Cousine Zoulikha Deuxième Partie : Les Amours Multiples De Zoulikha
Cousine Zoulikha
Les deux hommes qui venaient de nous rejoindre étaient tous les deux français et enseignants. Mais eux enseignaient à luniversité, la biologie pour lun et la physique pour lautre. Cétaient des matières qui navaient pas encore été arabisées. Le professeur de biologie sappelait Robert et avait laccent chantant du Midi. Il venait de luniversité de Montpellier. Il était assez grand, brun avec les cheveux bouclés. Il avait le corps massif dun ancien joueur de rugby, qui avait un peu forci, parce quil avait arrêté la pratique du sport. Il devait avoir environ trente-cinq ans. Le professeur de physique, Guy, était tout aussi grand, mais plus mince, avec le teint blanc des hommes du nord. Il disait quil venait de luniversité de Rennes en Bretagne, mais que cétait chti, originaire de Lille. Il portait une belle barbe soigneusement taillée ; il était vraiment beau.
Les deux hommes depuis quils étaient entrés ne sintéressaient quà Zoulikha. Marc venait dentamer le dernier paquet de copies à corriger et Jacqueline avait été prendre une douche, puis sétait mise la cuisine, pour préparer le rôti que les nouveaux arrivants avaient apportés avec eux. Moi jétais resté seul et voulait prendre Zoulikha par la main pour la ramener chez elle. Je recommençais à devenir jaloux. Javais plus ou moins intériorisé Marc en tant que maître et amant ; javais aussi facilement acceptée son aventure homosexuelle avec Jacqueline. Mais avec deux autres hommes, cen était trop ! Je voulais le lui dire, mais au regard noir quelle mavait lancé, je compris que javais intérêt à garder mes sentiments pour moi.
Marc me regarda un moment et compris létat psychologique dans lequel jétais. Il me lança un sourire énigmatique, mais ne dit rien. Il replongea dans ses copies. Jacqueline rentra un moment dans le salon pour me demander si je ne voulais pas laider à la cuisine. Je navais jamais mis les pieds dans une cuisine, autrement que pour y prendre mes repas chez mes parents.
- Tu sais, me dit Jacqueline, moi aussi je souffre de la voir prendre son pied avec quelquun dautre que moi. Mais si je le lui interdis, dune part elle sera malheureuse et séloignera de moi et dautre part, rien au monde ne sera capable de larrêter de prendre son pied avec des hommes. Il vaut donc mieux la laisser faire et quelle reste avec nous. Tu sembles beaucoup laimer; ne fais donc pas dimprudences avec elle. Elle a déjà fait lamour avec ces deux là et elle a eu beaucoup de plaisir.
- Comment fait-elle pour aimer en même temps plusieurs hommes. J'ai vu tout à lheure quelle avait de ladoration pour Marc (comme toi, dailleurs !). Je peux comprendre quelle aime se faire tirer par lui ; dautant quil a un zob monstrueux et quelle adore les gros zobs. Ces deux là sont, je le suppose, pas mieux membrés que moi ! Alors pourquoi ?
- Dabord tu te trompes car Robert est fort bien monté ; Guy, par contre lest beaucoup moins. Ensuite si tu connaissais mieux ta cousine, tu aurais su que lamour à plusieurs lémoustille beaucoup plus que lamour à deux. Et puis noublie pas que Zoulikha est une vraie nymphomane : une fille vraiment insatiable. Pour quun seul homme (ou une seule femme) la satisfasse pleinement, il lui faudrait être quelquun dexceptionnel, avoir un sexe en acier, qui ne mollit jamais et qui est toujours prêt à aller à lassaut de son cul !
Tout en discutant comme cela avec Jacquie qui préparait le dîner (sans mon aide bien entendu !) nous entendions venir du salon les cris de plaisir que poussait Zoulikha qui sébattait entre ses deux hommes. La curiosité (ou le voyeurisme) me poussait à aller voir ce qui se passait. Jinterrogeai Jacquie du regard. Elle comprenait parfaitement ce qui se passait dans ma tête. Elle me sourit, me donna un baiser plein de tendresse, auquel je ne mattendais pas, sachant son aversion pour les relations amoureuses avec les hommes, et me dit :
- Si, comme moi, tu es capable de mettre ta jalousie entre parenthèse, tu peux aller voir.
