Mon Maître À Dit (Partie Ix)
MON MAÎTRE A DIT
(Partie IX)
La punition devient pénible et je commence vraiment à regretter mon voyage à Venise.
Une fois de plus, il ma conduite à la salle de bain en laisse, me faisant avancer à quatre pattes comme une chienne.
Sous la douche, je craque et pleure toutes les larmes de mon corps.
Cest une femme épuisée, vidée, quil rattache au pied du lit.
Vers vingt et une heure, on frappe à la porte.
« Haa ! Vous voilà enfin ! Bonsoir Francesca, comment vas-tu depuis lannée dernière ? Et toi, belle Diletta, toujours aussi coquine ? Hummm ! Vous êtes superbes ! »
Il revient dans la chambre en tenant deux superbes créatures par la taille.
A nen pas douter, elles sont italiennes pure souche. Grandes, minces, brunes aux cheveux longs et poitrines arrogantes sont autant de détails qui ne trompent pas, sans parler de leurs prénoms.
Il les enlace, lune après lautre et les embrasse avec fougue et passion.
Les filles le caressent comme sil sagissait dune divinité, tout en ronronnant.
« Chi è ? »
« Ca, Diletta, cest une délicieuse soumise française. Jen ai fait ma favorite. Mais pour linstant, elle est punie. »
« È perfetto ! »
« Haha ! Cruelle et jalouse ! Jadore ! »
Francesca saccroupie face à moi. Elle caresse ma joue et sa main descend lentement sur mon corps, jusquà mon vagin.
Elle titille mon clito un instant et me voyant réagir à sa caresse, elle pénètre deux doigts dans ma fente humide.
« Humm ! Elle semble tintéresser. Tu veux jouer avec, pendant que je moccupe de Diletta ? »
Sans répondre, elle approche ses lèvres des miennes et membrasse tendrement.
Je me laisse faire, sans oser bouger. Jaimerais la caresser à mon tour, mais jignore si jen ai le droit.
Sir Jefferson sallonge sur le lit avec lautre fille. Je ne les vois pas, mais je les entends rire et échanger des baisers.
Je suis un peu vexée dêtre ainsi mise à lécart, mais je compte bien sur la belle Francesca pour passer un moment divin. Ca se présente bien car elle se lève et se débarrasse de sa robe dété.
Ses courbes sont sublimes et sa peau bronzée donne envie de la croquer.
Une fois nue, elle se place debout au dessus de mon visage, me présentant un coquillage parfaitement lisse.
Depuis cette nuit avec mon amie Sylviane et mes petites expériences avec Chastity et Viola, je sais que lamour au féminin est une chose exquise.
Alors, je ne me ferais pas prier pour y goutter.
Ma langue écarte les grandes lèvres et frétille pour aller plus loin. Elle ne dément pas le fait que les latines sont chaudes comme de la braise.
Je la sens trempée et baveuse. Sa mouille coule déjà le long de ma langue et sur mes lèvres.
Quel gout fantastique.
Je ne la touche pas, mais je me masturbe frénétiquement. Mes gémissements, étouffés par la vulve détrempée, accompagnent ceux de Diletta, et ceux de Francesca que japerçois là haut, suçant mon Maître debout sur le lit.
Tandis que je dévore sa chatte, elle se régale du sexe de Sir Jefferson, ne laissant à Diletta pas dautres choix que de lui aspirer et lui lécher les couilles.
« Ho ouiii ! Bouffez-moi la queue, petites trainées ! Je vais jouir sur vos faces de salopes ! Haaa ! »
Et cest ce quil fait. Je le vois par en dessous, arroser copieusement le visage des deux italiennes. Impossible pour moi de ne pas subir des dommages collatéraux, et du foutre sécoule dans mes cheveux et mon il droit.
Le jus me brule et je mempresse de lessuyer de ma main libre. Mais pour ce faire, jai du suspendre mon cunnilingus et ce nest pas au gout de la belle Francesca.
« Ma ? Che cosa fai ? Continua, connasse ! »
Elle agrippe mes cheveux et frotte sa moule inondée sur mon visage. Elle fait pénétrer mon nez et manque de m lorsque soudainement, elle jouie en abondance sur ma frimousse.
