Elise qui commençait à se secouer dans tous les sens en sempalant sur mon membre bien dressé. Quand je dis « secouer », ça pourrait être « gigoter », « sauter », trembler »,
Elle avait tout de la femme faisant un rodéo sur un cheval fou. La grande différence était que le cheval fou était assez immobile si on oublie les sauts que le matelas mobligeait à faire. Javais une frousse, cest quelle torde mon sexe et quelle tombe dessus de tout son poids. Non quelle soit lourde, elle aurait pu me faire super mal, et elle aussi. Jai eu de la chance car rien de mal ne se passa. Elle se fit le maximum de bien avec moi et je profitais de « mon temps libre » pour regarder les deux autres nanas se faire leur 69. Pour Marielle, je navais pas vraiment de chance car sa poitrine était collée contre le ventre de Louise. Depuis le début des ébats, je navais vu que les courbes, façon film érotique où tout se joue sur quelques images, et laisse limagination faire le reste. Pas de problème pour moi, mon imagination fonctionnait à plein régime.
Au bout dun moment, alors quElise était toujours aussi agitée, les filles arrêtèrent leurs baisers et elles me regardèrent avec Elise. Je voyais enfin la poitrine de Marielle. Des seins arrondis avec une belle formes. Comme Louise, la blancheur de la peau autour des mamelons contrastait avec la couleur générale de la peau. On pouvait deviner le dessin dun maillot de bain. Un peu plus tombant que ceux de Louise, le dessin du galbe était parfait et les tétons très prononcés semblaient représenter de profile un carré presque parfait. Je réussis à dire à Marielle quelle était belle mais les sauts de Elise mempêchait de parler normalement. Marielle et Louise se regardèrent et pratiquement sans un mot, elle nous rejoignirent. Louise se plaça devant Elise en se mettant à califourchon sur mon ventre. Je sentais ses poils pubiens me chatouiller le ventre. Jimagine quelles se sont embrassées et caresser. Quoi quil en soit, Elise ralenti un peu ses sauts de puce.
Marielle se pencha vers moi à me toucher le nez :
- « Tu lèches super bien pour un mec. Tu mérites un cadeau »
- «
Je te sucerais bien les seins
Ils sont beaux » dis-je avec un peu de gêne.
- « Tiens, prends les et après, je veux encore que tu me lèches »
Elle resta penchée au dessus de moi en plaçant une de ses tétines devant ma bouche. Je neus que le loisir douvrir ma bouche et tendre la langue pour toucher le téton durci. Marielle me laissa faire tout en me parlant :
- « Si tu es gentil, tu auras tout ce que tu veux
Oui, comme ça
Tu te débrouilles vraiment bien
»
Elle narrêta pas de me féliciter et de me motiver durant tout le temps où jai jouer avec ses seins. Elle les prenait pour enfoncer le téton et un maximum de son sein dans la bouche. Dès quelle dut sentir quelle en avez assez, elle membrassa à pleine bouche et se plaça au dessus de moi.
Elle se glissa un doigt dans la chatte et lenfonça complètement. En le sortant, je voyais clairement cette femme se caresser le sexe. Elle sorti le doigt et me le présenta. Sans même réfléchir, jattrapais le doigt pour le sucer. Elle refit le manège une dizaine de fois, toujours avec le maximum dérotisme dans le geste et la vitesses dexécution. Ensuite, elle plaça sa chatte juste devant ma bouche et me laissa lui prendre les fesses pour la lécher lentement. Combien de temps, je ne sais plus, mais cétait super bon. Pendant ma grosse lèchouille de la chatte de Marielle, Elise et Louise changèrent de position et ce fut Louise que je retrouvais empalée sur moi. Je préférais car elle était plus douce et plus en harmonie avec moi. Quand Marielle décida darrêter, elle se retira et vint me faire un gros baiser à pleine bouche. Elle me demanda :
- « Maintenant, ton cadeau. Tu as déjà vu une femme se faire pénétrer ? et deux ? »
- «
non, jamais ! »
- « Tu veux me voir avec Louise ? »
- «
vous allez faire ça avec qui ? »
- « Mais non, gros bêta, on a des outils
tu vas voir
»
Sur ces paroles, elle se leva, magnifique et ouvrit le tiroir de la table de nuit.