Jallai à pas de loup vers lentrée du salon. Plus japprochais, plus les cris de Zoulikha, les ahanements dun des hommes et les gémissements de lautre devenaient plus forts. On aurait dit un orchestre en folie ! La fille criait quelle aimait le gros zob qui lui défonçait la chatte et adorait celui qui lenculait. Quelle adorait la double pénétration ! Quelle aimait sentir tous ses trous occupés par des zobs ! Quil lui manquait un zob dans sa bouche pour être complètement heureuse ! Elle appelait Marc pour quil vienne la baiser par la bouche ! Les deux hommes ne disaient rien : lun des deux poussait des han de bucheron et lautre haletait comme quelquun qui venait de terminer une course de fond, à laquelle il nétait pas physiquement préparé; sa respiration était tellement courte et rapide, que je mattendais à ce quil s.
Quand jarrivais à lentrée du salon je découvris une scène incroyable : Zoulikha était allongée sur Robert, sa chatte empalée sur son énorme pilon. Guy était derrière elle et lenculait en même temps. Cétait ce dernier qui ahanait comme un bûcheron à chaque coup de rein et Robert qui était à bout de souffle parce que cétait lui qui pilonnait la chatte de sa partenaire positionnée à une dizaine de centimètres au dessus de son énorme vit. Des trois, cétait lui qui fournissait le plus grand effort ; ce qui expliquait quil était au bord de lapoplexie.
Mais ce qui était le plus extraordinaire dans la scène, cétait Marc qui était à deux pas derrière Guy et qui était entrain de se caresser le monstre quil avait entre les cuisses ; il sapprêtait à enfiler le cul de Guy.
Marc y alla en force à grand coup de hanches, avec des va-et-vient qui allaient de lentrée du cul de sa proie jusquà ce que les fesses de Guy lui interdisent daller plus au fond. Je voyais son immense membre entrer et sortir dentre les fesses de Guy, dont les ahanements sétaient transformés subitement en gémissements stridents; les même gémissements que ceux que poussaient maintenant Zoulikha, comme si elle avait senti un poids et une force supplémentaires derrière son dos.
- Marc pourquoi ce nest pas ma bouche que tu baises ! Il me manque un zob dans ce trou là ! Jai besoin dun zob dans ma bouche !
Marc leva la tête, me regarda dans les yeux, me lança son sourire de prédateur et me dit :
- Quest-ce que tu attends ? Tu ne vois pas quil y a encore un trou de libre ! Va vite le remplir !
Je ne métais pas rendu compte que je bandais comme un âne devant la scène incroyable qui se présentait devant mes yeux de novice. Je vins me placer à côté de la tête de ma cousine qui venait juste de remarquer ma présence. Elle me fit un magnifique sourire ; le sourire dune femme qui allait enfin recevoir le cadeau qui lui manquait. Elle tourna un peu la tête pour faire face à mon engin que je venais de sortir du pantalon et ouvrit très grande sa bouche pour le recevoir.
Moi je ne mintéressais quà la bouche et à la gorge de Zoulikha, qui accueillaient mon bâton de la même manière quun vagin doux et visqueux laurait accueilli. Je la pilonnais en force comme les deux hommes qui étaient en elle la pilonnaient. Elle ne pouvait plus rien dire, mais ses yeux, maintenant remplis de larmes et son nez qui coulait à flots parlaient pour elle. Elle était aux anges ! Tous ses trous étaient occupés ! Le premier qui eut un orgasme, ce fut Robert qui avait failli sévanouir tellement, il était éreinté par les efforts accomplis. Il hurla très fort et se relâcha totalement sur le divan. Son sexe sortit de la chatte de Zoulikha et se mit à ramollir. Guy aussi eut une forte éjaculation dans lanus de sa partenaire et continua un temps à aller et venir en elle, en gémissant de plus en plus doucement.