« Haaa, sìììì ! Vengo ! »
Elle marrose largement de sa jouissance. Je lèche et lape autant que je peux, pour boire au maximum de ce plaisir féminin enivrant.
Mais je suis très vite oubliée.
Les trois compères descendent une bouteille de champagne et séclipsent dans la salle de bain une bonne heure.
Je les entends rire et
jouir de nouveau.
Moi, emportée par la fatigue, je mécroule sur la moquette et je mendors. Dans la nuit, je serrais réveillée à deux reprises par les cris des filles en jouissances.
Au matin, à mon réveil, elles seront parties.
Je suis détachée et mon Maître minvite à table pour déjeuner. Il est souriant et soccupe de moi, préparant mes tartines beurrées ou me resservant du thé.
Nous prenons une douche ensemble, mais surement épuisé par sa nuit, il ne me touche pas.
« Je lève ta punition. Nous voilà quitte et jespère que dorénavant tu réfléchiras à deux fois avant de faire une bêtise. »
« Ho oui, Maître. Jai bien compris ! »
« Parfait ! Jimagine que tout ceci ta fatigué. Couche toi et dors, ta soirée risque dêtre longue. »
Je ne me fais pas prier et me glisse dans les draps froissés. Ils embaument le parfum et lamour. Cest dans ces effluves de sexe que je mendors comme un bébé.
Je me réveille vers dix huit heures, en pleine forme. Je suis seule. Sir Jefferson est sorti.
Je saute sous la douche en chantant.
Peut être vais-je enfin voir Venise comme une vraie touriste ?
Je me pomponne et me glisse dans une robe fourreau moulante, noire et ultra courte, avec un décolleté renversant et épaules nues, sans bretelles.
Bien sur, je nai pas oublié, pour laccompagner, de prendre de jolis escarpins vernis avec des talons de douze centimètres.
Mon Maître rentre enfin.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche
»
« Laisse tomber ! Humm ! Tu es exquise Léna ! Je tinvite au restaurant et ensuite nous sommes attendus à une soirée organisée par un ami.
Tout ceci est excitant et je suis sur que cette soirée vat être fantastique. Je sais que Sir Jefferson côtoie le beau monde, je ne pourrais quêtre éblouie et ravie.
Cest dans un gentil petit restaurant que nous commençons la soirée.
Mon Maître est heureux de me voir détendue et souriante et il me le fait savoir.
« Tu es radieuse ce soir. Tu es magnifique, et je ne crois pas que se soit ce jeune serveur qui me contredira ! »
Cest un jeune et beau garçon qui vient prendre notre commande. Comprenant le message que vient de madresser Sir Jefferson, jécarte mon décolleté dun doigt distrait. Je pose mon autre main sur le rebord de la table et jétire mes doigts jusquà effleurer le pantalon du jeune serveur.
Le pauvre, intimidé, se recule dun demi-pas. Il prend note de la commande de mon Maître et senfuit se cacher en cuisine.
« Haha ! Le pauvre est bien jeune encore. Dans quelques temps il savancera plutôt que de reculer. Cest bien, Léna ! Jai apprécié ton initiative. »
« Merci Maître. Derrière vous, un homme ma vu faire et il semble avoir apprécié également. Il me fait des illades et se penche un peu pour regarder sous la table. »
« Humm ! Parfait ! Écarte toi bien un petit instant, puis rends toi aux toilettes. Tu ne peux pas le laisser comme ca. Je te donne carte blanche. »
Mes jambes étaient déjà bien écartées, mais jobéis. Jéloigne encore un peu plus mes cuisses lune de lautre. Le bas de ma robe, pas vraiment extensible, suit le mouvement et remonte jusquau haut de mes cuisses. Je me sens vraiment provocatrice, très salope, et jaime ca. Je suis toute excitée et je sens ma fente shumidifier.
Je vois lhomme réajuster ses lunettes et regarder mon entre jambes discrètement, prenant garde de ne pas se faire voir de son épouse.
Cest un type dune cinquantaine dannées, gros, voir gras. Il est dégarni sur le sommet du crane et de grosses gouttes de sueurs y roulent. Il ne cesse de séponger, sans résultat.
Jignore si cest la chaleur ou si cest moi qui le perturbe, mais la fraicheur des toilettes devrait lui faire grand bien.