Si chez vous, vous avez des petites affaires dans votre table de nuit, Louise et ses copines ont des outils. Maintenant, je les connais, mais la première fois, ça choque ! Marielle prit une sorte de tube bleu dune soixantaine de centimètre. Le tube était souple pour être plié dans le tiroir du petit meuble. Marielle appela Louise et lui montra lengin. Louise semblait heureuse à cette idée. Marielle lui proposa de me montrer comment elles faisaient sans moi. Louise et Elise rejoignirent Marielle.
Jen profitais pour me relever et cela me fit un maximum de bien. Javais le dos en compote ! Avec ma chute de la journée et
les deux heures de cabrioles sur le lit avec ces trois tigresses, jétais sur les rotules ! Elles, par contre, avaient une pêche de folie. Trois petites nanas sur des vélos et maintenant, trois infatigables du sexe qui ne sarrêtent même pas pour boire un coup. Sur certains endroits de mon corps où les ronces avaient laissé des traces, la sueur me faisait mal. Je nallais pas me plaindre de peur de casser lambiance et de passer pour une pauvre petite chose qui ne méritait pas la présence des filles. Je supportais la douleur en me demandant ce quelles me préparaient. Elles discutaient entre elles et, après un petit conciliabule, Elise revint vers moi et me demanda de la prendre par derrière comme Louise. Nous mettions nos affaires en place pour quil ny ait pas dincompréhension pendant que Louise et Marielle se mettaient assises face à face avec le gode double entre elles.
Elise, la petite et douce Elise se dévoilait en super nova. Autant elle était timide et réservée que, dès quelle ouvrait la porte, on découvrait une tornade. Les instructions que jentendais ressemblaient plus à des ordres quà des demandes ou des ententes cordiales. Chaque fille pouvait largement se contenter seule et jétais là uniquement comme un autre jouet sexuel. Loin de men plaindre pour le moment, javais tout loisir den profiter mais je jouais sur des ufs. Je sentais que si jamais javais la malchance de faire ou dire une erreur, jallais me retrouver à poil avec mes griffures sur le palier de la porte en une fraction de seconde. Pour en revenir à Elise, elle se mit à quatre pattes sur le lit et écarta les jambes sans aucune gêne par rapport au début. Je pouvais voir sa chatte poilues avec le renflement de sa vulve. La raie de son sexe continuait après son anus et je ne pouvais pas voir ses lèvres ouvertes comme Marielle. Elle me demanda de la regarder faire et de la pénétrer doucement. Elle mexpliqua sans aucune difficulté que cétait la première fois et quelle ne savait pas si jallais lui faire mal ou non. Dans sa phrase, il y avait un sens du style « Vous, les mecs, vous êtes tellement brusque ! ».
Donc, jai pris sur moi car je ne pouvais pas lui prouver quelle avait tord avant davoir fait mon affaire avec elle. Pour lui prouver ma bonne fois, je lui demandais ce que je devais faire si javais envie déjaculer. La question la laissa un moment sans réponse. Enfin, elle leva les épaules et me dit avec la plus grande franchise : « De toute façon, personne na de capote, alors
». Ok, javais donc libre cours pour menfoncer dans le ventre dElise et lui arroser la partie la plus précieuse de son corps si javais mon excitation à son paroxysme. Pendant ce temps, Marielle et Louise commençaient à se caresser en étant assise en tailleur face à face.