Il sortit du cul de Zoulikha, qui se laissa tomber sur Robert, toujours allongé sous elle, en gardant sa bouche ouverte pour que je continue à la pilonner. Guy par contre ne pouvait plus bouger. Marc le tenait fermement par les hanches et accentuait la force de ses coups de boutoir. Il ne disait rien mais gémissait doucement, presque silencieusement. Je le vis qui bloqua subitement sa respiration et accrut le rythme des ses va-et-vient. Ses lèvres se tendirent, de la salive se mit à couler des commissures de sa bouche et il explosa (toujours en silence) dans le cul de Guy, quil remplit de sperme blanc, épais et chaud. Il continua à pilonner le cul de son partenaire puis, rassasié, se retira pour regarder son sperme ressortir du cul de Guy en une coulée continue, qui avait perdu sa couleur blanche dorigine, pour tourner à la couleur café au lait. Il jubilait au spectacle du foutre qui sortait de lanus.
Moi je continuais encore quelques secondes à tirer la bouche de Zoulikha, avant de sentir arriver en force un flot de sperme. Une main vint semparer de mon sexe pour le sortir de la bouche de ma cousine et se mettre à le masturber. Cétait Jacqueline qui ne voulait pas que mon sperme aille directement dans la gorge de Zoulikha. Elle le voulait sur son visage, son cou et sa poitrine pour pouvoir participer à la scène. Elle me branla avec énergie et savoir-faire, si bien quen une dizaine de secondes, je lançai un râle de mourant et lâchai, en un flot continu, tout le foutre qui était en moi. Il alla sétaler sur le visage et le cou de Zoulikha, qui sortit sa langue pour en recevoir au moins un peu dans sa bouche.
Tous les hommes se levèrent pour aller se débarbouiller. Zoulikha et Jacquie restèrent sur le divan à sembrasser, se lécher et se caresser. A mon retour de la salle de bain, je les vis qui en était à se bouffer mutuellement la chatte. Cétait Jacqueline qui semblait prendre le plus de plaisir ; elle qui gigotait avec la plus grande énergie et qui frottait avec le plus de vigueur sa chatte sur la bouche de son amante. Elle léchait et avalait avec délectation tout le jus que sa langue ramenait de lintérieur de la chatte de son amie ; y compris le reste de foutre de Robert. A chaque fois elle levait la tête dentre les cuisses de Zoulikha, me jetait un regard coquin et avalait ostensiblement tout ce quelle avait dans la bouche. Cétait sa manière à elle de me dire quelle aimait tout ce qui venait de son amante.
Elle replongeait immédiatement sa tête et recommençait lopération. Je trouvais la scène superbement belle et érotique. Les deux femmes étaient belles; belles de manière différente, mais toutes aussi belles et sensuelles, lune que lautre. La masse que formaient leurs deux corps enlacés tête-bêche et soudés lun à lautre, était dun érotisme torride. En les regardant je sentis mon membre se réveiller et se mettre à frémir. Je mapprochais pour pouvoir mieux profiter du spectacle. Je les regardais, avec les yeux brillants dexcitation, se manger mutuellement la chatte et en gémir de plaisir. Je me plaçais au pied du canapé, juste derrière Jacqueline qui était au dessus du corps de Zoulikha. Je voyais ses superbes fesses très fortement cambrées pour mieux recevoir la tête de son amante. Je voyais la bouche de cette dernière semparer des petites lèvres roses de Jacquie et les sucer goulûment. Je la voyais qui faisait entrer sa langue dans le vagin et essayer de la pousser très loin à lintérieur, pour ramasser tout le jus quelle pouvait et la sortir du vagin pour lavaler avec délectation. A chaque fois, elle faisait claquer sa langue et poussait un soupir de plaisir, avant de replonger à lintérieur de la chatte de son amie.
Jétais entrain de bander comme un bouc. Pourtant je venais de jouir dans la bouche de Zoulikha. Mais le spectacle que javais devant les yeux était tellement érotique, que mon sexe se réveilla tout seul et voulut prendre encore sa part de plaisir. Je le sortis du pantalon et me mis à le caresser. Zoulikha, en sortant sa tête dentre les cuisses de son amante vit ce que jétais entrain de faire. Elle me regarda, me sourit et dit :
- Quest-ce que tu attends pour lenculer ? Je sais quelle va aimer parce que je suis là avec vous.