Je lèche le bout de mon doigt en lui souriant et me lève en direction des toilettes, sans rabaisser ma robe.
Sans hésiter je pénètre dans ceux réservés aux hommes. Installée devant un lavabo, je me lave les mains.
Je nai pas longtemps à attendre avant que ne sécrase dans mon dos, le gros ventre du client.
Je me redresse et il empoigne mes seins. Dans le miroir, je le vois, rouge écarlate, se pencher dans mon cou pour lembrasser.
Je recule, le forçant à faire de même et nous pénétrons dans une cabine. Il perd léquilibre lorsque larrière de ses genoux heurte le siège des toilettes.
Dans sa chute, il saccroche à ma robe qui descend jusquà ma taille.
Je ferme la porte précipitamment et me retourne.
Il est maintenant assis et ses mains sur mes fesses mattirent à lui. Il embrasse mon ventre, lèche mon nombril.
Je me penche un peu pour que sa bouche puisse atteindre mes tétons et mes seins.
Ses mains ségarent maintenant sous ma robe. Il la remonte aussi haut quil le peut et je me retrouve juste couverte dune grosse ceinture de tissu.
Je lève une jambe et pose mon pied sur le réservoir. Lhomme plonge son visage entre mes cuisses et se désaltère à ma source.
Lorsque sa langue titille mon clito, je ne peux mempêcher de crier de plaisir, priant pour quil ny ait personne dans les toilettes voisines.
Voyant quil nen peut plus et son pantalon menaçant dexploser, je m'accroupis face à lui et libère son membre.
A limage de son maître, il est petit et gros. Je nai aucune difficulté à le prendre tout entier dans ma bouche. Lhomme ne semble pas satisfait et appui fort sur ma tête. Certes, si son membre est petit, en revanche, ses couilles sont énormes et cest celles-ci quil veut que jengloutisse. Je fais ce que je peux, alternant couilles et sexe et il ne me faut pas longtemps pour le vider de tout son jus.
Triomphante, je retourne à ma table en me passant la langue sur les lèvres.
« Merci Maître ! Cétait délicieux. »
« Jen suis ravi. Retournons vite à lhôtel, je ne voudrais pas être en retard pour notre rendez vous. »
Apres une bonne douche, je vais voir mon Maître.
« Maître, comment désirez vous que je mhabille, ce soir ? »
« Comme ca ! Se serra très bien ! »
« Mais Maître, je suis nue ! »
« Je le vois bien Léna. Mets tes chaussures et approche. »
Chaussée de mes escarpins, je mapproche de mon Maître, assit sur le lit.
Sur celui-ci est posé un loup de carnaval et une chose en tissu noir que je narrive pas à définir.
Le loup, noir, est orné de plumes noires sur le dessus et le contour des yeux est sertit de petites pierres brillantes.
Sir Jefferson me le passe et me place devant un miroir.
« Cest très joli, Maître. »
« Et avec ceci, ce serra encore mieux. »
Il prend la boule de tissu et la déplie. Cest une grande cape avec une capuche. Ca ressemble à un vêtement médiéval.
Il la pose sur mes épaules. À quelques centimètres sous mon cou, il la ferme grâce à une fibule de cuir et de métal, puis il couvre ma tête avec la capuche.
Il me laisse seule devant le grand miroir et je dois bien reconnaitre quainsi affublée, je me trouve belle et mystérieuse.
Il revient quelques minutes plus tard, habillé super classe, dans un costume surement italien et sur mesure évidement. Il porte également un loup noir, mais sobre.
Il attache ma laisse et nous voilà parti.
Mes mains sont crispées sur les deux pans de la cape pour la tenir bien fermée. Mais une fois sorti de lhôtel et deux rues plus loin
« Mets tes bras le long du corps et lâche cette cape ! »
« Mais ! Maître ! Elle va souvrir ! »
Il sarrête et se place devant moi. Derrière son loup, je vois ses yeux me lancer des éclairs.
« Désires-tu être punie de nouveau ? »
« Ho non, Maître ! Pardonnez-moi ! Je vous présente toutes mes excuses ! »
Pauvre conne que je suis ! Voilà comment mal finir un voyage.
Heureusement pour moi, il semble détendu et magnanime.
