Cricri Et Lulu

Pourvu qu'on ait l'amour qu'importe la maîtresse. En gros c'est-ce qu'on dit quand on est en panne de partenaire. Ça m'est arrivé une fois. J'étais réellement en manque de fille. Ma vie sexuelle se limitait à la masturbation. Jusqu'au jour où enfin j'avais l'occasion de me payer une fille, une nouvelle voisine, pas très jolie et pourtant bien fichue, avec une touche sexy. Son corps était fort bien fait, avec des seins bien hauts, pas très gros, et sa taille fine. Elle venait d'aménager sur le même palier. En moi-même je me disais : chic celle là est pour toi.
Pas du tout, elle était accompagnée d'une autre fille plus belle qu'elle. Je me disais que finalement les filles entre elles ne sont plus ce qu'elles étaient. Je recommençais mes branlettes et fantasmais sur les deux filles : je les voyais nues sur un lit, se caressant le minou ou se suçant le bouton. Je les imaginais même en 69.
Un soir vers 21 heures, un coup de sonnette : je vais ouvrir, j'ai la surprise de voir ma voisine, la plus moche me demander si je pouvais venir la dépanner : il fallait absolument changer une ampoule dans son séjour. Je ne me méfiais de rien : je la suivais chez elle. Ce n'est qu'à ce moment là que je remarquais sa tenue : elle portait un simple peignoir de bain à moitié ouvert. Je pouvais voir toute sa poitrine, fort belle et désirable ainsi que son bas ventre avec sa fourrure. Le hall était allumé, pas le séjour. Pas gênée pour un sou, elle me donnait une lampe de rechange. Je la mettait en place : la lumière était là.
Elle appelait Cricri, sa copine certainement pour qu'elle vienne admirer mon "travail". Cricri venait: elle était totalement nue, sans complexe devant moi. J'étais comme une statue, je n'y croyais pas: une fille moitié nue et l'autre comme Ève. Cricri voulait me remercier de mon intervention en m'offrant une liqueur. La seule que j'aurai acceptée était celle de son sexe.
Cricri demandait à Lulu, de me servir. Elle me fait asseoir sur un fauteuil pour me servir je ne sais même plus quoi.

La fameuse Lulu se penche pour me servir: son peignoir s'ouvre totalement. Je la vois cette fois pratiquement nue. Elles viennent s'asseoir à leur tour juste ne face de moi. Gênée, Lulu enlève carrément son peignoir qui ne lui servait à rien.
- Excusez-nous, nous vivons toujours ainsi, nous pratiquons beaucoup le naturisme.
- Bien sur, je vous excuse avec plaisir.
- Vous ne pratiquez jamais la nudité comme nous ?
- Non rarement, sinon la nuit pour dormir.
- Vous ne savez pas ce que vous perdez.
Cricri ajoute:
-Si vous le permettez nous vous invitons pour samedi et dimanche dans notre club sur la côte.
Que feriez vous à ma place: deux filles qui vous invite à aller se promener nus avec elles, j'ai accepté.
J'aurai préféré passer un moment avec les deux filles qui je n'en doute pas sont un peu lesbiennes.
En guise de samedi le départ est le vendredi soir assez tard: nous devons nous arrêter en route. Je n'ai pas pu faire autrement que de les emmener en voiture. Nous nous réfugions pour la nuit dans un hôtel qui ne paye pas de mine, que les filles connaissent déjà: parait il qu'il est parfait. Le peu de bagage est vite déposé, nos chambres sont limitrophes. Nous passons ensuite au restaurant. Elles préfèrent une table isolée. Il valait mieux, la conversations est des plus salée: elle me parle de leur club, jusque là rien à dire, elle me décrivent leurs aventures assez particulières: elles courent après tout ce qui est homme. Ils me donnent des détails tels que j'en bande. Je pense être leur prochaine proie. Proie en plus très bonne puisque j'habite en face d'elles. Lulu me propose même de passer un moment avec elles dans leur chambre pour faire un essai.
Faire un essai, elles auraient aussi bien pu le faire à la maison.
Nous montons dès la fin du repas. A peine arrivées, elles sont déjà nues, se tiennent par la taille en me souriant. Cricri me tend une main que je saisis: elle m'attire vers elles. Je ne suis plus qu'un objet: elles me déshabillent vite fait. Je commence à bander fortement. Lulu s'empare de ma bouche, sa langue entre dans ma cavité buccale. Elle me fouille partout. Cricri s'occupe aussi de moi, elle a pris ma queue en main, la caresse sans me branler à proprement parler. Elle aussi envie d'un baiser. Elle pousse sa langue vers nos bouches déjà occupées. Lulu m'oublie un instant pour l'embrasser.
Elles ne m'oublient pas en route. Ma queue est toujours dans la main de Cricri. Pourtant elles ne s'oublient pas: je vois que la main de Lulu est posée sur le bas ventre de Cricri. A mon tour d'agir: si le bas ventre de Cricri est occupé, il reste celui de Lulu. Je n'ai pas d'hésitation, je passe un doigt pour aller sur son clitoris. Elle écarte les jambes pour faciliter la masturbation. Avant de jouir elle ne tient plus sur ses jambes: il lui faut se coucher. Je me trouve ainsi entre les deux filles, bien heureux d'être là. Je continu à branler Lulu. J'ai une main libre, Cricri s'en empare à son tour d'être masturbée. Je réussit parait-il parfaitement le chose. Je les sens jouir toutes les deux.
Je commence à me poser la question capitale: est-ce que je pourrai les baiser toutes les deux ? Je n'ai pas réfléchi à la question: elles y répondent pour moi:
- Tu vas nous baiser toutes les deux.