Je ne me fis pas répéter linvitation. Je me mis derrière Jacquie, lui ouvrit les fesses (je la sentis qui se crispa un peu, mais se relâcha très vite, sous les caresses de Zoulikha), vit quelles étaient largement mouillées par la salive de son amie, posa le gland de mon sexe tuméfié sur lanus ouvert et força lentrée dun coup brusque de mes reins. Autant sa chatte était étroite, élastique et moulante, autant son cul était largement ouvert. Mon sexe pénétra à lintérieur sans aucun effort. Je me dis que cétait certainement là luvre du pilon de Marc; il devait plus lenculer que la baiser par devant. Je fis faire à mon sexe de longs allers-retours, depuis lentrée jusquau fond, en accélérant de plus en plus le rythme. Je navais pas la même sensation dune main qui me masturbait à lintérieur du rectum, mais le fait quà chaque fois que je remontais mes hanches je découvrais la tête de ma cousine, qui avait arrêté son cunnilingus pour regarder mon sexe entrer et sortir du cul de son amante, mexcitait au plus haut point.
Je me dis que jallais éjaculer dans le cul de Jacquie, mais que jobligerai Zoulikha à rester à sa place pour avaler le sperme mélangé aux sécrétions anales, qui sortirait du cul de son amie. Et ce fuit bien ainsi que les choses se passèrent. Je jouis au bout de quelques minutes de va-et-vient et éjaculai ce qui me restait comme foutre dans le corps. Une partie en ressortit immédiatement, expulsée par les va-et-vient de mon zob. Je sortis du cul de Jacquie en maintenant ses hanches fermement entre mes mains pour quelles restent en place. Je vis le reste de mon sperme sortir et aller droit dans la bouche de Zoulikha. Elle avala le tout avec délectation et avec le même claquement de langue et le même soupir de plaisir quavait eu Jacquie avec son jus à elle.
Zoulikha reprit le cunnilingus quelle avait arrêté pour se délecter de la sodomisation de son amie. Elle fit tant et si bien que Jacquie retira sa tête dentre les cuisses de son amante et se mit à pousser des gémissements de plaisir de plus en plus sonores. Tous les hommes étaient là au pied du canapé pour mater le spectacle. Robert avait ressorti son immense engin et sétait mis à se masturber. La tête de Zoulikha allait de plus en plus vite sur la chatte de Jacquie. Cette dernière ne pouvait plus se contrôler ; ses gémissements se transformèrent en sifflements et sa respiration devint haletante. Elle hurla quelle était entrain de jouir et déchargea tout le jus qui lui restait directement dans la bouche de Zoulikha qui sempressa de tout avaler. Ereintée, elles se relâchèrent toutes les deux, restèrent encore un moment lune sur lautre, puis se séparèrent et sassirent côte à côte sur le canapé, en senlaçant tendrement.
Robert continuait à se branler devant les filles, tendant son immense pilon à Zoulikha pour quelle continue la branlette. Elle le prit dans sa main droite, mais au lieu de continuer à le branler, elle se mit à samuser avec: elle jouait à recouvrir le gland en forme de grosse tête de champignon, avec le prépuce tendu. Quand elle y arrivait, elle relâchait le prépuce et admirait la sortie du gland de sa cachette.
- Tu vois, dit-elle en me regardant, jadore regarder un gros zob comme celui-ci ou comme celui de Marc des zobs non circoncis entrain de bander. Jadore voir apparaître lentement le gland de dessous sa capuche et devenir de plus en plus gros, brillant et menaçant ! Il ny a rien pour moi de plus érotique ! Arrête de bander ! dit-elle à Robert. Laisse-le se reposer et ramène-le-moi pour le réveiller ! Je te promets une superbe fellation, comme récompense !
Il devait être maintenant près de vingt et une heures. Je ne savais pas quoi dire à Zoulikha pour la faire sortir de lappartement et la ramener chez elle. Il nétait pas question quelle découche. Sa mère ne laccepterait pas.
- Il faut partir, lui dis-je presque timidement, mattendant à un refus catégorique de sa part.
- Attends de voir Robert bander pour admirer la beauté du réveil du monstre ! Je lui fais une belle fellation et nous partirons. On dira à maman quon a été voir un spectacle au Théâtre de Verdure.