Nous arrivons place Saint Marc.
A chaque pas, ma cape souvre un peu, dévoilant en alternance mes jambes droite et gauche, jusquà mes cuisses.
Bien que la nuit soit tombée, la blancheur de ma peau attire les regards des quelques couples damoureux qui trainent sur la place.
Plus calmes, je ne reçois aucune injure. Juste des regards étonnés et interrogateurs.
Un coup de vent fait voler ma cape derrière moi, me dévoilant complètement.
Jentends une jeune fille pousser un « Hooo ! » admiratif.
Voilà qui fait plaisir à entendre.
Je ferais le reste du chemin complètement à laise et très fière dêtre en compagnie de mon Maître dans cette ville magique.
Nous prenons plusieurs ruelles, traversons un pont, mais jignore lequel.
Encore quelques passages étroits et nous arrivons face à une demeure somptueuse.
Nous pénétrons dans une cour intérieure, éclairée par des centaines de bougies.
Il y a un monde fou. Hommes élégamment habillés et femmes, tout comme moi, revêtues de capes et visages couverts de loups ou de masques somptueux comme pour le carnaval.
La seule différence cest quelles ne sont pas tenues en laisses et quelles portent des habits.
Il y a de très beaux laquais qui servent des boissons.
Ils portent des perruques poudrées, des chemises à jabots sur des gilets rouges et de grandes vestes bleu roi.
Ils serraient très classes si au dessus de leurs chaussures à boucles, ne sévissait pas quelques choses détrange.
Leurs jambes sont recouvertes de collants blancs sous des pantalons moulants rouges, sarrêtant aux mollets.
Rien dexceptionnel, tout ceci fait partie du costume de laquais, sauf que les hauts de leurs pantalons et de leurs collants sont inexistant. Ceux ci tiennent grâce à des sortes de jarretelles et laissent apparent leurs sexes.
Au fond de la cour, près dun buffet qui déborde de petits fours, une femme est accroupie et suce sans gêne un des laquais.
Un autre, près dune fontaine, veste relevée, se fait sodomiser par un homme qui tient encore sa flute de champagne dans une de ses mains.
Tout le monde semble trouver ca normal et personne ny prête attention.
Sir Jefferson, en grande discussion, lâche ma laisse et disparait dans la foule, me laissant seule au milieu de tout ces inconnus masqués.
Une femme sapproche de moi. De son visage, je ne vois que les yeux. Ils sont jeunes et dun bleu azur.
Elle écarte ma cape, regarde mon corps et sen vas, sans un mot.
« Ton Maître menvoie ! Suis-moi, putain ! »
Un laquais vient de prendre ma laisse et me tire vers la demeure. Il marche vite en fendant la foule.
Je heurte une femme.
« Tu peux pas faire attention, morue ! »
Pas le temps de répondre, le valet me tire.
« Attend, bouffon ! »
Un grand homme larrête net. Il sapproche de moi, glisse sa main sous ma cape et me pénètre dun coup de plusieurs doigts. Il me fouille, me touille, puis après mavoir libéré, il porte ses doigts à ses narines.
« Hummm ! Cest de la bonne qualité ! Je viendrais te voir tout à lheure, si mes couilles sont encore pleines ! »
Nous voici enfin à lintérieur.
Je nai jamais rien vu daussi beau, daussi luxueux.
Lor est partout. Sur les meubles, les encadrements de tableaux, les sculptures.
Mais je nai guère le temps dapprécier tout ca. On me pousse dans une pièce, un bureau.
Il y a Sir Jefferson et quatre autres hommes, penchés sur une feuille de papier quils signent lun après lautre.
Le laquais me retire ma cape et sort de la pièce.
Je ne suis même pas certaine que mon entrée ait été remarquée. Je reste bras ballants, nue, près de la porte, ne sachant que faire.
Je me balance doucement, davant en arrière pour que la poignée de ma laisse vienne heurter ma fente et la pointe de mon clito.
Tandis que les hommes discutent et boivent, moi, je mexcite discrètement dans mon coin.
Je me sens humide et chaude. Jai une terrible envie de me masturber, là, tout de suite. Mais je nen fais rien de peur des représailles.
Mon Maître maperçoit enfin.