Ma main se posa sur la toison dElise et je commençais à la caresser. Elise était en face des deux autres filles et elle pouvait, à son gré, les embrasser ou plus si affinité. Doucement, toute la scène commença à devenir de plus en plus chaude. Les deux filles, après sêtre embrassées, se caressaient les seins et les embrassaient. A les voir comme ça, jétais excité comme un fou. Cest dingue comme elles étaient dans une scène extra érotique. Avec la caresse sur le sexe dElise et les filles se donnant lune à lautre, Elise neut aucune difficulté à souvrir comme une fleur. Quand mon doigt réussi à se glisser entre ses lèvres, je découvrit aussitôt un lieu chaud et humide à souhait. Mon doigt mouillé pu alors se promener sur son clitoris et jouer avec. Elise recommença à grogner et à gémir. Mon sexe était raide à me faire mal tellement le fait de jouer avec le sexe dElise et les deux nanas en face mexcitaient. Louise et Marielle avaient commencé à se masturber avec les mains. Chacune avait sa main sur le sexe de lautre quand mon sexe entra dans celui dElise. Dans un grand mouvement lent, mon sexe glissa sans problème dans celui dElise. Javais limpression de menfoncer dans un gouffre sans fond. Elise eut un petit cri quand jatteint la totalité de mes capacités en elle. Je commençais un retrait pour sortir un maximum de mon sexe en laissant juste la pointe du gland entre ses grandes lèvres. Louise et Marielle gémissaient de concert avec un rythme de plus en plus fort quand je me ré-introduisit dans Elise. Par rapport à la position où Elise gigotait sur moi comme si elle avait les doigts dans la prise secteur, là, elle ne bougeait pas dun pouce et était devenu de marbre. En jetant un il sur les deux autres nanas, je vis les filles senfoncer chacune un côté du gode en elle.
Très beau quand le gode se glisse dans un sexe. Je vois pour la première fois de ma vie le sexe de la femme, sécarter et gonfler au fur et à mesure que le sexe se remplit du membre. Chacune des filles arrêta lenfoncement à mi parcours de la longueur disponible. Après un autre aller et retour dans Elise, Elise se pencha en avant et attrapa du bout des doigts le milieu du gode. Je voyais les toisons de Louise et Marielle en face à face : Lune avec ses grosses lèvres écartées et les chairs roses luisantes autour du petit tube, lautre avec ses lèvres un peu moins prononcées mais tellement peu de poil que le sexe semblait avoir une forme ronde pour accueillir loutil.
Elise commença à faire entrer le gode dans lune puis dans lautre à tour de rôle. Le rythme était lent et les filles écartèrent les jambes au maximum pour offrir à Elise la joie de les pénétrer à tour de rôle. Je ne sais plus combien de temps ce la dura mais, javais éjaculer dans Elise bien avant la fin de ce va et vient sexuel et mécanique dans les deux nanas. Le rythme sétait accéléré franchement et vers la fin, avant que Marielle néclate dans un orgasme de folie, Elise allait tellement vite quelle devait faire mal à lune des deux, voire les deux. Je voyais clairement les visages des filles se déformer et je me demandais si cétait lexcitation ou la douleur. Quoi quil en soit, quand Marielle eut son orgasme, Elise retira presque aussitôt le gode des chattes et, comme dans un exercice bien ficelé de longue date, Louise et Marielle se rapprochèrent pour permettre à Elise denfuir son visage sur les deux chattes explosées. Elise était déchaînée et elle tournait son visage dun côté à lautre pour, sûrement, lécher les deux vulves ouvertes.
Moi, de mon côté, je faisais petit joueur et je tentais de suivre les mouvements dElise pour rester en elle et continuer à lui donner du plaisir. Chaque pénétration que je faisais était agrémentée dun mouvement sur le côté pour frotter les parois dElise. Sans vraiment savoir si je réussissais à lui procurer un plaisir ou non, je continuais avec toujours autant de douceur au cas où un mouvement lui fasse mal. Aux mouvements de son bassin, javais limpression quelle trouvait du plaisir dans ces caresses internes. Elle, qui était du style violente dans ses rapports, trouvait peut-être ici de lérotisme, de la passion, du glamour dans une relation sexuelle pleine déchanges et damour.
Lamour était un grand mot dans ce moment car les sentiments nétaient pas vraiment nés. Seuls les plaisirs étaient présents et lamour ne correspondait quau plaisir de donner du plaisir et de faire perdre pied à la personne den face. Alors que Marielle est Louise finissaient en se plaquant les sexes lun contre lautre pour se frotter très langoureusement, Elise les laissa tranquille et se concentra sur les mouvements de ses hanches pour me faire glisser en elle. Elle avait trouvé les mouvements lents dune danse Indienne et elle avait changé ses grognements habituels par des gémissements très longs. Tel un cavalier de rodéo, javais la satisfaction davoir dompté une jument sauvage. Ca fait très égocentrique mais je préférais cet échange empli de sensualité et de douceur à la charge bestiale que Elise semblait être gourmande. Tout à mon affaire, javais aussi loccasion de caresser les petits seins dElise. Je passais mes mains de son ventre à sa poitrine en contournant les tétons pour faire monter le désir et rendre frustrer cette tigresse. En fin de compte, jattrapais ses pointes pour les caresser et les titiller doucement.