Et les choses se passèrent exactement comme cela. Elle fit bander Robert, admira le gland qui sortait lentement du prépuce et qui prenait des proportions immenses, lui fit une fellation denfer, avala une partie du sperme éjaculé, en donna le reste à Jacqueline qui en profita pour la tripoter encore un peu, et se débarbouilla rapidement. Elle embrassa tendrement tout le monde, se remit à genoux devant Marc pour lui embrasser le sexe, puis me prit par la main pour quitter lappartement. Nous arrivâmes chez mon oncle aux environs de vingt trois heures. Mon oncle dormait déjà; sa femme nous attendait avec sa tête des mauvais jours. Elle engueula sa fille en lui disant quelle aurait dû au moins avertir quelle allait au théâtre avec son énergumène de cousin (elle me regardait avec un air méchant, comme si cétait moi la cause de tout) et lenvoya se coucher.
Elle ne me proposa même pas de passer la nuit chez eux. Ce fut Farida, qui elle non plus ne dormait pas, qui vint à mon aide en disant à sa maman quil était tard et que la Cité Universitaire nacceptait pas daccueillir les étudiants au-delà dune certaine heure (ce qui était vrai, mais il était encore temps, vu que lheure limite était minuit). La maman fit contre mauvaise fortune bon cur et accepta que je passe la nuit chez eux. Moi je voulais surtout parler avec Zoulikha à tête reposée. Au cours du trajet de retour, Zoulikha resta silencieuse et refusa totalement de parler avec moi. Elle voulait rester dans son bonheur de la soirée. Elle refusait obstinément que quoi que ce soit vint lui rappeler les dures réalités de la vie. Elle était heureuse et cétait cela seul qui comptait pour elle. Je me forçai donc au silence. Je me promettais de lui parler le lendemain matin pour tirer au clair certaines choses. Je voulais absolument éclairer ma lanterne sur ses sentiments vis-à-vis de moi.
Jétais amoureux fou de cette fille et je me refusais à la partager. Laventure de la journée, je lavais presque effacée de ma tête. Cétait comme si elle était arrivée à quelquun dautre. Javais même oublié que jy avais participé et que jy avais même pris beaucoup de plaisir. Ce fut Farida qui soccupa gentiment de moi cette nuit là. Elle prépara mon lit, réchauffa le repas et me servit à manger dans la cuisine. Je la voyais tourner autour de moi en me lançant des regards curieux; comme si elle voulait me demander quelque chose dimportant pour elle.
- Tu veux savoir la vérité sur ce soir, nest-ce pas ? Zoulikha te racontera certainement mieux que moi.
- Tu es tombé dans son piège ?
- Quest-ce que tu veux dire ? Tu penses que ta sur maurait tendu un piège dans lequel je serais tombé ? Quel piège ?
- Ses amis français ! Ce sont des gens qui ont un comportement anormal et qui lont entraînée dans leur monde. Il ne faudrait pas que toi aussi, par amour pour Zoulikha, tu tombes dans leurs rets. Tu nes pas du même monde ! Tu en souffriras beaucoup !
- Il nest pas question que je tombe dans leurs rets. Je suis assez grand pour connaître mes intérêts. Ce que je veux cest sortir ta sur des mains de Marc et de sa femme.
- Tu ny arriveras pas ! Ce sera toi qui la rejoindras dans son monde ! Et comme tu laimes, tu en souffriras beaucoup ! Zoulikha est entrain de préparer son départ dAlgérie ! A la fin de lannée, quelle décroche ou non le baccalauréat français, elle partira avec le couple Marc et Jacqueline. Cest elle qui me la dit ! Et je suis sûre quelle le fera.
- Tu es folle, elle ne va pas faire ça ! Je len empêcherai ! Elle restera avec moi et deviendra ma femme !
- Rêve toujours !
Et Farida partit en courant dans sa chambre, les larmes aux yeux. Jétais abasourdi ! Je ne comprenais pas ce qui se passait. Je ne savais pas encore quelle était tombée follement amoureuse de moi et quelle souffrait de me voir aussi aveuglé par mon amour pour sa sur. Je ne tins absolument aucun compte de lavertissement de Farida. Je rencontrais Zoulikha le lendemain matin au réveil. Elle était fraîche comme la rosée du matin : elle avait pris un bain et sentait bon. Je tendis les bras pour lenlacer et elle se laissa faire en me donnant un baiser super coquin sur le cou. Puis elle prit son petit déjeuner et partit au lycée sans accepter de discuter avec moi.