« Haa ! Viens là, Léna ! Approche ! Voici ma favorite ! Présente-toi à mes amis, veux-tu ! »
Les quatre hommes se sont tournés vers moi et ils me caressent déjà de leurs regards lubriques.
Je rougie, car mon petit jeu avec la laisse ne manquera pas de se voir lors de ma présentation. Ma chatte va briller comme un sapin de noël tant je suis mouillée.
« Je suis Léna, et je suis à vous. Voici ma bouche et ma langue, pour vous déguster et boire votre foutre ! Voici ma chatte, pour que vous me baisiez ! Voici mon cul, pour que vous menculiez ! Mes orifices vous appartiennent. Mon corps vous appartient. Je suis votre jouet, instrument de votre jouissance. »
« Bien ! Merci Léna. Messieurs, je vous laisse avec votre cadeau de bienvenue. Je vous retrouve tout à lheure, devant le buffet. Amusez vous bien ! »
Il sort et me laisse avec les inconnus.
Ils mentourent et me caressent tout en discutant entre eux, comme si je ne pouvais pas les entendre.
« Humm ! Il a du gout ce grand con ! »
« Mouai ! Bof ! Jespère que le cadeau est à la hauteur du contrat que nous venons de signer ! »
« Non, cest bon ! Vous navez pas vu comment elle mouille la petite pute ? »
« En tout cas, sa bouche est faite pour ma queue. »
« Après tout ! Je préfère une salope à un restau ! »
« Moi, si ca vous dérange pas, je lencule le premier ! »
Il me penche sur une table et crache sur mon anus. Je naime pas beaucoup, mais que dire. Il étale sa salive avec la queue quil avait prit soin de sortir, dès le départ de mon Maître.
Mal préparée, il marrache un cri de douleur, lorsquil pousse en moi.
Mais connaissant et maitrisant les techniques pour une bonne sodomie, le plaisir prend le dessus rapidement.
Il va et vient à une cadence soutenue. Ses couilles frappent mon vagin avec force.
Je vois ses compères se préparer et astiquer leurs membres, tout en me regardant me faire défoncer.
Il jouit à gros bouillons dans mes intestins et je suis immédiatement mise à genoux. Deux grosses queues se présentent à moi et je les suce en alternance.
Leurs mains dans mes cheveux me poussent à en prendre plus que je ne voudrais, et cest en gorge profonde quils déchargent dans mon gosier, ne manquant pas de me faire tousser et saliver abondamment.
Mes yeux pleurent tout ce quils peuvent. Jessuie ma bouche et mes joues du revers de ma main, et je sais, aux traces noires, que mon maquillage doit couler.
« Viens là, salope ! Moi, cest ton ventre que je veux remplir ! Ha putain ! Si seulement je pouvais tengrosser ! »
Il me couche sur la table et me prend sans autre forme de procès.
Je le sens bien, ces hommes se lâchent et me traite comme la dernière des dernières.
Ils ont surement besoin de lâcher une pression qui devait leurs peser depuis déjà un bon moment. Ils évacuent une sorte de rage. Je le ressens dans leurs façons de jouir.
« Tiens ! Prends ca, trainée ! Tu le sens mon foutre dans ton ventre ! Hein ! Tu le sens ! »
Il se vide en se plantant bien en moi. Il a posé une main sur ma gorge et la serre un peu.
« Oui, monsieur ! Je le sens ! Donnez-moi tout ! Jaime ca ! Haaaaa ! »
Ce petit geste de violence, semble avoir excité ses collègues qui me rebaisent à la chaine, sans me laisser le temps de souffler.
Puis, semble til satisfait, ils vont retrouver mon Maître au buffet, en me tirant par ma laisse.
En passant devant un miroir, je vois mon maquillage qui a souillé mes yeux et mes joues.
Jaime bien. Je me sens chienne.
« Tenez Sir Jefferson ! Reprenez votre bien. Nous comprenons mieux pourquoi vous en avez fait votre favorite. Cest une garce de compétition ! Hahaha ! »
« Vous ne croyez pas si bien dire ! Et en plus cest une cocufieuse de première ! »
Eddy !
Mon pauvre Eddy ! Mon pauvre mari !
Pour un peu, je laurais presque oublié.
Je rougie de honte.