- Je veux bien, je commence par qui ?
On ne peut pas être plus romantique que moi. Mon choix se porte sur Cricri, la plus jolie.
Lulu promet qu'elle aidera Cricri à bien jouir. Elle prend les jambes de son amie, les écarte largement, prends ma pine pour la diriger vers la moule de Cricri. Elle est toutes mouillée. Je la pénètre plus que facilement. Je commence mes vas et viens avec une main de Lulu sur mes fesses qui semble organiser la cadence. En réalité cette main me permet de ne pas jouir trop vite alors que Cricri pousse de gémissements de plus en plus accentués.
Lulu passe une main entre Cricri et moi, me prend la queue juste au moment où je sortais un peu avant de m'enfoncer encore dans le vagin de Cricri. Elle m'empêche d'aller plus profond pour caresser le bouton de son amie. Cricri jouit encore une fois. Lulu insiste: c'est à son tour. Alors que j'allais jouir.
Cricri me pousse pour sortir d'elle. Lulu ne se démonte pas elle s'allonge à son tour me prend dans les bras: me voila prisonnier des jambes de l'autre fille. Avec elle ce n'est pas pareil: si Cricri se montrait femelle, Lulu, elle est plus dirigiste: elle doit me commander.
- Vas-y, mets moi là, vite. A fond et plus fort. Ne jouis pas encore. Gardes en pour la fin.
Elle nous tourne: je me trouve sur le dos, avec elle sur moi. Je ne peux pratiquement plus bouger. C'est le moment qu'attendait Cricri pour embrasser Lulu. Elle fait plus que l'embrasser, elle va chercher le clitoris pour le caresser. C'est ainsi que Lulu aime jouir, avec une queue dans l'abricot et des doigts sur son bouton. Les voir ainsi me fait jouir. Je sens mes jets nombreux vider mes couilles dans ce réceptacle. Lulu aurait bien voulu que ça dure encore.
Elle se lève. J'ai la bite en berne.
Finalement elles engagent une autre partie à deux: elles se caressent en murmurant des j'aime ça, encore…. Je les vois se lécher le sexe, et surtout se mettre d'une façon telle que les deux clitoris se touchent longuement.
Elles me regardent du coin de l'œil: quand je bande encore, elles reviennent à moi. Cette fois le but n'est plus de la baiser: la première et semble-t-il ma meneuse de jeu, Lulu revient vers moi. Elle me demande de lui lécher l'anus. Cricri elle plus modeste ne demande qu'un seul doigt au même endroit. Lulu est sur le ventre les fesses qu'elle tient avec ses mains bien écartées. Ma langue plonge dans sa raie autour trouver son petit trou. Je le prospecte d'abord en en faisant le tour, puis en y mettant le bout de ma langue. Je l'y loge à peine juste pour écarter un peu le trou.
Pour Cricri mon doigt joue à peu près le même rôle, sinon que je l'y rentre petit à petit. Je la sens se trémousser elle en voudrai bien plus encore.
Lulu en levrette me donne son cul. J'y entre doucement tout doucement. Elle s'impatiente
- Mets moi la à fond, j'en crève d'envie.
Je fais comme elle veux: je lui met toute ma bite: je sens mes couille battre d'abord sur ses fesses et surprise sur le front:Cricri qui est passée par-dessous pour bien sucer Lulu; Elle jouit je ne sais même plus combien de fois. Je sors de cet anus, heureusement sans y jouir.
Cricri le sait bien: elle prends ma bite, la branle un peu, je met en levrette juste aux cotés de Lulu qui l'embrasse. Cricri, sous ses airs d'être dirigée est en réalité une fieffée baiseuse. Elle dirige ma queue vers son cul. Je n'ai à peine le temps de l'y poser que d'un coup de rein brutal elle se trouve enculée vite fait. Ses gémissements ne sont pas feints. Elle accompagne tous mes mouvements. Elle fait durer son plaisir le plus possible. Lulu n'a rien à faire dans cette sodomie. Cricri jouit sans arrêt. Je me lâche également. Elle ne veut pas que je sorte d'elle. J'y reste jusqu'au moment où je suis en débandade complète.
Enfin nous allons dormir. Je me couche seul, je me réveille avec Cricri à mes coté. C'est bizarre cette présence:
- Je préfère rester avec toi plutôt qu'avec Lulu qui dirige tout.
- Tu le lui as dit ?
- Oui cette nuit: elle est même parti.
- Et tu vas loger où ?
- Chez toi, si tu veux.
Après tout pourquoi pas, si elle est bi, elle pourra toujours revoir Lulu pour baiser une fois de temps en temps. Depuis que nous sommes ensemble Cricri n'est jamais revenue près de Lulu qui est partie vers d'autres cieux. J'ajoute que je n'ai jamais été à ce fameux club de naturiste.
Cricri baise toujours avec autant sinon plus de plaisir. Elle a pu s'offrir un gode qui lui rend service pour se faire jouir quand elle en a envie, c'est-à-dire souvent. Elle s'en sert également avec moi quand nous baisons. Elle aime particulièrement quand le l'encule, avoir l'objet dans le vagin. C'est bon pour elle et pour moi.
Je lui ai proposé d'aller chez des amis échangistes. Nous y avons participé une seule fois, elle a pu baiser avec une fille, pour finalement dire qu'elle préférait les hommes devant ou derrière. C'est ainsi qu'elle a pu se faire mettre par un homme dans la chatte avec moi dans son anus. Elle a jouit comme une folle.
Depuis nous nous contentons de baiser tous les deux. Nous préférons ainsi.