- Plus tard. Après demain, si tu veux nous retournerons chez Marc et Jacquie ! Retrouvons nous chez eux à quatorze heures !
Elle ne me laissa même pas le temps de protester ; de lui dire mon refus de recommencer laventure de la veille. Elle partit en vitesse, me laissant pensif et malheureux. Je passais les deux journées qui suivirent en pensant à tout ce que je devais faire pour interdire à ma belle de continuer ses séances de baise à plusieurs. Javais même imaginé un moment den parler avec sa mère. Je rejetais immédiatement cette idée, sachant quelle créerait plus de problèmes quelle nen résoudrait. De toutes les façons, pensais-je, ce serait la meilleure manière de la perdre définitivement.
Le surlendemain donc, je me suis retrouvé devant la porte dentrée de lappartement de Marc. Jhésitai longtemps à sonner. Puis je me décidai subitement à le faire,me retrouvant face à face avec Jacquie. Elle était dans la même tenue que la dernière fois : nue sous une nuisette de soie noire. Elle membrassa tendrement sur la bouche (elle y avait même mis la langue, cette fois-ci, montrant que je commençais à faire partie de sa vie amoureuse). Elle me prit par la main pour mamener au salon. Je découvris, ce que je craignais de découvrir : Zoulikha, aussi nue quun ver, à genoux devant Marc, avec son éternelle robe de chambre ouverte, entrain de se faire tirer par la bouche. Il y allait sans précaution, en poussant un petit cri à peine audible à chaque coup de rein.
Elle ne remarqua pas ma présence, trop occupée quelle était à subir les coups de boutoir du monstrueux sexe de Marc. Il me semblait quelle pleurait de douleur : ses yeux étaient remplis de larmes, qui coulaient en abondance sur ses joues. De la salive sortait de son nez, poussée par les coups de piston de lénorme sexe qui allait et venait dans sa bouche et sa gorge. Je la voyais qui luttait désespérément pour ne pas . De temps en temps, elle ny tenait plus et poussait de toutes ses forces les hanches de son amant, qui faisait sortit le monstre quelques secondes pour le remettre encore plus profondément et avec plus de violence. Je voulais intervenir pour faire cesser la ; je regardais Jacquie, qui me fis signe, en souriant, de ne rien faire. Elle ne semblait pas inquiète ; elle connaissait la résistance de son amie.
Jobservais le visage de Marc et vit quil était entrain de changer de physionomie. Il avait la bouche ouverte et gémissait de plus en plus fort. Il narrivait pas à contenir la salive qui dégoulinait de sa lèvre inférieure. Ses mains sagrippaient de plus en plus fortement aux cheveux de la fille quil tirait sauvagement. Je le sentais au bord de lexplosion. Celle-ci arriva soudain comme un coup de tonnerre : il poussa un cri rauque, presque douloureux tant lintensité de sa jouissance était forte, et se mit à éjaculer par jets successifs, des quantités incroyables dun sperme blanc, épais, visqueux et brûlant, qui allèrent arroser tout le corps nu de Zoulikha.
Elle mit du temps à reprendre son souffle et fit signe à Jacquie de venir la prendre dans ses bras. Celle-ci accourut, se mit à genoux en face delle et lenlaça tendrement en lui susurrant des mots doux et en la léchant avec avidité. Zoulikha avait du mal à parler, mais avait son superbe sourire de fille fière davoir accompli une performance. Les deux filles restèrent ainsi longtemps à se bécoter et se caresser, toujours à genoux sur le carrelage du salon. Marc avait refermé les pans de sa robe de chambre et était reparti vers son bureau où il était entrain de préparer les cours de la semaine. Il me fit signe de la tête de moccuper des filles. Cétait comme si, il me récompensait davoir été sage pendant quil défonçait la bouche et la gorge de ma cousine.
