Histoire Incroyable-11/11
Samedi matin, très tôt la voix de Maîtresse ma réveillé.
-Lève toi, allez lève toi
-Oui Maîtresse Liane
-Prend un bon déjeuner et tu vas faire le ménage de ton appartement bien comme il faut. Après le diner tu vas faire ta toilette de façon très soigné puis à 15h30 je veux que tu sois en place au milieu du salon avec ta cagoule et tes menottes compris.
-Oui Maîtresse Liane.
-Jespère que tu as rempli ton frigo de bière et de bon vin comme je te lai demandé cette semaine et que tu as acheté plein de croustille selon mes bons vux.
-Oui Maîtresse Liane, Tout est dans le frigo et larmoire.
-Et n'oublie pas, ménage impeccable et à genoux avec ton attirail au milieu du salon à 15h30.
-Bien Maîtresse Liane.
Je me suis donc levé, jai déjeuné et jai entrepris de faire briller cette appartement de célibataire. Laspirateur, lépoussetage, le rangement etc
Puis après un diner très copieux jai fait ma toilette avec tous les problèmes que cela comporte. Le rasage de lanus, le séchage du sexe, après une épilation rendu difficile à cause de la cb3000. Mais avec un peu de crème, une pince à cil et beaucoup de patience je me débrouillais pas si mal.
À 15h30 précises je me trouvais au centre du salon à genoux, menotte au poignet et cagoule sur la tête. Environs 15 minutes plus tard jentendis Maîtresse arriver. Elle est passé près de moi et elle sest assise dans la causeuse, puis elle à allumé la télé. Elle sest relevée, puis me trainant par un sein elle ma contraint de me coucher entre le mur et le fauteuil. Puis elle sest assise de nouveau pour écouter la télé. Je ne sais pas combien de temps jai attendu ainsi.
Puis le tintamarre de la sonnette dentrée ma sortie de mes songes. Mais qui pouvait bien me rendre visite en ce samedi après midi. Ma sur? Ma mère? Un ami ? Mon corps réagissait violemment à cette situation.
-Allo, oui entrée, cest au septième étage, appartement 704
Cest à droite en sortant de lascenseur.
Puis elle raccroche. Mon dieu, elle avait fait monter son interlocuteur. Enfin, il devait être au moins deux puisquelle avait dit monté. Et moi qui se trouvais nu dans un coin du salon. Cela ne maidait pas du tout à me contrôler. Les tremblements devenaient encore plus intenses. Puis la porte dentrée cest ouverte.
-Allo, comment ca va.
-Ça va très bien et vous?
-Bien merci.
-Entrée, ne restez pas la
Venez vous assoir au salon.
Pas vrai, elles les invitaient au salon. Et moi quest ce que je faisais là. Je me faisais le plus discret possible, très près du mur collé contre le fauteuil. Les pas se dirigent vers moi tous des talons hauts. Je suis crispé et anxieux.
-Vous voulez une bière les filles?
-Daccord pour moi....
-Moi aussi Liane.
-Très bien je vous sert ça en moins de deux
La porte du frigo se fait entendre, et le glou glou de la bière qui descend dans les verres. Puis Maîtresse revient vers le salon et sassoie.
-Alors Liane tu as été bien mystérieuse cette semaine, tu disais que tu voulais nous montrer quelque chose
-Oui et moi il y a une chose qui me tracasse aussi depuis que nous sommes arrivées
-Quest ce qui te tracasse Karine?
-Et bien le condo que tu as hérité de ton oncle le mois dernier, il nétait pas de lautre coté de la rue.
Elle avait hérité de son oncle le mois dernier. Mais alors, cela fait au moins quatre mois que je suis dominé, cela veux dire quau début cest son oncle qui ma découvert et qui a tout manigancé.
-Justement Karine, il est de lautre coté de la rue.
-Celui-ci, il est à toi aussi?
-Mais non Françoise, celui-ci appartient à ma surprise.
-Quoi tu veux dire que tu tes fait un copain
-Pas du tout, vous connaissez tous ma vision de la vie, pourquoi sencombrer dun homme lorsque lon peu vivre complètement libre.
-Mais là je ne comprends pas du tout Liane, cest tellement nébuleux ton histoire.
Je commençais à sentir la soupe chaude, bientôt elle allait me sortir de ma cachette, et nayant aucun choix cela allait être ma fête.
-Avance à quatre pattes au milieu du salon.
-Mais tu ne veux tout de même pas que je fasse ça Liane.
-Mais non Françoise, je dis cela à ma surprise.
-Ta surprise?
-Allez au milieu du salon esclave.
Ces derniers mots mont glacé le sang. Je savais que commençais ici ma vraie condition desclave. Elle me ferait faire tout ce quelle voulait. Jallais avoir la honte de ma vie et cela ne faisait que commencer
Fin
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