« Vous permettez que je lutilise ? »
« Mais bien sur ! Elle est là pour ca ! »
Cest le grand homme. Celui qui mavait fouillé le sexe et qui avait promit de venir me voir.
Il me conduit à la fontaine, et après mavoir fait poser un pied sur la margelle, il me baise debout devant toute lassemblé.
Assemblé qui cest bien dévergondée pendant que je me faisais baiser dans le bureau.
La plupart des femmes sont désormais nues. Elles se font prendre, ici ou là, selon les humeurs et les envies des hommes.
Je serrais encore prise quatre fois dans la soirée, puis nous rentrons.
Je ne saurais jamais qui étaient tout ces gens, réunis pour cette grande bacchanale, ni quel genre de contrat ont signés les quatre inconnus.
Sir Jefferson se comportera en seigneur le reste du séjour.
Nous visiterons les musées, les églises, comme un couple damoureux, nous arrêtant parfois pour nous enlacer et nous embrasser longuement.
Nous rentrons en avion, des images et des souvenirs pleins la tête.
Arrivés à Paris, mon Maître mentraine dans des boutiques de luxe et remplit tout une valise de fringues pour lété et de maillots de bain.
Puis, il me conduit à la gare et me trouve une place dans un train, destination
saint Raphaël.
Impossible de joindre Eddy sur son portable. Tel que je le connais, il a encore oublié son chargeur.
Je suis impatiente de retrouver ma petite famille et le voyage semble durer une éternité.
Je me rends immédiatement à la plage, à lendroit ou je suis sur de les trouver.
Très vite, japerçois ma fille.
« Amandine ! Amandine ! »
« Mamannnn ! Cest maman ! »
Elle coure jusquà moi et se jette dans mes bras. Je suis émue et jai les larmes aux yeux.
« Ca vas ma chérie ? Tu mas tellement manqué ! Où est papa ? »
« Bonjour Cathy ! »
Mon sang se glace. Ce nest pas Eddy qui me dit bonjour, mais Sylviane.
« Ou est Eddy ? »
« Heuu ! Il faut que je te parle, Cathy. »
Je panique. Mon cur semballe.
« Où est Eddy ? Où est Eddy ? »
« Heuu ! Il est parti Cathy ! Il est parti ! »
Elle mexplique quEddy lui avait téléphoné pour lui demander de garder amandine pendant les vacances. Il lui a donné de largent, puis...il est parti.
Où ? Elle lignore.
Sil a voulu me culpabiliser, cest gagné.
Je fini les vacances avec amandine et Sylviane.
Jai perdu lappétit et cest triste et fatiguée que je remonte chez nous.
Jai reprît le travail depuis une semaine et toujours pas de nouvelle dEddy.
Un vendredi matin, au cabinet médical, le téléphone sonne.
« Cabinet du docteur Milhaud, jécoute ! »
« Vingt deux heures, ce soir, chez moi ! »
« NON MAITRE ! ATTENDEZ ! »
Il a raccroché.
Jai crié si fort que le docteur interrompt sa consultation pour venir me voir.
« Cest vous qui avez crié, Cathy ? »
« Oui docteur ! Excusez-moi. »
« Mais qui diable appelez vous maitre ? Soyez discrète, voulez vous ! »
Le soir venu, je fais garder amandine par Sylviane et me rends chez Sir Jefferson.
Je marrête à la grille. Il tombe des hallebardes.
Jai le cur gros. Je suis bien trop triste et affaiblie moralement pour avoir envi de le rencontrer.
Une petite voiture se présente au portail. Japerçois une fille au volant. Elle est toute jeune et ravissante. Elle porte un collier de cuir.
Je mapproche avant quelle ne redémarre à louverture de la grille.
« Excuse-moi ! Tu vas voir Sir Jefferson ? »
« Oui ! Montez vite, vous allez être trempée ! »
Je détache mon collier et retire la chevalière de mon doigt.
« Peux-tu lui remettre ceci ? Sil te plaît. »
« Oui, bien sur ! Que dois-je lui dire ? Cest de la part de qui ? Quel est votre prénom ? »
« Tu es mignonne. Ne tinquiète pas, il comprendra. Fais attention à toi. Daccord ? »
La petite voiture disparait au bout de lallée darbres.
A SUIVRE
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