Je ne reconnaissais pas tous les sentiments qui me traversaient et qui sentrechoquaient en moi : il y avait de la honte; cest sûr ! Il y avait un soupçon de révolte, vite submergé par le désir ! Il y avait lamour que je portais à Zoulikha et qui me commandait dintervenir pour faire cesser la mascarade ! Il y avait aussi ce besoin de garder lespoir de voir un jour Zoulikha revenir vers moi ; et moi seul. Mais je crois que, sans me lavouer, il y avait ce besoin de partager le plaisir de Zoulikha en participant à ses aventures érotiques.
Ce fut ce dernier sentiment qui, sur linstant lemportait. Je mapprochais des deux filles et demandait à ma cousine, en lui susurrant à loreille, ce quelle voulait que je fasse.
- Baise-là ! fit-elle en séloignant légèrement de Jacqueline et en appliquant une forte pression sur ses épaules pour quelle les abaisse et quelle se mette en position de levrette.
Je me déshabillais rapidement et restai complètement nu, comme Zoulikha et comme Jacquie qui avait jeté sa nuisette à lautre bout de la pièce. Je me plaçais derrière elle, relevai ses hanches le plus haut possible, mis le gland de mon sexe entre ses grandes lèvres et, dune franche poussée, me retrouvai dans le merveilleux vagin, chaud, élastique et moulant. La même impression de chaleur, de douceur et de bien être, que deux jours auparavant, me reprit. Avec la même sensation dêtre masturbé à lintérieur du vagin. Je me laissai aller au plaisir, sans même moccuper de celui de Jacquie. Je savais quelle nappréciait pas dêtre baisée par un homme. Javais simplement oublié que Zoulikha était encore là, toujours à genoux toute nue devant nous. Elle caressait les magnifiques seins oblongs de son amie, tout en lembrassant tendrement sur la bouche et le visage.
Je sentais le corps de Jacquie vibrer sous moi. Même si je nen étais pas la cause, cette sensation du corps de ma maîtresse qui vibrait sous moi, me fit bander encore plus. Je lentendais pousser de tous petits cris de plaisir. Je la tirais de plus en plus fort, en ajoutant de la tendresse, pensant que comme cela, elle finira par aimer ce que je lui faisais. En parallèle de Zoulikha qui lembrassait et la caressait, je me mis à promener mes lèvres sur son dos nu, entre ses omoplates, sur son cou, léchant au passage les petites gouttes de sueur qui perlaient à la base de son cou. Mes mains prirent la pace de celles de Zoulikha sur la poitrine de Jacquie. Je me mis à lui caresser très doucement les seins; surtout ses tétons aussi durs et aussi doux que du marbre. Je la sentais qui réagissait lentement. Elle bougeait ses hanches, comme si elle voulait sentir mieux la force du sexe qui la possédait. Comme si elle voulait que je la tire plus fort.
Je me mis à la tirer en force, tout en la caressant et lembrassant avec douceur. Je vis Zoulikha qui se retirait légèrement et qui me laissait seule avec son amie. Je pense que Jacquie navait pas remarqué léloignement de quelques centimètres de son amante ; elle continuait à bouger ses hanches et à les pousser en arrière pour que je la pénètre plus fort. Ses petits cris avaient maintenant pris de lampleur et devenaient de plus en plus sonores. Je continuais ainsi, jusquau moment où je la sentis se crisper, pousser encore plus fort ses hanches vers moi et hurler quelle allait jouir.
- Chérie je vais jouir ! Je vais jouir ! Je vais jouir !
Elle disait cela, à Zoulikha, comme si un miracle venait de se produire : Jacquie qui jouissait sous les coups de boutoir dun homme ! Et cet homme cétait moi ! Jétais aussi fier quun coq ! Je ne lavais pas encore vu et entendu jouir comme cela; même pas avec Zoulikha. Et là elle criait son plaisir. Je regardais dans la direction de Marc et vit quil souriait, mais quil avait un regard interrogateur. Comme sil nen croyait pas ses yeux et ses oreilles.
- Je crois que notre ami est vraiment à la hauteur ! dit-il en sadressant aux deux filles. Continuez à linitier comme cela et bientôt il deviendra lui aussi un maître !