Sans vouloir me vanter, jai un sexe de bonne longueur. A mon avis, il est normal mais je sais quune de mes anciennes femmes me disait que je lui faisais mal en tapant au fond de son vagin. La conclusion métait donc venu que mon sexe était de taille très honorable. Elise en profitait sur toute la longueur. Elle me faisait carrément sortir delle avant de me laisser glisser jusquà atteindre la garde. Les bruits de sucions donnaient une ambiance particulière à faire rire. Louise me rejoignit et membrassa sur la bouche. Elle était toute rouge et en sueur. Marielle se redressa aussi et regarda Elise qui était affalée sur le lit avec la croupe en arrière.
Je massis sur les talons et Elise se recula pour gérer elle-même le rythme de ma pénétration. De ma place, je voyais clairement mon sexe disparaître dans son corps. Marielle se mit à côté de moi. Avec les deux femmes à mes côtés et leurs poitrines rondes et lourdes en vue, mon excitation ne risquait pas de descendre. Je montrais aux filles mon sexe disparaître dans Elise.
Curieuses et vicieuses, elles se penchèrent pour se mettre à la hauteur de mon bassin pour regarder le sexe et les fesses dElise engloutir mon membre dur. Penchées en avant, jen profitais pour attr un sein de chaque fille dans mes mains. Chaque sein tenait juste dans ma main et javais loisir de jouer avec la forme et tout le poids. Elles restèrent comme ça quelques temps pour regarder leur copine faire lamour. De mon côté, jen ai bien profité pour jouer avec leur poitrine. Voyant les filles penchées en avant, jen profitais pour quitter leurs poitrines et glisser sur leurs dos vers les fesses. Après une longue caresse sur le dos en englobant les fesses tendues en arrière, je conclu quelles nétaient pas contre un peu plus !
Mes mains se glissèrent le long de leurs fesses pour atteindre leurs sexes. Pour Marielle, je trouvais aussitôt les lèvres écartées et la moiteur de son sexe. Pour Louise, mon doigt entra directement dans son vagin sans le faire exprès. Je sortis mon doigt de Louise et commença à caresser doucement les sexes ainsi offerts. Mes doigts jouaient avec le clito et caressaient avec beaucoup de tendresses les lèvres humides. Elles étaient bouillonnantes et je découvrais encore une fois les délices des glissades le long de ces canyons de plaisir. A part Elise qui continuait les longs mouvements en mutilisant comme gode perso, personne ne bougeait à part les caresses de mes mains et les balancements de Louise et Marielle davant en arrière. Cette situation aurait pu durer des heures tellement cétait génial !
Elise, comme à son habitude, ne pu réfréner ses ardeurs et elle commença à partir en live ! Elle gémissait de plus en plus fort et cela allait de pair avec ses mouvements de plus en plus rapides. Javais limpression que Elise donnait le rythme à toutes les filles car les gémissements de Louise et Marielle donnaient aussi dans le tempo supérieur. En quelques instant, la scène dun grand érotisme devint un grand nimporte quoi de sexe hardcore !
Elise recommença à grogner en tapant ses fesses sur moi pour me faire entrer avec beaucoup plus de force. Elle était redevenue la furie sempalant sur un manche disponible. Inquiétante cette nana ! Elle se secouait tellement que mon sexe sortait complètement du sien et javais même peur que jentre directement dans son anus sans avertissement. Sa chatte devait être tellement ouverte et trempée que jentrais toujours directement en elle. A deux reprises, Elise eut mon sexe dans son anus. Sans entrer totalement, la force du mouvement dElise fit que mon gland pénétra en parti dans son petit trou. Elle ne semblait pas contre et elle ne fit aucune remarque. Pour ma part, je ne suis pas du genre à me glisser de ce côté !
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