Jétais encore plus fier de moi en entendant ce que Marc venait de dire. Je crois que toutes les bonnes résolutions que je javais prises pour sortir Zoulikha des griffes du couple, venaient de fondre comme neige au soleil. Il ne restait en moi que cette fierté imbécile et prétentieuse du mâle se croyant capable de donner du plaisir à nimporte quelle femme. Cétait à ce moment là que je venais de perdre Zoulikha pour toujours. Je devins presque un membre permanent du groupe. Incapable de réfléchir autrement que par le cerveau de Marc et sa philosophie de lamour et du plaisir. Dans cette philosophie, il ne devait y avoir aucun esprit de possession. Tout le monde appartenait à tout le monde et personne nappartenait à personne.
Lamour dun homme pour une femme unique, ou dune femme pour un homme unique était lantithèse de lamour vrai. Celui-ci ne pouvait être que collectif. Une femme appartenait à tout le groupe. Et un homme aussi. Il ny avait que le maître qui était au dessus du lot. Parce que lui savait ! Il était un initié ! Et surtout, cétait lui qui avait le plus grand sexe et qui était capable de satisfaire tout un harem dans la même nuit !
Je métais mis à croire à ces foutaises et massociais au groupe dans toutes les aventures érotiques qui se déroulaient toutes dans lappartement du couple Marc et Jacqueline. En plus de Zoulikha et Jacquie, dautres femmes, la plupart appartenant au corps de lenseignement secondaire et supérieur (algériennes et étrangères) étaient venues agrandir le clan. Pendant près dune année, je voyais Zoulikha se faire tirer par des tas dhommes et de femmes et prendre du plaisir. Moi-même je ne participais directement à ses partouzes que rarement. Je métais accoquiné avec Jacquie qui mavait présenté dautres femmes (de vraiment belles et dautres qui létaient moins mais qui avaient de magnifiques coups de reins !) avec lesquelles je prenais vraiment mon pied.
Et puis un jour, Zoulikha vint mannoncera quelle était enceinte et quelle allait partir en France avec Marc et Jacquie, pour accoucher là-bas. Elle devait présenter son baccalauréat algérien dans la semaine qui suivait, puis le baccalauréat français dans la foulée. Elle avait comme idée de sinscrire dans une université française (grâce à son bac français) et y décrocher un diplôme quelconque, qui lui permettrait de gagner sa vie. Entretemps elle vivra chez le couple qui prendra soin delle.
La seule question que je me posais à ce moment, cétait qui était le père ? Elle répondit quelle nen savait rien et que de toutes les façons, cela navait aucune importance : le père aurait pu être nimporte lequel des hommes avec lesquels elle avait fait lamour. Le vrai père ce sera Marc, qui le reconnaîtra et le déclarera à la mairie comme étant son fils (ou sa fille).
Comme attendu, elle neut ni le bac algérien, ni le bac français. Elle navait fourni aucun effort pour cela. Mais elle partit bel et bien avec le couple qui venait de terminer leur contrat avec le ministère de lenseignement et devait rejoindre leurs postes dorigine. Cétait dans lacadémie de Bordeaux. Je ne revis plus Zoulikha pendant des années. Ce ne fut quune dizaine dannées plus tard, quelle vint rendre visite à sa maman (son papa était mort entre-temps et elle navait même pas assisté à son enterrement !). Elle me trouva à la maison en compagnie de Farida, qui était devenue mon épouse. Elle était accompagnée par son fils, qui venait davoir neuf ans. Il était blond comme elle, mais avait les yeux bleus acier de Marc ! Je ne me posais plus la question de savoir qui était le père. Elle membrassa avec tendresse, me dit quelle était devenu professeur de physique chimie dans un lycée (elle avait repassé son bac et avait poursuivi des études supérieures). Elle vivait toujours avec Marc (Jacquie était repartie en Polynésie et y avait trouvée une nouvelle maîtresse, dont elle était tombée follement amoureuse). Marc continuait sa vie de maître es érotisme et Zoulikha continuait sa folle vie de nymphomane. Elle maffirma que tant quelle prendra du plaisir elle continuera dans cette voie ! Et je crois que cest vraiment cela la vie quelle veut vivre ! Et quelle vivra jusquà sa mort !
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